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L’Union européenne à l’intersection de tous les dangers : il est urgent de systématiser le principe de subsidiarité !

« Le principe de subsidiarité, bien cadré dans le traité de Lisbonne, doit permettre de nous recentrer sur les exigences nationales et l’autonomie des décisions. C’est ce dont rêvent beaucoup d’Européens à l’heure actuelle afin de se dédouaner du centralisme exacerbé exercé par Bruxelles…C’est l’un des axes de réflexion de l’italienne Giorgia MELONI. Qu’en est-il exactement pour Emmanuel MACRON ? ». « Le principe de subsidiarité, bien cadré dans le traité de Lisbonne, doit permettre de nous recentrer sur les exigences nationales et l’autonomie des décisions. C’est ce dont rêvent beaucoup d’Européens à l’heure actuelle afin de se dédouaner du centralisme exacerbé exercé par Bruxelles…C’est l’un des axes de réflexion de l’italienne Giorgia MELONI. Qu’en est-il exactement pour Emmanuel MACRON ? ». Crédit Photos: D.R.

La Suède vient de virer à droite. Les élections législatives organisées dans ce pays ont même confirmé la banalisation de l’extrême-droite incarnée par le chef du parti des Démocrates Jimmie AKESSON. Quant à l’Italie, elle vient elle-aussi de basculer à droite, avec sa figure de proue, Giorgia MELONI qui semble prendre désormais ses distances avec les deux personnalités embarrassantes de sa coalition, Silvio BERLUSCONI et Mattéo SALVINI…

TRIBUNE : Les partis traditionnels sont dans la déshérence totale. Si nous prenons le cas de la France : on y trouve une droite classique, incapable de créer l’unité autour d’un leader charismatique ; un Parti socialiste qui ne se remet pas de l’époque HOLLANDE ; le Parti communiste en chute libre et des Verts plus soucieux de la déconstruction de notre culture ou des corridas que de l’inflation.

Face aux constats d’insécurité permanente, de non-maîtrise de l’immigration, de la violence à l’école ou dans la rue, le changement radical se profile. Aujourd’hui, on trouve en présence des formations qui naviguent un peu à vue entre la droite et le centre droit et qui rassemblent des gens, qui sur des questions sociétales, ne sont pas d’accord.

 

Un pour tous, et Dieu pour personne !

 

Face à ces partis de droite, c’est assez facile de présenter un projet politique orienté sur deux ou trois items, qui sont grosso modo la sécurité, la loi et l’ordre, l’identité via l’émigration afin de réaliser un carton dans l’électorat. Cerise sur le gâteau : les partis de gauche ou d’extrême gauche ont appelé à voter Emmanuel MACRON au deuxième tour des dernières présidentielles. De quoi alimenter le découragement des Français !

Dans une majorité de pays d’Europe, c’est la technocratie à tous les étages, la perte du pouvoir et de l’autonomie de décision au profit de choix subits et assénés par une Ursula Von Der LEYEN, présidente de la Commission européenne, qui sans aucune légitimité électorale distribue des mauvais points à celles et ceux qui votent à l’extrême droite, qui exige le financement de l’effort de guerre ukrainien, et qui, très récemment, a fait interdire aux parents de punir un enfant en l’envoyant dans sa chambre ! Elle inspire de la méfiance et son discours est très politisé. Madame Von Der LEYEN roule pour qui ? Pour l’Allemagne ?

Quant à la Hongrie et la Pologne, ces nations séduisent de plus en plus de pays en Europe. Leur politique face à l’immigration est déconnectée des décisions européennes. Aujourd’hui, les Etats veulent plus de libre arbitre vis-à-vis du centralisme européen, et plus d’autonomie dans les décisions. Au final, seul le président Emmanuel MACRON veut jouer la carte européenne face aux autres pays qui priorise leurs intérêts avant tout. Un pour tous, et Dieu pour personne !

 

 

 

Droite et extrême droite : où sont les différences ?

 

Nous ne sommes pas encore à un mariage entre les Républicains et le Rassemblement National. Mais sur le plan des idées, nous ne sommes pas loin du PACS ! Les politiques sécuritaires, la lutte contre « l’islamo-gauchisme » ou la « créolisation » du pays version MELENCHON commence à faire des émules chez certains membres des Républicains.

Qu’il s’agisse de la France ou de l’Italie, aucune atteinte à la démocratie n’est à souligner. La position hongroise est contestable mais nous sommes loin des régimes totalitaires de MUSSOLINI, de FRANCO ou de STALINE. En France, le fameux « Front Républicain » ne marche plus. Marine Le PEN s’est complètement banalisée, c’est clair : elle veut gouverner et son intérêt est de respecter les institutions. Aujourd’hui, droite et extrême droite se fondent dans le creuset des intérêts nationaux et des Français. Nous devons faire attention aux poussées populistes qui récoltent des voix en proposant le rejet de la différence !

Se passer de l’aval de l’Europe dès que l’on souhaite éternuer !

Le principe de subsidiarité consiste à réserver uniquement à l'échelon supérieur – ici l'Union européenne (UE) – ce que l'échelon inférieur – les États membres de l'UE – ne pourrait effectuer que de manière moins efficace. Le principe de subsidiarité vise à s'assurer qu'une action européenne est justifiée par rapport aux possibilités qu'offrent les échelons nationaux, régionaux et locaux. Il a notamment été conçu pour éviter l'éloignement des lieux de pouvoir, lorsque cela ne permet pas de gagner en efficacité.

Ce principe, bien cadré dans le traité de Lisbonne, doit nous permettre de nous recentrer sur les exigences nationales et l’autonomie des décisions. C’est aussi sur ce principe que Giorgia MELONI avait axé son discours électoral. Il faut la volonté d’agir dans l’intérêt de la nation. Se passer de l’aval de l’Europe dès que l’on souhaite éternuer, c’est donc possible ! Il faut juste démontrer que le niveau supérieur, l’UE, est moins pertinente que notre solution. Nous avons bien un KISSINGER ou un TALLEYRAND dans nos ressources humaines pour faire valoir notre bon droit !

Nous vivons une période trouble, certains pensent qu’il faut un régime à poigne, une autorité centrale pour venir à bout du désordre ambiant… D’autant plus dangereux que l’inculturation est prégnante.

Quand on n’a pas les mots, il reste hélas les poings ou les armes ! Je ne vise personne…Suivez mon regard…

« Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C'est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l'expulser. »  Françoise GIROUD.

Jean-Paul ALLOU

 

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