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Un SOS vient d’être lancé par le CNPA pour préserver la pérennité des stations-service en France ! Onze mille de ces structures répertoriées dans l’Hexagone doivent très rapidement répondre au contexte du moment : celui de l’essor des véhicules électriques et du déclin des ventes de carburants. En ajustant leur stratégie !

 

PARIS : Elles n’ont pas d’autres alternatives que de s’adapter à la réalité des enjeux environnementaux, les stations-service de France et de Navarre. Sous peine de mettre la clé sous le paillasson et de déposer le bilan pour celles et ceux de leurs gérants qui en assument la gestion.

Les onze mille stations-service françaises doivent faire face très rapidement à la constante progression des ventes des véhicules électriques qui induit la diminution radicale des ventes de carburants.

D’ici une quinzaine d’années, peut-être moins selon les spécialistes, la moitié de ces points vitaux de toute une économie (on pense volontiers aux zones rurales) auront disparu du paysage si elles ne s’acclimatent pas aux nouveaux enjeux de la société.

Dans le domaine de l’implantation de bornes de recharge électrique, la grande distribution et les réseaux d’autoroute semblent être prêts à relever le défi. En installant ces points d’alimentation nécessaires au développement des véhicules électriques.

 

 

Or, beaucoup de petites stations-service indépendantes ne se positionnent pas sur ce même créneau. Conséquence à cette configuration funeste : vingt mille emplois sont désormais dans la balance et pourraient être remis en question dans un avenir proche.

Au niveau syndical, le CNPA (Conseil national des professions de l’automobile) plaide en faveur d’un fonds de modernisation permettant d’accompagner les structures dans leur transition énergétique. Un fonds de solidarité sera également accessible à un grand nombre de ces structures, sous certaines conditions définies par l’Etat. Il faut agir très vite car il y a réellement péril en la demeure sur ce secteur d’activité qui ne fait pas les manchettes des médias...

 

Thierry BRET et Jean-Paul ALLOU

 

 


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Troquer les saveurs subtiles des Roussette ou des Chignin-Bergeron de Savoie pour les nectars minéralisés offerts par les Chablis ne manqueront pas de convenir à cet épicurien, amateur de bonne cuisine et sensible aux relations humaines. A 58 ans, le Nordiste Jean-Pierre MASCLET poursuit son tour de France professionnel tel un compagnon du Devoir en perpétuel apprentissage. Ainsi, il vient de poser ses valises à Auxerre où il succède à Nicolas CADIOU, à la direction de l’UDAF de l’Yonne…

 

AUXERRE: Il a côtoyé l’Abbé Pierre. Il a discuté avec bon nombre de migrants arcboutés sur les dunes de SANGATE qui, poussés par un terrible exode, tentaient de fuir le continent vaille que vaille. Il a accueilli des milliers de jeunes gens issus des banlieues franciliennes lors de moments d’oisiveté et de partage dans des centres de vacances et de loisirs. Sans omettre un passage à Taizé, haut lieu de la spiritualité et de la fraternité universelle…

Homme d’esprit et de cœur, le nouveau directeur de l’UDAF de l’Yonne se dévoile très vite au détour d’une simple discussion. Arrivé le 01er mars dans la capitale auxerroise, Jean-Pierre MASCLET marque petit à petit son territoire.

Tâtant le pouls de la vénérable institution associative dont il va désormais prendre les rênes. Son prédécesseur Nicolas CADIOU étant parti sous d’autres cieux.

Benoît VECTEN, président de cette incontournable référence de la vie départementale, n’avait d’autre alternative que de le remplacer. Proposée au Conseil d’administration, la candidature de Jean-Pierre MASCLET a séduit. Avant d’être définitivement adoubée par l’organe consultatif.

Pourtant, le parcours du nouveau responsable n’a jamais croisé par le passé les intérêts de l’UDAF. Orienté professionnellement dans la gestion de l’accueil, l’hébergement et l’insertion des publics en grande difficulté, Jean-Pierre MASCLET possédait nonobstant de solides atouts à faire valoir dans son jeu : des jokers au nom réaliste d’altruisme, de solidarité, d’écoute de l’autre, de développement personnel, d’échange.

 

Des responsabilités importantes au sein d’EMMAUS France…

 

Bref, le personnage est un passionné de l’humain. Une cheville ouvrière du milieu social qui a roulé sa bosse aux quatre coins de l’Hexagone ou presque.

Depuis la Picardie où il officia à Amiens en aidant les jeunes des banlieues à se refaire une virginité sociétale en découvrant le plaisir des vacances à Dunkerque, haut lieu de la célébration carnavalesque et picaresque dont il a apprécié les fastes !

C’est là, dans la ville de l’ancien ministre-maire Michel DELEBARRE que notre homme se rapprochera des compagnons d’EMMAUS.

Dirigeant l’une des antennes du département nordiste. Où il s’intéressera de près à trois branches de l’activité : le social, l’hébergement et l’insertion. Là aussi où sa vision de l’épanouissement de l’humain sera confrontée aux angoisses insupportables de cette noria de migrants refoulés au quotidien dans les dunes de SANGATE.

 

 

 

 

Jean-Pierre MASCLET sera par ailleurs un temps l’un des membres du Conseil d’administration national de l’association caritative fondée par l’Abbé Pierre en 1985.

Un passage sur les terres bretonnes lui offrira la possibilité d’étoffer son cheminement de carrière. Il y dirigera un CHRS, un Centre d’hébergement et de réinsertion sociale. Enfin, il y a Annemasse et la Haute-Savoie. Dernier lieu d’affectation pour cet amoureux de Dame Nature.

 

Veiller au respect des équilibres au sein de la structure…

 

Ensuite, le renouveau du printemps se symbolise par son installation dans le département de l’Yonne.

Jean-Pierre MASCLET n’en connaissait que très peu de choses. Les sempiternels clichés footballistiques et vineux, un point c’est tout !

En intégrant l’UDAF territoriale, il sait que désormais sa mission régalienne est la défense des intérêts des familles. Tout en valorisant le rôle et l’image de cette institution séculaire.

Pour se faire, le nouveau responsable s’appuiera sur le renforcement des actions et de la communication de la structure. En veillant scrupuleusement au respect des équilibres de l’entité.

Créer de nouveaux services, promouvoir le Point conseil budget (PCB) – astucieux outil de pédagogie délivrant ses messages adéquats aux familles qui en ont le plus besoin - et anticiper le futur déménagement du siège social à horizon 2022 s’inscrivent parmi ses axes prioritaires.

Sans omettre le fameux service AGORA (celui qui gère les mesures judiciaires et les tutelles), l’un des bras armés de l’action UDAF dans l’Yonne. Un service qui englobe plus de 2 500 demandes de suivi.

Autre volet qui devrait se raffermir lors de ces prochaines semaines sous l’impulsion de la gouvernance newlook : l’accompagnement des familles au micro-crédit. D’autant que la délégation départementale de l’UDAF (Union départementale des Associations Familiales) a obtenu en octobre 2020 les autorisations officielles pour le déployer dans trois secteurs géographiques : Avallon, Auxerre et Sens.

On le subodore mais l’emploi du temps bien garni de Jean-Pierre MASCLET ne devrait pas lui laisser la moindre minute au vagabondage par la pensée dans les hautes montagnes savoyardes ni sur les coteaux où poussent les vignobles des gouleyants vins de Savoie !

A 58 ans, ce père d’une famille de trois enfants aura bien d’autres occupations à vivre au contact de ces familles icaunaises et du patrimoine territorial. Qu’il soit culturel, naturel ou encore à découvrir dans les arts de vivre. Un autre programme, en somme…

 

Thierry BRET

 

 


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C’est fait ! L’industriel ALSTOM a bel et bien reçu le bordereau de ladite commande émanant de SNCF Voyageurs ce mercredi 07 avril. Une transaction qui a été réalisée pour le compte des quatre grandes régions concernées par ce projet dont la Bourgogne Franche-Comté. Soit un total de douze machines bi-mode électrique et hydrogène. Trois d’entre elles seront affectées à notre territoire. Leurs coûts ? 52 millions d’euros…

 

DIJON (Côte d’Or) : Les douze premiers trains alimentés en énergie électrique et à hydrogène, auxquels il faut ajouter deux rames optionnelles, ont été achetés pour la coquette somme de 190 millions d’euros à ALSTOM ce mercredi 07 avril par SNCF Voyageurs.

Ils l’ont été pour le compte de quatre régions de l’Hexagone. Elles seront les premières à expérimenter ce mode de locomotion novateur sur leur territoire.

Il s’agit de l’Auvergne-Rhône-Alpes, du Grand-Est et de l’Occitanie sans omettre évidement la Bourgogne Franche-Comté.

Cette dernière contrée déploiera trois de ces trains, issus de la gamme Coradia Polyvalent H2, sur ses lignes. Ils circuleront en effet entre Auxerre et Laroche-Migennes. Ils intègreront le premier écosystème régional en France à inclure le train. Un site qui sera basé à Auxerre.

Pour mémoire, la Région Bourgogne Franche-Comté via sa présidente Marie-Guite DUFAY a soutenu l’initiative dès le début. Ce qui correspond à une nouvelle étape dans le déploiement de l’hydrogène en faveur de solutions de mobilité bas carbone.

 

La mutation vers la mobilité hydrogène a commencé dans la région…

 

« Source d'énergie et solution de stockage, l'hydrogène, et notamment l'hydrogène vert, est un moyen non seulement de lutter contre les effets du réchauffement climatique, mais aussi de dynamiser l'emploi, l'attractivité et la croissance de notre région, devait-elle déclarer à l’annonce de cet achat. Pionnière dans cette technologie stratégique, la région a su fédérer les talents et les compétences de la Bourgogne et de la Franche-Comté dans sa mutation vers l'hydrogène… ».

Composé de quatre voitures, ce train newlook, long de 72 mètres, peut accueillir 218 places assises. Il offre des performances et un confort similaires à la plus classique version bi-mode électrique et diesel.  

 

 

Cette commande de trains à hydrogène est la résultante de deux années d'efforts conjoints des différents acteurs du projet. Le train Coradia Polyvalent répond aux exigences de la diversité du réseau ferroviaire français.

Il dispose d'une autonomie pouvant aller jusqu'à 600 kilomètres sur des tronçons de voies non électrifiées.

 

Les bogies sont réalisés au Creusot, les moteurs dans le Doubs…

 

Près de 400 trains Coradia Polyvalent bi-mode électrique-thermique et tout électrique ont été commandés par les régions françaises depuis 2011.

Leur développement assure plus de 2 000 emplois en France pour ALSTOM et ses fournisseurs.

Six des quinze sites industriels implantés en France sont impliqués dans le projet : Reichshoffen (Bas-Rhin) pour la conception et l'assemblage, Ornans (Doubs) pour les moteurs, Le Creusot (Saône-et-Loire) pour les bogies, Tarbes (Hautes-Pyrénées) pour les chaînes de traction et le développement de la propulsion à hydrogène, Villeurbanne (Rhône) pour l'électronique embarquée et Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) pour la conception.

 

Thierry BRET

 


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Dresser un état des lieux positif de l’année touristique écoulée ne devrait pas être chose si facile pour la présidente de l’agence de développement du tourisme dans l’Yonne. Il est vrai que l’activité charnière de tout un pan de l’économie aura été durement impactée depuis mars 2020. L’origine de la cause résulte de la circulation virulente de la COVID-19 et de ses néfastes conséquences…

 

AUXERRE : 2020 aura été une année très complexe à vivre pour le secteur du tourisme. En France comme ailleurs avec sa cascade de désagréments successifs et d’annulations en tout genre, privant les professionnels de recettes salvatrices. Qu’en est-il exactement de la physionomie économique vue depuis le département de l’Yonne ?

C’est l’un des intérêts essentiels de l’assemblée générale, dans sa double formulation ordinaire et extraordinaire, qui sera déclinée en visioconférence ce vendredi après-midi aux alentours de 15h30.

L’agence de développement Yonne Tourisme y présentera par la voix de sa présidente Anne JERUSALEM le bilan des activités observé au cours de ces douze mois à l’estampille 2020 que nul ne pourra vraiment oublier.

Si différents points inscrits à l’ordre du jour induisent des modifications statutaires (notamment l’ajout des modalités organisationnelles des rendez-vous en visioconférence et audioconférence), nécessitant l’ouverture d’une session extraordinaire, le gros morceau de l’après-midi se résumera à la présentation des multiples rapports, moraux, d’activités et financiers.

 

 

Naturellement, et soucieux d’anticiper le retour progressif à la normale, les responsables de Yonne Tourisme évoqueront également les diverses strates de leur plan d’actions 2021.

Ultime étape de ce rendez-vous studieux et constructif avant que ne soient posées les questions diverses. Sans doute très nombreuses émanant des internautes professionnels d’une filière, prête à rouvrir leurs établissements.

 

Thierry BRET

 


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Il ne faut pas se fier à la première impression. Elle n’est pas nécessairement la meilleure des conseillères. La suite de bureaux traversés au pas de charge par la petite délégation qui en a visité le moindre de ses aspects ne signifie nullement que l’activité professionnelle y est absente ! C’est là toute la subtilité du télétravail quand il est réussi. D’ailleurs, chez l’assureur mutualiste régional, la productivité demeure excellente. Que l’on soit à domicile ou sur son lieu de travail !

 

AUXERRE: D’ordinaire, le siège social de la direction départementale de GROUPAMA Paris Val-de-Loire bruisse de mille sonorités. Ces signes de vie traduisent l’effervescence qui y règne.

Tapotements rapides de mains expertes sur les touches d’un clavier, réception d’appels  téléphoniques sans discontinuer afin de résoudre les besoins des sociétaires, voix des occupants qui communiquent des informations : bref, c’est le rythme de croisière d’une entreprise d’assurance et de prévoyance dans son jus quotidien.

Quarante-sept personnes s’y affairent avec âpreté et se répartissent les différents espaces prévus à leur accueil.

Or, ce n’est pourtant pas la vision naturelle qu’aura aperçue le préfet de l’Yonne Henri PREVOST lors de sa récente visite des lieux.

Accompagné de Jean-Michel LOUYER, responsable de l’unité départementale de la DIRECCTE (Direction Régionale de l’Economie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités), le représentant de l’Etat se sera très vite rendu compte que cette enfilade d’espaces professionnels qu’il aura franchie en compagnie de ses hôtes demeurait vide de tout occupant.

Ou presque à de très rares exceptions. Logique, seuls neuf collaborateurs de l’entreprise mutualiste exercent encore leur activité en présentiel. Parce que leurs tâches ne sont pas transposables à leur domicile.

 

 

L’épine dans le pied du télétravail : l’isolement du personnel…

 

Curieux sentiment de solitude pour celles et ceux de ces collaborateurs qui avaient les yeux rivés devant les écrans de leurs ordinateurs au passage de la délégation préfectorale. Pour autant, interrogées par le haut fonctionnaire, ces personnes affichaient plutôt avec un sourire facile de l’enthousiasme à pouvoir exercer leur métier dans ces conditions si inhabituelles. 

Mais, cet isolement est aussi vécu avec appréhension par une large frange des autres employés de la fameuse maison séculaire : celles et ceux qui restent à demeure. La vraie épine dans le pied de ce bel édifice qui se décline sous nos yeux et se nomme le télétravail.

Une activité qui est fortement encouragée depuis le retour du confinement de troisième génération par Henri PREVOST lui-même (à lire l’article consacré à ce sujet à paraître).

Conscient des aspects psychologiques que cette situation peu commune peut engendrer sur le moral de ses « troupes », le directeur d’établissement de GROUPAMA Yonne Jacques BLANCHOT (il est aussi lieutenant-colonel de la réserve citoyenne de la Gendarmerie nationale) a mis en place un système de rotation favorisant le retour avec parcimonie du personnel qui souhaite évacuer leur stress.

 

 

 

 

Ce n’est pas le seul outil dont il utilise les saines vertus. Les managers de la place s’appuient sur des plannings de présence en essayant de redonner un supplément d’âme dans ce lieu qui manque singulièrement de convivialité.

Exit la kyrielle d’opportunités où chacun des salariés pouvait allègrement célébrer une fête ou un anniversaire, partageant le gâteau et le verre d’un nectar de notre terroir !

Fini les accolades et les bises matinales entre collègues afin de se souhaiter la bienvenue : le monde du travail a perdu de sa superbe en termes de relations humaines. Même si quelques velléités de recréer une atmosphère chaleureuse réchauffent les âmes affectées par l’imprévisible.

A l’instar du corner café accueilli sur TEAMS et décliné à distance entre les collaborateurs.

 

 

Tous les indicateurs sont orientés vers le beau fixe…

 

Seul rayon de soleil dans cet univers un peu morne de tant d’absences physiques : les résultats du groupe. La productivité de l’entreprise n’a pas disparu, loin s’en faut. La qualité de service, non plus. Chacun y trouve son compte. Surtout les clients de la société assurantielle devant faire face aux problématiques, nées de sinistres automobiles.

Côté investissement, GROUPAMA Paris Val-de-Loire n’a pas ergoté sur les moyens technologiques pour équiper son personnel afin qu’il puisse exercer ses tâches dans les configurations les plus optimales.

La direction régionale a consacré une enveloppe budgétaire de 800 000 euros à la dotation des 1 600 collaborateurs en matériel numérique adéquat : écrans, unités et webcams ! D’ailleurs, d’ici peu, de nouvelles webcams seront déployées sur le territoire. 

Commentaire avisé de Jacques BLANCHOT à ce propos : « La pandémie nous a fait faire des efforts colossaux en un laps de temps record ! ».

Au mois d’octobre 2020, l’entité avait proposé à ses salariés un accord d’entreprise, reposant sur le volontariat, permettant de réguler au mieux le télétravail. Accord qui concerne le personnel en contrat à durée indéterminé (CDI), d’une ancienneté de plus de douze mois.

Cet accord a fait l’objet d’un avenant au contrat de travail des collaborateurs. Clin d’œil anecdotique mais révélateur de l’art d’anticiper les choses : GROUPAMA évoquait déjà la possibilité de mettre en place tôt ou tard le télétravail, et ce à partir de janvier 2020.

Cela se déroulait il y a dix-huit mois. Depuis, on connaît la suite…

 

Thierry BRET

 

 


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