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Libérer du temps pour le praticien en lui évitant de se perdre dans les méandres parfois nébuleux et complexes de la gestion administrative ! La belle affaire que tout représentant des professions libérales et autres indépendants aimeraient volontiers se soustraire dans leur quotidien. Voilà ce que proposent de commun accord le Conseil départemental de l’Yonne et la Caisse Primaire d’Assurance Maladie. Comment ? En promouvant et en finançant une nouvelle formation, celle de l’assistanat médical…

 

AUXERRE : Le chiffre semble très élevé et cependant il correspond bel et bien à une implacable réalité vécue dans l’Hexagone : 35 % du temps de travail exercé par les médecins généralistes correspond à de la gestion purement administrative ! Autant dire, qu’il pourrait y avoir davantage d’auscultations (peut-être un plus approfondie par ailleurs sur les patients) et de dépistages salvateurs dans les cabinets médicaux qu’aujourd’hui où le praticien a plus les yeux rivés sur l’écran de son ordinateur et de son clavier que sur les mesures indiquées par le tensiomètre !

Pour y remédier, il faudrait soustraire ces diplômés ayant suivi de longues études de médecine, voire de spécialisations, de ces tâches subalternes et d’un intérêt plus que modique en les confiant à des assistant(e)s. Partant de ce postulat, et voulant se positionner comme un territoire modèle en termes d’attractivités médicales, l’Yonne vient de s’engouffrer dans la brèche, pour tenter à sa manière de trancher ce nœud gordien qui prévalait jusque-là.

Unissant leurs efforts mais aussi leurs neurones hyper réactifs, les représentants de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie et ceux du Conseil départemental de l’Yonne ont décidé de promouvoir une fonction aussi vieille que celle engendrant le serment d’Hippocrate, l’assistant(e) médical. Ou, selon les cas, favoriser le retour en grâce que cela existait jadis dans les cabinets de la secrétaire médicale.

En charge du portefeuille « Santé » au sein de l’assemblée départementale, le vice-président Gilles PIRMAN est catégorique par rapport à ces choix politiques, assumés par le chef de l’exécutif icaunais, Patrick GENDRAUD.

« Le médecin généraliste veut de la collégialité et de la coordination dans sa manière de pratiquer son art, précise l’élu du Sénonais, bref, de s’entourer d’un précieux auxiliaire, un assistant(e) ou d’une secrétaire… ».

Et surtout, en filigrane, le praticien a grandement besoin aujourd’hui de se libérer du temps dans son quotidien, histoire d’honorer plus de rendez-vous avec une patientèle de plus en plus pathogène et vieillissante. De 15 à 20 % de mieux sur l’emploi du temps, assène Gilles PIRMAN.

 

 

Ayant planché longuement sur la question avec le concours des têtes pensantes de la CPAM, le vice-président devenu un esthète es affaire sanitaire a proposé au sein de l’hémicycle pyramidal du Département de financer, en partie, la formation des assistants médicaux dont les généralistes de l’Yonne auraient grandement besoin dans leurs cabinets. Un véritable choix politique que revendique Patrick GENDRAUD dans l’intérêt de tous les habitants de l’Yonne, jeunes et vieux !

Dans les faits, un groupement d’employeurs a été créé avec la bénédiction de la vénérable institution. L’idée étant de résoudre le maximum de tracas administratifs rencontrés par les praticiens de l’Yonne.

« Dans le cas présent, c’est zéro tracas à la sortie, s’amuse Gilles PIRMAN. Même si pour y parvenir, il y a eu beaucoup de blablas ?!

Montant de  l’enveloppe budgétaire assortie au projet : 200 000 euros à dispatcher sur trois ans. Le prix à payer, selon Patrick GENDRAUD, pour devoir venir en aide aux Icaunais en souffrance de consultations médicales depuis tant d’année.

Assuré sur le territoire, le programme de 90 heures de formation devrait débuter d’ici peu pour préparer ces nouveaux collaborateurs que les praticiens attendent comme des papillotes sous le sapin de Noël ! Quant au profil de recrutement, il est simple : posséder le baccalauréat, ou être infirmer, ou déjà secrétaire médical. Avis aux candidates et candidats : il y a des opportunités pour faire carrière dans le médical dans l’Yonne, qu’on se le dise !

 

Thierry BRET

 


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Au fur et à mesure que son mandat avance dans le temps – c’est l’une des prérogatives de l’institution départementale -, il en a fait son cheval de bataille. La santé, via le prisme de l’amélioration de l’offre de soins et l’accueil de nouveaux praticiens, représente l’une des préoccupations majeures du président Patrick GENDRAUD. Quoi de plus naturel, en somme, de le retrouver à l’ouverture des travaux des 5èmes Journées nationales des CPTS aux côtés de la ministre déléguée chargée de l’Organisation territoriale et des professions de santé, Agnès FIRMIN-LEBODO au parc des expositions…

 

AUXERRE : Face à plus de sept cent congressistes, venant des quatre coins de l’Hexagone, il ne peut que jubiler intérieurement, le président du Conseil départemental de l’Yonne/ Juste avant de prendre la parole.

Pour un territoire qui souffre de désertification médicale – l’Yonne semble néanmoins se revigorer depuis quelque temps en se positionnant davantage dans une forme tonique de « revitalisation » comme le qualifierait si bien avec ses mots, repris dorénavant par tout le sérail institutionnel et politique, le préfet Pascal JAN –, c’est presque un comble de voir autant de professionnels de santé (et de praticiens par déduction) dans une salle mise à disposition par Centre France Parc Expo, pleine comme un œuf !

Des médecins au mètre carré, il y en a donc dans les estrades ! Alors, accueillir pour la première fois un tel congrès, en présence de la ministre déléguée en charge de l’Organisation territoriale et des professions de santé, Agnès FIRMIN-LE BODO, représente du pain bénit pour un Patrick GENDRAUD qui se démène au quotidien comme un beau diable avec ses équipes – on pense volontiers à Gilles PIRMAN en charge de la santé au CD 89 ou au docteur Bernard CHARDON – pour que les choses bougent enfin sur le territoire le plus septentrional de la Bourgogne.

« Dans l’Yonne, affirma l’orateur, nous préférons le mot « redynamisation » à désertification lorsque l’on évoque la santé. Ce n’est pas la même démarche. Redynamiser, c’est engager une nouvelle dynamique en entrant dans l’action. C’est cela que nous devons privilégier à présent, une fois le constat effectué… ».

 

Les CPTS s’intègrent parfaitement à l’échelle des bassins de vie

 

Seul à son pupitre, s’inspirant parfois de ses notes posées devant lui, écouté très attentivement par David GUILLET, président national des Communautés Professionnelles Territoriales de Santé (CPTS) déjà sur le plateau, Patrick GENDRAUD brossera ensuite un tableau concis des différentes actions entreprises par l’organe institutionnel qui se coordonnent sur le terrain.

Puis, de renchérir par la formule suivante : « Puisque nous sommes novateurs à notre échelle, nous étions faits pour nous rencontrer, lancera avec boutade le président de l’exécutif départemental, se tournant alors vers le responsable national des CPTS.  

Appelant à l’optimisation de l’offre de santé de tous ses vœux, l’ancien édile de Chablis rappela que celle-ci se construisait ensemble et fédérée, « loin de la logique de concurrence ou celle de clocher ».

Un temps de pause, avant de reprendre le discours : « Nous avons tous un rôle à jouer dans cette partition, souligna Patrick GENDRAUD, à l’échelle départementale, mais aussi à l’échelle des bassins de vie. Ces communautés professionnelles territoriales de santé s’intègrent parfaitement dans cette réalité de terrain, en atteste ce qui se passe avec le CPTS Nord Yonne… ».

Satisfait par la pertinence et le mode opératoire de ce modèle, l’élu de l’Yonne poursuivit en précisant que l’ensemble du territoire devrait être ainsi couvert par ce dispositif au cours du premier semestre 2024.

 

 

Un inventaire à la Prévert de réalisations pertinentes…

 

Puis, Patrick GENDRAUD éclaira l’auditoire sur le bien-fondé des pactes de territoire. Il ne manqua pas d’apporter plus amples précisions sur le « Pacte Santé 2022/2024 », un concept voté à l’unanimité le 10 décembre 2021 par le Département et abondé de 5,4 millions d’euros.

Et l’orateur d’ajouter en toute transparence : « C’était une décision politique forte de notre assemblée, car cette thématique de la santé n’est pas de notre compétence… ».

A bon entendeur salut ! Puis, après un temps de silence, « ce pacte nous l’avions contracté au bénéfice des Icaunaises et Icaunais auxquels nous devions beaucoup plus que de simples promesses mais des actes ! ».

Aujourd’hui, les actions entreprises par le Conseil départemental portent leurs fruits. L’accueil de la première année de médecine dans l’Yonne dans les locaux de l’IUT Auxerre avec l’Université de Bourgogne, la poursuite du maillage conséquent entre maisons et centres de santé – la dernière en date a été inaugurée il y a peu à CHEVANNES -, la création d’un centre départemental de santé avec le salariat d’un médecin et d’une assistante médicale à Villeneuve-sur-Yonne, le salariat d’un autre médecin et d’une secrétaire médicale à Migennes, c’est encore le déploiement de points conseils et d’une équipe mobile de médiation santé, sans omettre le soutien financier au développement de la pratique numérique en santé dans le cadre des téléconsultations accompagnées, à la promotion du centre santé solidarité, à la mise en œuvre d’un plan marketing territorial santé à l’échelle départementale, au groupement d’employeur des professionnels de santé, et au système de bourse dont celle à destination des infirmiers en pratique avancée…

Bref, un inventaire à la Prévert et autant d’argument énoncés avec fierté par un Patrick GENDRAUD très à l’aise au pupitre et ravi de cette efficience déclinable au service des habitants.

« Restons mobilisés, dynamiques et optimistes pour l’avenir, devait-il conclure, dans cette mission qui est devenue la nôtre. C’est ainsi que nous gagnerons sur le terrain de la santé ! ».

Rideau ! Longuement applaudi, Patrick GENDRAUD pouvait regagner le fauteuil qui l’accueillait pour la première table ronde du jour. Tant qu’il y a des choses positives à dire sur la santé, dans son département de prédilection, le président ne compte pas son temps de présence sur une manifestation !

 

Thierry BRET

 


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C’est un irrésistible pied de nez à l’actualité élyséenne ! Une date qui ne doit absolument rien au hasard. Et pour cause, la journée de grèves et de manifestations annoncée ce vendredi 13 octobre par l’Intersyndicale est lourde de symbole, se déroulant trois jours seulement avant que ne débute la conférence sociale sur les bas salaires, biffée sur l’agenda du Président de la République. Une manière visible de se rappeler à son bon souvenir et de montrer le mécontentement de la rue…

 

AUXERRE : Elle n’a pas été choisie par inadvertance, cette date du vendredi 13 octobre 2023 ! Même si elle a été annoncée dès le mois d’août par les organisations syndicales, réunies comme à l’accoutumée en intersyndicale, elle tutoie à quelques jours près l’actualité présidentielle sur le sujet des bas salaires, prétexte à une conférence sociale organisée au début de la semaine prochaine. A croire que les mouvements protestataires n’attendent pas grand-chose de ce rendez-vous élyséen, ils ont décidé en revanche de renouer avec une bonne vieille tradition sociale, le droit de grève et l’appel à manifester sur la voie publique !

CGT, FO, UNSA, FSU, CFDT, CFTC, Solidaires, CFE-CGC retrouveront le pavé de la rue ce vendredi, à partir de 14 heures place de l'Arquebuse à Auxerre, mobilisés plus que jamais contre l’austérité et tout ce qui s’en suit : le pouvoir d’achat, l’égalité femmes/hommes, la hausse des salaires, pensions et minima sociaux, peut-être en filigrane la réforme des retraites qui n’a toujours pas été digérée après la bordée de 49.3 gouvernementaux.

 

Un SMIC en hausse de 4,8 % pour une inflation qui culmine à 14 %

 

Ras le bol des coupes sombres au détriment des précaires et des salariés : c’est en filigrane ce qui fédère l’ensemble des acteurs de la cause syndicale ouvrière. Chacun des interlocuteurs y allant de son couplet, énumérant la litanie d’injustices et d’éléments négatifs qui grèvent le moral des Français.

« Le gouvernement n’a qu’un seul mot à la bouche, souligne Reynald MILLOT, le porte-parole de Force Ouvrière, c’est l’austérité ! Une austérité qui s’applique dans le budget de 2024. Une austérité qui se poursuivra en 2025 ! Les efforts doivent toujours être fournis par les salariés. Jamais par les grands patrons du CAC 40 qui accumulent les profits ! ».

Tirant un peu plus sur sa vapoteuse, on sent le secrétaire général de FO 89 quelque peu irrité devant le contexte. « Face à l’inflation, il faut le blocage des prix et celui de la TVA ! Et retourner à l’échelle des salaires en les valorisant ! ».

La représentante de la CGT s’engouffre à son tour dans la brèche béante de la discussion revendicative : « La hausse du SMIC de 4,8 % depuis le début de l’année, c’est une plaisanterie ! Quand on sait que la valse des étiquettes sur le prix des denrées alimentaires est de 14 % depuis janvier ! ».

 

 

Des étudiants qui sautent les repas et se prostituent…

 

Maigre compensation, il est vrai ! Le pouvoir d’achat des Icaunais est en chute libre et bon nombre de nos concitoyens sont désormais dans l’obligation de fréquenter les Restos du Cœur et la Banque alimentaire pour prétendre se nourrir. Les retraités ne sont pas mieux lotis. Philippe WANTE, de la FSU, n’est pas en reste pour rappeler que les pensions sont en berne. Et ce, depuis des lustres !

« Alors que les grands groupes se gavent outrageusement, nos retraités voient leur fin de mois dans le rouge… ». Une nouvelle génération de seniors est née ; celle qui vit dans la pauvreté. Quant à l’Education nationale, elle devrait se délester de 1 500 postes d’enseignants très prochainement alors qu’il n’existe pas de phénomène de déprise dans les classes sur-fréquentées qui peuvent accueillir en moyenne de 38 à 40 élèves dans les classes de seconde comme à Sens !

« Ne parlons pas de l’enseignement supérieur ! Les étudiants sautent des repas afin de pouvoir payer leurs études, quand ils et elles ne se prostituent pas face à des situations dramatiques… ».

Le tableau est sombre. Mais, tellement réel, malheureusement selon les témoignages fournis. Pendant ce temps-là, les riches vivent de mieux en mieux ! Et certains employeurs bénéficient des exonérations des cotisations sociales (72 milliards d’euros qui ne rentrent pas dans les caisses de l’Etat) : « c’est un vrai hold-up, lâchent en chœur les participants à cette conférence de presse intersyndicale.

« Nous, on demande une meilleure répartition des richesses, une égalité des chances entre les femmes et les hommes. Un véritable coup de pouce pour les retraites… ».

Une austérité que la France traverse à géométrie variable selon les syndicalistes départementaux, encore écœurés par les fastes de la récente réception de Charles III et de son épouse, Camilla, sous les ors de la République – euh, pardon, ne serait-ce pas ceux de la royauté ! – dans la magnifique galerie des Glaces de l’ancienne demeure des Capétiens dans les Yvelines !

Peut-être que certains des manifestants qui arpenteront les rues auxerroises vendredi oseront crier à l’attention de la gouvernance, « c’est pas Versailles, ici ! ». Chiche ?!

 

Thierry BRET

 


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C’était, et de très loin, la deuxième plus importante équipe à participer à ce traditionnel challenge solidaire automnal. Pour sa deuxième participation aux « Foulées roses », la Sécurité sociale a mobilisé les représentants de sept organismes pour vivre ce dimanche exceptionnel, fait d’altruisme et de solidarité…

 

AUXERRE : Arrivée à la seconde place du challenge des entreprises derrière celle du SDIS 89, l’équipe de la Sécurité sociale – elle fédérait des composantes de la CAF, de la CPAM, de l’URSSAF, de la CARSAT, de la MSA, de la FOSSY et du Service Médical – était très motivée lors de cette nouvelle édition des « Foulées roses », proposée en cette journée dominicale à Auxerre.

Soit une formation forte de 141 personnes – ce n’est pas rien ! – qui a permis de réunir un don financier de 1 160 euros au profit de la recherche contre le cancer du sein.

 

 

L’engagement des salariés de ces différentes structures témoigne notamment des politiques de responsabilité sociétale et de solidarité impulsées depuis plusieurs années par les organismes locaux et leurs réseaux nationaux.

Au total, avec près de 9 000 participants – 8 777 personnes précisément -, le challenge sportif solidaire a ainsi permis la collecte de 56 000 euros. Une mobilisation proportionnellement très importante au regard du taux de participation dans les autres villes participantes…

 

Thierry BRET

 


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Dans le langage commun, c’est lui le « Boss ». Le patron, en somme, d’une très belle équipe qui défendra hautes nos couleurs dans l’une des villes les plus prestigieuses de France, catégorie « gastronomie » : j’ai nommé la capitale des Gaules, Lyon ! A l’automne 2024, la cité entre Rhône et Saône, chère au regretté Paul BOCUSE accueillera le concours des WorldSkills, l’équivalent des Jeux olympiques des métiers. Le CIFA de l’Yonne reçoit deux jours durant les épreuves de la sélection définitive de cette équipe qui déterminera notre futur représentant(e).

 

AUXERRE: Quel tiercé ! Mais, il faudra sans doute la photo finish pour les départager en bout de course à l’issue de ces quarante-huit heures vécues en terre icaunaise où vont se dérouler les ultimes épreuves qualificatives pour sélectionner la candidate ou le candidat, ayant l’immense privilège de représenter les couleurs de la France aux « Worldskills » 2024 ! Une fois est devenue coutume, le CIFA de l’Yonne, terreau de l’excellence, accueille de jeunes prodiges de la gastronomie tricolore encore en âge d’étudier et de parfaire leur dextérité auprès de leurs maîtres de stage, dans l’antichambre d’un évènementiel international. Et ce n’est pas n’importe lequel à dire vrai puisque les trois concurrents (Laura, Thibault et Naël) n’ont d’autres objectifs que de gagner l’une des places qualificatives à la finale mondiale de ces Jeux olympiques des métiers – ils se disputeront à Lyon, capitale hexagonale de la gastronomie en septembre prochain -, voire pour le dauphin ayant échoué si près du but dans sa quête du graal à prendre part aux « Euroskills » 2025 (l’équivalent strictement européen de la compétition), accueillis au Danemark.

Trois semaines après la finale nationale de ces championnats des métiers, disputés au préalable dans la grande métropole du Rhône, c’est une sorte de bis repetita qui redémarre pour ces trois jeunes gens – le podium hexagonal – qui repartent avec de nouvelles ambitions et davantage de stress pour tenter de décrocher la lune, ici à Auxerre, dans un centre de formation aux lignes modernistes et aux équipements ultra performants, et son personnel, toujours au petit soin pour mieux cocooner les candidats.

 

Un expert international confirmé pour les accompagner

 

Esthète confirmé de l’enseignement de la cuisine – il exerçait son métier de pédagogue au lycée de la Closerie à Saint-Quay-Portrieux dans les Côtes d’Armor depuis 35 ans -, le Breton Hervé LORANT a été nommé il y a peu coach de l’équipe de France de cuisine, avec pour objectif de briller lors de ces épreuves internationales à Lyon. Un expert international qui nous explique ce que sera l’épreuve de mise en place de cuisine, accueillie au CIFA de l’Yonne, celle du module de pâtisserie, avant la réalisation de la cuisine, à proprement parlé, les connaissances technologiques et l’examen oral en langue anglaise.

La fine fleur du métier est suivie de près par le coach qui espère que ces jeunes pousses arriveront à maturité en septembre prochain pour tenter de lutter avec les meilleurs mondiaux, issus de 85 pays.

A date, les trois prétendants au sésame suprême possèdent déjà 45,5 % des points qui ont déjà été actés lors de la finale lyonnaise il y a trois semaines. 19,5 % des points sont distribués avec les deux épreuves pratiques, le reliquat incombe à la posture et surtout aux qualités émotionnelles des candidats à bien savoir gérer au niveau psychologique, ce type d’épreuve.

 

 

En 2022, Hervé LORANT avait déjà gagné le mondial à Lucerne (Suisse) avec le jeune Paul PIPARD en qualité de coach. Il rêve de réitérer ce coup de génie l’an prochain avec l’un des trois candidats, présents à Auxerre.

Le portrait-robot du futur lauréat nous est brossé par le coach breton : c’est celui qui sera le plus en phase avec la cuisine raisonnée, un concept très dans l’air du temps, à l’heure actuelle.

Quant au CIFA de l’Yonne, Hervé LORANT est admiratif devant la qualité des équipements et de celles et ceux qui s’en servent.

« C’est un outil superbe, l’établissement a reçu l’agrément Worldskills pour trois ans et ne parlons pas de l’accueil que nous réserve le chef Vincent DEHARBE ! ».

Moralité, il y aura un peu du CIFA de l’Yonne dans cette future sélection internationale à venir : alors, cocorico pour l’Yonne et la Bourgogne !

 

Thierry BRET

 


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