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Conscients que l’équilibre demeure fragile, les responsables de l’établissement pédagogique souhaitent renforcer la valorisation de leur communication, accroître leur positionnement auprès de leurs partenaires et développer en substance la plus-value que peut conférer la MFR dans son environnement. Cette stratégie offensive aux multiples entrées constitue l’une des pistes de réflexion vers laquelle la gouvernance de la structure s’engage en 2019…

VILLEVALLIER : Vaste chantier que celui qui se présente en ce début d’année à la direction de la Maison familiale et rurale du JOVINIEN. Un travail de constante occupation de terrain qui nécessite une intense mobilisation de la part de l’ensemble des acteurs de l’établissement figure parmi les grandes résolutions à tenir. Persuadée que l’organisme doit jouer un rôle incontournable au sein du service public de l’éducation, du fait de ses spécificités originales, la gouvernance du site poursuivra ces prochains mois la réflexion en cours, préalablement engagée depuis douze mois, dans le cadre d’un dispositif local d’accompagnement (DLA).

Structure pédagogique portée sur les fonts baptismaux depuis fort longtemps, la Maison familiale et rurale du JOVINIEN accueille plus d’une centaine d’élèves attirés par les métiers de la filière agricole et les métiers de la restauration collective sur la base de principes fondamentaux.

Ceux-ci se rapportent à la synergie inexpugnable devant exister entre un quatuor de composantes qui est articulé de manière fonctionnelle autour des élèves, des parents, des formateurs et des maîtres de stage. Or, préserver cette synergie s’inscrit parmi les priorités.

Dans sa projection vers l’avenir, la MFR capitalise sur une autre revendication. Celle d’être une structure qui propose des cycles de formation adaptés aux besoins des partenaires économiques avec lesquels elle collabore mais aussi d’être un lieu d’apprentissage au parcours de vie.

L’intervention d’un cabinet d’audit extérieur…

Sollicitant le concours du Chantier MOBEELE, une SARL experte dans l’accompagnement de projets associatifs qui est basée à Vienne-le-Val (Loiret), la MFR du JOVINIEN a ainsi identifié différents enjeux pour lesquels des orientations de développement devront apporter une réponse.

Si la stabilité du modèle économique de la structure demeure la priorité essentielle, la gouvernance désire formaliser la synergie de fonctionnement qui a fait ses preuves depuis les origines de l’établissement.

Concrètement, et comme devait l’exposer la présidente Sylvie LOGETTE, lors de l’assemblée générale en décembre, « désormais, il est important de définir quelles places et quels rôles peuvent tenir chaque élément du fameux quatuor (élèves, parents, formateurs, maîtres de stage) au sein de la gouvernance… ».

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Offrant à tort une image « d’école de la deuxième chance de choix par défaut » vers l’opinion publique, la MFR doit prendre à bras le corps la refonte de sa stratégie de communication.

En réaffirmant son ancrage et son réel positionnement. « Nous ne devons plus être en réaction, confirme Sylvie LOGETTE, mais bel et bien en action pour ne plus nous contenter de la place qu’on nous laisse. Il est impératif de se créer la nôtre… ».

Les atouts : cinq axes majeurs à décliner…

Rendre plus lisible les particularismes de l’offre de la Maison familiale et rurale : c’est l’une des déclinaisons envisageables par la gouvernance afin d’atteindre ses objectifs. Elle n’est pas la seule. Quatre autres préconisations ont été dévoilées à l’issue de l’audit réalisé avec le concours du cabinet de consultants.

La MFR se doit de consolider sa gouvernance. Pour y parvenir, la présidente Sylvie LOGETTE et le directeur de l’établissement, Yannick VILLAIN, souhaitent créer et animer une communauté de maîtres de stage. Sans que ne soit occulté la place indiscutable qui est dévolue à la famille au sein du conseil d’administration. Les parents doivent s’accaparer le rôle d’ambassadeur du centre qu’ils auraient à assurer à l’extérieur. Le positionnement des salariés demeurant, quant à lui, l’une des clés de voûte de la réussite du projet.

La MFR doit aussi mettre en avant ses appétences à proposer une spécialisation pédagogique de niche. Afin de convaincre élèves et parents de la pertinence des cursus qu’elle assure dans ses bâtiments de Villevallier.

Reste enfin le saint des saints de cette anticipation stratégique : la communication.

« Nous devons nous organiser désormais pour rappeler, en permanence à l’ensemble des acteurs du territoire, que nous sommes un partenaire indissociable de la formation et de l’orientation. Proposons une action de lobbying constante pour imposer définitivement la MFR ! ».

Chronophage en temps et gourmande en moyens techniques, la communication pourrait être animée par une communauté d’anciens élèves. Avec l’optique de mutualiser les besoins entre établissements MFR de la région. Une idée qui a fait son chemin…

 


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Favorable au développement de la recherche, dans le but d’élaborer un fromage de chèvre bien ancré dans le territoire, le premier prix du concours « Initiative au Féminin » réagit après l’obtention de cette récompense régionale. L’agricultrice de Saint-Bris-le-Vineux a su convaincre le jury de cette treizième édition, de la pertinence de son concept, porteur de belles espérances pour la jeune femme. Il ne reste plus que quelques jours aux internautes soutiens de l’initiative pour parrainer et tester les produits de la ferme d’Ultéria…

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Quelles sont vos premières impressions après avoir été nommée lauréate au concours Initiative au féminin ?

C’est une immense surprise. C’est une très belle reconnaissance et un encouragement dans la mise en place de ce projet. La raison d’être de la ferme d’ULTERIA est de proposer une alimentation bio, saine et pleine de goût grâce à une ferme moderne, technique et respectueuse de l’environnement au sein de l’écosystème en permaculture Ulteria (école Montessori, Mobil Wood, centre de formation, maison citoyenne…).

Quelles sont les perspectives évolutives au plan professionnel avec ce prix empoché et cette notoriété nouvellement acquise ?

Cela consolide le projet et renforce sa vision. Ce prix va permettre de faire de la recherche. Par exemple, il y aura la mise au point d’un formage totalement innovant et ancré dans son territoire

Pourquoi avoir choisi de développer une contribution participative via une plateforme de crowdfunding ?

Via la plateforme « Miimosa », je propose de soutenir et suivre la création et le développement de la ferme d’Ulteria. Ainsi, nous proposons aux internautes de parrainer une chèvre, une poule, des préventes de fromages, des savons… et surtout de tester en priorité nos fromages et spécialités ! Il suffit d’aller sur ce lien : https://www.miimosa.com/fr/projets/la-ferme-d-ulteria-des-chevres-au-coeur-de-notre-ecosysteme. Mais, attention, il ne reste plus que quelques jours pour pouvoir le faire…L’objectif est de pouvoir partager avec des personnes passionnées et d’avoir leurs avis. Il est important pour moi que ce lieu soit vivant et ouvert sur son territoire. Il nous faut pour cela organiser régulièrement des événements. Par exemple, créer un réseau pour animer la ferme et organiser un événement dès que le bâtiment sera terminé…

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Quelles sont vos attentes par rapport à ce dossier de financement ?

La collecte via la plateforme Miimosa va permettre de financer l’achat des chevrettes pour démarrer la ferme d’Ulteria. Nous avons choisis la race Alpine pour la qualité de son lait. Le public pourra les voir dès que la ferme sera ouverte.

Comment envisagez-vous les perspectives de votre société à cinq ans et les profils des futurs emplois ?

L’idée est de créer des emplois en local, polyvalents (chèvrerie et fromagerie) pour des collaborateurs qui souhaitent s’impliquer dans la réussite de la ferme d’Ulteria. C’est-à-dire avoir les pieds dans la terre de Saint-Bris le Vineux et la tête dans les étoiles !

 


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Trois idées fédératrices expliquent la configuration architecturale et stratégique du nouvel « Espace agricole et rural » de l’Yonne. Inauguré il y a peu, le complexe composé de trois édifices entièrement réhabilités s’étend sur près de 10 000 mètres carrés de terrain, rue Guynemer à Auxerre. L’infrastructure dont les travaux de réhabilitation viennent de s’achever après trois longues années de labeur, accrédite la volonté accrue de mutualisation entre les trois partenaires occupants (Chambre consulaire, MSA et GROUPAMA), une présence forte en offres de services et en préservation des emplois locaux, ainsi que l’engagement vertueux, favorable à l’essor de la transition énergétique. Le monde agricole et ses filières dérivées disposent désormais d’un site de convergence d’intérêts et de développement unique en son genre…

AUXERRE : Le monde agricole, ses filières dérivées et ses partenaires naturels entrent de plain-pied dans le modernisme d’un troisième millénaire fait d’ergonomie, d’enjeux énergétiques et de pragmatisme. Nombreuses furent les personnalités du sérail institutionnel, économique et politique de la région qui ont pu en apprécier la quintessence opérationnelle lors de la cérémonie inaugurale du lieu, prévue à cet effet.

Mobilisant trente-deux entreprises artisanales dont plus d’une vingtaine étaient originaires du département, ce vaste chantier s’est enfin achevé après de longs mois de travaux, répartis sur plus de trois ans.

Ce nouvel espace ayant permis la rénovation de trois bâtiments existants s’étire sur près de dix mille mètres carrés. Il se situe à quelques encablures du cœur de ville. Une prouesse topographique qui prend ses sources originelles dans l’histoire de ce lieu.

Pour bien en comprendre le fondement, il faut remonter en 1964. Date à laquelle, on assista aux premières étapes fédératrices de ce projet. Cette année-là, la Mutualité Sociale Agricole (MSA) et les Assurances Mutuelles Agricoles optèrent pour l’achat de ce terrain, sis rue Guynemer. Quelques mois plus tard, la MSA céda une partie de cette surface constructible à la Chambre départementale de l’Agriculture. Les premiers bâtiments sortirent de terre.

Au fil des décades, les évolutions réglementaires incitèrent les organismes occupants à apporter une touche de modernisation à ces édifices. Ce fut le cas notamment avec le développement des accès aux personnes à mobilité réduite, l’amélioration du confort de travail des salariés et l’optimisation de l’accueil au grand public.

Les nouvelles normes liées à la réduction de la consommation énergétique entrèrent également en vigueur. Modifiant la dimension structurelle et organisationnelle de ces trois bâtiments, voués à connaitre une phase évolutive nécessaire.

Un budget de 11 millions d’euros de travaux…

Assurée pour sa maîtrise d’ouvrage par les cabinets ATRIA Architectes et URBAN Ingénierie, la rénovation de ce site, souvent désigné de facto comme étant la « Cité de l’agriculture », s’inscrivit parmi les priorités de ses responsables au début des années 2010. C’est sous la précédente mandature de la chambre consulaire de l’Agriculture que la décision fut prise.

Ce projet devait traduire la volonté tacite de mutualiser la globalité de ce complexe patrimonial, au niveau de son mode opératoire, autour de ces trois acteurs majeurs. A savoir, la Chambre d’agriculture de l’Yonne, la MSA et l’assureur mutualiste, GROUPAMA.

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Si le renfort de la qualité d’accueil des publics (une population à majorité agricole) fréquentant ces lieux se faisait jour dans les esprits depuis longtemps, l’accroissement de la notion de « pôle de services » devint une nécessité. Soucieux de maintenir des prestations qualitatives de proximité, tout en préservant les emplois dédiés, les responsables des trois entités unirent leurs efforts en élaborant ce concept d’accueil au sens vertueux.

Le partage des espaces communs, l’optimisation des coûts (une enveloppe budgétaire de 11 millions d’euros de travaux sans subventions publiques) et la valorisation de cette synergie mutuelle constituèrent le socle solide de cette grande réalisation.

Sachant que les porteurs du projet purent compter sur l’appui et l’aide des services administratifs périphériques qui auront été des facilitateurs à l’aboutissement du dossier, à l’instar de la préfecture ou de la Ville d’Auxerre.

Conserver les savoir-faire et les compétences locaux à 100 %…

Lors de leurs prises de parole successives le jour J, celui de l’inauguration, les trois présidents des organismes précités, Dominique BOSSONG, au titre la Mutualité Sociale Agricole, Etienne HENRIOT, pour la Chambre de l’agriculture et Pascal MAUPOIS, porte-voix de la fédération départementale des caisses locales de l’Yonne de l’assureur GROUPAMA Paris Val de Loire, exprimèrent leurs soutiens au maintien de la valeur ajoutée locale apportée par ce nouvel espace du troisième millénaire.

Ainsi, le développement économique, la conservation des compétences et des savoir-faire et, surtout, le soutien aux emplois de proximité trouvèrent grâce à leurs yeux. Des items qui résument à eux seuls cette convergence d’intérêts et cette réciprocité devant aboutir à ce complexe hors norme dont disposeront désormais les filières du milieu agricole dans l’Yonne.

L’infrastructure, dans sa configuration novatrice, offre des solutions d’isolation renforcées. Afin de garantir le 100 % éco énergies, envisagé par la maîtrise d’ouvrage. Pourvus de systèmes passifs d’amélioration du confort intérieur (brise-soleil, rideau à gestion automatisée, centrales de traitement d’air double flux, éclairages LED, utilisation de bardages terre cuite et bois…), les trois édifices intègrent ce schéma de la protection environnementale dont les entités utilisatrices ne pouvaient se soustraire dans leur cahier des charges.

Même si, et ce sera peut-être le seul regret notable, l’emploi de matériaux biosourcés, tels que le chanvre, n’a pas été possible car incompatibles avec les normes des « établissement recevant du public ».

Grâce à cet « Espace agricole et rural » d’une autre dimension éthique et opérationnelle, les acteurs de l’agriculture se dotent d’un outil extraordinaire, moderne et représentatif, bien ancré dans l’air du temps vis-à-vis de ses enjeux environnementaux.


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Transposer la fameuse référence culinaire d’Outre-Atlantique dans une variante bien cocardière de la restauration, à base de viandes de qualité et de produits d’accompagnement frais, issus des circuits courts, est le défi qu’a choisi de relever l’entrepreneur Adrien LLINAS, gérant de cette enseigne, opérationnelle depuis un semestre à Auxerre. Avec une moyenne de quarante couverts servis au quotidien, L'AUTHENTIQUE BURGER est en passe de réussir son défi. Et de réhabiliter la recette américaine auprès d’épicuriens, épris d’ordinaire d’une gastronomie beaucoup plus élaborée…

AUXERRE : D’origines françaises, les produits carnés, servis dans ce nouveau lieu de la cuisine qualitative, bénéficient d’une préparation et d’un assaisonnement spécifiques. Selon la recette du jour. Car, ici, tout est conçu maison et réalisé en présence du consommateur, avide de découvrir la phase gustative inédite de ces « burgers » à la française. Il n’existait pas, jusqu’alors, de spécialisation à ce type de plat. Et surtout de variétés de recettes, prenant leur creuset référentiel aux sources mêmes d’un terroir régional.

Désormais, que vous soyez ou non adeptes de cette cuisine quelque peu exotique parfois, l’innovation est de mise dans l’assiette. D’ailleurs, cet ustensile est obligatoire. Les burgers ne se mangent pas dans une boîte en carton, à la dérobé au détour d’une rue. Mais, ils se savourent avec onctuosité, en prenant son temps, dans les conditions similaires optimales offertes par une table de restaurant ! Avec les couverts, en prime, qui accompagnent le plat. Ainsi, la propreté des doigts est scrupuleusement garantie !

Un repas destiné à sustenter les gourmets…

A chaque repas, déjeuner et dîner inclus, Adrien LLINAS et ses deux collaborateurs qui s’exécutent derrière les fourneaux, concoctent un burger empli de suggestions gourmandes où l’originalité et les saveurs inattendues sont au rendez-vous. Les clins d’œil à la gastronomie hexagonale sont nombreux. Les mélanges entre produits du terroir et les ingrédients constituant la base essentielle de ce plat surprennent le client. Que dire de l’accompagnement !

Croustillantes et dorées à point, les frites, garnitures inéluctables de cette recette, subliment le goût de la pomme de terre. Frais, les autres légumes conservent leur saveur et fermeté au palais : ils ne proviennent pas d’un quelconque paquet préalablement surgelé. Quant aux sauces, conçues sur place, elles illuminent de leur texture suave les aliments. Restent les desserts.

S’il demeure encore une petite place au fond de l’estomac, après ce repas qui n’a rien de frugal, sans pour autant être lourd à la digestion, le fondant crumble aux pommes se recommande vivement. Il réconcilie le commun des mortels avec une pâtisserie toute en délicatesse, sortie tout droit d’une recette de nos grands-mères.

Grâce aux commentaires avisés et aux desiderata de sa clientèle, recueillis sur les réseaux sociaux, Adrien LLINAS élabore de nouvelles recettes. Insufflant une nouvelle dimension à ce burger dont on ne disait pas nécessairement le plus grand bien auprès des amateurs de bonne chère. Rappelons que le marché mondial représente à lui seul plus de 1 340 milliards de plats, vendus en 2016. Un segment économique qui a connu une hausse de plus de 15 % en l’espace de quinze ans.

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80 % de la clientèle ne consommaient pas de burgers…

Soucieux d’inculquer un autre regard autour de ce produit phare de l’alimentation planétaire, mais totalement décrié par les puristes de la cuisine traditionnelle et les pourfendeurs de la malbouffe, l’entrepreneur auxerrois a réussi à convaincre des personnes qui se situaient aux antipodes de ce produit et de les attirer, désormais, avec une régularité frisant l’insolence, dans son établissement.

Pourtant, rien ne prédestinait ce garçon, âgé de 35 ans, titulaire d’un BTS en productique mécanique, et ayant appris ses gammes professionnelles chez BENTELER et CONIMAST, de se lancer dans une telle aventure. Ce virage à 180°, l’Icaunais l’a néanmoins effectué avec grand enthousiasme car trop désireux de vivre enfin de sa passion immodérée pour la restauration.

Durant plusieurs semaines, il suivra le cycle formatif prescrit par BGE Nièvre Yonne dans le montage de son projet. Un concept qu’il partage avec sa propre mère, Christine, cogérante de la société, la SARL DEL MUNDO, née au printemps 2018, qui exploite l’enseigne.

Pourvu d’une SCI, il rachète un ancien salon de coiffure, idéalement bien exposé, sur l’une des voies pénétrantes menant au cœur de ville. Avant de se lancer dans un vaste chantier de réhabilitation du site, moyennant le déblocage d’une enveloppe budgétaire de 50 000 euros. L’ouverture de ce nouveau commerce date du 27 juillet 2017, certes au cœur de la période estivale, mais ce choix stratégique fut assurément maîtrisé par Adrien LLINAS : « Il était nécessaire de mettre en place notre outil au cœur de l’été et de son calme relatif pour mieux anticiper la rentrée… ».

Une créativité renouvelable à l’envie…

Ciblant le morphotype des CSP + (cadres, dirigeants, professions libérales…), l’entrepreneur a opté pour une politique tarifaire plutôt haute (entre 15 et 20 euros pour un déjeuner), en liant et acte de la qualité de ses produits. Nonobstant, il a ajouté parmi sa stratégie de développement les personnes amatrices de culture et de soirées after-work.

Pour rendre son entreprise pérenne, Adrien LLINAS, sans cesse dans la créativité et la réactivité, souhaite créer des évènementiels. Ceux qui ont un attrait direct avec les dates du calendrier (Saint-Valentin avec des burgers en forme ce cœur, Halloween où certaines variétés de pains, fournis par la SARL ROY, arboraient un coloris noir). Début 2019, il envisage de servir de la viande de race Aubrac, élevée par l’une de ses connaissances éleveur bovin à Jauges dans l’assiette. Un test pour proposer le nec plus ultra des burgers, encore jamais inventés !


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Productrice de fromage de chèvre fermier à Saint-Bris-le-Vineux, la jeune femme a été soutenue dans le montage de son projet par « INITIACTIVE 89 ». L’organisme lui a octroyé un prêt d’honneur de 20 000 euros. S’inscrivant dans un concept de permaculture, l’entité professionnelle dont elle assume la gestion aspire à créer cinq emplois au cours de ces cinq prochaines années. Tout en élargissant son spectre d’activités vers la nature : ruches, élevage porcin en plein air et tourisme vert…

BESANCON (Doubs) : Cette année, l’organisation de la treizième édition de ce concours visant à encourager l’entrepreneuriat féminin incombait à l’agence de développement économique « INITIATIVE Doubs Territoire de Belfort ».

Co-présidé par la gérante de l’entreprise, « STEEL HABITAT », Amandine PAULIN et Fanny PRENEY, co-gérante de la société « DRUYDES », le jury de spécialistes professionnels n’aura eu que l’embarras du choix pour départager les prétendantes à cette épreuve, devant plébisciter six créatrices d’entreprise exemplaires en Bourgogne Franche-Comté.

En amont, le choix sélectif des dossiers fut complexe. Tant par la densité du nombre de candidates (82 actes de présence) que par la qualité des éléments fournis. Nonobstant, une liste de six lauréates put être établie in fine.

Plusieurs représentants de l’Etat, mais aussi de la Région et de la Communauté de communes Jura Nord assistèrent à la remise de ces récompenses tant convoitées.

Une entrepreneuse icaunaise en haut de l’affiche…

D’une valeur de cinq mille euros, le premier prix a été attribué à la créatrice de la « Ferme d’Ultéria », Claire GENET, qui dès son plus jeune âge était immergée dans l’élevage via sa famille maternelle qui exerçait dans ce domaine. La vocation pour la filière agricole ne la quittera plus jamais.

Faisant montre de patience pour apprendre son futur métier, la jeune femme multipliera les déplacements à l’étranger (Australie, Etats-Unis) afin d’appréhender la complexité de ce dur travail.

Titulaire d’un diplôme d’ingénieur agricole, et après un passage réussi auprès des milieux technico-commerciaux de la filière, elle voue une passion sans bornes pour les nouvelles méthodes qui préfigurent le renouveau de la profession. Celles qui allient la technicité au respect de l’environnement.

Ce qui n’était qu’un projet d’enfant deviendra bientôt réalité grâce à une rencontre providentielle. Avec les dirigeants de la société, MOBIL WOOD, de Cravant.

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Modernisme et préservation de la nature : le principe de la ferme bio…

Fabricant de meubles, MOBIL WOOD n’est pas une entreprise tout à fait comme les autres dans le sérail industriel local. Adeptes de l’holacratie, une méthode de management ouverte et participative, ses dirigeants prennent le temps de rencontrer Claire GENET. Et de lui exposer leur projet. La société s’est dotée de plusieurs terrains avec pour schéma de développer un écosystème autour de leur atelier.

Miser sur le développement durable et la suppression de tous les déchets s’inscrit en fer de lance parmi leurs priorités. Le sang de Claire GENET ne fait qu’un tour dans ses veines. Ces échanges nourris l’enrichissent. Lui enlevant les derniers doutes qui pouvaient encore la contraindre dans ses choix.

Mature, le projet est définitivement né. Primo, elle va à la rencontre d’une soixantaine d’exploitants agricoles de la région pour se constituer un apport d’idées supplémentaires. Puis, elle revient sur ses terres natales après avoir vendu sa résidence principale. En parallèle, la jeune femme n’est plus à un défi prêt ! Elle entame alors un cycle de formation, choix de la discipline la gestion, afin de compléter ses acquis en ce domaine.

Enfin, elle porte sur les fonts baptismaux la « Ferme d’Ultéria », concept bio qu’elle fait adouber par MOBIL WOOD qui décide de l’intégrer à son écosystème, avant d’être associé à son développement.

L’élevage de chèvres et de poules pondeuses s’agrègent à un emploi du temps très serré. Très vite, Claire voit sa production (yaourts, œufs, fromages…) s’écouler auprès d’une clientèle de plus en plus séduite par la qualité et la traçabilité des produits, vendus à la ferme.

Ne reculant devant aucun challenge, la jeune femme y propose d’autres productions locales. Elle prospecte aussi auprès des grandes surfaces ayant une appétence particulière pour les produits issus de la filière agricole biologique.

Les perspectives sont nombreuses et encourageantes. Elles passent par une diversification de l’activité économique (ruches, élevage porcin en plein air et tourisme vert).

Outre l’obtention du premier prix, Claire GENET a reçu le trophée spécialement créé par l’artiste plasticienne de Besançon, Florence LAGADEC. Précisons qu’elle est l’unique représentante de l’Yonne à avoir glané une récompense cette année lors de ce concours régional.


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