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Unique établissement en France à proposer à ses étudiants une véritable immersion à l’étranger, cette structure pédagogique se distingue aussi par sa volonté d’inculquer une culture de l’entrepreneuriat. Les 110 élèves de la filière s’y sentent bien avec un taux de réussite qui excède 92 % depuis ces trois dernières années…

 

AUXERRE : Structure pédagogique dépendante de l’Université de Bourgogne, l’IUT d’Auxerre accueille en son sein trois filières de formation dans la zone de la plaine de l’Yonne : le génie civil, le département RT (Réseaux et Télécommunications) et le pôle des Techniques de commercialisation.

Cette dernière entité, conduite par la directrice Sabine BELAMICH et ses équipes, accueille un nouveau contingent d’élèves ce lundi 04 septembre par un séminaire à vocation explicative.

Il s’agira pour le corps administratif de présenter à la fois l’ensemble des aspects réglementaires et fonctionnels du site mais aussi d’y adjoindre l’utile aux modalités pratiques. A savoir, la découverte des possibilités de carrière offertes par le monde de l’entreprise par le prisme de l’entreprenariat. D’où la présence d’une quinzaine d’acteurs économiques et institutionnels, venus en témoins sur l’estrade de l’amphithéâtre (ndlr : voir notre prochain article).

Autre élément distinctif de cet établissement par rapport aux 82 autres filières DUT de techniques de commercialisation existantes en France : une appétence à la découverte de l’international.

Sous l’impulsion de l’une des pièces maîtresses de l’IUT, Pierre DEPLANCHE, le complexe estudiantin auxerrois favorise depuis une décennie les séjours pédagogiques des étudiants vers des destinations pour le moins typique, à l’instar de voyages en terre asiatique (Indonésie, Chine), européenne (Pologne) ou sud-américaine (Brésil, Uruguay).

Sour la forme d’échanges constructifs avec des pôles universitaires, une quarantaine de partenariats facilitent le déplacement de ces jeunes gens dès la seconde année à travers la planète.

Parmi les nouveautés de cette saison, signalons l’ouverture de la licence « MACOM », orientée vers le management commercial et le marketing digital. A l’issue de leur séjour dans ce complexe, 90 % des étudiants poursuivent leur cursus en licence. D’autres envisagent la suite du parcours pédagogique par la voie d’un master.


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La PME de Saint-Julien du Sault, spécialisée dans l’importation, le conditionnement et la distribution de fruits secs auprès des circuits professionnels, occupera un stand lors de ce rendez-vous incontournable des métiers de bouche, fréquenté par les artisans, chocolatiers, pâtissiers et grossistes de France. Ce sera une excellente opportunité pour son dirigeant, Benoît CHAIX, de montrer le savoir-faire de cette entreprise, âgée de 75 ans…

 

SAINT-JULIEN-DU-SAULT : Du 28 octobre au 01er novembre, le responsable de la société SILVAREM, filiale française du groupe STELLIFERRI (FERRERO)-leader européen de la transformation de noisette avec 40 000 tonnes par an, se mobilisera sur l’un des événementiels importants de cet automne, le Salon du chocolat à Paris, porte de Versailles.

L’opportunité sera excellente pour lui et ses collaborateurs d’y croiser un large public, toujours très friand de découvrir les nouvelles subtilités gustatives des confiseries en tout genre. Mais, la cible qui interpelle le plus l’entrepreneur de l’Yonne restera les artisans de la pâtisserie, chocolaterie et confiserie.

Auxquels, il est nécessaire d’ajouter les industriels de l’agro-alimentaire, les transformateurs, les biscuitiers, et les grossistes.  

Pesant 11 millions d’euros de chiffre d’affaires, SILVAREM importe, conditionne et distribue ces produits auprès des circuits professionnels. Soit  environ 1 200 tonnes annuelles de fruits secs dont 80 % de noisettes et d’amandes. Ces produits provenant pour l’essentiel d’Italie et de Turquie.

Employant huit salariés dont une responsable de qualité, l’entreprise de l’Yonne possède une forte clientèle d’industriels. 20 % de ses partenaires sont issues de la filière distribution avec quelques références en la matière parmi ceux-ci, à l’instar de POMONA. La structure se développe davantage à l’international depuis quelques saisons avec une clientèle pro, basée en Allemagne et en Suisse.

Dans l’actualité quasi immédiate de la société, signalons le lancement du nouveau site multimédia au 01er octobre. A vocation semi-marchand, il permettra de mieux cibler les 800 artisans, boulangers, pâtissiers mais aussi restaurateurs, chocolatiers, glaciers et biscuitiers, déjà clients, qui se servent auprès du conditionneur. Ce site, presque finalisé en cette fin d’été, est l’œuvre du groupe ELIOS, une entreprise originaire d’Orléans.

Son intérêt sera de présenter les cours très fluctuants des fruits secs, des fiches techniques sur les diverses références de produits composant une gamme de 500 possibilités ainsi que la politique tarifaire.


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Jugés le plus souvent trop complexes, voire indigestes par une large majorité d’entrepreneurs, les marchés publics garantissent néanmoins une recrudescence du volume d’affaires pour les artisans qui souhaitent se frotter aux appels d’offres. Dans le cadre de ses Rendez-vous de l’Artisanat, il était logique que la chambre consulaire de l’Yonne se penche en profondeur sur la question en démystifiant ce thème…

 

AUXERRE : L’appel d’offre. Le terme engendre parfois de la nervosité, voire beaucoup de stress, pour les conjointes collaboratrices des artisans. En règle générale, ce sont elles qui, patiemment, compulsent et remplissent les liasses de documents afin de monter le précieux dossier qui permettra à leur époux entrepreneur de décrocher le ou les lots nécessaires, synonymes de business !

Or, la plupart de ces chefs d’entreprise n’osent s’aventurer vers ce marché potentiel qui leur tend les bras. Parmi les dix-sept personnes présentes à la première des trois réunions explicatives proposées par les techniciens de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne, aucune n’avait encore franchi le Rubicon.

Cela n’aura nullement empêché les interrogations de fuser, preuve que la diversification des activités pour les professionnels de ce secteur passe aussi par ce biais.  

Sollicitant les interventions de deux spécialistes de Territoires Numériques, la Chambre départementale voulait apporter le maximum de précisions à ses adhérents lors de cette séance de travail. Durant près de deux heures, Krim HABIBY et Bertrand DUFOUR, se définissant ambassadeurs de proximité, ont approfondi avec démonstration à l’appui les fondamentaux des marchés publics.      

En trois volets, les intervenants balayaient les matières principales à découvrir avant de se lancer dans cette démarche : la plateforme « e-bourgogne », l’ensemble des services déclinés par son intermédiaire, les MPS (marchés publics simplifiés) et le DUME, soit pour les non-puristes de la chose et c’était le cas parmi l’assistance, le Document unique de marché européen.

« e-bourgogne » : la plateforme à consulter gratuitement

Formulaire par lequel les entreprises candidates à un marché public déclarent leurs capacités et leur aptitude à y participer, ce dernier devrait considérablement simplifier les procédures administratives imposées aux sociétés désireuses de candidater.  

A l’avenir, l’obligation de répondre de manière électronique aux marchés publics aura pour heureuse conséquence de bouleverser ce système, facilitant l’accès aux besoins des collectivités dans la plupart des cas. A ce titre, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat délivre une clé favorisant cette signature électronique, valable deux ans pour un coût de 75 euros. Ce support garantit l’identification du signataire et sa fonction. Mais, son pouvoir fonctionnel s’étend aussi à la déclaration de la TVA.

Quant à la plateforme « e-bourgogne », créée par la Région et ses quatre départements sous la forme d’un groupement d’intérêt public, elle propose des services aux collectivités dont une salle de marché public, baptisée « place de marché ». Sa consultation est gratuite pour les entreprises de Bourgogne Franche-Comté. Un choix voulu par ses fondateurs qui souhaitaient mettre à la disposition des entrepreneurs de leur territoire l’ensemble des marchés, y compris ceux commandités par l’Etat.


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Quarante années vécues dans le design à l’international forgent les expériences, le savoir-faire et le caractère. C’est ce qui a poussé l’ancien professeur de l’ENSAAD et designer industriel de l’Yonne à concevoir un ouvrage sur les dix étapes essentielles de la création au lancement commercial des produits dont nous sommes friands. Créateur de plus de 2 000 appareils, Michel MILLOT a déjà écrit le second volume de cette trilogie pédagogique à destination des industriels et des étudiants…

 

AUXERRE : Bel opuscule de plus de 200 pages, le « Guide du design industriel », paru aux éditions DUNOD, offre une approche passionnante de la conception des produits qui entourent notre quotidien ménager. Grille-pain, système de douche, station de repassage, cafetière électrique, sèche-cheveux…les objets les plus disparates constituent l’univers professionnel de cette référence incontournable du design à travers le monde. Car tel se définit Michel MILLOT. Un personnage aux multiples talents en matière de créativité qui ne pratique jamais la langue de bois mais avec un cœur gros comme ça !

La désobéissance est source d’innovations

« Ce guide s’adresse tant aux étudiants qu’aux professionnels des domaines concernés par l’activité de conception en général et celles des produits en particulier. C’est surtout un travail de clarification qui a nécessité de la méthodologie avec des informations précises étayées par des recommandations pour le design… ». Dans cet opus, Michel MILLOT aborde aussi les relations parfois tendues et complexes qui existent entre les designers et leurs collègues qu’ils soient techniciens, marketeurs ou directeurs de société. Une chose est sûre : le designer bénéficie le plus souvent de liberté et d’autonomie pour faire jaillir la lumière de la création.

« Aujourd’hui, le design industriel souffre d’un manque de consensus quant à l’identification et à la définition des notions les plus élémentaires. Le verbiage qui peut en résulter constitue une sérieuse entrave au développement de la discipline, tant au niveau de sa pratique professionnelle, que de son enseignement et de l’information sur les produits… ».

Découpant son livre en dix chapitres, l’auteur nous plonge dans les étapes clés d’un processus créatif menant au développement du concept. Entre tests de prototypes et études concrètes. Entre analyses des produits concurrents et participation à la mise en production.

« Les nouveaux concepts doivent être dotés de réelles qualités d’usage, esthétiques, environnementales, techniques et commerciales. En clair, le design ne se cantonne pas à une simple affaire de belles formes ni à une meilleure mise en œuvre de matériaux ou de procédés de fabrication… ».

Une présence affirmée en Asie pendant une décade 

Ayant dispensé un enseignement du design pendant de nombreuses années à travers l’Europe, Michel MILLOT a trouvé avec la Chine, et surtout à Canton, un terrain de prédilection durant une décennie où il a démontré son sens absolu de la créativité.

« J’ai exercé mon métier au Centre Beaubourg de Paris durant quatre ans avec un pôle d’une vingtaine de collaborateurs en recherche et développement, explique-t-il, mais c’est sur le continent asiatique que j’ai donné libre cours à ma vocation… ».

Là-bas, il a conçu notamment un nouveau prototype de quad pour un industriel de Taïwan. Mais, le designer bourguignon a aussi développé des partenariats pour le compte de géants de l’électroménager et de l’automobile, à l’instar des sud-coréens Daewoo et Hyundai.

La liste de ses créations est loin d’être exhaustive : des produits d’électroménager de type sèche-cheveux, fers à repasser, des créations d’objets pour l’environnement cuisine et salle de bains, du high-tech, du matériel d’outillage, des rasoirs électriques, de la serrurerie, des jouets, du mobilier, des coffre forts, des ustensiles de puériculture, des enceintes acoustiques et des haut-parleurs, et même une collection de sex-toys !

Pour celui qui considère que « le design est devenu un concept très galvaudé aujourd’hui et peu maîtrisé par de véritables spécialistes, ceux-ci se comptant sur les doigts de la main », le temps du témoignage pédagogique fait office de nécessité. D’où la rédaction de ce premier tome. Il suscitera peut-être de nouvelles vocations professionnelles parmi des étudiants pugnaces. Mais, il encouragera sans doute les entrepreneurs à appréhender autrement cette discipline fondamentale de la créativité industrielle…


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Cinq décès, trente blessés dont dix-sept hospitalisés : le bilan de l’accidentologie n’est guère fameux sur les routes du territoire icaunais à la fin du mois de juillet. Malgré une baisse de 29 % par rapport à la période équivalente de 2016, automobiles, deux roues et piétons sont toujours aussi exposés avec  le non-respect des règles de circulation comme cause prioritaire…

 

AUXERRE : A peine installé, le nouveau préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, a dû découvrir les chiffres des services de la Sécurité routière, faisant état de l’accidentologie sur les routes du département. Et au vu des premières indications, et de l’analyse de ces statistiques, il devrait rester inflexible à toute velléité d’assouplissement des règles de circulation.

Au contraire, le représentant de l’Etat a même souhaité renforcer les opérations de contrôle de vitesse et d’alcoolémie en cette fin de période estivale. Pour s’en expliquer, son service de communication a insisté sur la hausse du nombre de véhicules circulant sur les autoroutes et routes de l’Yonne ; cela entraînant une dégradation des conditions de circulation.

Si la conduite sous l’emprise de l’alcool représente 17 % des accidents, soit 6 personnes tuées depuis ces douze derniers mois, les pertes de contrôle imputables à une vitesse excessive occasionnent encore 20 % des sinistres (7 décès). Mais, l’essentiel de l’accidentologie prend sa source dans le non-respect du code de la route et de l’application des bonnes règles de conduite. 32 % des accidents sur la saison 2016/2017, ce qui aura engendré 11 morts.

Un taux de gravité des accidents supérieur à la France

Rapporté à la population, le nombre de personnes tuées par million d’habitant demeure très élevé dans l’Yonne, avec un taux de gravité de 102 alors que l’indice de référence nationale n’excède pas…54 !

Seule lueur d’espérance dans ce tableau assombri par tant de mauvais chiffres, les résultats de la plupart des indicateurs de l’accidentalité de ce mois de juillet sont en diminution : baisse de 29 % du nombre d’accidents (22 sinistres contre 31 en 2016), baisse de 21 % du nombre de blessés (30 blessés contre 38 en 2016) et baisse de 35 % du nombre de blessés hospitalisés (17 personnes hospitalisées contre 26 en 2016).

Mais, hormis le nombre de tués sur nos routes (il s’élève à cinq décès en juillet 2017 contre sept l’année antérieure), les évolutions du cumul de ces indicateurs sont par contre toutes en hausse pour 2017. Et le mois d’août, point culminant des départs en vacances, n’a pas encore livré son verdict.


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