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Fin 2021, la plateforme logistique de 57 000 mètres carrés de l’entreprise qui emploie plus de 27 000 collaborateurs dans le monde et qui réalise un chiffre d’affaires annuel de plus de 500 millions d’euros sera close à Savigny-sur-Clairis. La nouvelle a fait l’effet d’une bombe en fin de semaine dernière ! Plongeant les 230 employés du site icaunais dans la tourmente. Et stimulant certains élus qui exigent de véritables explications…

SAVIGNY-SUR-CLAIRIS : La réunion se déroulera à la salle des fêtes de la commune du Gâtinais ce mercredi 10 février à 14h30. En présence des représentants syndicaux de la CFDT et de la CGT.

Mais, aussi des élus qui en sont les instigateurs. A l’instar de la députée de la circonscription Michèle CROUZET, commissaire aux affaires économiques et de Jean-François CHABOLLE, président de la Communauté de communes du Gâtinais en Bourgogne, et édile de Vallery.

L’objectif est simple. Faire toute la lumière autour de cette nouvelle mort annoncée d’une entreprise dans l’Yonne. Et, pas n’importe laquelle, en vérité. Il s’agit de la plateforme de FM LOGISTIC qui embauchait encore en 2017 à tour de bras ses salariés pour rejoindre les effectifs devant s’affairer dans les rayonnages des cinquante-sept mille mètres carrés d’entrepôt. Un site d’exception sorti de terre il y a peine trois saisons !

 

 

Déplorant le manque d’informations générales sur la situation, les deux élus de l’Yonne, auxquels se sont ajoutés l’ancien ministre et sénateur Henri de RAINCOURT et la maire de la commune sinistrée, Louise CARTIER, veulent comprendre de quoi il en retourne exactement dans ce dossier plutôt ténébreux.

Alors que FM LOGISTIC qui emploie plus de six mille personnes dans l’Hexagone a réalisé l’an passé 510 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Cette table ronde permettra-t-elle d’y voir un peu plus clair sur la situation ? En tout cas, une chose est sûre : les élus de notre territoire ne veulent pas rester les deux pieds dans le même sabot. Ils en appellent désormais l’Etat et les autres de leurs camarades à les rejoindre pour défendre d’une seule et unique voix les intérêts des 230 salariés menacés par la perte de leur emploi…

Thierry BRET

 

 


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La diffamation est une allégation ou l’imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur et à la considération d’une personne. Fort de ce postulat juridique, l’attaché parlementaire de la députée Michèle CROUZET, spécialiste en droit privé, a choisi de déposer plainte auprès du procureur de la République de Sens  mercredi 03 février. Cible identifiée par cette action en justice : deux élus du Grand-Sénonais et conseillers départementaux, auteurs de commentaires « diffamatoires » à son égard sur les réseaux sociaux. Du rififi en perspective dans le landerneau politique local ?  

SENS : C’est par l’entremise de Me Magali DUBREUCQ-TRUDDAIU, avocate au barreau de Sens que le bras droit de la députée MoDem de la troisième circonscription de l’Yonne a fait appel à la justice cette semaine pour pointer d’un doigt réparateur les nuisances diffamantes qui peuvent circuler d’ordinaire sur les réseaux sociaux.

Juriste de son état, Steve CAMPAGNE ne tolère plus les propos acerbes à la limite de la décence que véhicule la toile depuis plusieurs jours à son encontre. Des invectives qui émanent de la sphère politique locale et que l’intéressé considère comme « calomnieuses et diffamatoires ». Ces écrits qui fleurissent sur les comptes Facebook sont pour lui, « indignes des responsables politiques qui en sont les auteurs ».

Partant du simple postulat que la toile n’est pas une zone de non-droit, le jeune homme à la tête bien pleine ne veut pas se laisser intimider et insulter par des messages publiés par écran interposé.

« C’est là tout le problème avec les réseaux sociaux, explique-t-il dans un entretien accordé à la presse où il présente les dessous de l’affaire, on n’a pas pris la mesure de ce que sont ces outils de communication, de leur pouvoir et ce qui peut se dire ou s’écrire réellement… ».

Arguant que le droit s’applique partout y compris sur les canaux offerts par le numérique et que l’immunité zéro n’existe pas, l’attaché parlementaire de Michèle CROUZET a décidé de se lancer dans la bataille, tel un chevalier blanc qui souhaiterait pourfendre les aficionados de cette pratique somme toute usuelle par les temps qui courent, pour porter l’affaire devant la justice.

« Je le fais aussi au nom de toutes ces personnes qui souffrent en silence des méfaits de ce cyber harcèlement et des menaces anonymes qui sont diffusées régulièrement sur le multimédia, concède-t-il en présence d’un énorme Dalloz qui trône en majesté son bureau.

 

Accepter le principe de la liberté d’expression et de la transparence…

 

Quant aux faits, ils remontent au 22 janvier dernier. Désireux d’éclaircir quelques points interrogatifs qui l’interpellent, Steve CAMPAGNE sollicite le conseiller départemental et maire de Saint-Denis-les-Sens Alexandre BOUCHIER pour que ce dernier lui fournisse des explications détaillées sur son bilan et aborde le cumul de ses rémunérations en qualité d’élu.

Pour l’attaché parlementaire icaunais : il ne s’agissait là que d’une simple question d’ordre politique s’inscrivant dans la pure transparence citoyenne.

« C’est un devoir aujourd’hui de connaître les rémunérations de nos élus, précise Steve CAMPAGNE, cela s’inscrit dans la droite ligne de la démocratie. Si les élus ne s’appliquent pas à eux-mêmes les règles élémentaires de l’expression et de la transparence, on peut alors s’interroger sur les principes même de cette liberté d’expression dans ce pays ! ».

 

 

La réponse de l’édile de la commune périphérique de Sens ne tardera pas à être connue mais par le biais de la page Facebook des Républicains. Où Alexandre BOUCHIER compare la demande de l’attaché parlementaire à des « méthodes de mafieux ».

Un terme proprement indigeste et insultant pour Steve CAMPAGNE qui qualifie dans la foulée ces propos de « diffamatoires » ! Se promettant de ne pas en rester là en les faisant constater par un huissier !

« Je m’attendais à une toute autre réponse de la part de cet élu, ajoute Steve CAMPAGNE, mais pas ce genre d’insultes. Certes, la politique n’est pas un débat aseptisé. Mais, il faut savoir accepter le principe de la discussion. On a donc le droit de faire bouger les lignes en posant les bonnes questions. Y compris celles qui dérangent. Et de répondre aux interrogations lorsque celles-ci sont posées : cela s’appelle le courage politique… ».

 

Un combat mené au nom de l’exemplarité et du droit…

 

Affecté par ce qualificatif aux références siciliennes qui remet en cause sa probité personnelle et professionnelle, le plus proche collaborateur de Michèle CROUZET décide alors de contre-attaquer. En ayant recours à la justice.

D’autant qu’une seconde salve, émise sur le même canal d’expression numérique par la conseillère départementale Clarisse QUENTIN en soutien à son homologue du Sénonais, apportera un second souffle sur des braises déjà ardentes.

« Les mots possèdent un sens, souligne l’attaché parlementaire, et j’entends bien remettre cette notion à l’ordre du jour du débat public. On ne peut pas tout dire au nom de la liberté d’expression. Traiter ma méthode de « mafieux » fait allusion à un réseau criminel organisé. Oui, agir dans la sphère politique constitue bien une appartenance à un réseau. Mais, il manque alors le critère de référence à la criminalité : on n’a donc pas le droit de comparer mon intervention à celle de Cosa Nostra ! ».

Dès lors, Steve CAMPAGNE ne laissera plus le moindre interstice qui faciliterait la circulation de propos diffamatoires ou mensongers autour de lui. Y compris sur les réseaux sociaux.

La poursuite juridique se systématisera à l’avenir. Devenant un glaive acéré pour couper les fils de certaine forme de communication usitée par ses détracteurs. Un combat que le garçon souhaite mener au nom de l’exemplarité et du droit.

 

Thierry BRET

 


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Le préfet de la Région Bourgogne-Franche-Comté, Fabien SUDRY et Marie-Guite DUFAY, présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté, ont signé ce vendredi 05 février l’accord de relance Etat-Région et l’accord stratégique du CPER (contrat de plan Etat-Région) 2021-2027, en présence de Jacqueline GOURAULT, ministre de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales.

BESANCON (Doubs) : Ré-industrialisation de notre territoire, lutte contre la désertification et contre les inégalités territoriales, neutralité carbone : ce sont les trois objectifs majeurs qui ont été ciblés par le CEPR 2021/2027 (Contrat de Plan Etat Région).

Prenant en compte les conséquences de la pandémie, ce contrat de plan a été paraphé ainsi que l’accord de relance Etat/Région par le préfet de notre contrée, Fabien SUDRY et la présidente de l’exécutif régional, Marie-Guite DUFAY ce vendredi 05 février dans la capitale du Doubs.

La double signature officielle de ces documents s’est déroulée en présence de la ministre de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, Jacqueline GOURAULT.

Conséquence : une enveloppe de près de 2,75 milliards d’euros sera affectée au service des citoyens, des territoires et de ses acteurs. Cela inclut le plan de relance Etat/Région 2021/2022 (1,25 milliard d’euros) et l’accord stratégique sur les orientations du contrat de plan Etat/Région (CPER 2021-2027), couplé aux crédits valorisés (1,49 milliard d’euros).  

Précisons que le contrat de plan Etat/Région finance la mise en œuvre de projets essentiels à l’intérêt général que sont l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation, la transition écologique et énergétique, la cohésion territoriale, les mobilités multimodales, l’emploi et la formation, le numérique, l’économie sociale et solidaire, la culture et le patrimoine, le sport, l’égalité entre les femmes et les hommes.

 

Thierry BRET

 

 


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La barre des 500 000 apprentis est enfin franchie en France. Un vieux rêve caressé de longue date par les exégètes de la formation professionnelle qui ne croyaient pas obtenir de tels résultats un jour. Il est vrai qu’en matière d’apprentissage, la France partait de très loin dans le concert européen. Additionnant les préjugés vis-à-vis de cette méthode pédagogique ayant fait ses preuves. Dans l’Yonne, 700 jeunes viennent de bénéficier des aides exceptionnelles de l’Etat pour y parvenir…

AUXERRE : « Cocorico ! ». C’est l’expression qu’a employée le secrétaire d’Etat en charge du Tourisme Jean-Baptiste LEMOYNE à l’annonce du chiffre révélateur de l’intérêt grandissant de l’apprentissage auprès des jeunes dans notre pays.

Le cap symbolique des 500 000 jeunes gens recrutés ayant choisi l’apprentissage pour mieux s’insérer dans la vie active vient d’être dépassé. Une première significative dans un pays qui, il y a encore quelques années de cela, était à la traîne sur le sujet et accumulait de considérables retards, notamment vis-à-vis de notre voisin d’Outre-Rhin, l’Allemagne.

Pour la première fois de sa longue histoire sociale, la France passe ce cap des cinq cent mille apprentis recrutés. Un record historique qui a fait réagir tout de go et par un tweet circonstancié, le président de la République Emmanuel MACRON, très attaché au développement de cette méthode formative pour la jeunesse. Ce dernier a précisé qu’il était nécessaire de « continuer pour assurer un meilleur avenir professionnel à nos jeunes ».

Mais, comme devait l’argumenter Jean-Baptiste LEMOYNE, lors de sa conférence de presse tenue ce vendredi 05 février dans les salons de la préfecture, derrière ce bon résultat, il y a le rôle implicatif et citoyen des chefs d’entreprises.

Malgré un contexte très délicat et en l’absence de toute visibilité en termes de projection, les entrepreneurs de France comme ceux de l’Yonne ont poursuivi leur cheminement pédagogique en intégrant de jeunes pousses parmi leurs sociétés. Un état de fait qui a fait dire au ministre originaire de l’Yonne que « la valeur ressources humaines n’avait pas été oubliée durant cette période complexe… ».

Rien que sur notre territoire, ce sont plus de sept cents bénéficiaires de l’apprentissage qui ont ainsi été épaulés par les services de l’Etat.

A cela, huit cents autres de ces jeunes gens ont été aidés dans leur démarche d’embauche. Au total, plus de 3 600 jeunes adultes en âge de s’insérer dans la vie active ont été accompagnés en profitant des différents dispositifs mis en place dans le cadre du plan de relance sur le volet des ressources humaines. Soit l’équivalent de la population adolescente qui fréquenterait dix collèges !

 

Thierry BRET

 


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La ville de Sens célèbre d’ores et déjà les prochains Jeux Olympiques d’été de Paris. Ceux-ci se dérouleront du 26 juillet au 11 août 2024. De nombreux projets pédagogiques ont été proposés aux écoles élémentaires dont un marathon coopératif de 42,195 km par classe. Un défi relevé avec succès, notamment à l’école des Champs d’Aloup…

SENS : Ce jeudi 04 février, vingt-deux élèves de CM2 de l’école primaire des Champs d’Aloup foulaient la piste de course de l’établissement, sous l’œil avisé de Stéphane POUZET, l’un des trois éducateurs sportifs de la ville. Athlète confirmé, il est également membre du club de course à pied nature « Sens Route Trail ». « J’adore courir à la montagne. Je n’aime pas le bitume » confiait-il en aparté.

Ce marathon coopératif était organisé dans le cadre de la Semaine olympique par les services des Sports et de l’Enfance, labellisée « Terre de Jeux 2024 ». Toutes les écoles élémentaires de la commune participaient à ce challenge, soit 89 classes et 1 773 enfants. On notait également la présence de l’institut médico-éducatif Sainte-Béate et l’école multisports. Un total à parcourir de 2 024 kilomètres.

Les élèves sénonais sont excellents dans ce domaine, a priori, puisque la distance parcourue à ce jour est de 3 100 kilomètres !

 

Les élus et les équipes pédagogiques ont œuvré malgré un contexte difficile…

 

Romain CROCCO, l’adjoint en charge des sports, effectue un véritable pèlerinage en ce moment. Dernièrement le stand de tir de sa jeunesse, aujourd’hui l’école de son enfance !

Quoi qu’il en soit, l’élu ne perdait pas de vue l’objectif de la municipalité, double, en l’occurrence : « Joindre l’utile à l’agréable ». Cet évènement aura permis à la ville de s’inscrire dans des actions sportives, « salutaires à l’époque où on vit, qui est anxiogène, compliquée ». Le but est également de démontrer que le sport est, pour la ville de Sens, « un vrai enjeu ».

Depuis une semaine, les enseignants et leurs élèves réalisent un travail culturel et historique sur l’olympisme : ses valeurs, la flamme, etc. D’un point de vue sportif, la préparation au marathon dure depuis trois à quatre semaines selon les classes. Certaines se sont entrainées seules avec leur professeur.

« Tout le monde ne s’est pas préparé de la même manière » remarque d’ailleurs Stéphane POUZET. « Et ça se ressent un peu au niveau de l’effort. Certains le gèrent bien et sont réguliers. A contrario, il y en a qui font un peu de l’intermittence et qui courent beaucoup, qui courent vite et marchent… ».

Il faut dire que la mise en place de ce projet s’est avérée complexe à cause des mesures gouvernementales liée à l’épidémie, notamment sur l’obtention des autorisations. En fin de compte, il a pu être mené à bien avec le concours énergique des enseignants.

« On est quand même content, ça a quand même bien pris » ajoute Philippe SENECHAL, responsable du service des sports. « C’est vrai qu’il y a eu peu de temps pour parler du projet, pour le préparer à l’avance ».

 

 

Les élèves de CM2 relèvent le défi du marathon avec brio…

 

En temps normal, bon nombre d’enfants rechignent plutôt à réaliser cet exercice. Mais vues les conditions, notamment des restrictions au niveau des activités sportives, les élèves s’en sont donné à cœur joie.

Fatigué mais satisfait, le jeune Issam débordait encore d’énergie après la course, comme la plupart de ses camarades. « C’était dur mais c’était bien » lance-t-il, pas peu fier d’avoir réalisé quatorze tours, soit une distance de près de quatre kilomètres.

Issam et sa classe ont couru pendant vingt minutes, temps règlementaire des CM2. L’éducateur sportif a déterminé les temps de course en fonction du barème de l’USEP (Union sportive de l'enseignement du premier degré) : 18 minutes pour les CM1, 15 minutes pour les CE2, 12 minutes pour les CE1 et 10 minutes pour les CP.

Les séances d’endurance démarrent par des courses en intermittence. Le temps augmente peu à peu jusqu’à atteindre la durée maximale. « Normalement, à la fin du cycle endurance, ils sont censés tenir ce temps-là sans s’arrêter » précise l’éducateur sportif.

Au final, tous ont participé avec enthousiasme à l’épreuve et même largement atteint l’objectif avec un score de cinquante kilomètres. Ce qui représente une douzaine de tours (entre 2,5 et 3 km). Bravo pour les efforts !

 

Floriane BOIVIN

 


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