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Satisfécit pour les responsables de l’association créée à l’initiative de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne et de la FDSEA 89. Lors de son immersion instructive programmée durant son déplacement dans le Sénonais, la ministre déléguée auprès de la ministre du Travail, de l’Insertion et de l’Emploi Brigitte KLINKERT a pu s’entretenir avec des salariés qui luttent contre la précarité alimentaire…

SENS : Le contact a été qualifié de très positif par la ministre déléguée du travail et de l’emploi en visite de découverte sur le Sénonais où elle a pu discuter avec plusieurs salariés de l’association d’insertion solidaire locale.

Ces échanges ont permis à Brigitte KLINKERT de bien assimiler le mode de fonctionnement de cette structure associative, portée sur les fonts baptismaux de la création en 1995 par la Chambre départementale d’Agriculture et la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA 89). Une structure présidée par Michel JOUAN.

Opérationnels sous le statut d’atelier Chantier d’insertion, les « Jardins de la Croisière » peuvent accueillir une quarantaine de personnes qui éprouvent des difficultés socio-professionnelles. Toutes sont issues de la partie septentrionale de notre département.

D’autres, une bonne trentaine, interviennent sur le site dans le cadre d’un travail d’intérêt général. In fine, ce sont entre soixante et quatre-vingt personnes qui exercent leur savoir-faire dans les équipes de production de légumes bio, de vente ou sur les chantiers verts.

La visite a pu se dérouler en présence du préfet de l’Yonne Henri PREVOST, de Marie-Louise FORT, présidente de la Communauté d’agglomération du Grand-Sénonais et de la députée de la troisième circonscription Michèle CROUZET.

Brigitte KLINKERT s’est fendue après son départ de Sens d’un message sympathique sur son compte Twitter où elle rappelle que l’Etat, dans le cadre du plan de relance « France Relance » soutient financièrement les structures associatives promouvant l’insertion solidaire en France.

 

Thierry BRET

 


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Importante cérémonie protocolaire ce mercredi 13 janvier où industriels et pouvoirs publics, partenaires du dispositif « Territoires d’Industrie - Yonne Industrielle », ont signé un protocole d’accord couvrant la période 2019-2022 dans les locaux de la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais (CAGS). Le signe du renouveau pour l’employabilité dans ce secteur économique ?

SENS : Territoire regroupant cinq EPCI (Grand-Sénonais, Serein Armance, Jovinien, Migennois et Auxerrois), cent douze communes et plus de mille établissements manufacturiers, « Yonne Industrielle » est né le 22 novembre 2018 dans le cadre du programme « Territoires d’Industrie » parmi 148 territoires bénéficiaires du dispositif dont dix en Bourgogne Franche-Comté.

Ce label avait pour vocation de regrouper les pouvoirs publics et les industriels autour de projets collaboratifs. La priorité était de répondre à des enjeux majeurs territoriaux tels que la structuration des filières industrielles comme l’hydrogène, le développement durable ou encore la promotion de l’attractivité afin d’en favoriser l’emploi, « problématique principale des entreprises du territoire Yonne Industrielle » comme indiqué dans le protocole.

 

Une industrie française en friche depuis quarante ans…

 

Dès les années 70, on entrevoit les prémices d’une forte désindustrialisation de la France. Un phénomène qui touche tous les pays développés mais particulièrement accéléré dans l’Hexagone à partir des années 80. Notamment en raison d’un important déficit extérieur, soit un nombre d’importations bien supérieur à celui des exportations selon les économistes Thomas GRJEBINE et François GEEROLF.

Cette crise de l’industrie se traduit par une perte d’emplois salariés conséquente. Entre 1989 et 2017, le secteur a essuyé une baisse de 30 % du nombre de travailleurs. Alors qu’à la fin des années 70, le nombre de salariés dans l’industrie représentait plus d’un quart de la population active avec 5,5 millions d’individus. En 1989, la part de ces emplois n’était plus que de 23 %, de 12 % en 2007 et de 10,3 % en 2020 (dans les 3,12 millions d’emplois salariés dont 165 000 en Bourgogne Franche-Comté).

La désindustrialisation de la France s’explique aussi par le transfert des emplois de l’industrie vers le secteur des services (entre 1/5 et 1/4), la délocalisation des unités de production à l’étranger, l’un des aspects de la désindustrialisation du pays le plus controversé, l’automatisation et la robotique mais également par le désengagement flagrant de l’Etat français longtemps tourné vers le passé contrairement à d’autres pays comme le Japon.

 

 

Un accord dans la lignée d’une longue évolution des politiques industrielles successives…

 

Le début des années 2000 marque une prise de conscience du gouvernement du rôle essentiel de l’industrie dans le développement économique. En 2004, Jacques CHIRAC demanda à Jean-Louis BEFFA, alors PDG de la compagnie de Saint-Gobain, « d’examiner dans quels secteurs et selon quelle méthode pourrait être engagée une relance ambitieuse des grands programmes scientifiques et technologiques » dans le cadre d’un renouveau de la politique industrielle.

L’homme d’affaires a rendu un rapport intitulé « Pour une nouvelle politique industrielle » dans lequel il met en exergue le net décrochage de la France en matière de recherche et d’innovation.

Ainsi, il recommande la création de programmes de financement de certains secteurs prioritaires : l'énergie, le transport, l'environnement, la santé, la sécurité et la communication.

Néanmoins, les stratégies adoptées orientées vers le progrès technique ont eu pour effet d’importants gains de productivité donc la poursuite de la chute de l’emploi industriel. Dans l’Yonne, en 1990, on comptait 27 920 emplois salariés dans le secteur de l’industrie, soit 20 % de la population active. En 2019, ils n’étaient plus que 17 000 environ, soit 12 % du total d’emplois salariés.

 

 

La promesse de « Yonne Industrielle » en termes d’emploi…

 

« Trouver de la main d’œuvre qualifiée, former les salariés à occuper les postes vacants ou encore fidéliser les employés pour limiter le renouvellement des équipes » sont autant d’objectifs à atteindre d’ici 2022.

Le défi consiste à favoriser l’emploi en misant sur diverses solutions comme la promotion de l’attractivité du territoire et la mise en place d’une GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences) afin d’optimiser les actions des ressources humaines.

Les acteurs de « Yonne Industrielle » prennent en compte les difficultés de recrutement des entreprises, en partie responsables de cette chute des effectifs.

A noter que l’Yonne fait déjà partie des territoires les plus industrialisés de France, au même titre que d’autres départements limitrophes d’Ile-de-France. De plus, selon l’INSEE, « le Sénonais reste attractif » et la zone emploi de Sens « est la seule du département dont la population croît sous le double effet d’un solde naturel et migratoire positif… ».

 

Floriane BOIVIN

 


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La chose semblait pourtant entendue. Et ce, de manière définitive au terme de la dernière assemblée plénière du Conseil régional. Soit le 11 décembre dernier. Date à laquelle l’important domaine de 9,5 hectares de l’abbaye cistercienne devait être cédé pour un montant d’1,8 million à la Fondation du mécène et homme d’affaires François SCHNEIDER. Depuis, le RN ne désarme pas. Ses élus appellent à la mobilisation générale pour éviter la privatisation du site…

DIJON (Côte d’Or) : La trêve des confiseurs n’étant déjà plus qu’un lointain souvenir, on pensait que le feuilleton relatif à la cession du domaine de la fameuse abbaye cistercienne de l’Yonne avait connu son épilogue définitif après la vente de ce dernier à la Fondation SCHNEIDER.

Une transaction qui avait nourri de ses débats enflammés l’hémicycle du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté lors de l’ultime séance plénière organisée le 11 décembre 2020.

Souvenons-nous : le mécène et homme d’affaires François SCHNEIDER accédait enfin à son désir d’entreprendre dans l’Yonne : celui d’acquérir ce site patrimonial pour la coquette somme d’1,8 million d’euros. Il coiffait au passage l’autre prétendant à ce rachat pour le moins singulier, la Fraternité Saint-Pierre qui avait poussé la surenchère à 2,1 millions d’euros.

A l’époque, seuls les élus du groupe Rassemblement National avaient de manière très véhémente fait entendre leur discordance avec la teneur de ce projet. Lui reprochant par ailleurs son orientation trop mercantile, articulé autour de la construction d’un hôtel haut de gamme, d’un restaurant gastronomique et d’un centre d’art contemporain. Sachant que le prestataire de ce futur complexe hôtelier restait encore à trouver pour finaliser ce concept.

Si les Républicains s’étaient abstenus dans leur grande majorité au moment du scrutin, les représentants de Marine LE PEN avaient signifié leur désapprobation absolue en votant contre cette cession.

 

Les dangers d’une vente à un groupe privé…

 

Or, rejetant toujours le principe que l’une des plus grandes abbayes cisterciennes de France ne bascule vers la privatisation, les élus du RN remontent en ce mois de janvier au créneau pour empêcher que cette transaction ne se fasse réellement.

Dans un communiqué de presse, daté du 12 janvier, le parti « bleu marine » dénonce le choix voulu par la présidente de l’exécutif régional Marie-Guite DUFAY, de sa majorité mais aussi de la gauche et de la droite qui, selon lui, ont succombé aux chants des sirènes de l’industriel François SCHNEIDER en lui cédant ce bien séculaire.

 

 

 

 

« Les intentions de l’homme d’affaires sont apparues au grand jour le 17 décembre lors d’une conférence de presse (cf : elle fut organisée dans les locaux de la Maison de l’Entreprise à Auxerre en présence de Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne et de la sénatrice Marie EVRARD) où le nouveau propriétaire a clarifié sans nuance ni détour que ce serait une forme de privatisation où il serait indispensable d’intégrer l’abbatiale pour réussir le projet… ».

Dès le 26 novembre, en amont de la décision finale, les conseillers régionaux Julien ODOUL et Jacques RICCIARDETTI avaient mis en garde sur les dangers de cette vente du domaine régional en interpellant la ministre de la Culture Roselyne BACHELOT. En vain, visiblement.

 

Sauver Pontigny, le nouveau leitmotiv contestataire du RN…

 

Dès lors, les élus du Rassemblement National n’ont eu de cesse de dresser  le flambeau contestataire contre cette opération en multipliant les appels à la mobilisation de l’ensemble des acteurs nationaux et locaux.

L’objectif étant d’éviter que ce joyau du patrimoine culturel, religieux et historique de l’Yonne ne tombe dans l’escarcelle de la fondation.

Arguant que ce lieu historique demeure la propriété de la commune et qu’il est encore à l’heure actuelle affecté au culte, les conseillers régionaux du Rassemblement National veulent par leur initiative sauver Pontigny. S’insurgeant que ce soit un propriétaire privé qui décidera à l’avenir des conditions d’accès, tant en termes de prix que de temporalité, des visiteurs sur ce site emblématique. Un combat qui ne fait que commencer selon eux…

 

Thierry BRET

 


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Alors que la quatrième édition de ce rendez-vous solidaire envers les professionnels de la restauration se déclinera vendredi 15 janvier avec l’ensemble des commerçants du marché de l’Arquebuse à Auxerre, la Ville de Joigny apporte son soutien à la formule l’accueillant en ses murs. Le dispositif fonctionnel depuis le 09 janvier devrait se prolonger jusqu’à la réouverture des restaurants.

JOIGNY: « Place aux Restos » fait désormais des émules dans l’Yonne. Après Auxerre d’où est partie la pertinente initiative en décembre dernier sur notre département, c’est au tour de l’agglomération du Centre Yonne de soutenir les restaurateurs en les accueillant sur le marché sous halle.

La première de ces opérations qui vont se réitérer jusqu’à la réouverture des établissements culinaires a eu lieu ce samedi 09 janvier. Les professionnels se sont vus remettre par les services de la ville des stands afin de pouvoir présenter des recettes à emporter. Selon les principes édictés par cette manifestation qui se déploie petit à petit dans l’Hexagone depuis quelques semaines.

Menée par le Groupement national des Indépendants de l’Hôtellerie et de la Restauration (GNI-HCR), METRO France (grossiste alimentaire pour les professionnels), l’UMIH (Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie) et de la CGAD (Confédération générale de l’Alimentation en détail), l’action s’inscrit dorénavant avec une certaine constance parmi les calendriers consuméristes de notre territoire.

Elle favorise la reprise des activités des restaurateurs dont les établissements demeurent condamnés à la fermeture depuis des mois du fait de la présence du coronavirus.

 

 

Tendre la main à une profession qui paye un lourd tribut économique…

 

Président de la Communauté de communes du JOVINIEN et édile de Joigny, Nicolas SORET a donc décidé de soutenir cette initiative dans le prolongement de sa politique en faveur du commerce de proximité.

Il a accueilli samedi le premier des restaurants qui prenait part à ce nouveau rendez-vous le « Rive Gauche » où exerce le chef Jérôme JOUBERT. D’autres professionnels ont déjà fait part de leur intérêt afin de participer à l’opération lors des prochains marchés du mercredi et du samedi.

Instigateur de l’opération dans l’Yonne, Philippe BULANT, directeur de METRO Auxerre, a également initié des contacts avec les élus de Sens. Il attend désormais leurs réponses avant de pouvoir positionner « Place aux Restos » dans la ville la plus septentrionale du territoire.

Tendant la main aux restaurateurs, Nicolas SORET rappelle que « la ville doit apporter son aide à une profession qui paye très cher les conséquences de la pandémie… ».

Thierry BRET

 


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Veillée d’armes pour la députée de la troisième circonscription de l’Yonne Michèle CROUZET. Aux côtés de deux autres élus de l’Assemblée nationale, la parlementaire du Sénonais dévoilera le contenu du rapport de la mission d’information sur les sels présents dans l’industrie agro-alimentaire. Une conférence de presse organisée ce mercredi 13 janvier à Paris permettra de faire toute la lumière sur les additifs nitrés utilisés dans la conception des produits de la charcuterie.

PARIS : Producteurs artisans ou industriels, associations de consommateurs, experts scientifiques, représentants de la profession des bouchers, charcutiers et traiteurs, services administratifs de l’Etat… : tous ou presque ont eu voix au chapitre lors de la quarantaine d’auditions diligentées par la mission d’information sur les additifs nitrés dans l’industrie agro-alimentaire.

Une mission portée depuis le 03 mars 2020 par trois élus de l’Assemblée nationale, à savoir les députés Barbara BESSOT-BALLOT (LREM), Michèle CROUZET (MoDem) et Richard RAMOS (MoDem).

Objectif de cette initiative : interdire de manière progressive la présence des additifs nitrés dans l’un des produits phare de la gastronomie ayant les faveurs des consommateurs de l’Hexagone, la charcuterie. Des produits trop souvent pointés de l’index par une large frange du corps médical pour ses aspects cancérigènes…

Dès sa mise en place, la mission d’information a voulu faire toute la lumière sur l’utilisation de ces additifs nitrés (nitrites, nitrates…) dans les produits de charcuterie. Des additifs suspectés de provoquer des risques pour la santé humaine. Au bas mot, quatre mille cancers pourraient ainsi être évités chaque année si l’on retirait de l’alimentation ces nitrites et autres nitrates.

 

 

 

La FICT est prévenue face aux nouvelles règles…

 

Mercredi, les trois rapporteurs de cette mission d’information livreront leurs analyses fondées sur les enjeux scientifiques, économiques, industriels, culturels et sociaux attachés à l’emploi des additifs nitrés dans la fabrication de la charcuterie.

Conséquence : sept propositions seront ainsi formulées afin de permettre la mise en œuvre et l’accompagnement d’une interdiction progressive de l’utilisation de ces substances, conformément à la proposition de loi déposée par les trois rapporteurs le 14 décembre 2020.

Des préconisations qui ne devraient sans doute pas satisfaire les membres de la Fédération française des industriels charcutiers traiteurs (FICT) invités à ne plus ajouter d’additifs nitrés dans leurs produits dès 2023 pour les charcuteries crues et en 2025 pour les charcuteries cuites.

 

Thierry BRET

 

 

 


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