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L’ultime session plénière du Conseil départemental de l’Yonne, ce vendredi 22 juin, aurait pu se clore sur un rythme tranquille et serein avant que les élus n’abordent la longue période de trêve estivale. Or, une funeste et imprévisible nouvelle est venue ternir l’hémicycle à l’ouverture des travaux. Suspendu à son portable durant plusieurs minutes, le président Patrick GENDRAUD devait annoncer à brûle-pourpoint à l’assistance la probable fermeture du Centre d’application de l’Ecole nationale vétérinaire d’Alfort. Un établissement fonctionnel depuis de nombreuses années sur la commune de CHAMPIGNELLES qui accueille les futurs diplômés de cette filière médicale dans leur phase d’études pratiques. Présent lors de cette séance de travail, le secrétaire d’Etat Jean-Baptiste LEMOYNE a déjà saisi le ministre de l’agriculture sur cet épineux dossier…  

AUXERRE : Coup de semonce aux premières minutes de la séance de retrouvailles des élus départementaux ce vendredi matin ! Alors que le cérémonial habituel visant à égrener les noms des élus présents dans l’hémicycle allait s’achever, le président se saisit brusquement de son téléphone portable afin de répondre à un appel pressant.

Au bout de la ligne, il le confirmera quelques minutes plus tard, la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY. Attentif aux propos de son interlocutrice, le représentant de l’exécutif de l’Yonne s’assombrit peu à peu au fil de la conversation. La nouvelle tomba en direct à la stupéfaction de l’élu qui tenta de rester de marbre.

Prenant ensuite la parole, l’ancien édile de Chablis annonça la probable fermeture de l’Ecole nationale vétérinaire d’Alfort, accueillie sur la commune de CHAMPIGNELLES. Cette douche froide jeta un trouble palpable parmi les conseillers départementaux.

S’insurgeant contre l’absence de consultation, tant au niveau de la Région que du Département, le président GENDRAUD devait condamner cette décision de manière laconique. « Je ne l’approuve pas…déclara-t-il.

Présent lors de cette plénière, le Secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Baptiste LEMOYNE, demanda la parole. Elle lui fut donnée. Précisant ses intentions, le représentant du gouvernement informa l’assemblée qu’il venait de saisir le ministre de l’Agriculture Stéphane TRAVERT sur la teneur de ce dossier.

Une école présente dans l’Yonne depuis 1975…

C’est en 1975 que l’ENVA s’est installée à CHAMPIGNELLES pour y ouvrir un centre d’application destiné à accueillir des animaux de la ferme. Outre les bovins, ce sont surtout aujourd’hui la population des moutons qui constitue l’essentiel des troupeaux habitant ce site pédagogique. Près de 700 étudiants dont 80 % de filles fréquentent cette école d’enseignement supérieur de l’Ile de France qui dispose de ses propres centres de recherche.  

Les activités cliniques de l’établissement permettent d’assurer 35 000 consultations annuelles pour les animaux de compagnie. La faune sauvage n’est pas soustraite à ces priorités puisque 3 500 animaux sont soignés chaque année dont 85 % d’oiseaux et 15 % de mammifères.

Environ 1 500 actes annuels se pratiquent aussi sur des espèces animales d’élevage dont les bovidés, les porcins, les lapins et les volailles. L’ENVA accompagne les étudiants sur une quinzaine de cursus différents.

L’extension du site de CHAMPIGNELLES avait été définie en 2007. Il y emploie à l’heure actuelle quatre salariés. Cependant, dans le schéma pluriannuel de stratégie immobilière dévoilé sur la période 2017/2021, rien ne concernait le site de l’Yonne. Seuls le campus principal, situé à Maisons-Alfort et le site de GOUSTRAINVILLE sur lequel est implanté le Centre d’imagerie et de recherche des affections locomotrices équines (CIRALE), étaient impactés par de nouvelles perspectives de projets.

Il faudra sans doute patienter encore quelques jours avant de découvrir à quelle sauce pourrait être mangé le site éducatif de CHAMPIGNELLES. Mais, l’information diffusée par le président du Département ce vendredi martin en séance risque de provoquer des réactions en chaîne…


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Depuis le 29 mai, un tandem décisionnel novateur a pris les rênes de la Fédération des caisses locales de l’assureur mutualiste sur le territoire icaunais. Aux côtés de l’inamovible directeur d’établissement, Jacques BLANCHOT, l’ancien président délégué de cette structure ancrée sur le territoire, promu aujourd’hui président depuis le départ à la retraite de Philippe RENOUX, Pascal MAUPOIS entre en piste. Issu du sérail agricole, et inféodé depuis son installation en 1979 aux responsabilités au sein des conseils d’administration du leader de l’assurance et de la prévoyance, l’ancien adjoint à la municipalité de TRONCHOY accède à 56 ans à de nouvelles fonctions. Qu’ils souhaitent humaines, ouvertes à la féminisation et favorables au rajeunissement des élus…

AUXERRE : « Ce que j’aime dans le mutualisme, c’est cette notion d’altruisme et d’entraide envers les personnes qui prennent à cœur leur existence. Qu’il s’agisse des particuliers, le socle naturel des sociétaires du groupe, mais aussi des professionnels et des élus. Une chose est certaine : nous allons rester dans cet état d’esprit mutualiste à l’avenir et nous allons le faire évoluer positivement… ».

Les premières paroles, accordées à la presse par le nouveau président de la Fédération des caisses locales de GROUPAMA Paris Val de Loire dans l’Yonne, posent les jalons de la prochaine mandature de l’élu. La feuille de route se veut construite pour la vision que se fait Pascal MAUPOIS du mutualisme. Il désire rassembler le plus largement possible les bonnes compétences qu’elles soient féminines ou issues de plus jeunes générations au sein du conseil d’administration de l’exécutif.

Une direction bicéphale dont les rouages se complètent…

Saluant le travail de son prédécesseur, Philippe RENOUX, « qui a su œuvrer avec détermination et passion au quotidien les axes favorables à l’essor de l’Yonne », Pascal MAUPOIS remercia l’ancienne courroie de transmission qui accompagnât Jacques BLANCHOT. Il y eut de prime abord le regroupement des dix caisses locales en une fédération départementale. Il y eut aussi la réhabilitation du siège social de la rue Guynemer dans le cadre du futur Pôle de l’agriculture. Un complexe sectoriel, établi sur plusieurs édifices accueillant les services de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne et la Mutualité Sociale Agricole (MSA), qui sera inauguré en date du 15 décembre.

Féru d’informatique (il a porté sur les fonts baptismaux une structure associative spécialisée dans sa commune de TRONCHOY), le nouveau président se dit connecté. Comme il l’est depuis qu’il a endossé sa vêture de dirigeant avec le directeur d’établissement, Jacques BLANCHOT.

Cet ex-sapeur-pompier volontaire, soutien inconditionnel de l’AJ Auxerre et de l’équipe de France de football, aura connu son premier mandat d’administrateur chez l’assureur mutualiste en 1994. Bien qu’il soit sociétaire depuis son installation professionnelle, en qualité de céréalier, depuis 1979.

C’est en 2002 qu’il deviendra président de la caisse locale du Tonnerrois. Avant de vivre différentes fusions qui donneront naissance à l’actuelle Caisse de l’Armançon où il officie depuis 2010 avec des responsabilités identiques.

Sa désignation entérinée lors de la Convention annuelle de GROUPAMA Paris Val de Loire à Boulogne-Billancourt fin mai lui permet d’obtenir un autre accessit : devenir vice-président de la Caisse régionale. Nommé président délégué, Jean-Philippe THIAULT, président de la Caisse locale de Centre Yonne, et Olivier THIBAUT, administrateur, travailleront en osmose avec lui.

Optimiser l’ancrage territorial vers les acteurs institutionnels et économiques…

Forte de ses dix caisses locales, la Fédération de l’Yonne possède 29 000 sociétaires et 180 élus. Le conseil d’administration s’articule sur la présence de 26 membres dont 23 sont issus des caisses locales. Le territoire de l’Yonne constitue l’un des fers de lance de la stratégie mise en place par le groupe régional, dirigé aujourd’hui par Eric GELPE, depuis le siège d’Olivet, en périphérie d’Orléans, et présidé par Daniel COLLAY.

« GROUPAMA SA qui est par ailleurs redevenu le 07 juin dernier GROUPAMA Assurances Mutuelles, prouve que la force du mutualisme est bien imbriquée au cœur des territoires. L’entité régionale, à titre d’exemple, pèse 525 millions d’euros de chiffre d’affaires. Elle se déploie sur quatorze départements, emploie 1 800 collaborateurs et accueille 300 000 sociétaires… ».

Se définissant comme le porte-parole du Conseil d’administration, Pascal MAUPOIS veut insuffler un air nouveau avec ses partenaires historiques des milieux agricoles.

« Nous avons su tisser des liens ténus avec les organismes représentatifs de l’économie, à l’instar de la CAPEB, de la CPME, d’INITIACTIVE 89, mais aussi vers les entreprises locales, les structures sportives comme l’AJ Auxerre ou le Rugby Club Auxerrois (RCA), voire le Conseil départemental dans le cadre du « Yonne Tour Sport » annuel. Je souhaite poursuivre sur cette voie et intensifier à l’avenir nos axes de prévention que nous déclinons avec le concours de la Gendarmerie nationale (opération Dix de Conduite auprès des plus jeunes, opération spécifique dans l’apprentissage de la conduite de machines agricoles…). Nous nous positionnons comme une société éco-citoyenne en formant l’intégralité de notre personnel aux gestes de premiers secours grâce aux pédagogues du SDIS (Service départemental d’Incendie et de Sécurité)… ».

Annonçant le retour des Rencontres départementales qui se poseront dès le printemps 2019 sur le sol de l’Yonne, Pascal MAUPOIS évoqua l’excellente série de conférences sur le devenir de la santé qui eurent lieu en mai. Animées par le truculent docteur CHARDON, elles ont trouvé un auditoire attentif à cette thématique cruciale lors des dix assemblées générales des caisses locales auxquelles le praticien devait participer.


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C’est une immersion passionnante qui sera proposée ce samedi 23 juin dans les infrastructures professionnelles du Domaine Louis MOREAU implantées sur la commune de BEINES. Les hôtes de ces lieux, devenus de véritables références à l’international auprès des exégètes de la viticulture qualitative, accueilleront les férus de ces goûteux nectars lors de portes ouvertes, agrémentées de subtiles surprises. Un évènement que les épicuriens devraient apprécier à sa juste valeur en se délectant de grands crus et premiers crus vinifiés au domaine…

BEINES : Œnologue ayant suivi son cursus universitaire dans l’un des établissements chevronnés de la Côte Ouest américaine, Louis MOREAU a suivi les traces de son père, Jean-Jacques, sur le sentier de la réussite professionnelle. Sixième représentant de la génération familiale à la tête du domaine viticole, cet entrepreneur pratique depuis plus d’une décennie des méthodes de viticulture raisonnée. Objectif : valoriser du mieux possible l’ensemble des terroirs de son vignoble, 65 hectares, pour obtenir une qualité optimale des produits.

Grand bien lui en a pris ! Ce propriétaire de cinq grands crus, et non des moindres dans le paysage du Chablisien, s’est forgé une solide notoriété. Surtout auprès des consommateurs des quatre coins de la planète qui aiment succomber à la suavité exquise de ces élaborations divines, issues du cépage 100 % Chardonnay !

Une journée de plaisir gustatif…

Leurs noms résonnent bien ancrés dans les esprits gourmands : Premier cru Les Fourneaux, Grands crus Valmur, Les Clos, Blanchot, Vaudésir…

Produisant 350 000 bouteilles à l’année, le Domaine Louis MOREAU, apparu en 1814, accueillera ce public de fervents adeptes au cours d’une journée intéressante, orientée vers la pédagogie et le plaisir.

Elle sera distillée entre visite du complexe, en profitant des explications dites par le propriétaire, de séances de dégustation avec Anne MOREAU et de découverte de produits plutôt insolites.

Les célèbres pop-corn, aux multiples saveurs aromatisées (citron, poire, chocolat, caramel…) conçus par la société icaunaise GRAMM’S feraient pâmer d’envie les plus accros aux confiseries. Que dire, aussi, de ces fantastiques gougères qui possèdent un goût parfumé aux diverses variétés fromagères ! On en mangerait sans compter ! Elles sont l’œuvre de PYNEAU PRUNUTZ : une petite structure artisanale de notre terroir qui ne cesse de monter dans l’estime des gourmets de la région. Quant aux amateurs de food truck, ils pourront se sustenter en découvrant les bons produits concoctés par CROQ & GOURMAND.

Portes ouvertes au Domaine Louis MOREAU à BEINES

La réservation pour les visites est conseillée au 03.86.42.69.44 et par mail, sur Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.


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Uniques en France alors que leurs origines proviennent d’Alsace, ces collectes d’offres d’emploi glanées auprès des entreprises de l’Yonne ont suscité, comme à chaque édition, un très net engouement. Et même s’ils furent un peu moins nombreux que la saison dernière (155 personnes recensées), les participants de cette cuvée 2018 ont su donner corps et âme pour obtenir de précieux renseignements sur les besoins actuels de recrutement de tout type d’entreprises. Une démarche personnelle particulièrement complexe à mettre à profit qui devait se solder par l’identification de 384 offres…

AUXERRE : Au-delà du simple fait de prospecter et de dénicher des offres professionnelles dont certaines sont totalement méconnues de Pôle Emploi, le concept transcende les populations privées de travail en les motivant et en les responsabilisant. Cette quête après un Graal parfois difficile à approcher est vertueuse à bien des égards. Non seulement, elle rompt l’isolement que vivent bon nombre de « chercheurs de boulot ». Mais, en outre, elle représente la juste illustration de la cohésion sociale et de la solidarité, nécessaires au rebond de cette typologie de personnes qui ne doit pas se résumer à la reconnaissance de statistiques mensuelles.

La solidarité, j’y reviens : on moissonne pour l’autre !

Depuis que le concept a pris son rythme de croisière, les regards sur les demandeurs d’emploi ont changé. Surtout auprès des employeurs qui voient en ces pèlerins d’un genre nouveau des personnes volontaires, des gens qui se bougent et ne restent pas béats et passifs à attendre que la Providence leur tombe enfin dessus tout cru.

Cette année, et malgré la défection de la Communauté de l’Avallonnais (seule la ville d’Avallon avait confirmé sa présence au projet), ce sont les sites d’Auxerre, d’Avallon et de Joigny qui ont reçu les « moissonneurs » dans leurs entreprises. Un total de cent cinquante-cinq collecteurs dont 57 % de femmes. Question tranche d’âge, la majorité de ces participants (43 %) se situait entre 26 et 45 ans. 39 % intégraient la catégorie des seniors, soit plus de 45 ans. Les moins de 26 ans ne furent in fine que 18 %.

Plus surprenante, la répartition par niveaux d’études. 29 % se situaient au-delà de bac + 2. Le niveau VI agglomérait une forte proportion de candidats pour 42 %. Quant à la solidarité, elle est constante. Tout au long de l’année. Depuis la phase préparatoire du concept, c’est-à-dire les semaines qui précèdent l’exercice de collecte. Mais aussi, durant les Moissons, avec le concours des très nombreux partenaires de la sphère institutionnelle et économique qui entourent ce processus. De prime abord, les collectivités et l’Etat.

Les présences de Muriel VERGES-CAULET, représentant la Région, de Valérie LEUGER, pour le Département ou de M. DESCHAMPS, de la Ville d’Avallon confirmèrent l’engagement de ces structures à ce concept décliné depuis plusieurs saisons par la Maison de l’Emploi de l’Auxerrois et Pôle Emploi. Un engagement qui se traduit dans les faits par le financement de l'opération, sans lequel rien ne pourrait se faire.

« Quand cent personnes retrouvent un travail, directement ou indirectement à partir des « Moissons », et qu'ensuite leurs ressources (c’est-à-dire le salaire) est le fruit de leur activité professionnelle et pas celui d'allocations dites sociales au sens large du terme, les « Moissons » représentent alors un coût d'environ 1 000 euros par personne en emploi, déclara Guy PARIS, président de la Maison de l’Emploi de l’Auxerrois et premier adjoint à la Ville d’Auxerre, combien économiser en face en aide sociale ? ».

Des résultats probants, une fois encore…

Au cours de son intervention, Guy PARIS prit soin de comparer les deux dernières éditions au niveau de leurs résultats. En 2017, les « Moissonneurs » avaient collecté 113 offres d’emploi inconnues des services de Pôle Emploi. Pour ce nouvel épisode, sur les 384 offres récupérées, 115 intégraient la catégorie des offres cachées. Cinquante-quatre d’entre elles étofferont le site de l’agence pour l’emploi.

« Nous constatons toujours des réticences du côté des employeurs à diffuser largement leurs offres, analysait le président de la Maison de l’Emploi de l’Auxerrois.

Poursuivant sur l’énoncé des statistiques, Guy PARIS rappela qu’en 2017, 55 % des « Moissonneurs » avaient retrouvé une solution de retour à l'emploi par le biais de formations et de stages alors que 31 % trouvaient un emploi durable.

L’élu d’Auxerre salua aussi le travail effectué par le Collectif Emploi 89, structure associative apparue lors de moissons antérieures (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.).

Enfin, il ne désespère pas semer sur l’ensemble du territoire national les graines de ce concept dont l’Auxerrois s’enorgueillit avec succès depuis tant d’années. « Un récent article publié sur le site du Commissariat général à l’Egalité des Territoires valorise notre action : il suffirait de peu pour que notre expérience soit portée ailleurs. Et je l’encourage vivement… ».

Concluant par cette belle pensée de Sénèque, « ce n'est pas parce que c'est difficile que l'on n'ose pas mais parce qu'on n'ose pas que c'est difficile…», Guy PARIS entend redonner confiance en accompagnement aux côtés de ses partenaires les demandeurs d’emploi dans cette œuvre collective et solidaire…


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Eiryo KUDO, jeune prodige de la cuisine nipponne, en poste à l’ambassade de l’Empire du Soleil Levant à Paris, a eu la divine surprise de découvrir, aux côtés du Premier secrétaire aux affaires économiques de l’archipel et de son attaché agricole, les méthodes d’affinage d’une viande bovine labellisée qui ont établi la notoriété de l’artisan sénonais à travers la planète. Aujourd’hui, les plus belles références des arts culinaires et de la gastronomie française, dans l’Hexagone comme dans leurs établissements à l’international, se fournissent chez ce virtuose du goût et de l’authenticité. Ce long et délicat travail de maturation a conquis les officiels japonais en visite dans l’unité de production de Sens. Ils n’oublieront pas de sitôt cette immersion surprenante dans cet univers du savoir-faire, poussé à son paroxysme et à sa maîtrise absolue…

SENS : Moins 21 degrés. Les espaces frigorifiques où sont entreposées les carcasses de bœufs ne se visitent pas. Furtivement, le maître de cet antre atrophié par le froid daigne ouvrir le temps d’une courte séance photographique l’une des zones d’affinage de cette viande succulente au palais qui fait désormais le bonheur gustatif des esthètes et la renommée planétaire de l’artisan icaunais.

Bienvenue au cœur des établissements DENAUX ! Munis de leurs smartphones, les membres de la délégation nippone immortalisent ces instants, très cordiaux et chaleureux, menés dans une langue de Shakespeare parfaite. Répondant de manière positive à l’invitation de l’entrepreneur, les personnels de l’ambassade, accompagnés de Karine BERTHOLON, chargée de mission Asie de l’Est à la Direction générale de la performance économique et environnementale des entreprises, au sein du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, et de Nadège PALANDRI, chef du service régional de l’économie agricole au sein de la DRAAF (Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt de Bourgogne Franche-Comté), furent accueillis en fin de matinée de ce vendredi 15 juin par le chef d’entreprise et son épouse.

Des liens déjà privilégiés entre la société DENAUX et le Japon…

Une présence asiatique qui n’avait rien de surprenante dans cette structure moderne dont l’histoire fut narrée par le dirigeant avec moult précisions. Depuis cinq ans, les établissements DENAUX distribuent leurs produits au Japon. Cibles privilégiées : les restaurants gastronomiques. Certes, il y a ceux tenus par les grandes signatures françaises de la gastronomie dont les noms illustres tutoient toujours les sommets (Pierre GAGNAIRE, Joël ROBUCHON…). Mais, l’appétence des jeunes chefs nippons pour la gastronomie de qualité n’est plus à démontrer. Nombreuses sont les tables qui ont fleuri au cours de cette dernière décade avec de jeunes chefs ambitieux et respectueux du goût et des saveurs.

A l’image d’Eiryo KUDO, un talent à l’état pur, qui est au service de l’ambassadeur de son pays en France, et qui agrémente avec maestria les délices sucrés et salés à l’envie, essence même de cette cuisine d’Extrême Orient à redécouvrir sans modération.

Avec ses deux compagnons de voyage, Hideki YAZAWA, Premier secrétaire aux affaires économiques à l’ambassade et le responsable du volet agricole de cette même délégation, Kensuke ASAHI, le chef cuisinier aura pris soin de découvrir avec beaucoup d’intérêt les méthodes d’affinage de la viande de bœuf travaillée par l’entrepreneur sénonais.

Présentation de la société familiale, de ses effectifs, de sa stratégie à l’export mais aussi de sa modernité avec un site à l’ergonomie éprouvée, Jean DENAUX déroula avec conviction et sens du détail les objectifs mis en place depuis une vingtaine d’années au sein de la structure.

« Le Japon a toujours été ouvert à la découverte de la viande française de qualité, glisse l’entrepreneur, désireux d’optimiser cette visite courtoise en potentialité économique réelle. D’ailleurs, depuis cinq ans, je livre des produits carnés pour les besoins de l’ambassade à Paris ».

L’affinage de la viande : un discours comparable à la vinification et à l’élevage du vin…

S’en suivit un échange passionnant sur la perception de la nourriture française vue par le prisme du consommateur nippon. Et les moyens de l’accommoder. Puis, séance tenante, Jean DENAUX fit goûter à ses hôtes une variété de plante avec laquelle il aime préparer ses produits, le fenouil des Alpes, mieux connu sous l’appellation de cistre.

« Le processus de maturation de la viande requiert de la patience et un goût immodéré pour le travail approfondi du produit, stipula le chef d’entreprise de l’Yonne, la viande du Charolais, connue et reconnue à travers le monde, se prête idéalement bien à ces techniques naturelles… ».

Ce procédé a été développé au cours de cette décennie par l’établissement artisanal qui possède même une boutique intégrée à son lieu de production. Là, les aficionados de la viande de grande qualité y découvrent des pièces de bœuf mais aussi de porc et d’agneau à la saveur et la tendreté exceptionnelles.

« L’affinage de la viande courant sur des périodes de plusieurs semaines peut se comparer à la vinification d’un vin, explique Jean DENAUX, voire celle de charcuteries ou de fromages. Aujourd’hui, cette technique est devenue la signature de notre enseigne ».

Affineur exclusif de la viande de bœuf de Charolles et de viandes d’appellation aux origines certifiées (AOC, Label Rouge, IGP…), l’artisan a conçu en 2013 un site de production exceptionnel de 1 400 mètres carrés à l’image de son talent et de ses ambitions.

Pour la réalisation de ce site hors normes, il s’est appuyé sur les conseils avisés d’experts en salaison et affinage de fromages. La présence de chambres froides, destinées à préserver une température, l’hygrométrie et la ventilation idoines à la maturation allant jusqu’à six mois, justifiait ces choix. En développant pour la première fois en France cette méthodologie, Jean DENAUX, avec son âme et tempérament de précurseur, a pu ainsi améliorer la tendreté de ses viandes de 40 %, tout en évitant la perte de poids du produit et en restant respectueux des qualités microbiologiques naturelles.

Une quarantaine de pays dont ceux de l’Asie du Sud-Est apprécient cette viande qui confine à l’excellence. Gageons que les représentants du Japon se feront les ambassadeurs de ce produit made in France bien au-delà de la représentation diplomatique de leur instance à Paris. La vingtaine de kilos de produits maturés, acquise par le jeune chef nippon au terme de cette visite, atteste que les Japonais y ont trouvé le plus grand intérêt…

 


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