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Nos politiques sont en panne de créativité ! Ils cherchent des solutions pour l’après crise. Sans pouvoir se mettre d’accord sur les méthodes d’investigation, de travail, de résolution de problème, de démarche… Ils nous rebattent les oreilles avec les bonnes vieilles méthodes du passé qui, devenues obsolètes, ne leurrent que celles et ceux qui manquent d’imagination…

TRIBUNE : La planète se voile la face en peignant, inconsciemment la dystopie du monde de demain. A la manière de nos grands-mères, nos dirigeants rapiècent de vieux pantalons usagés, décrépis et irrécupérables !

A l’échelle de l’Europe, ils sont incapables d’inventer l’avenir. Les gouvernants reprennent les vielles solutions économiques et sociales d’hier. Les responsables européens nous parlent d’instaurer un plan « Marshall ». Mais, quel est le rapport avec 1945 ?

Faut-il inonder l’Europe (Etats, entreprises) de crédits ? Pour acheter quoi et surtout à qui ? Pour aggraver les déficits commerciaux ? Une politique de l’offre est aujourd’hui tout aussi vouée à l’échec qu’une politique de la demande ! Aucune d’entre elle ne pourra contenir une évolution forte du chômage. Seule une nouvelle méthode de répartition des richesses semble urgente face à la stagflation (récession et inflation) qui menace.

Faut-il injecter des capitaux en masse pour relancer l’économie ? Une soi-disant solution miracle pour la relance, vaine théorie keynésienne, qui n‘a jamais prouvée son efficacité. Mais hélas, elle a aujourd’hui la faveur de nos politiques pseudo-libérales !

Alors, est-ce qu’il faut revenir à Friedman avec la théorie monétariste et le laisser-faire, prêche contre Keynes et la « non-intervention » de l’Etat dans l’économie ! Cela ne peut pas marcher.

Les contribuables, sur pression de l’Etat, ont sauvé les banques après la crise de 2008 ! Nous ne pourrons pas rééditer l’exploit !  Quelles seraient les solutions efficientes pour faire face à une situation inédite dans notre histoire ? Un environnement tumultueux qui cumule une crise sanitaire, sociale, financière et économique. Il ne trouve aucune équivalence donc aucune solution passée dont on pourrait s’inspirer.

 

Inventer l’avenir, c’est imaginer ensemble le monde que l’on souhaite…

 

Techniquement, on retrouve de la stagflation. C’est-à-dire un surendettement global (Etat, entreprise, particulier…), une pauvreté grandissante (600 morts de froid chaque année), une immigration non maîtrisée, un environnement naturel en pleine déliquescence… Les risques de fascisme et de totalitarisme ne sont peut-être pas si loin.

Le locataire de l’Elysée est clair dans ses aspirations pour les Français, lorsqu’il affirmait il y a peu : « La Coupe du monde est réussie quand elle est gagnée ». En conséquence, seule la victoire compte…pour les vainqueurs !

Or, la richesse des uns devient le résultat de la performance individuelle alors que la misère et la pauvreté des autres illustrent leur incapacité à s’adapter et à devenir riche !

Pire encore : le monde voulu par notre président se résume à cette injonction : « Il faut que les jeunes aient envie de devenir milliardaire… ».

Encore faut-il avoir un échantillon personnel à présenter ! Une subtile stratégie encore appelée « mythe de la performance » qui dépolitise les problèmes et évacue toute question de justice sociale.

Inventer l’avenir, c’est se projeter demain. Imaginer ensemble le monde que l’on souhaite, afin de décliner les actions à mener, sans aucune référence aux solutions du passé.

Alors le moment présent, dans l’action, deviendra la valeur actualisée du futur. Nos capacités créatrices sont mises à rude épreuve : quelle place pour l’individu, quelles valeurs doivent prédominer (au lieu de la sempiternelle itération de « liberté-égalité-fraternité » qui hélas demeure trop souvent lettre morte) ?

Quelle est la place de la France dans le concert européen ? Quelles doivent être les formes de solidarité et d’équité entre les peuples ? Peut-on imaginer une économie de partage, sans croissance et sans déficit budgétaire ? Oui, bien sûr !

Mais en associant les forces vives de ces spécialités : scientifiques, économiques, sociologiques…afin d’éclairer et d’affirmer la volonté du peuple !

On ne peut plus confier les clefs du pouvoir à une seule personne, élue par une minorité de citoyens qui jouerait notre avenir à pile ou face : « pile je gagne, face tu perds ! ».

Souvenons-nous de la citation de l’économiste David CAYLA : « Les économistes me font penser aux conquistadors qui dévastèrent des civilisations entières au nom de la quête des cités d’or…».

Jean-Paul ALLOU

 


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Globalement, les dispositifs d’accompagnement mis en œuvre au profit des entreprises devraient s’élever à plus d’un milliard d’euros pour cette banque. Ce chiffre traduit la réactivité de l’établissement à vouloir s’engouffrer dans la brèche de la solidarité. Dès le 25 mars, date de la mise en place du Prêt garanti par l’Etat (PGE), le réseau mutualiste répondait aux attentes des entreprises qui en exprimaient le besoin. Au 06 avril, elle avait accordée plus de mille PGE pour cent millions d’euros d’encours.

DIJON : Précisons tout de go, que ces montants s’ajoutent aux 250 millions d’euros d’échéances reportées depuis le début de la crise. Quoi qu’il en soit, le réseau de la Banque Populaire a décidé de ne pas rester inactif dans la période actuelle en apportant des solutions adaptées aussi bien pour les ménages que dans l’intérêt des entreprises.

Pour ces dernières, l’établissement bancaire a conçu un programme d’accompagnement sur mesure. Il s’articule en plusieurs items : le report au cas par cas et ce jusqu’à six mois pour les remboursements des crédits, l’assurance de contacts avec un conseiller sous un délai de 48 heures maximum, être un appui dans l’accélération de la prise en charge des dossiers de sinistres et leurs indemnisations, proposer des dispositifs sécurisés de fonctionnement à distance et être le relais dans la distribution des prêts garantis par l’Etat, les fameux PGE.

En parallèle, la banque diffuse une analyse quotidienne des marchés financiers. Afin de suivre en temps réel les évolutions de ceux-ci dans le contexte si particulier que nous connaissons.

 

85 % des agences continuent d’offrir leurs services…

 

Le réseau a fait le choix de laisser des équipes présentes sur le terrain. En continuant à servir et à recevoir les clients tout en tenant compte des mesures barrières. La liste des agences ouvertes est d’ailleurs consultable sur le site de la banque.

Aucun risque de pénurie par ailleurs n’est à prévoir pour les distributeurs qui ne manqueront pas d’argent : le réapprovisionnement est assuré de manière régulière et l’accès aux GAB s’effectue normalement pour celles et ceux qui sont en quête de liquidités.

Toutefois, les responsables de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté, à l’instar de Yann NUNES, directeur régional de l’Yonne, invite la clientèle à privilégier les solutions de paiement sans contact. Ils permettent avec la carte bancaire de réaliser ses achats de manière totalement sécurisée et sans manipuler d’espèces afin d’éviter les contacts physiques.

L’usage des services à distance offre le respect des mesures de limitation de déplacements voulues par le gouvernement. Ils se conçoivent par téléphone ou par e-mail, ou via le centre de relation clientèle au 03.80.48.50.00. (Appel non surtaxé).

Enfin, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté est très attentive à la recrudescence de la fraude numérique (phishing).

Elle rappelle à ses sociétaires et clients qu’elle ne demande jamais d’information par mail comme des identifiants ou mots de passe, des éléments sur une carte bancaire ou encore les codes de validation d’achat sur Internet.

L’établissement régional a su faire montre de solidarité en octroyant dernièrement une dotation de 32 000 masques de protection au centre hospitalier et universitaire de Dijon afin qu’ils soient distribués aux soignants du territoire…

 


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La première de ces livraisons en provenance de Chine via Marseille est arrivée ce vendredi 10 avril dans la capitale régionale. La majeure partie de son contenu, soit ces fameux masques de protection espérés depuis si longtemps, équipera les EHPAD et les services de soins à domicile…

DIJON : Composée d’un million de masques de types chirurgicaux, cette cargaison à destination des professionnels de santé a été réceptionnée par la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY, ce vendredi en fin de journée.

Conçue en Chine dans une usine de Shanghai, la marchandise a transité par l’aéroport de Marseille-Marignane avant d’être acheminée par camion dans la capitale bourguignonne en fin d’après-midi.

Ce n’est que la première étape du processus d’approvisionnement des EHPAD et autres services de soins à domicile. D’autres masques sont encore attendus dans les jours prochains.

 

 

Ce sont en effet quatre millions de ces précieux ustensiles qui ont été commandés par l’institution régionale pour un engagement de crédits à hauteur de trois millions d’euros.

Les Conseils départementaux en prendront possession ce week-end, avant de les distribuer dans les différents établissements médico-sociaux.

L’Yonne percevra une dotation de 50 000 unités. Cent mille de ces produits alimenteront les réserves des grossistes pour les pharmacies…

 

 

 

 


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La procédure se voulait inédite. Et elle le fut. Sans qu’il n’y ait trop d’anicroches à redire au plan technique. Si ce n’est parfois une qualité sonore déficiente et perturbée par de sympathiques gazouillis d’oiseaux pour celles et ceux des élus qui avaient choisi de travailler depuis leur jardin !  Sans surprise, et malgré le refus de quatre conseillers d’y prendre part, le budget primitif 2020 a été entériné par trente-deux voix positives contre trois oppositions et deux abstentions. Un élu n’a pas souhaité prendre part au vote. Toutefois, des adaptations significatives seront nécessaires, compte tenu du contexte actuel…

AUXERRE : Au terme de cette séance de travail insolite, longue de quatre heures de débats et d’objections, le président de l’hémicycle départemental Patrick GENDRAUD se montrait satisfait de la tournure des opérations.

« Il n’y a pas eu de fausses notes, déclara-t-il soulagé à ses interlocuteurs dont il n’aura entendu que le timbre de la voix à distance téléphonique.

L’organisation d’une audioconférence qui devait réunir trente-huit conseillers départementaux sur les quarante-deux membres de l’assemblée dans les conditions du direct aura nécessité son lot de prouesses technologiques pour mener à bien ce rendez-vous qualifié d’important.

C’était un pari audacieux pour le patron de l’exécutif départemental. Il s’en était expliqué en préambule dès le début de la session : « En tant que démocrate, je tenais à faire voter le budget de l’institution départementale, COVID 19 ou pas, sur la base des orientations initiales préconisées le 07 février dernier… ». Et poursuivre ainsi le travail de la vie institutionnelle et politique de notre territoire.

Certes, ce choix des retrouvailles électroniques n’aura pas fait l’objet d’un consensus unanime. Trente-trois conseillers départementaux avaient choisi de se prêter à l’exercice même si l’un d’entre eux qui restera sous le couvert de l’anonymat (?!) décida de ne pas prendre part finalement au scrutin. Néanmoins, quatre autres noms manquaient à l’appel sur le registre des présences. Dont ceux, entre autres, de plusieurs éléments du groupe des indépendants.

 

Un budget prématuré dont les orientations vont voler en éclats ?

 

Patrick GENDRAUD y fit allusion après coup : « J’espère que les quelques-uns qui ont adopté une posture de boycott comprendront l’impérieuse nécessité de s’adapter aux circonstances et qu’il est nécessaire de travailler davantage pour l’Yonne et ses habitants pendant la crise actuelle… ». Dont acte.

Sans doute, ces élus réfractaires à la tenue de ce dispositif numérique exceptionnel n’ont-ils pas estimé nécessaire de trancher en faveur d’un budget primitif qui ne prenait pas en compte la réalité de l’instant ? Ce fut en tout cas l’un des arguments avancés par l’élu socialiste, Nicolas SORET, bien présent quant à lui  lors de ces échanges qui ne vota pas favorablement ce budget.

« Le véritable débat aura lieu plus tard, précisa le nouveau maire de Joigny, avec de telles incertitudes auxquelles nous sommes confrontées à l’heure actuelle, il est difficile de parler de recettes et de dépenses… ».

Et l’élu du Jovinien de conclure : « Ces orientations budgétaires vont voler en éclats, car il nous faudra travailler au moment opportun sur les choix réels que nous devrons prendre… ».

Pour autant, et malgré ces rares voix discordantes (il y eut également celles de Françoise ROURE et de Delphine GREMY qui votèrent contre le budget), le président du Conseil départemental ne put que se féliciter du résultat positif obtenu en fin de séance. Au moment de clore le chapitre, une très large majorité se dégageait de ce choix démocratique. Analyse de l’intéressé :

« Je l’ai toujours dit : la majorité, ce sont les élus qui votent le budget. Les expressions négatives sont légitimes. Mais s’il ne faut pas les ignorer, il ne faut pas non plus les promouvoir à l’excès et les considérer comme partagées… ».

 

Un plan d’action départemental arrêté avant juillet…

 

Ayant obtenu gain de cause, Patrick GENDRAUD se projette désormais vers l’étape suivante de ce processus budgétaire à finaliser. Car, comme beaucoup l’ont dit durant les échanges téléphoniques, il sera indispensable d’adapter la copie à la réalité du terrain qui est en proie aux affres du doute et de l’incertitude.

Un plan d’action départemental au profit de l’Yonne et de ses habitants est en phase d’ébauche. Sa substance pourrait être connue avant le 15 juillet. D’ici là, les présidents de commissions mobiliseront leurs troupes afin d’étudier toutes les propositions qui s’imposent. Selon les besoins du terrain et des capacités d’intervention de l’organe institutionnel.

On prévoit déjà l’achat d’équipements de protection et de décliner différentes voies de soutien auprès des entreprises qui en feraient la demande.

Bref : le plus dur commence pour le Département de l’Yonne qui doit poursuivre ses missions régaliennes puisées sous le sceau de la démocratie tout en demeurant au service des habitants de son territoire…

 

 


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Les consignes sont, on ne peut plus claires. Il est illusoire de croire que le week-end de Pâques servira de fallacieux prétexte pour quelques-uns d’entre nous qui auraient des fourmis dans les jambes et l’irrésistible envie de se carapater à la campagne dans sa résidence secondaire. Le confinement doit s’effectuer stricto sensu sur le lieu initial où il a été commencé…Ce ne sont pas les représentants des forces de l’ordre qui diront le contraire !

AUXERRE: Dans le département de l’Yonne comme sur l’ensemble de l’Hexagone, la mobilisation est quasi générale chez les forces de l’ordre. Surtout à la veille du week-end de Pâques, l’un des plus animés côté fréquentation routière en temps normal.

Le contexte si particulier de ces fêtes pascales 2020 engendre des mesures d’exception sur les autoroutes et routes de France. Les contrôles vont se renforcer en cette période propice aux vacances, d’ordinaire.

Le préfet de l’Yonne Henri PREVOST l’a rappelé lors de son dernier point presse de jeudi : il y aura une très forte présence implicative de la part des gendarmes et des policiers durant cette période, synonyme de départs. Mais, là, il s’agira de faire respecter l’application des mesures du confinement.

Du côté de la gendarmerie, ce sont trente patrouilles qui suivront l’évolution en temps réel de la circulation routière. De manière dynamique avec les forces motorisées mais aussi sur des points fixes.  

Si le ruban d’asphalte que forme l’A 6 Paris Lyon restera l’axe de communication à privilégier en priorité, il n’empêche que les hommes du responsable du groupement de la gendarmerie de l’Yonne, le colonel Rénald BOISMOREAU, surveilleront avec la dextérité qu’on leur connaît le réseau routier national et départemental ainsi que les zones touristiques et sites de résidences secondaires.

 

 

Contrôler les points stratégiques de jour comme de nuit…

 

Toute infraction au dernier arrêté préfectoral signé hier est passible de sanctions selon les lois et règlements en vigueur, à savoir une amende de 135 euros (contravention de 4ème classe). La note s’alourdit en cas de récidive (200 euros) et lorsqu’une personne est verbalisée à plus de trois reprises dans les trente jours, elle encourt six mois de prison et de 3 750 euros d’amende  ainsi que deux peines complémentaires, l’exécution d’un travail d’intérêt général et la suspension du permis de conduire pour trois ans maximum…

Le préfet a également demandé aux forces de l’ordre de renforcer les contrôles, de jour comme de nuit, de points névralgiques tels que les péages, les gares, les entrées de villes.    

Directeur départemental de la sécurité publique, le commissaire divisionnaire Raphaël JUGE a, quant à lui, rappelé qu’une dizaine de patrouilles de la police nationale assuraient une surveillance stricte à Auxerre comme à Sens. Trois objectifs définissent leurs missions : le respect des mesures de confinement à l’aide de contrôles fixes et mobiles (piétons), la sécurité routière et les services de police secours, notamment dans le cadre de tapages et violences. A ce titre, 120 appels ont ainsi été recensés au cours des dernières vingt-quatre heures.

 

 


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