Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Au bout de cinq années de forcing auprès des services de l’Etat, la maire de Sens Marie-Louise FORT est enfin parvenue à obtenir l’autorisation d’aménager l’extension des Jardins de l’Orangerie, ancien havre de paix des archevêques jusque-là laissé à l’abandon. Inauguré depuis peu, c’est une incontestable réussite pour les férus de patrimoine et de verdure…

 

SENS : Cultivés par des communautés religieuses depuis le Moyen-Âge, les jardins de curé étaient de véritables havres de paix qui joignaient l’utile à l’agréable. Se mêlaient de nombreuses plantations, de fruits et légumes, de fleurs traditionnelles servant à la décoration de l’église, de plantes médicinales et potagères, bordées par du buis. Ils leur permettaient de subvenir à leurs besoins quotidiens, médicaux et alimentaires, mais ils leur offraient aussi un lieu de détente.

Au nombre de 30 000 au XIXème siècle, ils ne sont plus qu’une poignée à l’heure actuelle, notamment en raison du changement de mœurs, de l’avènement de la télévision ou encore de l’urbanisation. Encore que, depuis quelques années, un réel engouement pour ces espaces verdoyants sortis d’une autre époque semble émerger chez les amoureux du jardinage. D’ailleurs, les conseils pour créer son propre jardin de ce style foisonnent sur la toile.

 

Il faudra attendre le XXIème siècle pour revoir un jardin de curé à Sens…

 

L’extension des Jardins de l’Orangerie a endossé de nombreux rôles à travers les siècles. Au XVIIIème, l’archevêque de Sens, Mgr LANGUET de GERGY décide d’agrandir cet espace de verdure en réalisant de nombreux travaux. Mais après la Révolution, les jardins sont laissés à l’abandon, puis réhabilités par Mgr de la FARE, sous la Restauration.

Au début du XXème siècle, avec la séparation de l’Eglise et de l’Etat, l’ensemble archiépiscopal laisse place à un « sanctuaire de l’enseignement pour jeunes filles » comme le raconte Marie-Louise FORT. Le jardin devient une cour de récréation et l’Orangerie, un gymnase. Il se mue ensuite en « un vaste dépôt municipal ».

Le jardin de curé ne renaîtra finalement de ses cendres qu’au XXIème siècle. Il trône désormais parmi quelques rescapés de son espèce, dont celui du peintre Claude MONET à Giverny, l’un des plus charmants. 

 

 

La ville de Sens se réapproprie cette tradition ancestrale…

 

« Ici, les jardiniers ont encore pu donner libre court à leur imagination en proposant une composition savante de plantes médicinales, tinctoriales, aromatiques et potagères » a déclaré Marie-Louise FORT lors de l’inauguration de ce nouvel espace d’agrément.

La ville de Sens s’était donnée pour objectif de faire revivre l’un de ces jardins qui jouxtaient autrefois les abbayes, couvents ou monastères. Non sans effort car elle œuvrait depuis cinq ans afin de persuader la DRAC (Direction régionale des Affaires culturelles) de Bourgogne de l’utilité d’une telle initiative. Celle-ci venant enrichir le patrimoine floral et historique du territoire sénonais.

Le parcours de ce projet fut davantage semé d’embûches, étalé sur de nombreux mois, et freiné par les mesures de confinement. Il voit finalement le jour cet été après plus de 2 000 heures de travail, coûtant au total 105 000 euros.

 

 

La ville souhaite faire de l’acier Corten sa marque de fabrique…

 

Le service des parcs, jardins et espaces verts a pu, une nouvelle fois, faire la preuve de son talent horticole en aménageant ce  jardin. Du design à la culture, le service a entièrement mené ce projet hors normes, sauf pour la sécurité incendie, prise en charge par une entreprise externe. La municipalité tenait à favoriser des matériaux et des matières premières françaises, voire locales.

Issue du sud de l’Yonne, la pierre de Bourgogne orne notamment la fontaine. Elle est un élément essentiel de cette installation. Tout comme l’acier Corten avec lequel ont été fabriqués les bacs, fournis par la société ATECH, basée dans les pays de la Loire.

Le responsable du service, Aurélien LOISEAU, précisa, en outre, qu’il « existe une ligne rouge entre chaque espace vert » grâce à l’utilisation de l’acier Corten. Les quatre grandes lettres de la ville de Sens, apposées au mur du quai Schweitzer et souhaitant la bienvenue aux bateliers, sont d’ailleurs aussi faites de cette matière.  « Dans tous nos projets, on va l’intégrer au fur et à mesure… ». Sage résolution !

 

Floriane BOIVIN

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Après la Dordogne, les Yvelines et les Bouches-du-Rhône, la secrétaire d’Etat en charge des Personnes handicapées a choisi de se déplacer une matinée dans l’Yonne. Elle y a expliqué la stratégie du gouvernement concernant l’ouverture des établissements médico-sociaux vers le milieu scolaire traditionnel. Une révolution de palais pour les familles qui ne peut se faire sans la mutualisation de tous les services de l’Etat et des élus locaux…

 

VINCELLES : L’école, c’est le creuset de la République ! La formule déjà usitée est connue de tous. Mais, elle n’en est pas moins une véritable réalité pour assurer le brassage des populations et des savoirs en faisant accepter les différences. Et, c’est par ce prisme naturel et obligatoire vécu par tous les individus jusqu’à l’âge de 16 ans que le gouvernement entend bien raffermir sa politique du vivre ensemble à l’avenir. Notamment grâce à l’ouverture des établissements médico-sociaux vers le milieu scolaire traditionnel.

Avec toutefois, une subtilité : le déploiement d’unités d’enseignement externalisées s’inscrit comme une priorité inéluctable pour y parvenir. A l’image de ce qui se pratique déjà à l’école de primaire de Vincelles, bourgade située au sud d’Auxerre.

Là, dans cet antre de la pédagogie distillée aux têtes blondes effectuant leurs premiers apprentissages dans la vie scolaire, l’EPNAK (Etablissement public national Antoine KOENIGSWARTER) gère deux unités d’enseignement spécialisées. Elles y  accueillent vingt-deux enfants, atteintes d’un handicap.

 

  

Construire un grand service public de l’école inclusive…

 

« Je veux que l’on accélère vraiment cette transformation de l’école, souligne la secrétaire d’Etat Sophie CLUZEL lors de son point presse devant ponctuer sa visite de l’établissement scolaire, d’ailleurs, je tiens à saluer l’exemplarité de l’élu local de s’être impliqué à la réalisation de ce projet de société inclusive… ».

Du petit lait à déguster sans modération pour l’intéressé Guido ROMANO, placé sous le feu des projecteurs et qui a pris les rênes de la municipalité aux élections de 2020.  

Apprendre à mieux se connaître entre valides et personnes non valides passe naturellement par l’école.

« C’est l’endroit de la compréhension et de la confiance, ajoute la ministre, on vit ensemble, on grandit ensemble en parfaite cohésion… ».

Travailler ensemble, c’est aussi y associer tous les partenaires qui agissent dans ce domaine. Les services de l’Etat, en premier lieu. Via l’Education nationale. Mais aussi, l’Agence régionale de santé (ARS) ou la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie.

« Nous sommes en train de construire ce grand service public de l’école inclusive, rappelle Sophie CLUZEL, en développant la qualité de la coopération entre ces différents acteurs pour outiller et former les enseignants, les accompagnants d’enfants et les professionnels du secteur médico-social… ».

 

 

Ce parcours de l’école inclusive ne se cantonne pas uniquement au primaire. Il suit le schéma de scolarisation légitime en y englobant le collège et le lycée. Bref : une refonte de l’école de la République de fond en comble et à tous les étages de la fusée ! Sans omettre le périscolaire. Il était temps !

« Il nous faut travailler le droit commun, ajoute la secrétaire d’Etat,  ces enfants doivent être regardés et considérés comme n’importe quel enfant. Cela passe par l’accès facilité aux centres de loisirs, à la culture, à la pratique des activités sportives, à la vie sociale et plus tard, à la politique du logement... ».

Sillonnant l’Hexagone depuis plusieurs semaines pour apprécier la pertinence du concept déjà testé par endroit, un projet bâti en accointance avec le ministère de l’Education nationale, la représentante du gouvernement veut essaimer avec toutes les associations gestionnaires de droit privé.

« Nous avons aujourd'hui près de 13 milliards d’euros de financement des établissements médico-sociaux et des services. Je souhaite que cette enveloppe budgétaire soit au service des prestations directes auprès des enfants et non pas affectés à la réhabilitation de murs vieillissants. Cet argent sera réutilisé pour bâtir des écoles, collèges et lycées de demain… ».

 

 

Des recrutements en perspective pour accompagner les enfants…

 

Le pays observait-il un réel retard sur le sujet depuis tant d’années ? Ce n’est pas la vision même de la secrétaire d’Etat.

« Ce n'est pas un retard en soi. C’est plutôt un fait historique que d'avoir travaillé différemment avec le secteur du médico-social dans lequel il y a encore 80 000 enfants. Je vous rappelle que 400 000 enfants sont scolarisés lors de cette rentrée. C'est 25 % de plus qu'en 2017. C'est aussi 35 % de moyens d'accompagnement supplémentaires d'aides humaines. Dans le cas des accompagnants d'élèves en situation de handicap, ce sont 2 000 places de service d'accompagnement qui se sont ouvertes cette année. Cette transformation de la vie scolaire grâce à l’inclusion est bien une réalité. Et moi, ce que je souhaite, c'est l'accélérer ! ».

Reste la problématique de l’encadrement. Les témoignages de nombreux parents convergent tous en ce sens : il est compliqué de disposer d’encadrants. Quant à leurs remplacements en cas de soucis de santé ou autres, ils ne sont pas toujours assurés.

Consciente de la difficulté, Sophie CLUZEL a tenu à rassurer les parents d’élèves présents lors de cet échange convivial autour d’un café.

 

 

« Nous recrutons quatre mille accompagnants d’élèves en situation de handicap, devait-elle préciser, sachant que tous les enfants n’ont pas besoin d’être systématiquement suivis de près par un encadrant... ».

Une chose est claire dans la stratégie expliquée par Sophie CLUZEL. L’Etat préfère injecter de l’argent vers les missions assurées par les professionnels plutôt que de l’engager dans la rénovation de structures d’accueil immobilières, à l’instar du fameux « château » de l’Institut Médico-Educatif (IME) de Vincelles, devenu totalement obsolète dans sa fonctionnalité.

Le bien vivre ensemble a donc un prix : celui du modernisme dans sa conception pédagogique et de l’inclusion de ces jeunes enfants au cœur du système scolaire traditionnel. C’est le choix du gouvernement. Et certainement, celui des familles qui ne veulent plus que leurs progénitures vivent en marge de la société.

 

 

En savoir plus :

Il existe un numéro de téléphone permettant aux parents et aux familles d’obtenir des réponses à leur questionnement :

0 805 805 110

 

Thierry BRET

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La virtuose musicologue de Sens dévoilera une autre facette de son talent éclectique. Une corde supplémentaire qui s’ajoute à son arc des possibles, étoffant ainsi son potentiel artistique. On la connaissait pianiste, la voilà devenue chanteuse ! Ekaterina DENISSOVA-BRUGGEMAN livrera dans toute sa splendeur une prestation unique à l’Auberge d’Egriselles…

 

SENS : Nouveau défi pour l’instrumentiste icaunaise ! Celle qui ravit d’ordinaire son public de fidèles par ses interprétations évanescentes d’œuvres oniriques écrites par TCHAIKOVSKI ou POUCHKINE  lance sa saison culturelle par un rendez-vous quelque peu décalé de ses habituelles prestations scéniques.

Sortant de sa zone de confort, Ekaterina DENISSOVA-BRUGGEMAN se produira en effet ce samedi 18 septembre dans une version « cabaret ».

Russe, de surcroît, du fait de ses origines. Un cabaret façon ambiance vodka et caviar par la grâce et la qualité musicale de l’artiste.

Non seulement la musicienne sera installée derrière son piano. Mais en outre, elle nous fera découvrir la tessiture de sa voix, proposant un voyage à travers son pays natal. Entre mélodies populaires et romances de salon chantées dans la langue de TCHEKHOV, la mélodiste proposera une relecture très personnelle des grands classiques intemporels du répertoire russe. Un plaisir auditif dont il ne faut se priver…

 

 

 

En savoir plus :

 

Ekaterina DENISSOVA-BRUGGEMAN en concert

Le samedi 18 septembre 2021 à 20h30

A l'Auberge d'Egriselles, au 17 Grande Rue, Égriselles-le-Bocage.

Participation : 10 euros.

La réservation est vivement recommandée au 03.86.86.04.12.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..

Possibilité de dîner sur place avant le spectacle.

Passe sanitaire obligatoire.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le président du Conseil Départemental de l’Yonne Patrick GENDRAUD a visité le collège des Champs-Plaisant où plusieurs problématiques ont été évoquées par le principal Marc DUMEZ. Parmi les priorités : la citoyenneté, la lutte contre le sexisme, le développement durable ou la continuité du REP (Réseau d’Education Prioritaire) qui intègre de nombreuses activités pour les élèves.

 

SENS : Le montant alloué aux collèges par le Département de l’Yonne s’élève à 33 millions d’euros, dont 15 millions d’euros dédiés à l’investissement, « avec un effort important pour la restauration », contre 11 millions d’euros en 2020 et 10 millions d’euros en 2019.

« Avec les nouveaux élus, nous envisageons, pour les années à venir, d’aller jusqu’à 20 millions d’investissement par an pour les collèges » ajoute Patrick GENDRAUD,  président du Conseil départemental de l’Yonne.

 

Les Champs-Plaisants, un collège en souffrance, pour la restauration…

 

Avec en charge près de 900 élèves, alors que sa capacité d’accueil physique avait été fixée à 800 dans le Schéma Directeur des collèges du Conseil Départemental de l’Yonne de février 2010, le collège des Champs Plaisants nécessite une attention particulière. Aujourd’hui, les élèves sont répartis dans 32 classes, pour seulement 33 salles, « une grosse contrainte en termes d’emploi du temps » comme le précise Marc DUMEZ, le principal du collège.

La réfection du restaurant scolaire doit être réalisée en priorité et fait l’objet d’un projet concret. C’est l’un des points noirs de l’établissement.

Avant l’épidémie de COVID, les élèves étaient accueillis dans une salle assez petite, à raison de six élèves par table. Depuis la mise en place des mesures gouvernementales, le collège a même dû sacrifier le foyer afin de créer une seconde salle, de manière à ce que les élèves puissent manger à trois par table.

La réorganisation du restaurant scolaire impliquera également la mise en place d’un système de tri afin d’éviter le gaspillage alimentaire ainsi qu’une préférence pour le circuit court, soit l’utilisation de produits français.

 

 

Lancement d’un projet contre la discrimination et le sexisme…

 

Le principal souhaite lancer un « Projet Citoyenneté ». Il sera « ambitieux dans la mesure où on marche sur des œufs. Mais je pense que c’est une problématique qu’il fallait soulever au collège des Champs Plaisants en particulier puisque nous avons de nombreuses origines ethniques et culturelles très différentes avec, parfois, des attitudes et des comportements qui sont, en République, pas tolérables ».

Marc DUMEZ compte également prendre à bras le corps le problème de maltraitance psychologique exercée sur les collégiennes, des incidents rapportés récemment par les enseignants.

« Les jeunes filles sont victimes de comportements inadaptés, sexistes, qui sont souvent passés sous silence ».

En cause, la honte ou le refus de dénoncer de peur d’être considérée comme une balance.

« On veut vraiment lutter contre ce fléau » ajoute le chef d’établissement.

Il déplore aussi que « les réseaux sociaux amplifient le phénomène » et que « de nombreux élèves ne mesurent pas la portée de leurs gestes ni celles de leurs publications ».

Il précise même que des « nudes » (autoportraits dénudés) ont obligé des élèves à changer d’établissement.

 

Floriane BOIVIN

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’information circulait déjà sous le manteau ce jeudi en début d’après-midi. Presque en catimini et sans que rien de vraiment officiel ne soit formalisé. La visite de la secrétaire d’Etat en charge des Personnes handicapées prenait donc tournure. Avec une halte à Vincelles où l’EPNAK gère une école primaire qui accueille deux unités d’enseignement externalisé. 18 mois après sa dernière immersion dans l’Yonne, Sophie CLUZEL revient…   

 

AUXERRE: 11h12 ce vendredi matin tombe sur la boîte mail le communiqué de presse émanant des services ad hoc de la préfecture de l’Yonne. Le message confirme ce qui se chuchotait de manière très perceptible depuis près de vingt-quatre heures : la secrétaire d’Etat en charge des Personnes handicapées Sophie CLUZEL allait effectuer un déplacement dans l’Yonne, et ce dès le début de la semaine prochaine.

Matinale, la représentante du gouvernement sera donc à pied d’œuvre à partir de ce lundi 13 septembre à 08h30 afin de découvrir l’école primaire de Vincelles, située au sud d’Auxerre, un complexe pédagogique sous la tutelle de l’EPNAK (Etablissement Public National Antoine KOENIGSWARTER).

La secrétaire d’Etat aura l’opportunité d’échanger avec les parents autour d’un café (un thé serait le bienvenu pour les réfractaires à la caféine !) avant de s’immerger dans une classe aux côtés de l’équipe pédagogique et des enfants en situation de handicap.

Puis, dans la foulée, Sophie CLUZEL assistera à la mise en vente des anciens bâtiments de l’Institut médico-éducatif (IME) de l’EPNAK. Désormais, l’établissement dirigé par Emmanuel RONOT a décidé d’externalisé ses unités d’enseignement scolaire, symbole de l’ouverture du secteur médico-social vers le milieu ordinaire.

Ensuite, la secrétaire d’Etat mettra le cap vers le nord de l’Yonne. Rejoignant Sens où une rencontre avec les personnes accompagnées par la Communauté 360 de l’Yonne l’attendra rue de Sainte Béate. La visite protocolaire se terminera par un point d’étape avec les parties prenantes de ladite communauté, à savoir les collectivités locales, l’Agence régionale de Santé et la Maison départementale des personnes handicapées.

En janvier 2020, accueillie par le préfet de l’Yonne Henri PREVOST et le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD, Sophie CLUZEL s’était rendue dans cette dernière institution afin d’y dévoiler la stratégie du gouvernement en matière d’amélioration du quotidien des personnes atteintes d’un handicap.

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil