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Conseillère départementale sortante et conseillère municipale de Collemiers, Delphine GREMY est associée à Christian DESCHAMPS, maire d’Egriselles-le-Bocage, pour constituer l’un des binômes présentant une candidature sur le Gâtinais. Avec leurs suppléants, Marcel MILACHON, maire de Villebougis et Corinne PASQUIER, maire de Villethierry, ils entendent renforcer leurs actions, notamment sur le plan sanitaire, en intervenant au niveau départemental.

 

DOMATS : Comme d’autres candidats, l’équipe de Delphine GREMY pense qu’il faut aller vers une politique sans étiquette. Tous semblent surfer sur une tendance qui se profile : échaudée par les échecs des gouvernements successifs, de gauche comme de droite, la population affiche un désintérêt envers les groupes politiques et la participation citoyenne est en déclin.

A l’instar des présidentielles, les codes sont cassés. Les prétendants au poste de conseiller départemental prônent des valeurs et des projets, plus qu’une appartenance à un parti.

En toute « transparence » même, une notion qui manque à la politique actuelle, selon eux. Cela fait même quelque peu grincer des dents. « On fait de la pédagogie chiffrée » afin que les gens comprennent à quoi sert l’argent. Sujet tabou en France comme le rappelle aussi la conseillère sortante.

A la différence près qu’il leur apparaît évident qu’au niveau local et territorial, une politique partisane n’a pas de sens. Elle doit rester « pragmatique » selon l’élue.

Contraints à des restrictions budgétaires, les élus sont plutôt les garants d’un bon usage des deniers du contribuable en fonction des priorités. Pour eux, sont prioritaires les collèges, le SDIS, qui est très important en milieu rural, les travaux et la sécurisation de la voirie, qui bénéficie aujourd’hui d’une enveloppe plus conséquente ainsi que le dossier sur la fibre optique. Celui-ci doit être suivi de près avec un accompagnement des particuliers pour le raccordement. Mais le thème qui arrive en tête de liste du quatuor, c’est incontestablement la santé.

 

Une offre de santé en plein essor mais menacée par les plus grandes villes…

 

La désertification médicale est en effet un sujet qui préoccupe les élus locaux. Particulièrement en zone rurale. Face au désengagement progressif de l’Etat, les initiatives locales se multiplient afin d’endiguer la pénurie de médecins. Delphine GREMY souligne l’effort des communes icaunaises telles que Domats dont le Pôle santé a été créé en 2013.

La structure accueille aujourd’hui six praticiens salariés dont trois médecins généralistes et trois paramédicaux. Christian DESCHAMPS, maire d’Egriselles-le-Bocage, évoque le cabinet médical installé en lieu et place de l’ancienne école en 2019.

La création du Collectif de santé du Gâtinais, « à l’image de ce qu’a pu faire Villeneuve-sur-Yonne », est d’ailleurs leur projet phare. La nécessité d’un travail collaboratif entre élus et professionnels de santé en vue d’établir un plan santé se fait de plus en plus sentir. L’heure n’est plus aux politiques égocentrées et contre-productives.

Les élus dénoncent néanmoins un phénomène d’envergure qui entrave leurs actions : le débauchage des professionnels de santé par les grandes villes.

« On a des surenchères entre les collectivités. Les grandes villes qui ont un pouvoir financier évidemment supérieur, qui, que ce soit pour Domats ou pour d’autres, viennent capter les médecins en place avec des avantages en nature importants, des salaires qui sont augmentés de 30 à 40 %. C’est une concurrence, je dirais, déloyale… ».

Pour la conseillère départementale sortante, il serait temps que « l’Etat légifère » à propos de ce genre de pratiques douteuses qui déséquilibrent le paysage sanitaire français et pénalisent la population.

 

Floriane BOIVIN

 


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Il n’est pas avare en superlatifs, le secrétaire d’Etat en charge du tourisme Jean-Baptiste LEMOYNE ! Surtout lorsqu’il apporte sa caution morale à la candidature du ticket concourant sur le canton de Vincelles, le binôme composé de Najiba HADJALLI et d’Yves VECTEN. « C’est une équipe de choc ! », écrit même le membre du gouvernement sur le dépliant faisant office de profession de foi du duo, supplée par Armelle TAMBOUR et Dominique MORISSET. Un soutien de poids pour cette liste auquel il faut ajouter celui de l’inusable Jean-Pierre SOISSON…

 

AUXERRE : Sa silhouette est reconnaissable parmi toutes lorsqu’il évolue au beau milieu des quarante-deux élus officiant au sein de l’hémicycle départemental. Débonnaire, généreux, à l’écoute de la moindre information remontant de son terroir de prédilection, Yves VECTEN est candidat à sa propre succession lors de ces échéances départementales.

Ce qui n’est pas une surprise en soi tant ce personnage public (il est également édile d’ESCAMPS) exerce un rapport relationnel empreint d’empathie avec ses concitoyens.

D’ailleurs, au détour d’une conversation, il le précise lui-même : « Je me présente parce que j’aime les gens et mon territoire… ».

Un secteur géographique bercé de ruralité et de modernisme, où il souhaite conférer dynamisme, vitalité, expérience au nom du bien-être individuel et collectif de ses habitants.

A 65 ans, Yves VECTEN repart à la conquête de cette nouvelle mandature de six ans, sans afficher une quelconque étiquette politique préconçue. Même s’il est classifié sous le vocable peu explicite de « divers gauche » et qu’il fut jadis un opposant à la majorité départementale, ce personnage charismatique qui défend bec et ongles son indépendance d’esprit peut aussi se montrer un « fin diplomate » avec ceux qui détiennent le pouvoir de l’hémicycle.

C’est d’ailleurs ce qu’il a fait lors de ce dernier mandat en votant quelque fois le budget proposé par Patrick GENDRAUD et ses équipes.

Mais, fidèle à ses racines de terrien bien ancré dans le paysage, en fier exploitant agricole qu’il est, Yves VECTEN exècre qu’on lui impose des idées stéréotypées et toutes faites. Il est un gardien de l’indépendance à la stature imposante qui veille à rester libre en toute circonstance.

 

 

Une spécialiste de la protection sociale en pôle-position…

 

A ses côtés, le premier élu d’ESCAMPS est accompagné d’une jeune femme, Najiba HADJALLI. Agée de 38 ans, cette gestionnaire au sein d’un organisme de la protection sociale a posé ses jalons dans la sphère publique en étant élue au sein du conseil municipal de sa localité, Treigny-Perreuse-Sainte-Colombe.

Elle y joue le rôle d’adjointe inféodée aux problématiques sociales vécues par ses administrés. D’ailleurs, son implication est tangible avec sa présence depuis le début au concept de mutuelle groupée applicable sur une partie de notre territoire.

Quant aux suppléants, ils sont issus de ce sérail municipal et communautaire de proximité. Opticienne et adjointe à Vincelles, Armelle TAMBOUR est à 48 ans une figure reconnue localement.

Son coreligionnaire, Dominique MORISSET, agriculteur de profession, occupe à 60 ans un poste éminemment stratégique de vice-président au sein de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre.

Parmi les grandes orientations qui constituent leur programme, les quatre candidats veulent mettre en exergue les atouts dont est attribué ce canton, à savoir le tourisme vert, la culture, la qualité de vie. Sans omettre les dossiers d’actualité autour de la préservation de l’éducation et du collège de Saint-Sauveur-en-Puisaye, l’attractivité agricole, le maintien des services de secours, l’aménagement du territoire ou encore le volet sociétal qui englobe la santé, l’insertion et la solidarité.

Ce n’est pas pour rien que deux poids lourds de la vie politique départementale, Jean-Baptiste LEMOYNE et Jean-Pierre SOISSON ont donné quitus, en soutenant ouvertement, cette liste qui promet la vitalité de ce canton.

 

Thierry BRET

 


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Sensible à la cause environnementale, l’édile de Branches ? « Evidemment ! ». Le concède-t-elle en se faisant la défenseuse de cette fameuse zone forestière qui entoure l’infrastructure aéronautique d’Auxerre et qui, depuis belle lurette, fait tellement couler d’encre dans le microcosme. Pourtant, que l’on ne s’y méprenne pas sur ses intentions. Ni celles de ses trois coreligionnaires inféodés à la liste « Unis pour l’Yonne », ayant des velléités électives sur Auxerre 2. Emilie LAFORGE entend bien favoriser cet outil à des fins… touristiques, sans que le moindre végétal ne soit abattu…

 

BRANCHES : Jeune femme dans le vent, Madame le maire aime s’adonner en toute quiétude à l’une de ses passions préférées : le pilotage. Qu’il s’agisse de petits bimoteurs lui permettant de tutoyer les nuages dans le ciel ou plus sportivement, avec adresse et agilité, de se mesurer à la fougue nerveuse d’un ULM.

Pourtant, Emilie LAFORGE n’est pas insensible à l’environnement et à ses multiples causes. D’ailleurs, son cadre de vie se situe au cœur de cette forêt si profonde de Branches qu’elle affectionne tout particulièrement, jouxtant les pistes de l’aérodrome d’Auxerre.

Alors, quand au détour d’une séance interview, concoctée en compagnie des deux têtes de liste « Unis pour l’Yonne » Malika OUNES et Patrick PICARD dont elle est l’une des suppléantes, la jeune femme, tout sourire, emboîte le pas sur la question si cruciale qui occupe le marronnier médiatique depuis tant d’années, le devenir de cette infrastructure aérienne, on sait à quoi s’attendre !

Elle maîtrise le sujet à la perfection, le suivant pas à pas depuis 2013. Comme si elle se trouvait dans le cockpit pour mieux s’envoler à bord d’un aéronef !

Toutefois, afin d’appréhender les enjeux qui se jouent derrière ce complexe au cœur d’une multitude de polémiques, une interrogation fondamentale s’impose : à quoi sert à l’heure actuelle cet aérodrome que la Chambre de Commerce et de l’Industrie qualifiait par ailleurs d’aéroport lorsque ses services en assuraient encore l’exploitation. Réponse de l’édile de BRANCHES et élue communautaire au sein de l’Agglo de l’Auxerrois où elle officie en faveur de la mobilité douce…

« Il existe une aviation d’affaires dont l’aérodrome répond en grande partie à ses besoins, précise-t-elle, mais Auxerre-Branches est surtout l’apanage de l’aviation légère, creuset du tourisme de proximité, fait de découvertes patrimoniales et de culture… ».

 

 

Ne sacrifier aucun végétal autour de la zone aéroportuaire…

 

D’ailleurs, le mot de ralliement de l’équipe dans laquelle la jeune femme a fait acte de candidature pour les départementales est on ne peut plus clair : oui au développement de l’aérodrome d’Auxerre-Branches en qualité d’outil touristique mais sans qu’il n’y ait le moindre végétal sacrifié !

Récemment, les services de la DGA (Direction générale de l’Aviation Civile) ont proposé une énième variante du PSA (Plan de servitudes aéronautiques) aux membres du syndicat mixte qui est propriétaire de l’infrastructure. Celui-ci est composé de neuf membres titulaires et de neuf membres suppléants, répartis de la manière suivante : trois titulaires et trois suppléants issus de la Communauté d’Agglo de l’Auxerrois (dont l’un des remplaçants de la liste « Unis pour l’Yonne », le maire de Perrigny, Emmanuel CHANUT) ; et de trois titulaires et trois suppléants du Conseil départemental dont la vice-présidente Malika OUNES. Le dernier tiers, sous la même formulation chiffrée, incombe au Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté.

 

 

La DGA a donc imaginé un nouveau schéma à ce fameux PSA qui soit dit en passant n’a jamais été appliqué dès sa mouture originelle datant de 1979. Depuis plusieurs mois, l’organisme a pour objectif de réviser ce plan technique et réglementaire ; ce qui a créé moult débats et interrogations auprès de la population.

Pour corroborer le tout, un arrêté en date du 07 juin 2007 a fixé les spécifications techniques destinés à servir de base à l’établissement de ces servitudes aéronautiques. Conséquence, devenant obsolète, il y avait donc nécessité et urgence à revoir ledit PSA pour y voir plus clair sur ce dossier aux circonvolutions nébuleuses.

En outre, comme un bonheur ne vient jamais seul selon l’adage, des restrictions d’exploitation ont été mises en œuvre sur l’aérodrome qui possède mille deux cents mètres de piste utilisable sur une totalité de 1 648 mètres. Ainsi, la reformulation de ce plan de servitudes a donc été présentée en enquête publique courant 2020.

 

 

Deux hectares de forêt à tailler et à ne pas couper…

 

Dans les grandes lignes, ce nouveau projet prévoyait l’utilisation effective de ces 1 648 mètres de piste, entraînant par effet gigogne l’obligation de dévier la départementale au sud, sur l’axe de Perrigny/Fleury-la-Vallée, mais surtout la coupe systématique de 37 hectares de forêt autour du complexe. Un véritable carnage écologique qui a engendré un tollé à la hauteur de l’enjeu dans le landerneau…

Face à ce rejet, les services de la Direction générale de l’Aviation Civile n’ont eu d’autres recours que de retravailler leur copie et de proposer aux membres du syndicat mixte une nouvelle variante à ce PSA. Désormais, la longueur de piste à considérer s’élève à 1 400 mètres au lieu des 1 200 mètres initialement prévus mais surtout avec un impact environnemental totalement différent.

Des 37 hectares de forêt impactés dans la précédente version de ce projet kafkaïen, seuls deux petits hectares ne seraient in fine concernés. Ce qui change considérablement la donne et a fait dire à l’édile de BRANCHES et à ses colistiers, que cette fois-ci, « les propositions inhérentes à ce projet s’approchaient de l’acceptable ».

« Limiter l’impact de ce PSA sur l’environnement était la première de mes priorités, ajoute Emilie LAFORGE, il n’était pas question de saccager la nature juste pour satisfaire quelques intérêts privés… ».

 

 

A ce titre, la nouvelle longueur de piste choisie ne pénaliserait plus qu’une soixantaine de mouvements aériens par an. Soit concrètement, deux jours d’exploitation sur une année, se rapportant à l’usage de quelques propriétaires privés et privilégiés.

Insistante, Emilie LAGORGE le répète inlassablement : « aucun arbre ne sera abattu ! ». Quant aux deux hectares de forêt impactés par la nouvelle configuration, ils ne subiraient qu’une substantielle taille plutôt qu’un arrachage sine die.

Une victoire, en somme, pour toutes celles et tous ceux qui se battent en faveur de la préservation de notre environnement.

A ce jour, les trois collectivités membres du syndicat mixte ont demandé un audit afin d’examiner avec exactitude la pertinence de la situation, en vue d’améliorer la plateforme aéroportuaire icaunaise. Celle-ci, accueillant en moyenne vingt-six mouvements aériens journaliers, doit correspondre à une porte d’entrée naturelle pour recevoir comme il se doit les touristes franciliens (et d’ailleurs) en quête de se ressourcer parmi les paysages bucoliques de notre territoire et de faire vivre notre économie de proximité. C’est tout l’enjeu de ce dossier que défend bec et ongles la jeune élue de l’Yonne.

 

Thierry BRET

 

 


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Le secteur de l’agriculture, malmené durant la longue période de crise sanitaire, ne sera pas omis du plan de relance soutenu par la Région Bourgogne Franche-Comté. Une enveloppe de soixante-dix millions d’euros, engagée au titre du FEADER, devrait être attribuée très prochainement pour soutenir les professionnels de la filière…

 

DIJON (Côte d’Or) : C’est une excellente nouvelle pour l’un des secteurs économiques en proie à de sérieuses difficultés. L’univers de l’agriculture devrait bénéficier d’ici peu d’une conséquente enveloppe budgétaire, évaluée à soixante-dix millions d’euros, engagée au titre du FEADER, le Fonds européen agricole pour le développement rural.

La nouvelle a été confirmée par l’envoi aux rédactions d’un communiqué de presse, à l’estampille du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté ce mardi 15 juin.

Suite à l’accord du Parlement et du Conseil européen, obtenu en novembre dernier, les professionnels de la filière agricole, à la peine au plan économique entre les effets de la crise sanitaire et la situation climatique délicate, devraient profiter de ces subsides européens d’ici peu. La date de l’attribution de cette aide n’a toutefois pas été précisée dans le document destiné aux relations avec la presse.

L’objectif de cette manne financière sera de soutenir la compétitivité de la filière agricole régionale mais aussi l’adaptation des exploitations, l’encouragement à la diversification ainsi que l’aide aux industries agro-alimentaires.

Le secteur forestier est également concerné par cette attribution. Quant aux programmes de développement rural FEADER Bourgogne et Franche-Comté 2014/2020, ils sont à l’heure actuelle en phase de modification à la Commission européenne…

 

Thierry BRET

 

 


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Désengorger le nœud gordien que représente le sempiternel bouchon automobile lors de la délicate traversée d’APPOIGNY aux heures de pointe. C’est l’un des leitmotivs préférés, en matière de mobilité et de transition écologique, qui alimente les conversations tenues par les deux candidats de « L’Yonne en Commun », en lice sur le secteur d’Auxerre 2. Membres de La France Insoumise, Marie-Noëlle LEHODEY et Vulfran BENARD promeuvent les vertus de la mobilité douce…

 

APPOIGNY: Qui n’a jamais pesté aux horaires de pointe pour traverser la commune septentrionale d’Auxerre ? Des files de véhicules interminables, ralenties par un seul et unique feu tricolore dont le delta temporel est toujours trop court pour celui qui attend.

Une noria de poids lourds à n’en plus finir qui rejettent leurs gaz nocifs à la préservation de la planète et aux visages des automobilistes dans leur habitacle. Et surtout, de la patience, voire la maîtrise parfaite de ses nerfs à tous les étages, en vérité, pour ne pas sombrer dans un état apocalyptique après une telle épreuve !

Point noir de la circulation sur l’Auxerrois du fait du trafic très dense qui emprunte au quotidien cet axe épousant le tronçon de l’ancienne nationale 6, le bouchon d’Appoigny est comme la sardine qui bouche le port de Marseille. On en parle depuis des lustres mais rien n’y fait ! Ni personne, par ailleurs…

Cette arlésienne notable sera-t-elle un jour réglée pour le bien-être des automobilistes et des riverains qui peuvent contempler à heures fixes la cohorte de véhicules polluants devant leurs yeux ? Bonjour les crises d’asthme à la fin de la journée !

En tout cas, les deux candidats de La France Insoumise (LFI), ralliée à la liste « L’Yonne en Commun », fruit d’une union historique entre le Parti Socialiste, le Parti Communiste, Europe Ecologie Les Verts et la Gauche Républicaine et Socialiste, se présentant sur le canton d’Auxerre 2, entendent bien relever le défi s’ils étaient élus au soir du 27 juin au Département.

 

Le cycle comme alternative judicieuse mais pas n’importe comment…

 

Lors d’une conférence de presse, déclinée sur le site d’Aux_R Parc lundi 14 juin, Marie-Noëlle LEHODEY et Vulfran BENARD, accompagnés d’un de leurs deux remplaçants, l’écologiste Luc DUINA, ont évoqué les méfaits de cette mobilité pernicieuse qui ne doit plus être en l’état. Au nom de la sérénité citoyenne des habitants de ce secteur géographique.

Se faire happer par des poids lourds en optant pour le choix du cycle pour se rendre à Auxerre ne fait partie non plus de leurs objectifs. Non, le binôme LFI en veut davantage ! C’est-à-dire la constitution d’un réseau (un vrai, celui-là !) de pistes cyclables normalisées inter-villages. Et non un ersatz de voies réservées aux cyclistes, sans signalétique et non protégées comme il en existe beaucoup dans le landerneau.

 

 

Bref : à l’instar de bien d’autres sujets sociétaux, la mobilité douce se présente comme l’un des engagements majeurs de ce ticket soucieux du développement durable.

La promotion de la trottinette (sans doute envers les plus jeunes de nos concitoyens), et la mise en place d’une offre multimodale (cycle/train) sont également à l’étude.

L’accès entre les villages du canton (Appoigny, Monéteau, Charbuy, Perrigny, Gurgy, Branches) se concevrait en favorisant la libre circulation de navettes régulières, offrant de larges plages horaires, couvrant la période nocturne du transport. Serait-il gratuit pour autant ?

 

 

Utiliser des navettes interurbaines reliant les communes à Auxerre-Centre…

 

Enfin, l’idée de construire une déviation alternative à la voie très surchargée reliant Auxerre à Appoigny qui s’arc-bouterait sur l’actuel accès menant à la zone d’activités des Bries où se développe Au_R Parc fait son petit bonhomme de chemin.

Le tandem de « L’Yonne en Commun » y réfléchit pour trancher de manière définitive le nœud gordien de ce bouchon qui occasionne tant de désappointement et d’impatience, qui ne demande qu’à sauter.

« Nous souhaitons multiplier les navettes interurbaines pour mieux relier nos communes à Auxerre-Centre, précise Vulfran BENARD, en y développant un réseau intelligent aux horaires adaptés… ».

Autant de questions autour de la mobilité douce que souhaitent mettre en avant dans leur profession de foi Marie-Noëlle LEHODEY et Vulfran BENARD. Un tandem qui ne veut pas se présenter face aux électeurs en roue libre, assurément !

 

Thierry BRET

 

 


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