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Les pays européens prévoient l’interdiction à la vente des véhicules à propulsion thermique dès 2025 en Norvège, en 2030 pour le reste de la Scandinavie ou les Pays-Bas, en 2035 en Grande-Bretagne ou en 2040 dans l’Hexagone. Attendue pour 2025, la norme « EURO 7 » signe la fin de l’ère de l’essence et du diesel. Pourtant, ce virage technique, dixit les constructeurs, est impossible à réaliser en si peu de temps et se présente comme une catastrophe pour tout le secteur.

 

TRIBUNE: Si les voitures diesel d’occasion connaissent un franc succès compte tenu des prix de vente, les marques abandonnent peu à peu la filière.  Une course contre la montre s’est désormais engagée avec des milliards d’investissement à la clé pour répondre à la maîtrise des émissions de Co2 et à la construction de véhicules électriques et hybrides. Tout le monde réclame à la Commission européenne un ajustement du calendrier. Les courts délais sont assortis de pénalités pharaoniques pour les dépassements de Co2 fixés. Le dictat européen met à mal un secteur économique important : près de 14 millions d’emplois en Europe dont 350 000 en France. Dès 2035, l’Europe veut interdire la production des moteurs thermiques. Essence et diesel tombent à l’eau, au profit de la seule voiture électrique ?

A la décharge des autorités européennes, on ne peut pas dire que les constructeurs ont été pris au dépourvu ! Dès la fin des années 1990, les nouvelles règles étaient mises sur la table et diffusées. Les lobbyistes de l’automobile ont cru qu’ils exerceraient les pressions nécessaires à des contournements des règles édictées…

 

Les véhicules électriques, des avantages évidents pour la nature…

 

La voiture électrique ne produit pas de Co2 ou de polluants de l'air à l’utilisation. Elle offre donc de solides avantages, surtout au cœur des villes. Allons-nous tous rouler un jour à l’électricité ? Est-elle réellement le véhicule du futur ? La voiture électrique est alimentée uniquement par... de l’électricité. Elle possède un ou plusieurs moteurs électriques, équipés de batteries, et se recharge chez soi ou à l'extérieur via une borne spéciale, dans la rue, sur des parkings ou des stations-service. Il existe également des voitures hybrides, qui possèdent un moteur électrique et un moteur thermique, ainsi que des hybrides rechargeables ou plug-in. Elles peuvent se recharger en roulant.

La production des batteries, a contrario, pose de sérieux problèmes environnementaux et sociaux. On utilise de plus en plus de batteries au lithium pour les véhicules mais aussi pour leurs équipements informatiques et électroniques. Cela accroît la pression sur ce métal rare.

 

 

Le lithium – aussi surnommé or blanc – provient souvent d’Amérique latine. Sa production, très gourmande en eau, met à mal les écosystèmes et la survie des populations locales dans des zones où la sécheresse est déjà très problématique.

On ne pourra pas tous avoir une voiture électrique et rouler de la même façon qu’aujourd’hui. Il faut aussi noter que pour l’instant un véhicule électrique coûte pas moins de 30 000 euros. Précisons également que pour une voiture de moins de 45 000 euros, le bonus accordé par l’Etat s’élève à 6 000 euros. Mais, quid de la situation réelle lorsque les aides s’arrêteront ?

 

 

Les concessionnaires sont-ils vraiment en danger ?

 

Même si certains le prédisent, ils ne disparaîtront pas du paysage. Leur nombre va diminuer, à cause de la vente en ligne. Conséquence : une adaptation sera nécessaire, notamment en matière de surface. Certaines concessions ressemblent à des châteaux de verre ! La réparation et l’entretien des véhicules électriques est plus simple et va faire disparaître le bon vieux « mécano »  traditionnel. Fini le mécanicien dans les garages, que les moins de 60 ans ne peuvent pas connaître : juste à l’oreille, il identifiait l’origine de la panne…

On peut prévoir aussi que les grands groupes s’adapteront et résisteront mieux aux mutations. Il est certain que des marques disparaîtront au passage. D’autres se créeront sans doute. Mais, la réduction du carbone passe nécessairement par l’hydrogène. L’échéance est fixée à 2050 : zéro carbone pour tout le monde !

Le problème, c’est que pour produire de l’hydrogène, il faut beaucoup d’eau et d’électricité. Par contre, c’est un carburant propre. STELLANTIS fabrique déjà des camionnettes à hydrogène. Elles roulent grâce à des piles à combustible développées par la NASA. Aujourd’hui, un kilo d’hydrogène coûte dix euros. Un plein de 60 euros permet de réaliser 600 kilomètres. Le prix va aller en diminuant au fil des années. Par contre, le prix de vente de ces véhicules reste très prohibitif autour des 70 000 euros !

Un très vieux gag de l’humoriste Francis BLANCHE montrait ce dernier poussant sa voiture manifestement en panne d’essence. Sous le regard médusé du pompiste, il remplissait son réservoir avec un arrosoir rempli d’eau ! La réalité dépassera sans doute la fiction un jour. Nous ne sommes pas si loin d’un moteur transformant directement l’eau en hydrogène ! Alors s’il vous plaît, monsieur le pompiste, donnez-nous encore un peu d’essence pour les briquets et dix litres d’eau pour la voiture !

 

Jean-Paul ALLOU  

 


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D’après l’établissement bancaire régional, notre pays mettrait quatre longues années avant de guérir de cette crise sanitaire inattendue commencée depuis plus d’un an maintenant. Des emplois détruits, un PIB en net recul, un chômage en augmentation : la crise aura un réel impact sur nos  lendemains économiques.

 

QUETIGNY (Côte d’Or) : Du 17 mars jusqu’au 11 mai 2020, les Français ont vécu leur premier confinement du fait de la présence du virus de la COVID-19. C’était avec un visage tendu que le Président de la République Emmanuel MACRON annonça cette décision.

À la suite de cela, la plupart des citoyens et des entreprises ont été impactés. Les bars, les restaurants, les musées, toute la vie culturelle et de loisirs que connaissait la population, étaient à l’arrêt pour une durée indéterminée. D’autres entreprises ont perdu beaucoup de clients ; ce qui entraînera une perte d’argent et des licenciements.

Selon l’INSEE, au deuxième trimestre de 2020, il y a eu 215 200 destructions nettes d’emploi, soit 158 000 dans le secteur privé et 57 100 dans le secteur public.[1]

Malgré de nombreuses aides fournies par l’État pour soutenir les professionnels, beaucoup ont été contraints de se retirer.

Pour le directeur général de la Banque Populaire de Bourgogne-Franche-Comté, Bruno DUCHESNE, en comparant les autres pays et la France, celle-ci mettrait alors plus de temps à se relever. Le grand gagnant de cette situation si atypique qui a réussi à augmenter son produit intérieur brut (PIB) : la Chine.

Celui-ci est 5 % plus élevé en 2021 par rapport à 2020. Ensuite, ce sont les États-Unis. Bruno DUCHESNE est affirmatif dans sa démonstration de macro-économie : les Américains s’en sortiraient au bout de deux ans. La France, quant à elle, serait malheureusement plus en retard.

 

 

 

La crise sanitaire met la France à l’épreuve...

 

Le PIB de l’Hexagone reculerait de 8,6 % sur l’année 2020, selon l’INSEE.[2] Ce chiffre est le plus bas que le produit intérieur brut a connu depuis le début des évaluations trimestrielles, les premières datant de 1949.

La crise de la COVID-19 engendre beaucoup de coûts pour l’État, avec la commande de masques, de gels hydro-alcooliques et de vaccins.

La secrétaire d’État belge au budget de la protection des consommateurs avait publié le 17 décembre 2020 les prix négociés de ces vaccins sur son compte Twitter. Ces prix ont été débattus par la Commission européenne auprès de six entreprises ayant développé différents vaccins contre la pandémie.

Son tweet avait été supprimé dans la demi-heure suivante pour faute d’appréciation politique sans doute imputable à la confidentialité des données.

Or, celui-ci a eu le temps d’être repris par les médias belges et les internautes. Avec ce tableau, nous apprenons que le vaccin le plus cher serait l’américain MODERNA suscitant un coût de 14,87 euros par dose. Le vaccin britannique/suédois ASTRAZENECA est lui le moins coûteux : 1,78 € par dose.[3] Rappelons que chaque vaccin nécessite deux injections.

Ces différents coûts ont une influence sur la dette publique, mesurée selon les critères de Maastricht.

Celle-ci s’est comptabilisée à près de 115,7 % du PIB avec un déficit de 9,2 % soit 211,5 milliards d’euro pour 2020.[4] Or avant la crise sanitaire, la dette s’élevait à 97,6 % au premier trimestre de 2018 selon l’INSEE.[5]

Le gouvernement français a été contraint de faire des choix pour protéger la santé de ses citoyens au détriment de l’économie. Le fameux « quoi qu’il en coûte ».

C’est d’ailleurs ce qu’avait répété le président de la République français à maintes reprises dans sa promesse de ne laisser aucun de ses concitoyens de côté.

 

Jordane DESCHAMPS

 

[1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/4653055

[2] https://www.insee.fr/fr/statistiques/5018361

[3] https://twitter.com/Calimer30438496/status/1339824766778281984

[4] https://www.insee.fr/fr/statistiques/5347882#titre-bloc-12

[5] https://www.insee.fr/fr/statistiques/3578202


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Ce sera l’effervescence mercredi en milieu de matinée au centre de formation d’Auxerre. L’évènement y sera de taille. D’autant que les savoir-faire artisanaux et la culture de la baguette de pain ont été choisis par le ministère de la Culture pour représenter l’Hexagone à l’UNESCO. Qui d’autre que le président de la Confédération nationale de la Boulangerie Pâtisserie pour l’évoquer dans l’établissement de l’excellence ? Dominique ANRACT, en personne ! Le président de l’institution, reçu il y a peu à l’Elysée…

 

AUXERRE : Décidément, le CIFA de l’Yonne a le chic pour accueillir avec la régularité d’un métronome des personnalités de haute envergure.

Après Patrick TOULMET, délégué interministériel au développement de l’apprentissage dans les quartiers prioritaires et l’ancien responsable de l’Union des Entreprises de Proximité (U2P), devenu ministre délégué en charge des petites et moyennes entreprises Alain GRISET, c’est au tour du plus haut représentant de la CNBP d’être immergé dans cet antre de l’excellence pédagogique.

Une visite qui coïncide avec la tournée promotionnelle qu’a entrepris à travers l’Hexagone celui qui représente les intérêts de près de 33 000 professionnels en France. Chaque jour, les trente-cinq mille boulangeries/pâtisseries accueillent douze millions de clients. Six milliards de baguettes sortent des fournils chaque année. Le secteur réalise un chiffre d’affaires annuel s’élevant à 11 milliards d’euros. Employant plus de 180 000 collaborateurs.

 

 

Accueilli par Michel TONNELLIER, président du CIFA et par son directeur Marcel FONTBONNE, mais aussi par Christophe DESMEDT, président régional de l’U2P Bourgogne-Franche-Comté et David MARTIN, président de l’U2P Yonne, le porte-étendard de la Confédération nationale de la Boulangerie Pâtisserie Dominique ANRACT explorera dans ses moindres recoins l’établissement icaunais reconnu comme centre pédagogique de référence.

Naturellement, le représentant de ce secteur artisanal ne manquera pas d’évoquer la candidature des savoir-faire artisanaux et de la baguette de pain au patrimoine de l’UNESCO. Un dossier qui a été retenu et approuvé par le ministère de la Culture.

Fédératrice, cette candidature promeut, outre le savoir-faire de la conception du produit, les valeurs sociétales qui lui sont relatives : la convivialité et le partage ainsi que son caractère populaire.

Depuis New York où elle siège, l’UNESCO rendra sa décision définitive à la fin de l’année 2022.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Dans son domaine, celui de la formation et de la pratique de la médecine chinoise, notre interlocuteur qui exerce en Andorre est une sommité internationale. C’est par ailleurs l’un des rares occidentaux à avoir suivi dans une université en Chine un cursus complet de cette discipline qui se démocratise de plus en plus en Europe. Portrait de ce praticien qui sort des sentiers battus…

 

TRIBUNE : Quand on demande à Philippe SIONNEAU de se décrire ; il explique de prime abord qu’il est un heureux papa de quatre enfants fruits d’une union formidable, celle qu’il a contractée avec son épouse, véritable pilier de la famille.

Notre homme est à ce jour l’un des quatre français à avoir obtenu le fameux diplôme national chinois lui permettant d’exercer depuis 1994 dans n’importe quel établissement hospitalier de l’ex-Empire du Milieu ! C’est suffisamment rare pour être mentionné !

Son cursus devant l’amener à ce que beaucoup considèrent là-bas comme la profession de médecin, il l’a suivi en université à Pékin ou à Wuhan. Une ville qui est aujourd’hui universellement reconnue pour être le foyer initial de la pandémie de la COVID-19.

 

 

Alors, nécessairement, lorsqu’on aborde avec lui la question cruciale de ce terrible fléau qui s’est répandu depuis octobre 2019 aux quatre coins de la planète, Philippe SIONNEAU ne peut que témoigner avec beaucoup d’humilité et d’humanisme.

Lui qui se définit tel un modeste soignant a proposé un protocole sanitaire sur place. Un processus ayant généré des résultats.

Aider de la meilleure façon celles et ceux qui viennent le consulter demeure aujourd’hui son principal leitmotiv. Il pratique son art, non pas comme du « prêt-à-porter » mais avec dans la tête le fait qu’administrer un médicament à un patient se réalise de la manière la plus adaptée qu’il soit. C’est à partir de ce cheminement basique que les résultats tant attendus sont perceptibles…

 

 

Retrouver le lien de l’entretien avec Philippe SIONNEAU sur la référence suivante :

 

https://youtu.be/hL63hsoAcrE

 

En savoir plus :

Site du cabinet de Philippe SIONNEAU : http://acupuncture-andorre.com/

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Hadrien ACELA

 

Interview réalisée par Daniel BOUKEZ

 


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Le projet n’en est qu’au stade de l’expérimentation. Il devrait se concrétiser avant le terme de ce printemps. Son principe, vertueux, s’inscrit parmi les axes prioritaires défendus par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne. A savoir la promotion de la mobilité électrique, assortie de l’auto-partage. Un véhicule autonome assurant des rotations régulières vers le majestueux édifice de la Colline éternelle, c’est pour bientôt !

 

VEZELAY : Ce sera une phase de test extrêmement importante pour l’implantation durable de ce nouveau moyen de locomotion aux caractéristiques écologiques dans notre environnement.

D’ici quelques semaines débuteront dans la ville la plus universelle de notre territoire les essais liminaires d’un véhicule électrique 100 % autonome qui reliera les visiteurs de passage dans la cité à l’un des chefs d’œuvre de l’art roman inscrit au patrimoine de l’UNESCO, la basilique Marie-Madeleine.

Sans conducteur mais placé sous la surveillance attentive d’un opérateur, ce véhicule électrique autonome d’une capacité de neuf places effectuera la navette régulière entre le champ de foire, situé au pied du promontoire universellement connu par les pèlerins et touristes du monde entier, et l’édifice religieux.

Des rotations seront prévues toutes les trente minutes. Elles faciliteront l’accès à ce site très prisé chaque année par plus d’un million de personnes.

S’inspirant de ce qui a déjà été entrepris dans d’autres villes (Berlin, Paris, Bar-le-Duc…), le SDEY fait de ce futur test grandeur nature une priorité.

Une question de pure logique pour son président, Jean-Noël LOURY, qui ne cesse de prôner les avantages de la mobilité électrique via la multitude d’actions animées par le syndicat.

 

 

Pour l’heure, on ne sait pas encore quelle sera la typologie exacte de ce véhicule ni le nom de son exploitant. Un appel d’offres devrait être lancé très prochainement par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne, à la manœuvre sur ce dossier.

L’initiative figure parmi le plan de développement de la mobilité durable dans l’Yonne. Le SDEY a pour vocation d’inculquer les bonnes pratiques de cette stratégie environnementale nécessaire à la préservation de la planète aux représentants des collectivités locales.

Le plan Mobilité durable s’articule en plusieurs axes dont la déclinaison de l’auto-partage et le covoiturage au service des habitants.

L’expérience à vocation touristique qui sera menée à Vézelay pourrait évidemment faire des émules et s’étendre à d’autres joyaux emblématiques de notre département. On pense à Noyers-sur-Serein, à Ancy-le-Franc ou au château de GUEDELON. L’idée, en tout cas, est réjouissante. Elle devrait séduire les touristes embarqués dans ce véhicule, souvent friands de nouveautés…

 

Thierry BRET

 

 

 


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