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Séance de vœux à la presse pour le nouveau représentant de la chambre consulaire départementale de l’agriculture. Elu au premier trimestre 2019, Arnaud DELESTRE n’avait pas encore eu le privilège de s’adonner à cet exercice oratoire à la rencontre des médias. Il a balayé un certain nombre de grands dossiers qui constituent le socle des préoccupations et des espoirs de la filière…

AUXERRE : Singulière manière de présenter les vœux pour le président de la Chambre d’agriculture de l’Yonne ! Pour ce premier exercice qu’il a dû gérer après son élection survenue il y a quelques mois, Arnaud DELESTRE, muni de ses notes couchées sur quelques feuilles posées devant lui, a ironisé sur les bonnes et les mauvaises nouvelles qui sont venues émailler une année particulièrement délicate pour le monde agricole.

Sans trop de formalisme protocolaire, en présence de quelques confrères de la presse départementale, le nouveau chef de file de l’économie verte, très détendu, a déroulé une liste de sujets qui lui tenaient à cœur lors de cette prise de parole officielle.

Bien sûr, les souhaits qu’il émet à destination des agriculteurs sont nombreux. En premier lieu, il en implorerait presque les dieux pour que la météo redevienne enfin un peu clémente après tant d’années de sécheresse ou de multiplicité d’épisodes de gel, voire de grandes pluies, qui sont venus perturber la bonne marche des exploitations.

Mais, il n’y a pas que Dame Météo qui soit mise à contribution. La gestion de l’eau, la politique des prix, les avancées sur le contenu de la future PAC (Politique agricole commune) inhérente à l’Europe et la gestion des risques s’accumulent comme autant d’items prioritaires dont il faudra bien connaître tôt ou tard le dénouement avec une issue, peut-être positive.

Aux côtés de deux de ses responsables, le directeur de la chambre consulaire départementale, Hervé MIVIELLE, et du second vice-président de l’exécutif, Jean-Baptiste THIEBAUT, viticulteur de sa profession, le successeur d’Etienne HENRIOT s’est livré à un état des lieux très détaillé, présentant point par point les attentes et les enjeux de la filière.

 

L’apaisement retrouvé entre citoyens  et agriculteurs ?

 

Autre enjeu fondamental aux yeux du président de la chambre d’agriculture : le retour espéré à une normalisation plus conventionnelle des relations avec l’opinion publique. L’agribashing a fait beaucoup de dégâts, via les réseaux sociaux interposés, depuis plusieurs mois.

L’un des explicatifs à la recrudescence de cette mauvaise opinion repose sur l’application concrète des ZNT. Ces fameuses zones de non-traitement et leurs distances à géométrie variable pour appliquer les produits phytosanitaires sur les surfaces cultivées selon les textes officiels…

Arnaud DELESTRE devrait par ailleurs s’entretenir d’ici peu avec le nouveau préfet de l’Yonne, Henri PREVOST, sur la déclinaison de cette charte sur notre territoire.

Pour autant, la proximité des municipales, en mars, devrait aussi peser dans la balance ; les élus des communes rurales étant impactés directement par le contenu de ce texte.

 

 

Mais, de l’avis du président, l’une des préoccupations essentielles que vit l’agriculture aujourd’hui, c’est le renouvellement de génération. Observant que 70 % du cheptel est aujourd’hui détenu par des éleveurs âgés de plus de 55 ans, le porte-étendard de la chambre consulaire s’inquiète de la pérennité de sa filière. Les tendances statistiques globales, prouvant que 50 % des agriculteurs pourront prétendre à la retraite d’ici dix ans, corroborent ses doutes.

Ils se confirment déjà dans le secteur du lait. Une vingtaine de producteurs ont déjà disparu des écrans radar départementaux depuis une année ; il y a quinze ans, plus de 400 élevages laitiers fonctionnaient encore à plein régime sur le territoire. Désormais, ils ne sont plus que cent-soixante à poursuivre leur activité…

Enfin, il faut savoir que l’installation d’un jeune agriculteur ne compense jamais le différentiel qui connaît un élargissement de plus en plus net de saison en saison : ce sont en équivalence trois départs à la retraite qui ne sont pas remplacés.  

Seul le nombre d’exploitants dans la viticulture s’oriente au beau fixe avec une présence renforcée de plus de six cents professionnels sur le seul territoire de l’Yonne.

Enfin, la féminisation progresse dans nos campagnes : avec un tiers d’installations en qualité de cheffe d’exploitation, les filles n’hésitent plus à franchir le Rubicon pour endosser la vêture de dirigeante experte et aguerrie.

 

La diversité des cultures : indispensable et utile…

 

Côté culture, les évolutions se poursuivent avec la présence de nouvelles espèces qui s’installent dans le paysage territorial. On pense aux pois, aux lentilles, au chanvre, au sarrasin, à l’avoine, etc. Un seul objectif à cette pratique de la polyculture actuelle : remplacer le colza qui occupait jadis un tiers des surfaces cultivables sur le département, devenues quasi obsolètes désormais.

La présence insidieuse d’insectes qui résistent aux traitements et deux années d’une impitoyable sécheresse ont conduit les céréaliers du cru à optimiser leurs efforts dans l’art et la manière de s’adapter.

Mais, la politique de diversification, seconde chance des agriculteurs, ne se borne pas à semer des graines différemment. Le tourisme vert intègre dorénavant les prérogatives occupationnelles de ces acteurs de l’économie. Certains ouvrent des gîtes. D’autres vendent leurs produits en mode circulaire rapide. Lorgnant ouvertement sur le marché idyllique de l’Ile-de-France limitrophe…

Il existe aussi le volet énergétique. Il comprend deux axes : la méthanisation et le photovoltaïque. L’Yonne dispose d’une quinzaine de centres de méthanisation à l’aune de 2020. Autant de projets sont dans les cartons. Des cultures à valeur énergétique se sont même développées pour accompagner durablement le système.

Quant aux champs photovoltaïques, ils ont désormais reçu l’adoubement de la chambre départementale. Ce qui n’était guère le cas il y a encore une décennie. Différents projets devraient voir le jour dans les prochains mois.

Optimiste et de nature volontariste, Arnaud DELESTRE aura l’opportunité d’accueillir lors de la visite d’une exploitation le responsable de l’Etat dans l’Yonne, le préfet Henri PREVOST, le 27 janvier.

Autant dire qu’il ne devrait pas manquer de sujets de discussion (loup, gestion de l’eau…) pour alimenter cette première prise de contact formelle tant attendue…

 


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Meilleur ouvrier de France cuisine, triple étoilé au Michelin, cet orfèvre de l’art culinaire n’est pas forcément le patronyme le plus connu de la gastronomie française. Ce natif du Berry,  très tôt orphelin de père, a vécu une enfance pas forcément facile. Mais, il a eu le privilège d’être entouré d'une mère aimante. La cuisine semblant couler dans ses veines depuis son plus jeune âge,  c'est donc tout naturellement qu'il emprunta cette voie pas forcément bordée de roses à ses débuts…

PARIS : Jeune homme, il se marie avec sa muse,  Marie-Christine. Elle exerce le métier de coiffeuse. Gilles s’est constitué un parcours professionnel, parsemé de belles maisons.

En Bourgogne, un rapide passage à « L'Espérance », sise à Vézelay, ne le marqua pas vraiment. Il fut notamment second au restaurant « L'Escale » à Carry-le-Rouet (double étoilé Michelin) où chef CLOR l'initia à la finesse poissonnière. 

Puis dans les années 90, les GOUJON ont un coup de cœur pour le village de Fontjoncouse dans l'Aude (120 habitants).

 

 

« Ce sera là où nulle part » assène le tonitruant Gilles, un caractère au grand cœur mêlé d'un indéfinissable talent.

Dans ce village de bout de terre, les débuts ne furent pas forcément faciles tandis que de bons produits se morfondaient dans la chambre froide. Ils attendaient vainement de finir dans l'assiette des clients qui ne venaient pas ou si peu.

 

 

Le rêve absolu est atteint : décrocher les trois étoiles au Michelin…

 

Pour conjurer le sort, l'énergique Marie-Christine déposait même des bougies allumées sur les quelques marches du restaurant, s'inspirant d'une coutume indienne lue dans un magazine. Mais, c'est bien connu : après la pluie vient le beau temps !  

A sa seconde tentative, Gilles est titré  MOF. Puis en 1997, « L'Auberge du Vieux Puits » obtient sa première consécration au Michelin. Notamment pour sa petite cocotte de cochon aux olives de Lucques.

Ensuite tout va s'enchaîner goulûment ! En 2001, le célèbre guide double la mise, appréciant entre autres la galette d'estofinade en crème de verjus.  En 2010, le rêve de Gilles - partagé forcément par sa muse !- se réalise : il obtient enfin la quête du Graal pour son œuf de poule pourri de truffes, son filet de rouget Barbet, sa recette de pomme bonne bouche fourrée d'une brandade  à la cèbe en « bullinada ».

Toque basse à ce bel artiste, véritable filigrane de cet exigeant concours.

Gauthier PAJONA

 

 


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Conduire la politique de la nation française au plus près des territoires nécessite nécessairement finesse, psychologie, fermeté et savoir-faire. Même si l’ancien directeur de l’Agence nationale de traitement des infractions routières endosse pour la toute première fois de son existence la vêture préfectorale, le passé de ce haut fonctionnaire plaide en sa faveur sur le papier. Comprendre les multiples subtilités du département nord-bourguignon afin de mieux appréhender les réponses à y apporter intègre déjà ses priorités. La griffe du nouveau préfet reposera donc sur le dialogue, l’analyse et le respect d’autrui…

AUXERRE : Inscrire son action dans la continuité et la richesse de ce qu’a pu accomplir son prédécesseur : tel est le leitmotiv initial qui occupe les pensées du nouveau pensionnaire de l’hôtel de la préfecture de l’Yonne.

Henri PREVOST salue ainsi dès sa prise de parole avec le milieu médiatique régional le travail mené par Patrice LATRON. Ce dernier, aujourd’hui en poste à Paris, aura la lourde tâche de mettre en musique le fameux service national universel (SNU) destiné aux plus jeunes d’entre nous pour le compte du gouvernement.

Cassant les codes de la traditionnelle réception organisée en vis-à-vis autour d’une table de travail, le nouvel Auxerrois d’adoption (seulement depuis quarante-huit heures !) consacre donc son premier rendez-vous officiel à la presse. Un signe qui ne trompe pas sur ses réelles intentions de vouloir communiquer et faire passer ses messages vers une cible la plus éclectique possible.

Et des sujets de communication, Henri PREVOST devrait en avoir à foison au cours de la mission  qui lui a été confiée. A commencer par tout ce qui touche de près ou de loin à la sécurité routière, son cheval de bataille qui a jalonné une bonne partie de sa longue carrière. 

Toutefois, même s’il a déjà eu connaissance de la situation catastrophique qui régente aujourd’hui son nouveau territoire d’affectation (l’inflation galopante de l’accidentologie depuis 2016), Henri PREVOST souhaite agir en douceur et pas à l’emporte-pièce. En prenant soin, et surtout le temps, de bien assimiler les rapports d’enquête et les données informatives dont on l’aura abreuvé sur un coin de son bureau.

Le nouveau représentant de l’Etat souhaite en effet cerner en profondeur la population départementale. Afin d’en détecter toutes les spécificités et modes de fonctionnement. Voir les aspects comportementaux. Un vrai travail analytique qui lui permettra d’appliquer au plus juste et dans le respect des autres la politique étatique dont il est l’ambassadeur…

 

Une attitude sur les routes oscillant entre prévention et répression…

 

Alors, faut-il tout craindre désormais de la part de cet exégète es Sécurité routière sur nos axes de communication ? En la matière, le panégyrique de ce natif de Boulogne-sur-Mer (il possède aussi des attaches familiales dans le Châtillonnais voisin) est plutôt impressionnant.

« J’ai regardé les chiffres, précise-t-il son gobelet de café à la main, je ne peux que penser aux familles et aux victimes de ces drames à répétition. On ne peut pas tout résumer à la simple interprétation de statistiques… ».

En quatre ans, l’Yonne est passé dans le rouge couleur sang. Empilant sa litanie de faits divers tragiques au lendemain de chaque week-end. 41 morts en 2019 pour 296 blessés graves : un triste record dont le territoire et ses conducteurs ne peuvent s’enorgueillir.

 

 

Bien sûr, il sera judicieux de travailler avec l’ensemble des acteurs inhérents à la sécurité routière pour tenter d’endiguer le fléau. Mais, Henri PREVOST sait avec beaucoup de lucidité qu’il ne possède pas de solutions miracles dans sa besace, pour autant.

« Nous allons adapter la politique de sécurité sur les routes autour de deux axes de réflexion : la prévention et la répression. Forcément, les contrôles vont se développer. Naturellement, de nouvelles actions vont se déployer. Votre rôle, à vous les médias, sera aussi d’expliquer et de relayer le travail effectué au quotidien sur ce combat continuel engagé contre l’inacceptable… ».

Bref, le préfet nouvelle mouture ne souhaite pas le tout répressif. Il en appelle à la responsabilité collective et à la compréhension des comportements pour que ceux-ci se modifient. Dans la sagesse et le civisme ?

 

Le monde agricole et les milieux économiques : une attention très particulière…

 

Conscient des difficultés qui touchent les acteurs de l’univers agricole, Henri PREVOST concentrera également ses premières rencontres vers ces représentants de l’économie rurale.

« Je vais sans plus tarder m’immerger dans la sphère agricole, explique-t-il, c’est un milieu que je connais très bien du fait de mes racines. Je suis sensibilisé à leur désarroi actuel : il faut que les choses réussissent… ».

Le préfet en fera de même auprès des industriels et autres décideurs économiques.

Amateur de patrimoine architectural, ce spécialiste de la marine voue une admiration toute particulière au château de MAULNES, à ses formes si mystérieuses, évoquant un pentagone énigmatique.

Il connaît aussi les crus du terroir viticole. Endiguant ainsi sa soif de découverte supplémentaire autour de ce département dont il va prendre le temps de découvrir à satiété le moindre recoin au fil de ces prochains mois.

Pour mieux y appliquer, sans doute, le principe élémentaire qui régit la mission d’un préfet en exercice : trouver et apporter les meilleures solutions aux problèmes posés sur un territoire donné. Bienvenue et bonne chance, M. PREVOST !

 

 

 


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Constituée en avril 2019, la SARL au capital de 10 000 euros se positionne sur le marché de la mécanique. Avec une spécificité toute particulière qui permet à son dirigeant de se distinguer sur son créneau de prédilection : la réparation d’engins agricoles et viticoles. De la pure logique, en vérité, quand on sait que Jean-Philippe GARDET exerce sur ce secteur d’activité depuis plus de vingt ans…

TONNERRE : Après le stage obligatoire assuré par les services de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat lui permettant d’acquérir les bases essentielles de l’entrepreneuriat, le quadragénaire à la tête de JP FLEX MECA s’est très vite fait remarquer de l’association INITIACTIVE 89.

La structure accompagnatrice des porteurs de projets à la création/reprise d’entreprise a eu vent de son projet : la constitution d’une nouvelle société. Une fois la rupture consommée avec son ancien employeur, un distributeur international du matériel agricole/viticole survenue en 2018, Jean-Philippe GARDET n’a eu de cesse de peaufiner son projet afin de le porter sur les fonts baptismaux de la création, en y injectant un maximum d’atouts.

L’un des conseillers techniques de la structure, Julien LACOMBE, prend alors connaissance de la composante du dossier et de son intérêt. Les potentialités sont bien réelles. Surtout que le néo-entrepreneur pourrait intervenir sur une zone de chalandise aux possibilités évidentes, située entre Tonnerrois et Chablisien.

 

 

 

Un prévisionnel déjà largement dépassé, de bon augure pour la suite…

 

 

Le feeling passe avec fluidité entre les deux hommes. Et ce dès le premier rendez-vous. Instruites rapidement, les choses vont s’enclencher avec certitude et efficience. Pour aboutir à la dotation d’un prêt d’honneur à l’enveloppe prometteuse de 15 000 euros. Une somme qui sera affectée ensuite à l’achat du matériel nécessaire et d’un utilitaire, servant à l’exploitation de la nouvelle entité professionnelle.

A 47 ans, le dirigeant Tonnerrois renaît de ses cendres. Locataire de ses bureaux administratifs et de son  atelier, il multiplie les missions auprès de cibles bien précises : les agriculteurs, les viticulteurs et même le milieu des travaux publics. La demande est telle que l’embauche d’un collaborateur au profil de polyvalent de la mécanique est envisageable. Sans doute au cours de l’exercice 2020.

A l’origine du projet, Jean-Philippe GARDET a investi une enveloppe budgétaire de cent mille euros. Un pactole obtenu avec le soutien de sa banque, le Crédit Mutuel. Aujourd’hui, les prévisions sont orientées vers le beau fixe après quelques mois de mise en pratique. Le chiffre d’affaires prévisionnel est déjà largement dépassé. De quoi augurer de belles perspectives de développement malgré une concurrence âpre sur cette niche de la réparation de matériels agri/viticoles.

 

 

Le chef d’entreprise a su aussi déjouer les chausse-trappes habituelles en faisant montre d’inventivité. Outre les activités du milieu agricole, JP FLEX MECA répare aussi le matériel de levage et de manutention. Une corde supplémentaire à son arc qu’il doit de son expérience de perfectionniste au contact des acteurs des travaux publics.   

Il peut même s’enorgueillir d’avoir ajouté une spécificité à sa démarche professionnelle. Celle-ci prend la forme de prestations de dépannage visant à améliorer les systèmes de climatisation des engins.

Aux côtés de son épouse, Anne-Lise, actionnaire au capital de la SARL, Jean-Philippe GARDET justifie sa réussite par le biais d’une politique tarifaire élaborée en phase avec la réalité du marché.

Ses qualités, il les définie ainsi : la réactivité, la disponibilité et la somme de conseils qu’il est à même de pouvoir prodiguer dans un domaine technique qu’il pratique avec bonheur depuis maintenant plus de deux décennies.

 

Un article réalisé en partenariat avec INITIACTIVE 89.

 

 

 

 


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Instaurée depuis de nombreuses années, la fête de la Nativité se célèbre par une singulière manifestation aquatique, emplie de charme et de poésie, aux abords du plan d’eau de la commune de Puisaye-Forterre. Un programme de réjouissances, concocté par l’association des « Lumières de Druyes », à (re)découvrir sans modération en cette fin d’après-midi d’avant Réveillon…

DRUYES-LES-BELLES FONTAINES : Le parapluie sera de rigueur. Compte tenu des caprices pernicieux de la météo. Changeante à l’extrême en ce début de période hivernale.

Pourtant, cela n’empêchera nullement les aficionados de la fameuse célébration de s’agglutiner aux abords du plan d’eau, le lac, situé au cœur de la petite commune médiévale.

Surtout que le rituel de l’allumage de centaines de bougies constituera, une fois encore, le point d’orgue de ce programme consacré à Noël et à ses joies.

Dès 18 heures, petits et grands se précipiteront sur le terrain jouxtant la zone aquatique, munis de leurs précieux lampions enflammés. Ceux-ci seront ensuite déposés délicatement par leurs soins à la surface de l’eau.

L’instant sera très agréable. Presque irréel. Et quasi œcuménique puisque réunissant toutes les générations en ce moment solennel. Il préfigure la célébration religieuse vécue dans la jolie église, bâtie à quelques encablures de là dès 19 heures.

L’œcuménisme sera, là encore, d’actualité avec une cérémonie articulée autour des trois grandes religions chrétiennes, en présence de Magali CARLIER, pasteur de l’église protestante unie d’Auxerre, Robert LACROIX, diacre et le Père Claude GROSSENBACHER, prêtre orthodoxe.

Un peu plus tôt, à 17 heures, l’édifice religieux aura déjà été auréolé de la présence d’un duo d’instrumentistes de très belle facture (Claudette et Sylvain DESSANE, respectivement aux claviers et au violon alto) en représentation unique.

Parmi les œuvres jouées par la présidente des Amis des Orgues de Clamecy et son fils, ancien pensionnaire du Conservatoire national de La Haye : une aria de Jean-Sébastien BACH, une sonate du même compositeur allemand ou la « première suite en sol mineur » de Max REGER, auteur de pièces romantiques s’inspirant de l’école germanique.

Quant aux traditions culinaires de Noël, elles seront respectées. Les promeneurs auront la possibilité de déguster vin chaud et chocolat chaud tout en mangeant le traditionnel pain d’épice.

 

 

 


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