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Le mouvement international organisera sa prochaine assemblée générale dans la ville de Paul Bert cet automne. Du 10 au 12 octobre où seront accueillies près d’une centaine de congressistes en provenance d’une quinzaine de pays. Trois jours où se mêleront étroitement travaux de réflexion sur le devenir de la société et découverte touristique. L’association 100 % féminine a jeté son dévolu sur la capitale de l’Yonne grâce au dynamisme et à la vivacité de sa section locale. Une belle récompense pour Charline LENFANT et son collectif. Les infrastructures et les atouts qualitatifs offerts par la préfecture de l’Yonne ont aussi contribué à ce choix judicieux qui honore notre territoire…

AUXERRE : Après les Championnats du monde des maîtres d’hôtel, obtenus au nez et à la barbe de Bordeaux qui se dérouleront dans le complexe éducatif du lycée professionnel Vauban le 25 novembre prochain, Auxerre accueillera un autre événementiel international cet automne : l’assemblée générale du mouvement des Femmes Leaders Mondiales.

La nouvelle a été confirmée il y a quelques jours par la présidente fondatrice de cette association non sectorielle 100 % féminine, Nicole BARBIN, de passage dans notre cité. Accompagnée de son staff directionnel, venue en repérage, la sémillante responsable de la structure s’est dit ravie d’être accueillie dans l’Yonne, du 10 au 12 octobre prochain.

La logistique de cette manifestation à laquelle devrait prendre part une centaine de représentantes de ce mouvement international incombe à la délégation icaunaise de Femmes Leaders, conduite par Charline LENFANT, figure emblématique de l’entrepreneuriat et de la vie associative de notre territoire.

Les séances de travail profiteront d’un cadre chaleureux et fonctionnel : le château de Villefargeau, en périphérie de l’agglomération auxerroise. Une réception officielle, à l’Hôtel Ribière, facilitera la relation avec les institutions officielles de la ville.

Faire vivre la complémentarité plutôt que la parité entre les deux sexes…

Apparue en 2000, sous l’impulsion de Nicole BARBIN, l’entité associative repose sur un précepte légitime : faire progresser la place et le rôle des représentantes de la gent féminine parmi la société. Ici foin de parité dans le crédo éthique de l’association mais plutôt place à la complémentarité entre les deux sexes !

Travaillant à la promotion et à l’application des droits hommes/femmes, ce réseau bénéficie désormais d’une large influence parmi les strates de la société.

Composé d’un effectif croissant de plus de 500 femmes réparties dans une quinzaine d’états, le mouvement Femmes Leaders Mondiales est force de proposition sur les sujets fondamentaux de notre époque. A savoir l’économie, la santé, le travail, l’éducation, la création, les nouvelles technologies. La liste est loin d’être exhaustive tant ces femmes, passionnées et passionnantes, veulent exprimer des choses ; pour le bienfait de notre société.

Intégrer ce réseau d’influence est simple. Il suffit d’être coopter par deux marraines et d’être « sympathique », comme se plaît à le dire la souriante Nicole BARBIN pour prétendre postuler.

Les notions de respect mutuel, d’altruisme, de solidarité englobent les valeurs intrinsèques de la structure. Femmes Leaders Mondiales peut s’intéresser à des thématiques aussi disparates que le micro crédit à l’utilisation des cellules souches ou à la présence de l’argent démonétisé dans notre environnement.

La sensibilisation aux dons d’organe et la bonne maîtrise de la nutrition supposent aussi des conférences. Que les membres de ce mouvement organisent en parfaite professionnelle de la communication qu’elles sont, s’appuyant sur les travaux des plus grands experts en la matière et une large couverture médiatique.

« Osez » : le thème fort de ce futur congrès…

Le pôle de convergence de ce prochain congrès international se fera autour d’une thématique forte : « osez » ! Devant la qualité et l’intensité des échanges proposés d’ordinaire, on peut aisément imaginer que ces femmes de toutes origines et conditions sociales éclectiques auront des éléments à faire valoir lors de ces futurs travaux…


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Organisée par la Chambre régionale d’agriculture et CERFRANCE Bourgogne Franche-Comté, avec le soutien de la Région et de l’Etat, cette conférence ouverte aux exégètes de la filière agricole s’est déroulée en présence de Bernard SCHMELTZ, préfet de la région Bourgogne-Franche-Comté et de Marie-Guite DUFAY, présidente de la Région. Une excellente opportunité pour échanger sur les pistes concrètes à mettre en place dans cette lutte inégale que l’humain livre aux modifications climatiques…

DIJON (Côte d’Or) : Comment les professionnels du monde agricole peuvent-ils faire face à la récurrente problématique du moment : à savoir les évolutions inhérentes au changement climatique ?

Près de deux cents décideurs de la filière étaient conviés dans l’hémicycle de l’Hôtel de la Région pour en débattre. Et surtout découvrir les résultats peu satisfaisants obtenus par la filière après une année 2018 qui restera particulièrement complexe. Tant pour sa sécheresse persistante que pour les effets dévastateurs observés dans notre région du fait d’un épisode de canicule très spectaculaire.

Un printemps très pluvieux suivi d’une sécheresse estivale et automnale avec des températures élevées : le tableau météorologique de l’année dernière n’a pas prêté à l’optimisme. Les agriculteurs ont été en première ligne, côté dégâts !

Toutefois, sur les plateaux, certaines récoltes ont été satisfaisantes. A l’identique des fourrages de printemps. A contrario, les rendements se sont révélés médiocres dans les plaines et pour les prairies après juillet.

Pire : les éleveurs ont dû acheter des aliments pour compléter les rations à fournir à leurs animaux. Des cours élevés ont limité la dégradation des résultats pour les grandes cultures (le résultat courant 2018, estimé par actif familial, s’élève à 22 000 euros) et le lait de plaine (résultat courant : 18 000 euros).

L’élevage allaitant, les coûts alimentaires élevés et les cours bas se sont cumulés. Engendrant la baisse des revenus qui perdure (résultat courant : 9 000 euros). Heureusement, les AOP régionales viticoles et fromagères du massif jurassien affichent toujours une belle santé, avec des résultats courants respectivement de 60 000 euros et 27 000 euros.

Dans ce contexte, particulièrement âpre pour la profession agricole, plusieurs pistes de réflexion ont été envisagées : évolution des itinéraires techniques, écoconception des bâtiments, sélection variétale, lutte contre de nouveaux ravageurs, développement de l’autonomie alimentaire et réorganisation des filières.

A noter : l’intervention de Nathalie BREDA. La co-directrice du programme INRA, « adaptation de l’agriculture et de la forêt au changement climatique » a ouvert le champ des possibles. En présentant des scénarii de changements, leurs conséquences et les perspectives d’adaptation à long terme.

 


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Le président du Sénat Gérard LARCHER revient dans l’Yonne ce lundi 24 juin. Trois mois après sa dernière visite. Donnant une suite favorable à l’invitation lancée conjointement par la sénatrice Dominique VERIEN et le député Guillaume LARRIVE. C’est le couple Evelyne et Didier CHAPUIS qui accueillera la délégation sénatoriale dans l’une de ses unités de production du groupe des FESTINS de Bourgogne. Une excellente opportunité pour l’un des chefs de file des Républicains de découvrir l’un des fleurons de l’artisanat de l’Yonne et de pouvoir s’entretenir avec des acteurs de l’économie…

APPOIGNY : Mais qu’est-ce qui justifie la venue du troisième personnage de l’Etat, à savoir le président du Sénat Gérard LARCHER, dans les locaux de l’entreprise FESTINS de Bourgogne ?

A la question, brut de décoffrage, posée à son dirigeant, l’artisan entrepreneur Didier CHAPUIS de répondre avec ce zeste d’humour qui le caractérise si bien : « C’est simple : c’est la courte distance de quatre kilomètres qui sépare notre unité de production de l’axe autoroutier ! ».

Celles et ceux qui connaissent ce puriste de l’art de vivre à la française et se délectent volontiers de ces savoureux canapés lors des mondanités qui ponctuent les rendez-vous liés à l’actualité institutionnelle et économique de notre département le savent très bien.

FESTINS est devenue en l’espace d’un peu plus de deux décennies une entreprise modèle et référente en la matière. Celle du traiteur et de la réception goûteuse !

 

 

Sur le site de la maison mère, à Chemilly-sur-Yonne, dans lequel en 2015, alors ministre du Travail, ce même Gérard LARCHER avait déjà découvert les multiples facettes culinaires de ce faiseur de recettes succulentes. Aujourd’hui encore, elles font florès. Parmi les collectivités et les entreprises qui ont recours à ses services. Mais, également, auprès du commun des mortels, qui est soucieux de magnifier une cérémonie nuptiale ou un anniversaire.

Sur le site d’Appoigny où se rendra ce lundi 24 juin l’une des figures emblématiques des Républicains. C’est là, aux côtés d’Evelyne et Didier CHAPUIS, ainsi que de leur fils, Mathieu, directeur commercial et instigateur de la nouvelle marque de produits prêts à consommer, « TOCTOQUE », que le troisième personnage de l’Etat se plongera dans les arcanes de cette belle aventure humaine et professionnelle. Soit dit en passant : une réussite.

Répondant de manière positive à l’invitation de la sénatrice de l’Yonne, Dominique VERIEN, et du député de la première circonscription icaunaise, Guillaume LARRIVE, le président du Sénat a donc biffé sur son agenda que l’on sait très garni ce rendez-vous qu’il donne aux milieux économiques de l’Yonne.

Un programme tiré au cordeau en trois points…

C’est le deuxième déplacement que Gérard LARCHER réalise ce semestre dans la partie la plus septentrionale de la Bourgogne. Il avait honoré de sa présence, le 23 mars dernier, l’assemblée générale de l’AMF, l’Association des maires de l’Yonne, présidée par Mahfoud AOMAR.

Concrètement, cette visite sera ponctuée de trois temps forts selon les détails fournis par le communiqué de presse, tombé en début de l’après-midi.

La visite de l’entreprise FESTINS de Bourgogne (plus exactement de sa filiale, « Au Plaisir des Mets » qui prépare les plateaux repas servis à bord des lignes ferroviaires du Thalys et de l’Eurostar) débutera ce déplacement.

Puis, au même endroit, sera proposé un échange de plus d’une heure avec les forces vives de la sphère économique départementale. D’ores et déjà, une centaine d’entrepreneurs y sont attendus.

Enfin, l’après-midi se déroulera au Centre culturel de Saint-Georges-sur-Baulche. Là, Gérard LARCHER s’entretiendra avec les édiles et élus de l’Yonne. Un échange, certes moins économique mais que l’on imagine aisément plus constructif au plan institutionnel. Voire politique…

 

 


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Structure professionnelle vouée à la formation aux métiers de la sécurité et de la protection rapprochée, SF3PRO passe à la vitesse supérieure. Deux ans à peine après s’être constituée. Accueillie au sein du complexe EURIPOLE, le centre d’affaires en phase exponentielle en termes de croissance, la SAS de Philippe MERCHICA se dote d’une piste d’entraînement flambant neuve qui sera opérationnelle dès septembre. L’achat d’un terrain situé en zone des Vauguillettes auprès de la Communauté du Grand Sénonais devrait très vite s’amortir tant les marchés de cette TPE de service enregistrent de réelles évolutions…

SENS: Spécialiste de la protection physique des personnes, ce que l’on nomme communément la protection rapprochée, SF3PRO prépare un nouvel épisode de sa jeune carrière pourtant bien remplie. L’entité conduite par Philippe MERCHICA profitera d’ici peu des avantages d’une nouvelle infrastructure. Celle-ci devant compléter son siège social : une piste d’entraînement qui est phase terminale d’aménagement en zone des Vauguillettes.

Là, clients nationaux et internationaux de ce prestataire de services auront tout le loisir de s’aguerrir aux ultimes nouveautés en matière de protection. Agrée par le CNAPS, le Conseil national des activités privées de securité, l’entreprise emploie six collaborateurs. Elle multipliera désormais les initiatives en matière d’entraînement. Sur la nouvelle piste bitumée, des exercices de précision et techniques s’y dérouleront.

Une entreprise initialement basée à Paris...

Fondée dans la capitale de l’Hexagone, avec le concours d’un associé, Gilles APPRAHAMIAN, SF3PRO s’appuie sur l’expérience et la qualité professionnelles de free-lance. Nonobstant, l’ensemble de ces formateurs, aguerris aux techniques les plus évolutives de la protection, sont issues de la filière sécurité. Parfois, ce sont d’anciens policiers en reconversion. 

Soutenu financièrement par la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté, le centre de formation supportera in fine un investissement d’environ 150 000 euros pour rendre conforme sa piste d’entraînement à ses objectifs. Un site ô combien névralgique, désormais, servant à assurer le développement de la SAS.

Déclinant des offres cousues main aux besoins toujours renouvelés du marché, SF3PRO développe des prestations proches des entreprises et collectivités. Celles qui ont des attentes spécifiques pour leurs agents de protection en matière d’innovation pédagogique. 

Ainsi, le plateau formatif du Sénonais, officialisé en septembre, recevra des stages d’une durée appréciable à l’instar du CQP (Certificat de qualification professionnelle), propre aux métiers d’agents de la protection physique.

Outre le renouvellement des cartes professionnelles des agents déjà assermentés, l’entreprise de Philippe MERCHICA programme d’autres activités techniques : comme la sensibilisation au métier de conducteur de sécurité.

« On a développé également la gestion des risques et des conflits, notamment ceux liés à la menace terroriste, confie-t-il, et ce grâce à des modules spécifiques qui ont forgé notre savoir-faire…. ».

Et surtout la réputation d’une entreprise qui voit la sienne dépasser largement nos frontières…

Un article réalisé en partenariat

avec la Communauté du Grand Sénonais et la Ville de Sens…


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« Travailler plus pour gagner plus…». La rhétorique fit sensation sous la gouvernance du président Nicolas SARKOZY. Mais, le Premier ministre initial de l’ère MITTERRAND, Pierre MAUROY, nous asséna dès 1981 qu’il était beaucoup plus sage de travailler moins. En aménageant par exemple le temps de travail. Il fut alors amputé d’une heure symbolique, passant de 40 à 39 heures  hebdomadaires. Avant que ne s’engouffrent dans la brèche Martine AUBRY et Lionel JOSPIN. Tous deux optèrent pour une diminution plus drastique de la durée du labeur en France. Ainsi naquirent les incontournables 35 heures dont tout le monde se fit écho autour de nous mais que personne n’adopta jamais dans les pays occidentaux ! Peut-être, entendrons-nous bientôt fleurir à nos oreilles la formule suivante : « Travailler moins et gagner plus »...

TRIBUNE : Aujourd’hui, nous avons maintenu la semaine de 35 heures. Toutes les statistiques le confirment : nous sommes le peuple où l’on travaille le moins en Europe et où le chômage est le plus élevé. Dont acte. 
Donc qui va travailler plus ? Là encore, l’égalité ne règne pas.

La Cour des Comptes pointe régulièrement du doigt les abus que l’on trouve parmi certains organismes publics, parapublics et autres sur le plan du temps de travail. Il y a quelques années, Zoé SHEPARD, fonctionnaire d’une administration régionale, écrivit un livre au titre provocateur : « Absolument débordée !».

Elle décrivait le rythme de travail dans l’administration de la région où elle avait la chance, sinon de travailler, du moins d’être présente et de toucher un salaire à la fin du mois.

Évidemment, ce livre connu un relatif succès et fut à l’origine d’un profond scandale. Que pensez-vous qu’il arriva ?

Après sa publication, on aurait pu penser que les présidents de Région se seraient réunis pour faire effectuer un audit sur le travail dans leur administration respective. Afin de prendre les mesures qui s’imposaient pour valoriser une productivité quelque peu désastreuse. Ne rêvez pas !

L’auteure de l’ouvrage fut mise à pied pendant quelques mois. Souvenons-nous que Guy BEART chantait en son temps : « Il a dit la vérité, il faut l’exécuter… ».

Le mot « égalité » serait-il hermétique à une application dans le travail…

L’émission « Capital » a dénoncé les formidables inégalités de situation qui règnent entre des employés qui effectuent le même travail. Suivant qu’ils fassent partie d’une grande structure ou bien qu’ils soient employés d’une TPE, voire d’une structure indépendante. Le mot « égalité » qui, en France, est écrit sur tous les bâtiments publics et apposés sur tous les documents administratifs demeure, et on ne peut que le déplorer, vide de sens.

Pour travailler plus, je préconise une solution simple et facile. Mais, pour cela, voyons comment est rythmée la vie des hommes et des entreprises en France. Le début de l’année n’est pas le 01er janvier mais bel et bien le 01er septembre après la longue trêve estivale. A la rentrée, la France se remet péniblement au travail. Mais, moins de deux mois plus tard, ce sont déjà les vacances d’automne. Début novembre, la tâche reprend doucement mais, attention, à partir du 15 décembre, les fêtes de fin d’année se profilent à l’horizon. On entend alors cette antienne : « on verra ça, après les fêtes !». Pathétique !

Tirer un trait définitif sur les ponts serait souhaitable…

Début janvier, une fois passée la trêve des confiseurs, c’est le retour au boulot. Sans conviction, aucune. Arrivent ensuite les congés de février. On repart tant bien que mal. Mais attention, les fêtes de Pâques se manifestent avec les absences habituelles, une fois de plus, liées aux zones géographiques. C’est une pagaille sans fin pour toutes les strates de l’économie française.

Puis, « le Grand Cirque national » recommence : ce sont les jours fériés innombrables avec ponts et viaducs à profusion. Enfin, en bout de course, la mi-juin réveille en nous d’insondables envies qui refont surface : l’été est là !

La période qui court d’avril à septembre constitue un vrai désastre économique. Les vacances et les ponts s’incrustent dans les esprits, cassant le rythme indispensable pour conserver l’efficience professionnelle.

Ce que je préconise ne coûte rien. Cela n’exige aucun sacrifice des Français. Mieux, cela pourrait rapporter gros à qui veut l’entendre ! Il faut tirer un trait définitif sur les ponts sans supprimer les jours de congés.

La fête du Travail ne tomberait plus le 01er mai mais le premier lundi de mai. Puis, comme l’avait pratiqué le président Giscard d’Estaing, sans que personne n’y trouve à redire, l’anniversaire de l’Armistice de la dernière guerre, le 08 mai, serait supprimé.

Si l’on a peur d’un mouvement contestataire de « Gilets tricolores », on appliquerait alors la règle à l’instar du 01ermai. C’est-à-dire que ce serait le deuxième lundi de mai et l’on appellerait cela la fête de la réconciliation franco-allemande. Le jour férié de l’Ascension serait déplacé au vendredi. Il ne serait plus figé de manière systématique dans le calendrier, un jeudi. Il suffirait d’une entente tacite avec le Vatican pour que ce principe puisse s’animer. D’ailleurs, qui connaît encore en France la signification exacte de l’Ascension ?
Enfin, puisque le lundi de Pentecôte a été supprimé de manière ambigüe, engendrant un flottement caractéristique dans les entreprises, faisons en sorte que ce jour-là ne soit plus un jour férié pour tous les Français. Fonctionnant à géométrie variable, son application représente une véritable absurdité pour le commun des mortels qui essaient d’y voir clair !

Espérons que tôt ou tard la bien-pensance du grand think tank gouvernemental que représente « France Stratégie », puisse apporter des réponses concrètes sur un sujet qui divise et concerne les Français…

Emmanuel RACINE

 


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