L’agence de marketing et de communication « B3C » vient d’éditer le neuvième numéro de ce magazine apparu à l’automne 2017. Un opus où l’art de vivre et les actualités du nord de l’Yonne fleurissent au fil des seize pages qui composent ce support informatif de proximité. Couvrant l’ensemble de la période estivale, au même titre que son « grand frère », « OUSORTON » dans le domaine des loisirs et de la culture, l’existence de ce média est devenue pertinente dans l’Yonne septentrionale. A la grande satisfaction de son auteur, Christophe DEBURGHRAVE…
SENS : La première saison est bouclée ou presque pour le jeune média de la presse gratuite, « Yonne Côté Nord ». Son neuvième numéro est paru il y a quelques jours à l’amorce de l’été. C’est un produit de seize pages où se croisent informations pratiques, rubriques juridiques, publireportages et agenda culturel.
Conçu par Christophe DEBURGHRAVE, dirigeant de l’entreprise de communication « B3C », et édité à plusieurs milliers d’exemplaires, ce média gratuit est venu étoffer l’offre actuelle sur le Sénonais et le nord du territoire icaunais.
Distribué dans de nombreux points relais à caractère commercial mais aussi des collectivités et administrations, le magazine propose un modèle économique qui repose sur la diffusion d’encarts publicitaires.
Dans ce dernier numéro, un portrait attachant de l’un des artisans de la région fait office de dossier prioritaire. Il est consacré au forgeron coutelier Richard CIACHERA, figure emblématique de la coutellerie hexagonale. Les férus de conseils immobiliers trouveront également les us et coutumes juridiques pratiqués autour de la location immobilière. Quant aux aficionados de l’automobile, ils découvriront les essais de la nouvelle Mégane Renault RS, un pur bijou de la mécanique au service des puristes du volant, avec ses 280 chevaux au compteur !
Mais, avant d’anticiper la période de rentrée, Christophe DEBURGHRAVE s’est pour l’heure accordé quelques jours d’un repos salvateur et mérité en montagne où il peaufine la stratégie de la future saison II d’un produit qui a pris progressivement sa place au sein du landerneau local…
Le lien pour découvrir le numéro 9 : https://fr.calameo.com/read/005306086f10f068ace8a
Et de trois ! Grâce à la générosité de la Fondation Banque Populaire Solidarité, le Foyer Rural Tanlay Organisation (FRTO), créateur du fameux trail de Tanlay, alignera lors de cette douzième édition le 09 septembre prochain un troisième équipage hétéroclite, comprenant sapeurs-pompiers et bénévoles, dévoués au service d’un jeune handicapé dans l’épreuve de douze kilomètres…
TONNERRE : « Dans l’adversité et l’effort que nous endurons tout au long du parcours, nous devenons de véritables complices… ». Ainsi s’exprime l’officier de sapeur-pompier, le capitaine Philippe MARTI, du SDIS de Tonnerre, en commentant cette expérience unique d’une compétition aussi dure et physique que le trail de Tanlay, vécu aux côtés d’un jeune handicapé.
Une joëlette est un appareil de motricité requérant la force des accompagnateurs de la personne qui sera transportée durant le trajet. Cela nécessite la présence de quatre à six personnes. Unies et solidaires les unes des autres, elles ont pour objectif de rallier à bon port le jeune « voyageur » dont elles ont la charge. Mais, dans le cas présent et c’est compréhensible, le facteur temporel ne possède aucune importance.
« Que l’on parcourt la distance en 3h50 ou en plus de cinq heures ne nous importe peu, explique Philippe MARTI, l’essentiel est de terminer le chemin ensemble et sans qu’il y ait de casse physique… ».
Du petit lait pour Jean-Michel BATTUT, heureux président du Foyer Rural Tanlay Organisation (FRTO), la structure associative à l’origine de ce concept sportif de belle envergure.
Adjoindre des joëlettes parmi cet environnement de compétiteurs et de randonneurs parfois spécialisés dans la discipline est une réelle valeur ajoutée à la manifestation dont il veut imprimer la griffe au plan régional.
« Je souhaitai humaniser davantage cette animation en l’ouvrant aussi aux jeunes enfants atteints d’un handicap, confie-t-il, d’où l’idée d’introduire ces équipages constitués de bénévoles… ».
Un achat réalisé avec le soutien des entrepreneurs du Tonnerrois…
3 860 euros, précisément. C’est l’enveloppe budgétaire indispensable à l’acquisition de ce précieux matériel servant à véhiculer la personne invalide. Depuis plusieurs années, le FRTO s’est montré incitatif auprès des nombreux participants de cette épreuve aux multiples circuits (12 km, 24 km et 44 km). S’inscrivant dans une démarche citoyenne et solidaire, il a été proposé de prélever un euro sur le coût d’inscription du candidat coureur ou marcheur et de le reverser au bénéfice de l’association auxerroise « Pour le sourire des Petits Princes ».
Cette année, l’organisateur de ce rendez-vous très prisé par les férus de la discipline a candidaté auprès de la Fondation Banque Populaire Solidarité (voire l’article correspondant) afin de profiter de quelques subsides. Une enveloppe de 2 500 euros a ainsi été accordée en faveur du projet d’achat d’une nouvelle joëlette. Une somme appréciable, certes, mais pas tout à fait suffisante pour prétendre obtenir gain de cause auprès du vendeur de l’appareil.
Opiniâtre, Jean-Michel BATTUT n’a pas hésité à jouer la carte des milieux professionnels pour tenter de convaincre de généreux mécènes. Invité par le président Eric MONNOYER, de l’Association des entrepreneurs du Tonnerrois (AET) à exprimer ses besoins, sept chefs d’entreprise du bassin économique l’ont entendu et ont accepté sans l’once d’une incertitude de soutenir le projet. Un joli gage d’engagement en faveur de l’économie citoyenne…
Au-delà de l’esprit de compétition qui ne fait que s’intensifier au gré des tours de circuit vécus à bord des petits bolides motorisés, les entrepreneurs de l’Yonne aiment participer à ce challenge spécifique, leur permettant de nouer d’utiles contacts professionnels en aparté. Chaque année, de trente à cinquante enseignes commerciales, issues des secteurs de la banque, de l’assurance, de la vente automobile mais également des filières artisanales et du bâtiment travaux publics, constituent une équipe de trois pilotes pour tenter de gagner le précieux trophée. Quant aux cartes de visite, elles circulent en abondance lors du brunch, d’après course, justifiant ainsi l’appellation de ce rendez-vous dynamique, concocté par les dirigeants de l’entité de loisirs, Agnès MALLET et Fabien DOUCET…Rendez-vous est pris le jeudi 17 mai en matinée pour les concurrents sur le circuit de Joigny.
JOIGNY : Combien seront-elles, les entreprises, à inscrire un équipage à l’occasion de cette troisième édition d’une animation située à mi-chemin entre la communication événementielle et le sport de loisir qui s’institutionnalise dans le paysage de l’Yonne ?
Qu’il s’agisse de SERVET DUCHEMIN, de CHAMPLOISEAU, du CREDIT MUTUEL, de RUZE ou de beaucoup d’autres encore, toutes ces structures professionnelles auront l’envie d’en découdre sur l’asphalte du circuit de Joigny dans les règles de l’art du pilotage nerveux et exigeant de ces engins, comme elles savent si bien le faire depuis deux années déjà.
Même le team de RADIO STAR, avec en capitaine de route le rayonnant et expérimenté Gérald BAUDARD derrière le volant ou l’écurie de GROUPAMA PARIS VAL DE LOIRE, avec le chevronné Jacques BLANCHOT, directeur de l’établissement dans l’Yonne et grand amateur d’automobile, ont confirmé leur présence et sont parés à faire crisser les pneumatiques lors des différentes épreuves de ce challenge inter-entreprises attendu.
Le circuit, long de mille cinquante mètres, donnera l’opportunité à ces pilotes amateurs de se faire plaisir dans le baquet durant les deux heures de temps de prise en main et de compétition officielle.
Parallèlement, les observateurs auront la possibilité de découvrir les activités professionnelles des partenaires, disposant de stands sur le pourtour de la zone de départ et d’arrivée.
Le « Speed Karting Business » se vit aussi comme un vecteur de communication vertueux pour la chef d’entreprise Agnès MALLET qui profite de cet événementiel organisé par ses soins pour tisser les liens nécessaires au développement de ses nombreux projets (accueil de séminaires, épreuves internes en entreprise, parcours familiaux…).
Une fois n’est pas coutume, la localité de VENOY, située aux portes d’Auxerre, a été le théâtre d’un événement sportif exceptionnel et d’envergure internationale en accueillant les 240 équipages de la 27ème édition annuelle de ce rallye automobile incomparable. Nombreux furent les férus de véhicules anciens devant se précipiter, munis de leurs appareils photographiques et caméras, dans les rues de la localité afin d’immortaliser le départ de la spéciale. Cette boucle de plusieurs kilomètres était à parcourir chronométrée autour de la commune, et permit d’apprécier les aptitudes techniques de ces virtuoses du volant qui effectuaient la première liaison entre le Grand Palais de Paris et Beaune.
VENOY : Rétrospective du fameux Tour de France Automobile, aujourd’hui disparu, l’épreuve sponsorisée par l’enseigne OPTIC 2000 rassemble des voitures anciennes ayant eu la particularité d’avoir pris part à des épreuves sportives mythiques disputées entre 1951 et 1973.
En cinq étapes, sur un axe directionnel les menant de Paris à Nice en faisant une halte à Besançon, Megève, Avignon et Aix en Provence, les champions du chronométrage et de la conduite de précision, sur route mais aussi sur circuits, se sont distingués devant plus de cent mille spectateurs. L’Yonne, via la localité de Venoy, était à l’honneur pour cette édition 2018 en accueillant une spéciale de très bon aloi. Ce fut une excellente aubaine pour apprécier les qualités techniques de ces aficionados de moteurs vrombissants et de rutilantes mécaniques d’apercevoir d’anciens pilotes professionnels mais aussi des hommes d’affaires, des artistes ou simplement des collectionneurs.
Par le passé, le rallye a eu le privilège d’accueillir les plus grands noms du pilotage automobile européen (Henri PESCAROLO, Jean-Pierre BELTOISE…) mais aussi des personnalités de la pop music à l’instar du batteur de PINK FLOYD, Nick MASON ou du chanteur du groupe DURAN DURAN, Simon LE BON.
Présence intéressante des clubs automobiles régionaux…
Côté compétition, le classement principal, celui des épreuves chronométrées, a été emporté par le tandem de pilote/copilote helvétique Raphaël FAVARO et Yves BADAN ; ces derniers s’imposant de manière définitive devant deux équipages tricolores à Nice.
Localement, le club de voitures anciennes WOOD’COXERRE devait contribuer à sa manière au succès de cet événement en exposant sur la place de la mairie deux voitures anciennes de marque Volkswagen : un Combi Baywindow datant de 1971 et une Cox 1 200 modèle 1973. La délégation régionale de Bourgogne du MG Club de France se joignait également à cet événement sportif, en dévoilant un véhicule MG B, estampillé de 1965.
Cette année, les marques italiennes disparues (AUTOBIANCHI, DE TOMASO, OSCA…) bénéficiaient de toutes les attentions sur le parcours. Instant magique de pouvoir apprécier de belles cylindrées à l’immuable succès populaire.
Un spécialiste de l’optique en guise de partenaire principal de la manifestation…
Sponsor essentiel de cette animation sportive depuis 2009 après le rachat par l’enseigne de la société LISSAC optique, le réseau leader de l’optique en France profite de cette opportunité événementielle pour sensibiliser le grand public à l’importance de préserver sa vue et son audition pour conduire en toute sécurité. Avec la complicité des audioprothésistes de l’enseigne AUDIO 2000, les opticiens du réseau conçoivent, gratuitement, des tests visuels et auditifs dans l’espace village prévention présent sur l’ensemble des villes étapes. Des animations ludiques afin d’apprendre et de comprendre le mécanisme de la vision et de l’audition constituent un autre temps fort de ces événements en marge de l’épreuve automobile.
Cette année, la vingt-septième édition de l’épreuve était marquée par le sceau de l’insolite et de l’innovation technologique avec la présentation officielle de la monture intelligente « PRUDENSEE » (Cf : voir l’article par ailleurs), aidant à prévenir l’endormissement au volant.
En neuf ans de présence partenariale, OPTIC 2000 et AUDIO 2000 ont assuré 10 500 tests visuels et 12 150 tests auditifs auprès des suiveurs de cette épreuve. Une manière pragmatique de joindre l’utile à l’agréable dans le domaine du préventif et de la santé…
Le poète, auteur et interprète bourguignon a opté en faveur de ce procédé économique traditionnel pour assurer le financement d’un album de douze poèmes devant paraître en 2019. Si la formule s’avère gratifiante pour cet artiste de talent et à la renommée nationale, un mini-CD de trois titres nous serait alors délivré dès cet été, histoire de faire patienter les aficionados que nous sommes du dynamique propriétaire de la salle d’Etais la Sauvin, « La Closerie ».
ETAIS LA SAUVIN : « Ni vieux ni maître ». L’humour caustique du chanteur Icaunais, chantre de Jean-René CAUSSIMON, de Jean FERRAT et autre Louis ARAGON, refait surface après ces quelques mois d’hiver où ce personnage si attachant de l’âme artistique de ce terroir n’avait pas choisi pour autant de se retrancher loin de son public, en hibernation.
Avec la vieille complicité de son arrangeur de toujours (plus de 35 années de partage d’expérience musicale riche et réussie), Patrick VASORI, Gérard-André a profité de cette époque de dilettante pour travailler les arcanes de son futur album, espéré depuis longtemps. Rien que le titre de ce nouvel opus, faisant référence avec ce zeste ironique coutumier du bonhomme, à la fuite du temps qui passe malgré toute la fougue créative de l’auteur/interprète/compositeur, et son refus viscéral d’obtempérer auprès de qui que ce soit selon les pratiques d’usage des chanteurs à texte, pose déjà le décor de l’enthousiasme qui habite le truculent poète.
Déjà un mini-CD travaillé en studio
Les trois premiers textes, mis en lumière musicale par l’artiste lui-même et arrangés par son chef d’orchestre préféré, donnent déjà la couleur de cette respiration artistique que Gérard-André a souhaité s’accorder en ce premier semestre.
« Résistance, maquis de France », poème écrit par Roland FORGEARD, nous renvoie aux heures sombres de la France occupée qui n’aura finalement son salut que, grâce à ces femmes et à ces hommes de l’ombre qui auront lutté farouchement au détriment de leur existence au retour de la liberté en boutant hors de ce territoire qu’ils aimaient tant l’occupant.
« Poulbot » : l’œuvre scripturale de Claudine GUERIN-MANDON évoque l’univers de Paris avec ses fameux personnages, Gavroche de cœur pour l’artiste qui devaient s’illustrer au moment de la Commune sur les barricades, immortalisés par Léo FERRE.
Quant au troisième texte, il émane de la poétesse auxerroise Marie NOEL, « Connais-moi si tu peux », un texte finement ciselé où la voix grave de Gérard-André se pose en toute délicatesse.
Enregistrées les 28 et 29 mars dans un studio francilien situé en Seine et Marne, ces premières chansons, superbement arrangées par Patrick VASORI, composeront le mini-CD à paraître au début de la période estivale. Leur mastérisation a bénéficié du travail au cordeau de Charles FROSSARD, du studio MESA.
Gérard-André assurera par ailleurs une présentation officielle de ces enregistrements initiaux lors de rendez-vous avec le public, à Auxerre, à Vézelay et peut-être à Asnières sur Bois. Les dates n’étant pas encore définitivement validées…
Une enveloppe budgétaire globale de 9 000 euros…
Soucieux d’adjoindre une contribution hyper qualitative à sa prestation artistique, Gérard-André, aux côtés de sa compagne Andrée qui lui apporte toujours un regard perfectionniste dans la conceptualisation de ses projets, proposera un éclairage original de ces douze références poétiques par le biais d’un livret. Celui-ci s’articulera de seize pages et complètera l’édition de luxe prévue pour l’année prochaine.
Résoudre la problématique financière, face à ce lourd investissement, supposait l’ouverture à une formule participative à l’instar du « crowdfunding ». Une option que le poète-artiste de l’Yonne avait envisagée il fut un temps car ce système peut parfois s’avérer efficace dans la réalisation de concepts artistiques. Mais, après mûres réflexions, Gérard-André n’a pas voulu poursuivre son exploration auprès des offres déclinées par les plateformes habituelles. Trop d’inconvénients, voire de contraintes in fine pour cet artiste libre et indépendant !
La seconde possibilité se faisant sienne, la souscription à l’ancienne, est devenue ensuite la priorité. « Vrais » amis, comme il aime les qualifier de son sourire radieux, mais aussi amateurs de poésies, de belles lettres et de jolis textes, mélomanes et amoureux de ce superbe cadre champêtre et théâtral que représente aujourd’hui l’univers artistique d’Etais la Sauvin sont ainsi sollicités par ce chanteur au cœur gros comme ça, toujours engagé dans des causes justes et honorables.
Aujourd’hui, Gérard-André a plus que jamais besoin de l’ensemble de ces soutiens pour vivre son rêve et le partager avec le plus grand nombre. Un seul mot d’ordre, à l’aune de l’anniversaire de mai 68 dont il est aussi un fervent défenseur dans l’âme : souscrivez ! Pour que jamais ne cesse la liberté d’expression et la création artistique de talent dans l’Hexagone…