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Le rattrapage vaccinal déployé par la CPAM et le Centre d’examens de santé tombe à pic pour les assurés précaires…

« Les premières vaccinations du Centre d’examens de santé de la Caisse primaire d’assurance maladie de l’Yonne ont eu lieu dès le 01er mars dans le cadre de la campagne de rattrapage vaccinal. Une nécessité qui faisait cruellement défaut en France afin de prévenir les risques et de mieux les anticiper, mais surtout de pouvoir sécuriser les populations les plus démunies de notre société. Chaque année, le CES d’Auxerre et ses unités mobiles reçoivent la visite de 1 500 personnes. Le médecin-chef du CES, le docteur Saïd BROUCHE, table sur une jauge de 300 à 400 vaccins à réaliser par an… ». « Les premières vaccinations du Centre d’examens de santé de la Caisse primaire d’assurance maladie de l’Yonne ont eu lieu dès le 01er mars dans le cadre de la campagne de rattrapage vaccinal. Une nécessité qui faisait cruellement défaut en France afin de prévenir les risques et de mieux les anticiper, mais surtout de pouvoir sécuriser les populations les plus démunies de notre société. Chaque année, le CES d’Auxerre et ses unités mobiles reçoivent la visite de 1 500 personnes. Le médecin-chef du CES, le docteur Saïd BROUCHE, table sur une jauge de 300 à 400 vaccins à réaliser par an… ». Crédit Photos : Thierry BRET.

Depuis le 01er mars, le public en situation de précarité mais aussi les demandeurs d’emploi, les jeunes de moins de 25 ans et les personnes âgées peuvent profiter des bienfaits de la campagne de vaccination gracieuse déclinée par le Centre d’examens de santé de la Caisse primaire d’assurance maladie de l’Yonne. Suite à l’élargissement de son offre de services, la CPAM réalise dans le cadre des bilans de santé un salvateur rattrapage vaccinal, optimisant ainsi le volet préventif de sa politique sanitaire territoriale. Si, annuellement, mille cinq cents assurés auront libre cours de pouvoir y prétendre à Auxerre mais aussi dans les unités mobiles opérationnelles sur le département, davantage de nos concitoyens pourraient être intéressées in fine par cette réactualisation de ce contrôle vaccinal important. 70 % de la population française n’est pas à jour de ses vaccins…

AUXERRE : Venue au Centre d’examens de santé (CES) pour un contrôle de pure routine, Françoise, assurée de la Caisse primaire d’assurance maladie de l’Yonne, ne s’attendait pas à repartir de l’établissement auxerrois avec ses rappels de vaccinations antidiphtériques et antipolio à l’issue de son entretien. Un additif médical complémentaire qu’elle jugera de manière très positive malgré l’injection du précieux produit par le biais d’une seringue ; son carnet de vaccinations n’étant plus à jour depuis belle lurette !

Rejoignant le club très hermétique des tous premiers patients à bénéficier de cette nouvelle campagne vaccinale, Françoise encourage celles et ceux qui ont accumulé un retard manifeste de leurs vaccins à se rendre dès que possible dans les locaux du CES, au 25 rue du Clos, un bâtiment situé juste en face du pôle administratif de la Caisse d’Allocations Familiales.

100 000 contrôles de vaccins en France à l’année grâce à ce nouveau plan

« Mais, comme devait le préciser le docteur Saïd BROUCHE, médecin-chef du Centre d’examens de santé icaunais, il est également possible de se déplacer dans trois autres villes du territoire (Avallon, Sens et Tonnerre) afin de réactualiser ce moyen efficace de prévention contre certaines pathologies. Grâce aux unités mobiles qui demeurent d’une rare efficacité… ».

Après quatorze mois d’âpres tractations pour en assurer une mise en route optimale, les responsables de la Caisse primaire d’assurance maladie de l’Yonne, Etiennette BERROUET, sous-directrice de l’établissement, et son directeur, Patrick KAZANDJIAN, ont pu définitivement valider le mode opératoire de ce plan conquérant en étroite concertation avec les cinq praticiens qui exercent leur savoir-faire au sein du CES. Ce projet de santé publique, une fois dans les rails, pouvait prendre son envol de la manière la plus pragmatique possible.

Partant du simple postulat qu’il se réalise environ 500 000 bilans de santé annuels en France, la Caisse nationale de l’assurance maladie a fixé le cap de ses objectifs à 100 000 contrôles de vaccins par an. Travaillant de facto avec ses relais territoriaux comme la CPAM de l’Yonne et le CES, organe structurel qui en découle,  pour mettre à profit cette saine mesure sanitaire et préventive à large échelle.

Grâce au professionnalisme de son personnel, une trentaine de personnes dont des médecins et psychologues, le Centre d’examens de santé de l’Yonne peut aisément se charger de l’accueil du public, le conseiller et pratiquer dans sa phase opérative la vaccination. Notamment auprès du public le plus vulnérable qui n’intègre pas parmi ses priorités existentielles un suivi sanitaire convenable. Les demandeurs d’asile envoyés par les associations caritatives (Croix-Rouge, COALIA, CCAS, Restos du Cœur…) intègrent ce plan de façon prioritaire. Une centaine de ressortissants d’origine albanaise, soudanaise ou érythréenne ont pu accéder à cette campagne préventive autour de la vaccination.

Une commande initiale de 60 vaccins en guise de jauge…

Côté finances, là-aussi, le dossier est déjà bien rodé. Aucun financement n’est demandé au Centre d’examens de santé pour réaliser ces actes qui, par conséquent, revêtent de la parfaite gratuité pour celles et ceux qui auront à subir la fameuse piqûre !

Les sérums contenus dans les seringues sont pris en charge selon la procédure mise en œuvre depuis le 01er janvier 2016 par les instructions nationales par le système de l’assurance maladie à 65 %. Le ticket modérateur, quant à lui, est compensé par l’Agence régionale de santé…

Le docteur Saïd BROUCHE a passé commande d’une première quantité de vaccins disponibles pour le semestre en cours. Une soixantaine de doses injectables de typologie diverse selon les maladies ont fait l’objet du code de procédure coutumier dans le parcours de vaccination. Confiant, le praticien espère que la couverture vaccinale de l’Yonne concernera de trois cents à quatre cents patients chaque année. Sachant qu’un projet de mutualisation avec les services sanitaires de la Nièvre est déjà à l’étude.

Si 8 400 bilans de santé se réalisent chaque année dans le département, la CPAM possède avec ce nouveau défi imputable à la couverture vaccinale un véritable sujet d’analyse du comportement sociologique et sanitaire de la population. A l’instar des études déjà proposées en termes de diabétologie et de problématiques cardio-vasculaires. Mais, au-delà des aspects analytiques, la Caisse primaire d’assurance maladie à travers son centre d’examens de santé contribue à juguler les dépenses sous le sceau de la maîtrise des risques et de l’anticipation. Elle le met en exergue grâce à cette campagne qui vient d’être portée officiellement sur les fonts baptismaux. Comme elle l’exécutera davantage dès le 01er avril avec sa nouvelle plateforme d’intervention d’accès aux soins et à la santé qui aura pour objectif principal de repérer celles et ceux qui ne sont plus dans le parcours de soin traditionnel.

Promouvoir la santé publique dans l’intérêt de tous : le rôle du CES…

Une orientation fondamentale pour l’organisme qui agit aussi via le CES, comme devait le rappeler Saïd BROUCHE, en faveur des dépistages par le truchement des nombreux examens réalisés.

« Bien sûr, la promotion de la vaccination est incontournable à notre déontologie, explique le médecin-chef, mais cette mission de santé publique que nous revendiquons nous amène à participer à de nombreuses études publiques qui permettent de suivre les effets des maladies chroniques et l’apparition des complications. Notre moteur vertueux passe aussi par un discours pédagogique en éduquant les patients qui doivent réduire leurs dépenses de santé, en sécurisant les seniors autour des incidents domestiques et des chutes qui tuent 10 000 personnes par an et en assurant le dépistage des troubles cognitifs. Tout ceci se vit en accointance harmonieuse avec la CPAM qui est un lien essentiel pour l’accompagnement des assurés et des malades… ».

On l’aura compris la mise en place de ces programmes préventifs n’est pas vain : il permet de contenir les dépenses de santé et de les maintenir de 2 à 3 % chaque année...Comme un véritable service rendu à l’ensemble des concitoyens que nous sommes.

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