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La majorité présidentielle se mobilise à Auxerre : « barrer la route de la haine et du grand remplacement en France »

« Maud BREGEON, Olivier VERAN et Jean-Baptiste LEMOYNE ont montré leur détermination lors de l’ultime meeting de la majorité présidentielle à Auxerre pour lutter contre les adversaires clairement identifiés de ce scrutin présidentiel. Les extrêmes. De gauche comme de droite dont il faut barrer la route dans les urnes. Un message fort, destiné aux abstentionnistes et aux militants… ». « Maud BREGEON, Olivier VERAN et Jean-Baptiste LEMOYNE ont montré leur détermination lors de l’ultime meeting de la majorité présidentielle à Auxerre pour lutter contre les adversaires clairement identifiés de ce scrutin présidentiel. Les extrêmes. De gauche comme de droite dont il faut barrer la route dans les urnes. Un message fort, destiné aux abstentionnistes et aux militants… ». Crédit Photos : Thierry BRET.

Plateau de premier choix pour l’ultime grand rassemblement des aficionados et militants du Président de la République dans l’Yonne. Un casting de poids fédérant toutes les composantes du collectif unioniste, Ensemble Citoyens, qui se range derrière le bilan et les perspectives incarnés par Emmanuel MACRON, mué en chef de guerre depuis l’invasion russe en Ukraine. Si Jean-Baptiste LEMOYNE a excellé dans un rôle inhabituel, celui de maître de cérémonie d’une soirée suivie par près de 200 personnes, les intérêts convergèrent sur la prestation musclée du ministre de la Santé Olivier VERAN. Le mot d’ordre est simple : bouter hors des urnes les extrêmes !

 

AUXERRE : Ils étaient tous là, ou presque. Affichant de larges sourires, multipliant les accolades (oubliés les gestes barrières trop contraignants !), serrant des poignées de main à n’en plus finir, s’immortalisant par smartphones interposés aux côtés des trois ténors de ce meeting qui fut orchestré dans un esprit bon enfant. Accessibles, détendus, en terrain forcément conquis face à leurs militants et sympathisants, la porte-parole de La République en Marche Maud BREGEON, et les deux membres du gouvernement, Olivier VERAN, ministre des Solidarités et de la Santé, ainsi que le régional de l’étape, Jean-Baptiste LEMOYNE, en charge des Français de l’étranger, du Tourisme, de la Francophonie et des PME/PMI (nouvelle corde à son arc qui ressemble de plus en plus à une harpe !) ont profité de ce bain de foule, presque de jouvence, pour délivrer les ultimes messages forts d’avant le premier tour.

 

 

Rien n’est jamais acquis dans une élection où il faut encore convaincre…

 

Un premier tour qui connaît un resserrement dans les sondages entre les deux favoris de ce scrutin présidentiel. D’un côté, en qualité d’outsider, la cheffe de file du Rassemblement National Marine LE PEN aura bénéficié de l’inéluctable diabolisation accentuée depuis quelques semaines sur les épaules du souverainiste Eric ZEMMOUR pour grimper dans les intentions de vote.

De l’autre côté, au-dessus de la mêlée se trouve Emmanuel MACRON en habit de Président de la République, tout auréolé de ses deux accessits supplémentaires glanés du fait du contexte international : celui de meneur pugnace à la grande cause européenne associé à sa casquette de « chef de guerre » portée depuis le début du conflit à l’est du continent.

Toutefois, rien n’est jamais acquis lors d’une échéance électorale. Le risque d’une abstention massive, créditée à l’heure actuelle sur une oscillation de 20 à 30 % selon certains instituts de sondage, pourrait troubler quelque peu la fête au soir de la prochaine journée dominicale dans le camp des supporters présidentiels.

Entre prudence, vigilance et incitation à se rendre nombreux dans les urnes, les flèches décochées par les trois hauts représentants du macronisme se devaient de faire mouche dans les esprits. D’une part, en désignant nommément les adversaires des extrêmes, de gauche comme de droite, « réels dangers pour la démocratie ». D’autre part, en effectuant le panégyrique d’un Président qui au terme de son quinquennat peut s’enorgueillir de présenter un bilan des plus honorables selon les commentaires avisés des différents participants.

 

Les élus de l’Yonne délivrent leurs bons points à la politique gouvernementale…

 

On l’aura compris : ce rendez-vous ne devait ressembler à aucun autre sur le fond et dans sa forme. Placées au centre de l’espace Vaulabelle, deux tables « mange debout » accueillaient les orateurs. La succession d’interlocuteurs, devrait-on dire. Ces derniers furent invités par un « Monsieur Loyal » peu commun mais en très belle dynamique : Jean-Baptiste LEMOYNE qui jouait les « David PUJADAS » sans prompteur mais avec des questions très ciblées. 

Chacun aura droit ainsi à sa mise en lumière oratoire lors de prises de parole au timing quelque peu disparate (!) mais en délivrant, moyennant ressentis personnels et une multitude d‘exemples concrets, leur soutien inconditionnel au locataire élyséen. 

Parmi les intervenants, citons pêle-mêle du côté féminin (galanterie oblige, la sénatrice Marie EVRARD, la députée Michèle CROUZET, la conseillère régionale Muriel VERGES-CAULLET, la conseillère départementale Irène EULRIET…), et du côté de la gent masculine, le président départemental du MoDem, Pascal HENRIAT, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président d’AGIR La Droite Constructive, les conseillers départementaux Yves VECTEN, Cédric CLECH, le maire de Seignelay Thierry CORNIOT, l’élu de Massangis Xavier COURTOIS, le président de l’AMF 89 Mahfoud AOMAR, etc.

Même l’inamovible ancien coach de l’AJ Auxerre, Guy ROUX, pour tous les amoureux du ballon rond hexagonal y alla aussi de sa petite causerie, ôtant le masque protecteur lui occultant la moitié du visage le temps de ses propos ! Un soutien très net de l’emblématique ambassadeur sportif de l’Yonne envers Emmanuel MACRON qui ramena Olivier VERAN à quelques souvenirs personnels (et footballistiques !) vécues en sa compagnie jadis.

 

 

La séquence ludique proposée par Maud BREGEON !

 

Vint le moment où la porte-parole de La République en Marche Maud BREGEON s’amusa à une parodie de jeu avec le public afin de déterminer si les mesures prises par le chef de l’Etat et son gouvernement se situaient plutôt à gauche ou à droite, voire au centre, tout bonnement au cours de ces cinq dernières années. Une récréation qui plut beaucoup au public, plutôt participatif dans l’épreuve.

Jusqu’au moment où l’interlocutrice asséna la phrase mémorielle de la soirée : « Emmanuel MACRON ne regarde pas à gauche, il ne regarde pas à droite mais en fait il a toujours regardé tout droit ! ». Pas de strabisme politique, donc !

Puis, reprenant sa démonstration dans un silence approbateur, « il vaut mieux une bonne mesure de droite qu’une mauvaise mesure de gauche et inversement… ». Un résumé, en somme, de la stratégie du chef de l’Etat qui se fit applaudir de longues minutes par une assistance convaincue par les propos de la jeune femme.     

Prudente, Maud BREGEON rappela, se retournant vers Guy ROUX, que « jusqu’à la dernière minute, rien n’est jamais joué dans une rencontre de football ».

L’oratrice souligna qu’il ne fallait pas se laisser endormir ni par les sondages ni par les médias (tiens, tiens !).  

 

 

Faire que le réveil ne soit pas douloureux pour la France le 25 avril…

 

Durant douze minutes, c’est un Olivier VERAN détendu qui prit la parole, présentant les grandes lignes de son bilan avec sa casquette ministérielle avant de l’enlever symboliquement pour affirmer son rôle de militant afin de mieux défendre le programme porté par le candidat Emmanuel MACRON.

Il parlera de la solidarité à la source (des prestations sociales auxquelles certains Français ont droit et qui vont être fusionnées en une seule ligne budgétaire, qu’elles seront données au bon moment aux personnes sans que ces dernières soient dans l’obligation de les demander…), de la simplification administrative, de centaines d’emplois qui vont être créés sur cet item, ainsi que de la lutte contre la fraude.    

Puis, se recentrant sur le scrutin, Olivier VERAN insista sur le fait que « ce ne seront pas les candidatures des Républicains, du Parti Socialiste et des Verts qui représenteront une sérieuse menace pouvant entraver la victoire des Marcheurs ». Une analyse peut-être influencée par la teneur des sondages. Mais, en revanche, les adversaires qui sont clairement identifiés sont les partis des extrêmes. De gauche comme de droite et qui possèdent à ses yeux, une multitude de points communs. Citant les « connivences troubles » avec la Russie de POUTINE, un « rapport à la République et à la démocratie extrêmement douteux », incitateurs à la violence sociale.

« Marine LE PEN se présente comme la candidate du pouvoir d’achat, affirma avec un zeste d’ironie le ministre-militant, c’est de son pouvoir d’achat dont elle parle puisqu’elle perçoit 5 000 euros par mois pour un parti qu’elle ne préside pas, 5 000 euros par mois pour un rôle au parlement dans lequel elle ne siège pas, et elle pérore en nous expliquant que nous ne faisons rien pour les pauvres et les précaires ! ».

Avant de conclure, l’air grave, par la phrase prophétique : « on ne peut pas se réveiller le 25 avril au matin avec le visage d’une France repliée sur elle-même, une France qui prône la haine et le « grand remplacement » ».

 

Thierry BRET

 

 

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