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Le parlementaire du Vaucluse a présenté il y a peu à l’Assemblée nationale les conclusions du rapport de la commission d’enquête qu’il préside sur la transition énergétique en France. S’intéressant à divers items (l’acceptabilité sociale, le coût financier, le consentement autour de l’offre…), il a dévoilé en avant-première en province (et en Puisaye)  les résultats de ces recherches lors des « Ateliers de l’Yonne », à l’invitation de son confrère, Guillaume LARRIVE et en présence du président départemental du SDEY, Jean-Noël LOURY…

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Muni de son volumineux rapport à la main qu’il aura brandi devant l’assistance pour montrer l’ampleur des travaux présentés le matin même dans l’hémicycle parlementaire, l’élu du Vaucluse a enquêté durant plusieurs mois sur l’un des sujets essentiels qui fait la une de l’actualité : la transition énergétique.

Montrer un exemplaire de ce dossier symbolisa sa prise de parole où il s’est livré avec son style caractéristique à une conférence sans langue de bois, désireux de faire toute la lumière sur la thématique du jour.

A la tête d’une commission d’enquête officielle, Julien AUBERT est donc parti dans sa quête herculéenne autour de trois idées majeures en guise de postulat : le consentement, l’acceptabilité sociale et le coût financier des solutions énergétiques qui font la part belle à la fée électricité.

Pédagogue, ne négligeant aucun détail dans son exposé qu’il a présenté devant un auditoire cosmopolite d’élus et d’acteurs de la vie économique de l’Yonne, réunis sous la bannière des « Ateliers de l’Yonne », le député a voulu rétablir des vérités. Sur un thème dont on nous abreuve à longueur de journée une rhétorique parfois très simpliste.

Or, dès l’introduction de son propos, et une fois expliqué ce qu’était avec exactitude le principe des certificats d’économie d’énergie, concept usité par les fournisseurs de la précieuse matière au niveau de leurs financements, Julien AUBERT frappa fort dans ses affirmations publiques. Secouant sans doute quelque peu les consciences des auditeurs studieux et à l’écoute.

« La politique de la transition énergétique actuelle ne contribue nullement à la lutte contre le réchauffement climatique… ».

Une petite phrase, pas si anodine que cela, qui eut le mérite de réchauffer l’atmosphère de l’immense salle où se déroulait la manifestation. Et l’orateur d’ajouter bille en tête et sans perdre haleine : « la politique de transition énergétique menée en France vise à fermer les centrales nucléaires en créant en parallèle d’autres modes de production dont l’éolien et le photovoltaïque… ». Fermer le ban, l’énoncé liturgique était dit !

 

 

 

Un « Rubik Cube » budgétaire aux multiples facettes…

 

 

Ne contestant pas les faits observés chaque jour dans notre environnement, l’élu du Vaucluse évoqua les sources originelles de ce fameux Co2 qui occasionne tant de dégâts nocifs pour la couche d’ozone.

« Les vrais problèmes viennent de la progression exponentielle du transport routier, du chauffage qu’il soit domestique ou destiné au monde professionnel. Mais, la transition énergétique via les énergies renouvelables, telle qu’elle est préconisée aujourd’hui, demeure complexe et peu fiable car elle consomme plus de matières minérales (cuivre, aluminium, métaux rares…). Elle ne fait que le jeu de l’énergie électrique avec un impact environnemental très mitigé… ».

Boum : la deuxième banderille venait de s’abattre au-dessus des têtes.

Julien AUBERT s’attela à parler des dépenses consacrées à cette stratégie. Guère convaincu par la pertinence de ces dernières, le parlementaire insista sur ces dizaines de milliards d’euros injectés chaque année pour des résultats peu probants aux dires des spécialistes.

Reprochant la forte inertie de la gouvernance qui consacre 70 milliards d’euros dont 45 au seul développement du photovoltaïque et le reliquat à l’éolien, le président de la commission d’enquête aborda les incohérences relevées par ses soins dans la spirale nébuleuse des subventions accordées à certaines sociétés qui agissent dans l’univers de l’éolien.

« Vu de l’extérieur, concède Julien AUBERT, c’est une boîte noire. Bercy communique le prix de ce que coûte la transition énergétique en France mais reconnaît qu’avec les multiples subventions existantes, il est  incapable de procéder à une addition raisonnable… ».

Sachant que, et pour faire simple, parmi la composante carbone, il existe trois taxes différentes et seize subdivisions de taxes ! Soit un vrai « Rubik Cube », comme le précisera non sans humour le député vauclusien. Ou un véritable casse-tête chinois qui est délicat à résoudre !

 

 

 

Ne pas être trop dépendant de l’électrique…

 

Alors que 57 milliards d’euros sont prélevés chaque année au nom de l’énergie, dix milliards de ces ressources se destinent à l’électrique. L’éolien et le photovoltaïque bénéficient-ils d’une acceptabilité sociale dans l’Hexagone ?

L’éolien, parce qu’on voit davantage les mâts hauts de 250 mètres, est le plus souvent décrié par nos concitoyens. Les champs photovoltaïques, quant à eux, le sont moins. C’est imputable à leur horizontalité…

« Je considère que l’Etat a une lourde part de responsabilité dans la politique d’implantation de ces nouvelles énergies. Dans le choix des terrains, sur certains territoires. Même les chasseurs et les adhérents de la LPO (Ligue de la protection des oiseaux) font désormais cause commune pour freiner le plus possible de nouvelles installations…Je pense que les communes devraient avoir la possibilité de disposer de zones spécifiques qui seraient interdites aux implantations de champs éoliens… ».

Au terme d’une présentation excédant la cinquantaine de minutes, Julien AUBERT mettra les points sur les i. En guise de conclusion.

Selon lui, redéployer les investigations inhérentes à la transition énergétique vers d’autres formes d’énergie, en évitant la dépendance au tout électrique serait salvateur pour notre pays.

« Si l’on abuse de trop d’excès de l’usage électrique, ce qui engendrerait de la production intermittente en Europe, je crains que l’on pourrait avoir des risques de rupture de charge, voire des pannes gigantesques à l’avenir. Cela aurait comme conséquence d’occasionner des pertes immenses, de l’ordre de plusieurs milliards d’euros. La question du stockage de l’électricité apparaît primordiale afin de mieux cerner ce problème… ».

Questionné par le public, dont le président de la communauté de communes de Puisaye-Forterre, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, au sujet du plan d’urbanisme, Julien AUBERT apporta aussi des éclaircissements sur le démantèlement des éoliennes, leur coût (de l’ordre de 50 000 à 75 000 euros), des obligations à la charge des propriétaires de terrain où elles ont été érigées.

Croyant dur comme fer au photovoltaïque dont il réclame toutefois la suppression des subventions car le marché est en phase de maturité, le pensionnaire de l’Assemblée nationale croit à l’usage du solaire dans le chauffage. Quant à la méthanisation, il considère que cela représente un excellent complément de revenus pour les éleveurs. Même si bon nombre de régions françaises dont la Bourgogne Franche-Comté ne développe que peu de projets à ce jour.

Favorable à la mise en place d’une transition énergétique qui se veut plus humaine, le député du Vaucluse s’est montré critique vis-à-vis de la politique actuelle, pensée par des urbains et qui est applicable à des ruraux, sans qu’il n’y ait eu la moindre concertation de la part de ces derniers.

Une conférence intense où purent également intervenir le député de la première circonscription de l’Yonne, et instigateur de cette manifestation, Guillaume LARRIVE ainsi que le président du Syndicat départementale des énergies de l’Yonne (SDEY), Jean-Noël LOURY.

 

 


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Deux structures professionnelles s’adjugent de belles récompenses lors de la distribution des prix de cette quatorzième édition. Ce challenge régional est destiné à promouvoir l’entrepreneuriat au féminin. La cérémonie a été suivie en présence des représentants de l’Etat et de la Région Bourgogne Franche-Comté…

NUITS-SAINT-GEORGES (Côte d’Or) : L’Yonne ne revient pas bredouille de ce concours régional qui a le particularisme de promouvoir chaque année la créativité entrepreneuriale de la gent féminine. Et même si le premier prix a échappé de justesse à l’une de nos dynamiques représentantes, on ne peut que saluer l’excellente performance réalisée par le duo d’entrepreneuses, Karine ABALTI et Odile VANDERMOERE.

Les co-fondatrices de la brasserie « La VAUGERMAINE », à Saint-Cyr-les-Colons, occupent au final une méritoire seconde place malgré la présence d’une centaine de solides dossiers en compétition.

Le travail et la production fournie par la micro-brasserie de l’Yonne ont eu l’heur de satisfaire les membres du jury d’INITIATIVE Doubs Territoire de Belfort.

L’association, membre du premier réseau associatif d’accompagnement et de financement de la création/reprise d’entreprises, avait la charge d’organiser cette quatorzième édition de ce challenge en Côte d’Or.

La victoire des trophées 2019 est revenue à une chef d’entreprise du Doubs, Gertrude BLOCHAOU. Elle a créé une société de programmation informatique à Besançon, « TAGWISER ».

On notera aussi, pour compléter la troisième marche du podium, la présence de Dorothée DRAGAN, prestataire de transport de matière de déconditionnement alimentaire. Cette dernière officie dans la Nièvre à Devay grâce à sa structure, baptisée « DL METHA TRANS ».

 

 

 

Plusieurs icaunaises figurent dans le Top 20 de ce classement…

 

Mention spéciale, également, à Cynthia RELANGE. La créatrice de « FAIR MOMS », entité qui assure la commercialisation de produits artisanaux pour enfants issus du commerce équitable, a séduit les faveurs du public. Celui-ci ne s’y est point trompé en lui accordant son « Coup de Cœur ». La lauréate de ce prix exerce ses activités à Joigny.

Présidé par Alice BADET, elle-même à la tête de l’entreprise MAVIMAX à Dijon (il s’agit d’une micro-crèche), le jury a éprouvé les plus grandes difficultés à extraire sept lauréates parmi les 118 dossiers de candidatures reçus. Tant la qualité était au rendez-vous de ce concours.

Précisons que l’Yonne place deux autres entrepreneuses parmi le Top 20 de cette édition âprement disputée : l’Auxerroise Mathilde PELEN dont l’original concept artistique, un café cabaret à bord d’une péniche amarrée sur les quais de l’Yonne à Auxerre a été inauguré vendredi soir (La Scène des Quais), et Catherine BERARD, de l’agence ORPHEA, à Villeneuve-sur-Yonne.

L’association d’aide et d’accompagnement à la création/reprise d’entreprises icaunaise, INITIACTIVE 89, a soutenu les deux projets des lauréates de ce challenge 2019 vers la concrétisation. Une sage inspiration, de toute évidence !

 

 

Un article réalisé en partenariat avec INITIACTIVE 89

 

 


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Enregistrant une hausse très significative de plus de 10 % du taux d’adhésion des assurés sociaux sur notre territoire, la Caisse primaire de l’assurance maladie atteint déjà l’un des premiers objectifs inhérent à la promotion du dossier médical partagé…

AUXERRE : La barre des trente mille documents effectifs vient d’être atteinte dans le département de l’Yonne. Il s’agit même d’un chiffre un peu plus élevé par ailleurs car la statistique officielle apportée par le service communication de la Caisse primaire de l’assurance maladie de l’Yonne, ce vendredi 06 décembre, confirme que le nombre de DMP souscrits par les assurés sociaux du territoire nord-bourguignon avoisine les trente-et-un mille exemplaires.

Lancé en octobre 2018, le DMP a pour vocation de se propager à l’ensemble des assurés sociaux de l’Hexagone. Son principe, élémentaire, est de répertorier sur un document dématérialisé unique l’ensemble des actes médicaux et des examens qui ponctuent l’existence humaine.

Consultable uniquement par le corps médical, l’outil peut se révéler d’un sérieux secours en cas d’intervention urgente sur un patient.

Depuis avril, le taux d’adhésion au DMP est de 10 % dans l’Yonne. Une preuve tangible que la communication faite autour de ce support informatif personnalisé a su faire mouche auprès des différentes strates de la population.

Ingénieuse, la CPAM avait même initié un concours au printemps dernier pour encourager la création de dossiers avec en jeu des téléphones portables. Confirmant ainsi que la santé n’a pas de prix !

 

 


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Ce n’est une surprise pour personne. Ni un secret de Polichinelle à enfouir dans les alcôves! Entre le monde de l’agriculture et l’assureur mutualiste, les liens sont ténus, pour ne pas dire plus. Et ce, de manière séculaire. Aussi, inviter la présidente de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA) Christiane LAMBERT au siège auxerrois du spécialiste de l’assurance et de la prévoyance n’avait rien d’incongru en soi. D’autant que l’origine de cette invitation revenait aux duettistes en charge de la responsabilité de la caisse départementale, le président Pascal MAUPOIS et le directeur d’établissement, Jacques BLANCHOT. Explications…

AUXERRE : A y regarder de plus près : la visite de la présidente du syndicat majoritaire du monde agricole dans l’Yonne était préparée sous le prisme de l’astuce. Voire de l’audace !

Christiane LAMBERT, présidente de la FNSEA, sortait en effet de la manifestation paysanne nationale qui avait bloqué le périphérique deux jours auparavant. Un acte social fort, marqué par de vives contestations populaires qui débouchèrent sur la présence de plus de mille tracteurs (1 086 engins pour être précis) à quelques encablures du cœur de la capitale. Une insolite image, en vérité.

Alors, comment se mettre « au vert », histoire de souffler quelque peu, avant de retourner à Paris pour y rencontrer le Premier ministre, Edouard PHILIPPE, et le ministre ayant la charge de la filière, Didier GUILLAUME, dans d’âpres négociations indispensables à la survie de ce secteur d’activité ?

C’est là que Christiane LAMBERT a dû en son for intérieur véritablement apprécier et bénir l’invitation faite, il y a déjà plusieurs semaines de cela par la Fédération départementale des caisses locales de l’assureur mutualiste de l’Yonne.

Une invitation qui était destinée sur le carton à réunir, au-delà d’une simple rencontre de football, la dame à la tête de la plus importante entité défenderesse des droits des agriculteurs, et ses coreligionnaires locaux. Objectif : valoriser une corporation en souffrance qui n’a pas été épargnée par les soubresauts impulsifs de l’actualité et positiver autour de ces femmes et ces hommes qui en défendent chèrement les valeurs.

 

 

La « Piste aux étoiles » de l’agriculture départementale…

 

Bien sûr, il y aura le temps consacré à la conférence de presse. Un exercice oratoire et complet, décliné dans l’une des salles de réception de l’assureur. Là, Christiane LAMBERT, comme nous l’avons relaté dans un précédent article, détaillera la vision stratégique de cette actualité sociale, riche en atermoiements et en doutes pour celles et ceux qui tentent de survivre comme des funambules aux aléas du climat et des marchés internationaux.

Cette conférence de presse avait la saveur d’une « Piste aux étoiles » avec une représentativité agricole éclectique intéressante : Damien BRAYOTEL, président de la FDSEA de l’Yonne, le président de la chambre consulaire de l’agriculture, Arnaud DELESTRE, Maxime BOUCHER, élu à la tête des Jeunes Agriculteurs de l’Yonne depuis bientôt un an à l’âge de 23 ans et Hervé MIVIELLE, directeur exécutif de la chambre départementale.

Il faut dire que Christiane LAMBERT a été reçue avec les honneurs dû à son rang de chef de file d’une fédération qui demeure la force de frappe syndicaliste de la corporation.

Aussi, du côté de l’invitant, la mobilisation des responsables étaient de rigueur. Présence du président de la Caisse régionale Paris Val-de-Loire, Daniel COLLAY, du directeur du groupe, Eric GELPE, accompagné de son responsable des relations publiques, François DELAISSE.

Pascal MAUPOIS, président de la Fédération départementale des caisses locales de l’Yonne et le directeur d’établissement, Jacques BLANCHOT, fermaient le ban de ces personnalités.

 

 

Plus de 1 700 agriculteurs ont convergé vers le stade…

 

Instigateur de cette visite, ce dernier s’est dit très satisfait de la tournure de l’opération, placée dans le cadre d’un partenariat avec l’AJ Auxerre. Bénéficiaire de deux soirées de gala annuelles, l’assureur mutualiste a pu profiter du derby footballistique opposant les locaux à l’US Orléans pour convier plus de 1 700 agriculteurs à l’Abbé Deschamps.

Une façon de placer sous le feu des projecteurs le positivisme de son action adressée à ce public de fidèles et de permettre ainsi à la dirigeante de la FNSEA de faire d’une pierre deux coups : vivre pleinement sa passion du football même si son cœur de supporter penche davantage pour les deux pensionnaires de Ligue 1 que sont les « meilleurs ennemis », Lyon et Saint-Etienne, et saluer celles et ceux dont elle défend les intérêts grâce à sa mission syndicale.

Le dieu du football était de la partie. Car au terme de cette rencontre, le score paritaire de deux partout au coup de sifflet final, ne pouvait que contenter les dirigeants de GROUPAMA Paris Val-de-Loire, venant du Loiret, et ceux de l’Yonne !

 

 

 

 

 

 

 


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A la base, l’équation était simple. Pour que ce projet de construire une infrastructure pluridisciplinaire accueillant un univers de soins soit conforme au cahier des charges, la présence d’un généraliste était requise. Or, in fine, ce sont quatre médecins qui ont investi les locaux. Un cinquième, interne, devrait les rejoindre dès le terme de ses études d’ici un an. De quoi satisfaire l’instigateur du projet, le président de la Communauté de communes de l’Aillantais, Mahfoud AOMAR…

AILLANT-SUR-THOLON : Né à l’issue d’une concertation réunissant tous les praticiens du canton avec les édiles communautaires, le projet de maison de santé aura nécessité près de trois longues années de travail avant d’aboutir à son édification.

Il aura fallu obtenir la confiance de l’ensemble des professionnels de santé du secteur (pharmaciens, masseurs-kinésithérapeutes, infirmiers, ostéopathes, généralistes…) pour arriver à la concrétisation de ce qui représente désormais, et ce depuis le 15 novembre, comme une nécessité.

Lutter contre la désertification médicale intègre les priorités de bon nombre d’EPCI (Etablissements publics de coopération intercommunale) aujourd’hui. Or, l’une des parades préconisées par tous les acteurs institutionnels et ceux de la filière de santé passe par cette concentration de compétences en un même lieu. Eriger une maison spécifique devenait donc une évidence.

Plusieurs subventions furent accordées à ce concept fédérateur. Le Département, la Région, mais aussi l’Etat et l’Europe ont apporté leurs contributions financières : soit une enveloppe de 940 000 euros sur un budget total s’élevant à 1 640 000 euros.

Le reliquat relève de l’organisme communautaire, lui-même, en sa qualité d’exécuteur exclusif du projet. Il continuera de s’acquitter des charges à hauteur de 15 000 euros de manière annuelle.

 

 

Recherche dentiste coûte que coûte…

 

Répondre aux desiderata des thérapeutes représentait aussi une obligation. Ainsi, les plans de l’édifice ont été quelque peu modifiés de la configuration originelle avec l’ajout de deux bureaux.

Côté confort et praticité, un appartement a été également envisagé : il accueillera deux stagiaires ou leurs remplaçants.

Outre, les cinq généralistes cités précédemment, deux psychologues complèteront cet effectif de professionnels des soins. On notera aussi la présence d’un pneumologue, d’un masseur-kinésithérapeute, d’un podologue, de deux ostéopathes, d’infirmiers libéraux.

Un panel médical d’une rare ampleur que l’équipe constituée autour de Mahfoud AOMAR a réussi à rassembler avec beaucoup de réussite et opiniâtreté.

Seul bémol à souligner avant de rendre ce tableau idyllique : il reste encore à trouver un dentiste. La nouvelle structure dispose déjà du nécessaire en matériel et en équipement pour pouvoir l’accueillir dignement.

Parmi les évolutions possibles inhérentes à ce site new-look, l’accueil de consultations modernistes, via la pratique de la télémédecine (celle du travail et celle assurée par des spécialistes).

Maryline GANDON

 


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