Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Grand Débat : les adhérents de la CPME de l’Yonne dénoncent une pression fiscale devenue insupportable…

 « Tout sourire, malgré le peu d’entrepreneurs présents à Auxerre comme à Sens, le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne, Olivier TRICON, s’est montré à son avantage, aux côtés de la secrétaire générale, Emmanuelle MIREDIN, pour mener à bien les discussions autour des quatre thèmes du Grand Débat. Un constat s’impose : les membres de la CPME de l’Yonne souhaitent une refonte de la fiscalité et le zéro répit envers les fraudeurs, adeptes de l’évasion fiscale, et les GAFA qui doivent être taxés au maximum… ». « Tout sourire, malgré le peu d’entrepreneurs présents à Auxerre comme à Sens, le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne, Olivier TRICON, s’est montré à son avantage, aux côtés de la secrétaire générale, Emmanuelle MIREDIN, pour mener à bien les discussions autour des quatre thèmes du Grand Débat. Un constat s’impose : les membres de la CPME de l’Yonne souhaitent une refonte de la fiscalité et le zéro répit envers les fraudeurs, adeptes de l’évasion fiscale, et les GAFA qui doivent être taxés au maximum… ». Crédit Photos : Thierry BRET.

Proposé à quelques jours d’intervalle à Sens et à Auxerre, le rendez-vous explicatif citoyen, relayé par la confédération des PME de l’Yonne, n’a pas suscité un réel enthousiasme parmi les rares entrepreneurs présents. Pourtant, l’exécutif du syndicat patronal avait conçu les choses à la perfection, invitant ses adhérents à échanger autour des quatre items prédéfinis par la directive nationale. Des observations nourries et intéressantes en ont résulté. Elles portaient sur la réalité quotidienne vécue par des chefs d’entreprise qui souhaitent une uniformisation de la fiscalité et davantage de justice afin ne plus être considérés à l’avenir comme de véritables vaches à lait pour financer le système…

AUXERRE : Une dizaine de personnes ont pu faire entendre leur voix dans le cadre de la déclinaison locale du Grand Débat, à l’estampille de la CPME, accueillie à Auxerre. Quarante-huit heures plus tôt, un exercice oratoire similaire avait eu lieu à Sens. N’entraînant pas, loin s’en faut, une excitation débordante de la part de participants, incités néanmoins à donner leur avis personnel.

Pourtant, les chefs d’entreprise, à la tête de TPE et PME, ont des choses à dire. Et surtout des propositions à suggérer (voire l’article correspondant). Et cette double désertification de l’assistance n’en enlève pas le crédit accordé à cette séance verbale nécessaire que le syndicat patronal de l’Yonne désirait mettre sur pied.

Le président de la CPME, Olivier TRICON, très détendu, ne sombrait pas dans le fatalisme de circonstance devant cet auditoire quelque peu clairsemé. Bien au contraire ! Sa collaboratrice, Emmanuelle MIREDIN, secrétaire générale de l’organisme, a su conduire la session avec brio en se référant scrupuleusement au mode opératoire en vigueur. Déroulant la discussion autour de chacune des quatre thématiques préétablies initialement par le gouvernement.

Ainsi, point par point, les débatteurs eurent tout le loisir de pouvoir argumenter sciemment sur les thèmes appropriés, pour mémoire, la fiscalité et les dépenses publiques, l’organisation de l’Etat et des services publics, la transition écologique et la démocratie, assortie à son corollaire, la citoyenneté.

milieu articles

La coupe est pleine au niveau du ras-le-bol fiscal !

Si l’un des intervenants exigea avec véhémence la suppression pure et simple du CESE (Conseil économique, social et environnemental) – soit un budget annuel de fonctionnement de plus de 500 millions d’euros-, d’autres intervinrent sur les problèmes liés aux cessions d’entreprise et à leur taxation.

« C’est clair, fustigea un entrepreneur de manière péremptoire, aujourd’hui quand on est un dirigeant d’entreprise, on n’est empêché de vendre et d’acheter une société ! ».

Ce ras-le-bol de la double peine fiscale s’est fait ressentir avec l’apport de témoignages complémentaires parmi l’assistance. Petit à petit, au fil des minutes qui s’égrenaient, les langues se déliaient avec délectation. Jetant l’opprobre contre le surpoids fiscal envahissant exercé par Bercy.

Parmi le florilège de préconisations que les entrepreneurs de la CPME aimeraient voir aboutir au terme de ce raout citoyen populaire, la suppression des taxes sur les bénéfices réalisés par les entreprises figurent en pôle-position sur la grille des mesures à gérer en urgence. Pour l’un d’entre eux, il est proprement inacceptable que toutes ces spécificités franco-françaises de l’administration fiscale impactent si durement l’économie de notre pays, à l’heure de la mondialisation.

Quant à l’évasion fiscale et la taxation des géants américains regroupés sous l’acronyme des GAFA, l’unanimité fut de mise dans la salle pour demander un plan d’actions immédiat de la part de la gouvernance. A grand renfort de prélèvements fiscaux !

Une vraie lutte doit s’engager contre les profiteurs abusifs du système put-on encore entendre au cours de cette séance qui aura eu le mérite de tâter le pouls de chefs d’entreprise en colère contre le dispositif trop « franco-français » de la fiscalité. Un système devenu insupportable à leurs yeux, aujourd’hui.

Articles

Bannière droite accueil