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Curieusement, il n’existait jusque-là aucun ouvrage relatant les typicités caractéristiques des vingt-huit communes qui composent cet assemblage plutôt hétéroclite que représente l’Auxerrois. Cette carence culturelle sera vite oubliée de manière définitive dès la mi-septembre. Période où sortira un pavé de très belle facture tant au plan esthétique que visuel de 210 pages. L’opus se nomme « L’Auxerrois : aller à l’essentiel ». Il constitue un panorama non exhaustif de tout ce qu’il faut savoir et connaître de cette contrée qui demeure le point névralgique d’un département où il fait bon vivre…

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Ce n’est pas un vadémécum de plus. Ni une compilation de bonnes adresses qu’il est de bon ton de posséder afin de rester à la page. Pas davantage, un guide à vocation touristique.

Non, dès qu’il feuillette ce volumineux document (un vrai livre au sens noble du terme), le lecteur prend pleinement conscience de la réalité tangible qui se présente à lui.

L’Auxerrois est une contrée de l’Yonne riche, belle, entreprenante et dynamique ! Pour s’en convaincre, il suffit d’égrener la somme d’informations contenues dans ce copieux bouquin. Agrémentées de ses petits appendices qui servent de renvois utiles à la lecture.

Il aura fallu environ dix-huit mois d’un travail besogneux pour composer la trame de cette œuvre scripturale à mettre dans toutes les mains. Celles, cela est une évidence des nouveaux habitants qui poseront leurs valises dans l’une des vingt-huit localités de l’agglomération dès la rentrée. Celles, aussi et par capillarité des touristes en quête d’un « Graal livresque » qui ferait office de précieuse « Bible » où tous les renseignements dévoilés faciliteraient la compréhension de l’endroit qu’ils visitent.

Celles, également de ces professionnels, hommes d’affaires ou commerciaux, venus d’ailleurs, qui arpentent les rues de cette zone de chalandise profitable au développement de leurs business. Enfin, celles des autochtones eux-mêmes, qui bien souvent à l’instar des Versaillais qui n’entravent que couic à la richesse patrimoniale de leur château, faute de l’avoir visité un jour, éprouvent cette irrésistible envie de redécouvrir leur lieu originel et de s’en imprégner.

 

Une suite logique à l’ouvrage consacré à Auxerre…

 

On l’aura compris : « L’Auxerrois : aller à l’essentiel » répond par ses diverses strates et chapitres aux besoins scrupuleux de ces publics. Dont, incontestablement, nous faisons partie ! Qui plus est, l’objet offre enfin une identité propre à cette agglomération très disparate dans son approche structurelle entre une ville dominante qu’est la capitale de l’Yonne et une kyrielle de communes périphériques.      

Le document finalise le précédent exercice de rédaction, conçu en 2012 qui s’était borné à présenter sous toutes ses coutures la ville d’Auxerre. Un livre qui enregistre toujours quelques ventes parmi le réseau de libraires locaux. Dès septembre, quel accueil sera finalement fait à cette suite logique ?

« L’Auxerrois : aller à l’essentiel », publié par la structure parisienne des Editions du Palais, bénéficiera pour se faire connaître du terreau promotionnel usuel. Celui, des élus communautaires qui ont assisté à la présentation officielle de l’ouvrage à la salle des fêtes de Saint-Bris-le-Vineux, invités par leur président, Guy FEREZ.

Exégète de la communication dans une vie antérieure, l’édile d’Auxerre a d’ailleurs préfacé l’objet de toutes les convoitises de ce mercredi en saluant l’initiative. Rédigeant sur deux pages introductives, la raison d’être, judicieuse, de l’ouvrage.

 

Un budget d’environ 30 000 euros pour se doter de cet outil promotionnel…

Au plan quantitatif, une dotation de 4 000 exemplaires reviendra à la Communauté d’agglomération. Logique car l’institution s’appuiera sur ce support écrit pour étayer sa propre communication dans les semaines à venir. Mais, celles et ceux qui aimeraient en découvrir davantage de renseignements sur leur territoire de prédilection auront la faculté de pouvoir l’acquérir auprès de leur libraire. Le livre y sera commercialisé au tarif de 24,50 euros.  

On ne saurait trop recommander à nos lecteurs de se le procurer dès sa parution. Histoire de rompre le cou, une bonne fois pour toute, aux sempiternelles allusions faisant d’Auxerre est une « belle endormie » où il ne se passerait strictement rien !

L’ultime chapitre, « Investir pour l’avenir », fort de sa trentaine de bonnes feuilles, accrédite plutôt le thème inverse…  


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Le déclic tant espéré par les supporters était-il au rendez-vous de la précédente journée. Celle qui a vu l’équipe de Jean-Marc FURLAN recoller aux basques des Bretons de Guingamp en partageant les points. Le destin de ce match a été forcé de très belle manière. En tordant le cou à une défaite assurée après une première mi-temps complexe où le score était en défaveur des Icaunais (0-2). La rencontre en terre auvergnate face au premier du classement de Ligue 2 ne sera pas une promenade de santé ce vendredi soir.   

AUXERRE : Un match nul faisant office de victoire ? Après la prestation de ses joueurs face à l’En Avant Guingamp (2-2), le coach auxerrois ne peut se montrer au final que satisfait. De bon augure juste avant de tenter de vaincre le « Puy-de-Dôme » de ce championnat : le Clermont Foot sur ses terres.

Une formation que l’ex-entraîneur de Brest connaît bien. D’autant que de nombreuses analogies existent entre les deux équipes, proches l’une de l’autre en matière de possession et de stratégie.

La prudence demeure toutefois de rigueur. « Nous sommes dans l’observation, précise Jean-Marc FURLAN, la question est simple : quelles sont nos capacités d’adaptation face à ce genre d’adversaire qui possède déjà dix points au compteur alors que notre besace n’en accueille que quatre ? ».

Depuis le début de la saison, Auxerre est confronté à un manque de réussite chronique malgré une domination constante sur le terrain.

« Le travail est la réponse idéale à cette malchance, assure le coach, il n’y a ni scoumoune ni malédiction au-dessus de nos têtes. Transmettre l’enthousiasme et l’envie à mes joueurs est une priorité avant chaque rencontre… ».

Il est encore trop tôt pour se faire une réelle opinion de la méthode FURLAN sur l’équipe. Mais, une chose est sûre : tout cela progresse dans le bon sens.

« Je n’ai pas encore assez de recul vis-à-vis de mon effectif, concède le responsable de la team, mais au vu des CV de certains, je sais qu’ils peuvent faire beaucoup mieux… ».

Ne pas se mettre la pression…

Patient, Jean-Marc FURLAN ne se met pas la pression. Il possède la parfaite maîtrise de l’exercice, lui qui a disputé 300 matches de Ligue 1 en qualité de coach.

« Laissez-moi un peu de temps avant de faire des analyses analytiques, ajoute-t-il, on reparlera de tout çà au bout de quinze journées… ».

Si l’on parle de philosophie de jeu, l’idéal serait de pratiquer une possession du ballon durant les quatre-dix minutes de la partie. Sans trop se livrer et en espérant glaner quelques points de manière éparse.

« C’est totalement utopique dans le milieu du football, affirme-t-il. Souvent la différence de jeu ne se fait pas au niveau de la technique mais bel et bien avec le cerveau. En France, on sépare le corps et l’esprit dans la pratique du sport. Ce qui est une hérésie. Il faut bien au contraire utiliser ses capacités intellectuelles au maximum et prôner l’art du dépassement de soi pour réussir… ».

Gageons que ce raisonnement soit nourri d’efficacité lors de cette cinquième joute du championnat.


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L’information devrait bientôt lui arriver aux oreilles sous une huitaine de jours. La ministre du Travail Muriel PENICAUD découvrira alors à distance, et avant pourquoi pas si elle en éprouve le désir un futur déplacement en terre icaunaise, les bienfaits déontologiques et pédagogiques de l’un des centres de formation les plus en pointe de l’Hexagone. Celui du CIFA d’Auxerre. Le tandem à la tête de l’établissement aux mille cents apprentis, le président Michel TONNELLIER et le directeur Marcel FONTBONNE, vient de bénéficier du salvateur coup de pouce du président de la Confédération nationale de l’artisanat des métiers de service et de fabrication (CNAMS) Bernard STALTER. Conquis par ce qu’il a découvert lors de son immersion dans cet antre du savoir, celui-ci a décidé d’endosser le rôle vertueux d’ambassadeur de cette structure où l’excellence se vit et se respire au quotidien pour le plus grand bien des apprentis…

AUXERRE : Bluffé Bernard STALTER ? La réponse positive ne fait pas l’ombre d’un doute ! Et pourtant le président aux multiples casquettes (CNAMS pour Confédération nationale de l’artisanat des métiers de service et de fabrication, UNEC pour Union nationale de la Coiffure et APCMA pour Assemblée permanente des chambres de métiers et de l’artisanat) a pour habitude de rendre des visites de courtoisie régulières à moult établissements répartis un peu partout à travers l’Hexagone.

Enchanté par ce qu’il a vu lors de sa matinée de découverte en terre icaunaise, l’homme fort de l’artisanat français s’est investi d’une nouvelle mission dont il a fait part publiquement à ses hôtes : devenir l’ambassadeur du CIFA de l’Yonne. Et ce en plus haut lieu, vers des strates insoupçonnables !

Prochainement, l’agenda plutôt chargé de l’entrepreneur alsacien à la tête de quatre salons de coiffure lui permettra dans le cadre des négociations liées à la réforme de l’apprentissage de croiser la route de la ministre du Travail, Muriel PENICAUD. « Croyez-moi, assure-t-il, je vais lui relayer ce que j’ai pu constater de visu en ces lieux car le CIFA de l’Yonne fait figure de précurseur en bon nombre de domaines…Il faut donc le faire savoir ! ».

 

Découverte des pôles névralgiques du centre de formation…

 

A commencer par cette appétence à la discipline retrouvée dont ont su cultiver avec élégance et maîtrise depuis plusieurs exercices les duettistes de cette belle maison du savoir : Michel TONNELLIER, son président, et Marcel FONTBONNE, le directeur expérimenté, jamais à court d’idées.

Le port de l’uniforme représente précisément l’un de ses traits de civisme et de respect envers autrui qui a ainsi trouvé grâce aux yeux de Bernard STALTER. Ce dernier était accompagné d’une délégation représentative de la filière artisanale de Bourgogne Franche-Comté, forte de dix-sept personnes.

Parmi celles-ci, on notait la présence de Christophe DESMEDT, président de la CNAMS BFC et président de l’U2P BFC, Jean-François LEMAITRE, président de la Chambre des métiers et de l’artisanat de l’Yonne, Emmanuel POYEN, président régional de la chambre des métiers, David MARTIN, délégué national de l’UNEC Dialogue Social ou encore Martine MICHEL, présidente de l’UNEC Yonne.

Accueillis par le président Michel TONNELLIER qui exposa dans une brève allocution les axes stratégiques du centre de formation icaunais, les visiteurs découvrirent plus en détail la physionomie actuelle de ce site éducatif opérationnel depuis 1975.

S’appuyant sur quelques slides explicites, Marcel FONTBONNE déroula ses arguments. Présentant tour à tour les pôles névralgiques des lieux avant que chacun ne les découvre in situ.

L’espace e-learning (il comprend seize postes spécifiques), le laboratoire de langues, le virtual store (le fameux Clic Store que toute la France des CFA nous envie !), les univers esthétiques de la boucherie et de la boulangerie, le salon Emotion, conçu en étroite osmose avec L’OREAL (une première nationale), le City Stade, le restaurant d’application « Com’des Chefs » qui mériterait un Bib gourmand, la création d’une chambre d’hôtel…autant de pièces à conviction fonctionnelles prouvant que la banalisation de l’excellence peut s’envisager à satiété et devenir le cheval de bataille de tout centre de formation vertueux !

 

Une statue qui résume la déontologie du site…

 

Devant une telle avalanche démonstrative d’un savoir-faire maîtrisé, comment ne pas s’enthousiasmer alors à la cause de cet apprentissage appréhendé sous ses meilleurs auspices ?

Même le statuaire placé dans l’enceinte principale de l’édifice, fruit de l’imaginaire créatif de Marcel FONTBONNE s’inspirant de l’œuvre atypique de GIACOMETTI (« L’apprenti qui avance croisant le jeune étudiant qui se cherche… ») est en ce sens révélateur de la philosophie qui est inculquée ici !

Une approche éducative qui a su faire ses preuves au fil des ans. Elle a subjugué une délégation régionale et un président national, peu enclins à oublier ce qu’ils ont découvert en si peu de temps…Gageons que tôt ou tard la ministre du Travail, en personne, vienne aussi s’en imprégner !


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Le milieu de l’apprentissage est en proie à une grande effervescence à l’amorce de ce mois de septembre. Surtout depuis la promulgation d’un texte de loi (05 septembre 2018) qui a visiblement embrouillé les pistes du pragmatisme en matière de formation. Notamment, au sujet du financement des CFA où les enjeux sont d’importance. D’autant que les régions vont être dessaisies de leur compétence au 01er janvier 2020. De passage à Auxerre, le président de la CNAMS (Confédération nationale de l’artisanat des métiers de service et fabrication) Bernard STALTER n’aura pas manqué de s’entretenir de cet item ô combien capital en marge de sa visite au centre de formation de l’apprentissage de l’Yonne, le CIFA, qui l’a accueilli ce mercredi en fin de matinée…

AUXERRE : Le postulat est simple. L’apprentissage se situe aujourd’hui à la croisée des chemins en France. Ignorée, voire le plus souvent galvaudée durant plusieurs décades par les pouvoirs publics, cette approche didactique fondamentale de la jeunesse en quête d’une intégration rapide dans la vie active retrouve enfin grâce aux yeux de la gouvernance de l’ère MACRON. Il était grandement temps, pourrait-on dire !

Et l’importante période, vécue par le prisme de sa réforme, n’apparaît nullement comme une mauvaise chose. Confirmation de ce positivisme par Bernard STALTER, double président de la CNAMS et de l’UNEC (Union nationale des entreprises de la coiffure). Ce dernier effectuait une courte escale ce mercredi dans l’Yonne en découvrant l’un des fleurons pédagogiques régional, le CIFA d’Auxerre.

« Cette réforme votée par le législateur, nous l’attendions déjà depuis vingt ans, concède sans ambages ce haut personnage de la filière artisanale, pensez donc : l’artisanat enregistre depuis une nette carence de ses capacités en matière d’attractivité et d’emplois. Surtout depuis une décision arbitraire prise il y a cinq ans par Bercy (le ministère de l’Economie et des Finances) qui a tout bonnement cessé de distribuer une manne financière essentielle à la filière s’élevant à l’époque à 550 millions d’euros. Le résultat ne s’est pas fait attendre : l’artisanat a enregistré une perte sèche de 20 % du nombre de ses apprentis dans les années qui ont suivies… ».

 

Un déficit de 700 000 emplois pour l’artisanat par manque d’apprentis…

 

Un constat au goût amer que le président de la CNAMS n’a semble-t-il toujours pas eu le loisir de digérer. Et pour cause : du fait de cette coupe sombre et irréfléchie dans son budget de fonctionnement, l’artisanat tente vainement de combler depuis un manque abyssal de 700 000 emplois !

Une équation aux multiples inconnus qui n’est pas prête d’être résolue d’autant que d’autres motifs d’inquiétude se sont rappelés au bon souvenir du président STALTER. Celui-ci assure mordicus qu’il se battra pied-à-pied pour obtenir gain de cause quant au financement du coût contrat.

« Je travaille à la mobilisation générale de l’ensemble des métiers de service que je représente pour que le nombre d’apprentis augmente dans des filières qui en manquent cruellement : les métiers de bouche, le bâtiment, la coiffure. Certes, il y a eu par le passé quelques ersatz de mesures distillées par l’Etat pour tenter de remédier à la situation (des aides destinées aux petites entreprises qui s’octroyaient les services d’apprentis âgés de moins de 18 ans) mais cela n’aura guère eu d’effets à terme... ».

Muni de multiples cartes de visite corporatistes (il a été élu en décembre 2016 président de l’ACPMA, c’est-à-dire l’Assemblée permanente des chambres de métiers et de l’artisanat), Bernard STALTER dispose de plusieurs atouts dans sa besace. Pour faire entendre sa voix, au sommet de l’Etat. En qualité de porte-parole légitime des différentes filières professionnelles dont il est un précieux ambassadeur.

 

 

Le digne successeur de Pierre MARTIN, figure emblématique de la vie économique bourguignonne (le Tonnerrois a été l’ancien président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne), ne s’en laisse pas conter en bon alsacien pugnace qu’il est face à la ministre du Travail Muriel PENICAUD. Voire lorsqu’il est reçu à Matignon par le Premier ministre Edouard PHILIPPE comme ce sera le cas d’ici une quinzaine de jours.

« L’inquiétude que nous éprouvons n’est pas d’ordre politique, précise-t-il, mais elle est de nature technique. Les ministres que nous rencontrons comprennent les difficultés qui sont les nôtres. Sur le financement de l’apprentissage, il est anormal que de grands groupes (certains issus du CAC 40 et qui redistribuent de forts dividendes) ouvrent des centres de formation en bénéficiant d’un coût contrat qui soit nettement supérieur au coût préfecture que nous avons tous, les CFA existants, aujourd’hui… ».

Et le président STALTER de se poser légitimement la question : est-ce que l’on veut octroyer davantage de moyens financiers aux grands groupes entrepreneuriaux en fragilisant de facto de petits CFA qui ont perdu des subsides par simple arbitrage budgétaire ?

 

La mobilisation des acteurs économiques contre la morosité…

 

« L’apprentissage ne peut pas être un facteur politique, ajoute le prolixe président, on ne peut pas avoir un conflit entre les régions et le gouvernement sur ce sujet. Ce mode d’enseignement correspond à une priorité pour l’emploi et les entreprises de l’Hexagone. N’oublions pas que nous avons 25 % des chefs d’entreprise de notre pays qui sont âgés de plus de 55 ans…Ce serait un véritable drame social si ces entreprises ne se reprenaient pas lors d’une cession d’activité, faute de candidats qualifiés... ».

85 % des jeunes qui passent par l’apprentissage trouvent un emploi à l’issue de leur cursus. 50 % des chefs d’entreprise de notre territoire national viennent de l’apprentissage. Bernard STALTER entend bien resservir ces données statistiques majeures à ses interlocuteurs ministériels lors de ces futurs entretiens.

Reste que le sémillant personnage à la moustache abondamment fournie pousse ses réflexions intellectuelles encore plus loin. Il en appelle à la mobilisation générale contre la morosité ambiante qui grève ce pays. Et surtout à l’aide des médias !

« Supprimez toutes les pages de faits divers qui garnissent à longueur d’édition la presse et mettez plutôt en valeur le vécu de cette jeunesse qui est en réussite sociale et professionnelle grâce à l’apprentissage ! Communiquez sur la valeur travail que nous devons répandre autour de nous ! L’avenir de notre pays passe par cette valeur travail et non pas par des histoires sordides et cruelles qui n’intéressent personne… ».

Curieuse invitation faite à la presse, en vérité. Mais, la démarche pour le moins insolite traduit l’optimisme et l’envie de changer la donne de notre société d’un président dévoué avec passion à sa mission.

« Croyez-moi, conclut-il, on peut vivre heureux en France. Si tous les acteurs économiques et institutionnels collaborent ensemble à l’amélioration de notre pays, chacun y trouverait son compte… ».

Et sans doute en premier lieu, la jeunesse en quête d’un avenir meilleur et les apprentis, visiblement…


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Face à l’afflux croissant des réservations, il est souhaitable de faire preuve de pragmatisme en contactant le théâtre champêtre de l’Yonne afin d’y retenir sa place. Il est vrai que les deux concerts programmés ces 24 et 25 août possèdent un parfum d’exotisme où le jazz s’invite en y mêlant ses sonorités spécifiques…

ETAIS-LA-SAUVIN : La prudence est de mise pour celles et ceux qui désirent amplement profiter de la programmation de ce week-end aoûtien dispensée à La Closerie. Dans le cadre de son treizième festival, l’incontournable établissement de Puisaye-Forterre a convié la compagnie BORAVY & CO à se produire sur la scène de cet authentique antre de la culture et de l’art.

Trois musiciens talentueux y présenteront un régal musical à mettre dans toutes les oreilles que le soient mélomanes ou pas : le trompettiste Dominique AVY, l’accordéoniste Philippe BORECEK et le contrebassiste originaire d’Ukraine, Maxime IVATCHTKENKO.

Un trio tonique qui revisitera l’œuvre du regretté Astor PIAZZOLLA, le maître argentin du bandonéon. Mais, d’autres pointures musicales bénéficieront de ce traitement de faveur, celui de la réinterprétation de leurs pièces : Gorka HERMOSA, Richard GALLIANO et le créateur des « Demoiselles de Rochefort » ou de « Peau d’Ane », l’inénarrable Michel LEGRAND.

Une invitation au voyage entre Buenos Aires et Paris qui fait escale obligatoirement par le théâtre rural d’Etais-la-Sauvin…


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