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On l’appelle déjà le « jeudi noir ». Une journée, la première du mouvement revendicatif porté par huit syndicats (CGT, FO, FSU, CFDT, SNALC, CFE-CGC, UNSA, Solidaires) qui pourrait en appeler d’autres, si le gouvernement n’infléchissait pas sa stratégie en matière de réformes des retraites rapidement. La mobilisation pourrait dépasser le million de manifestants à l’échelle de l’Hexagone. Rien que sur Auxerre, les organisateurs espèrent 5 000 grévistes dans les rues de la capitale icaunaise…

 

AUXERRE: Tous unis contre la réforme des retraites voulue par l’exécutif élyséen. Le mot d’ordre sera-t-il entendu et suffisamment mobilisateur, ce jeudi 19 janvier, sur les deux points de rassemblement prévus dans l’Yonne ?

Qu’il s’agisse de Sens, le matin à partir de 10 heures, place de la mairie ou d’Auxerre, à la maison des Syndicats aux alentours de 14 heures, les huit organismes regroupés au sein d’une intersyndicale croient dur comme fer à la mobilisation générale la plus large possible.

D’autant que le motif de cette initiative protestataire concerne le fondement même de l’enjeu sociétal de demain au niveau de l’emploi : soit les retraites. Via l’âge de départ à 64 ans et le prolongement de la durée de cotisation à 43 années. Une intersyndicale soudée comme les cinq doigts de la main et qui ne veut pas s’en laisser compter, visiblement.

Selon une récente enquête d’opinion, près de 70 % des Français se disent opposés à cette réforme telle qu’elle se présente à eux, désavouant ainsi la stratégie appliquée par la cheffe du gouvernement, Elisabeth BORNE qui a déjà mentionné l’usage du 49.3 pour faire passer la décision en force. Une manière de faire avaler la pilule avec l’emballage plastifié !

 

Le mot d’ordre impérieux est le rejet de la réforme des retraites en l’état…

 

D’où la colère de nos compatriotes qui auraient aimé être consultés en amont de ce projet de société capital par le biais de la voie référendaire…

Du côté des syndicats, c’est clair. C’est un appel à se rendre dans la rue et à manifester son mécontentement. Avec comme mot d’ordre, le rejet impérieux de cette réforme qui ne satisfait guère de monde dans l’Hexagone. Chez les actifs, les étudiants mais aussi les retraités qui ne percevraient les 1 200 euros brut mensuels que sous certaines conditions, préalablement définies…

Parmi les arguments avancés par les manifestants, notons les réflexions suivantes : « Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs et travailleuses, et plus particulièrement celles et ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l'espérance de vie est inférieure au reste de la population, et celles et ceux dont la pénibilité des métiers n'est pas reconnue. Elle va aggraver la précarité de celles et ceux n’étant déjà plus en emploi avant leur retraite, et renforcer les inégalités femmes-hommes. Le système de retraites par répartition n’est pas en danger, rien ne justifie une réforme aussi brutale… ».

Quant aux organisations syndicales, elles n’ont eu de cesse pendant la concertation avec le gouvernement de proposer d’autres solutions de financement possibles, à commencer par l’amélioration de l’emploi des seniors. Jamais le gouvernement, arcbouté sur son projet mordicus, ne les a étudiées sérieusement (sic) !

 

Une prise de parole à 16 heures au rond-point de Paris…

 

A Sens comme à Auxerre, les responsables syndicaux s’attendent donc à voir défiler en nombre du monde dans les rues. Dans la ville chère à Paul Bert, la dernière grande manifestation de la sorte avait mobilisé près de trois mille personnes. Si objectif quantitatif il y avait dans cet exercice contestataire du 19 janvier, ce serait de passer la barre des cinq mille manifestants dans les rues auxerroises. Avec une concentration de ce cortège aux abords du Rond-Point de Paris où une prise de parole est prévue vers 16 heures.

Bref, la météo sociale prévoit un avis de très fortes perturbations et de turbulences tempétueuses pour cette journée de la saint Marius, peuchère !, qui pourrait demeurer dans les annales de la revendication dans l’Yonne.

 

Thierry BRET

 

 


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La jeune association aux trois « t » (terroir, tradition, transmission), présidée par le sympathique cuisinier Jérôme JOUBERT – chef du « Rive Gauche » à Joigny - a présenté ses vœux, forcément gourmands, depuis le restaurant « L’Erable », sis à Monéteau, lundi en début de soirée. Son alléchant menu du jour devrait nous y emmener de nouveau un de ces quatre !

 

MONETEAU : Il y avait du beau monde parmi les représentants des métiers de bouche icaunais, réunis dans l'assistance ! On notait la présence des apiculteurs Céline et Julien HENRY, de Villiers-Louis, les cavistes de Toucy Sandrine et Arnaud LAPLANCHE (anciens professionnels de « La Côte Saint-Jacques), les vignerons Daniel SEGUINOT et Benoît CANTIN, les charcutiers-volaillers icaunais Sabine et Thierry AMELINE, etc.

Le président Jérôme JOUBERT fit le bilan de l'année écoulée, avant d'évoquer le futur de « Gourmand'Yonne », autour de beaux événements : les foires d'Avallon et de Tonnerre, puis les réputés « Bouchons de Joigny » entre Citroën DS et autres Peugeot 404 !

Quelques surprises ne sont pas à exclure cette année, parmi lesquelles peut-être une éventuelle participation à la magnifique foire de Sens.
Puis, le cuisinier-président invita les convives à profiter de l'opulente table de Lucullus, magistralement animée par le fromager Pascal LEROUX avec de crémeux « soumaintrains », notamment.

 

 

 

La tradition des arts de la table valorisée au fond de l’assiette…

 

Côté viande, la magie opéra, orchestrée par Sébastien VILLADIER. Ce jeune boucher a racheté l'affaire de son patron d'apprentissage, avec son épouse Emilie en pleine période de COVID, en mars 2020. Le village de Gron les accueillit pour le plus grand plaisir de sa population ! 

Lundi soir, ce fut de l'araignée de porc fermier auvergnat qui fut proposée, ainsi que de la basse côte, issue d'une génisse charolaise, récemment primée au comice agricole de Charolles.

Et comme la tradition - valorisée par l'association ! - ça a du bon, ce fut une galette de la boulangerie de Joigny « La Gerbe d'Or » à l'impeccable feuilletage qui devait conclure ce vrai moment de convivialité. Il permit aussi à « Gourmand'Yonne » - quelque peu héritière de « Terroir de l'Yonne », créée puis hélas disparue au début  du siècle - d'augmenter son nombre d'adhérents.
On l'oublie parfois, mais l'Yonne est une véritable terre gourmande et bourguignonne. Cette association d'avenir y contribuant à sa manière, pleine et entière ! Bon appétit et large soif ! 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Les FCE de l’Yonne ont très bien débuté la nouvelle année. Sur un instant de partage, fort en émotion et structurellement très important, puisque Valérie WALTER procédait à son ultime rapport moral en qualité de présidente de l’antenne départementale, avant de passer le flambeau. Une transmission des pouvoirs unanime quant au choix de la nouvelle responsable de l’entité qui fédère des femmes chefs d’entreprises, Aurore EVRARD…

 

SENS : Douze jours après avoir célébré l’an nouveau, les Femmes Chefs d’Entreprises de l’Yonne (FCE) se sont donc retrouvées à l’occasion de leur assemblée générale annuelle. Un exercice aux contours classiques, certes, où l’ensemble des rapports furent présentés à l’assistance conformément aux statuts d’une structure associative, avant d’être approuvés en connaissance de cause.  

Profitant de sa prise de parole, Valérie WALTER, présidente en chère, évoqua quelques-unes des grandes actions qui ont ponctué cet exercice 2022 écoulé. Une année riche en soirées informatives et en questionnement qui furent consacrées à des items très disparates comme la hausse du coût des énergies, les cybers attaques – l’opération vit la présence de la Chambre de Commerce et d’Industrie ainsi que la Gendarmerie – mais également à des séances pédagogiques autour de la prise de parole en public, voire des interventions auprès des jeunes entrepreneurs de la Fabrique à Entreprendre. Sans omettre une immersion au lycée de Sens. Un bilan éclectique et satisfaisant pour clore le mandat de la dirigeante des cabinets de géomètres experts, BGAT.    

 

 

 

Une trentenaire hyper active à la présidence, sachant manier le tractopelle et conseillers en soins !

 

S’en suivie la seconde partie de la manifestation. Davantage protocolaire avec le passage de témoin au successeur de Valérie WALTER, c’est-à-dire la jeune trentenaire Aurore EVRARD, élue sans l’ombre d’une contestation au poste de présidente. Dirigeante du centre de soins et de bien-être, OSIRIA à Sens, la jeune femme avait eu droit à ses premiers coups de projecteur médiatiques en 2013 tout pile alors qu’elle ouvrait précisément son institut de beauté une fois son BEP et deux CAP de coiffure et esthétique dans la besace.

C’est dire si la nouvelle présidente des FCE intègre la caste des dirigeantes pugnaces et actives ! La responsable de communication de l’antenne icaunaise des FCE, Marie AUBIN (ancienne dirigeante des étiquettes BRAIZAT) livre dans ses commentaires cette petite explication de texte un tantinet cocasse, « Aurore sait aussi bien procéder à une teinture de cils et conseiller ses clientes pour des cures relaxantes que manier un tractopelle s’il le faut pour entretenir le parc qui entoure l’institut ! ».

De bon augure pour la nouvelle mandature qui démarre ! Signalons, pour être tout à fait complet, que le credo des Femmes Chefs d’Entreprises n’est autre que la formule suivante : « Seules, nous sommes invisibles, ensemble, nous sommes invincibles ! ».

C’est sûr : il y a donc de l’amazone dans l’air chez ces femmes entreprenantes et responsables de l’Yonne !

 

Thierry BRET

 

 


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En ce gris mois de janvier, et après avoir écouté avec attention la brillante première présentation des vœux du jeune édile local, il fait bon se promener à Sens. Bien sûr antan, grande rue, il y eût l'épicerie fine « ROUIF », la droguerie « PAYEN », une belle coutellerie, la charcuterie « MORIN », etc. Oui mais ça, c'était avant ! Désormais, de vides locaux (loyers trop chers ?) ont remplacé la réputée boucherie « POURRIER » et tant d’autres...

 

SENS : C’est là que se tient le restaurant « MONETTE ». Peut-être y avait-il jadis une brosserie, la cour de la boucherie ou.......? Une jolie cour en guise de prélude à la printanière terrasse, songeai-je alors en poussant la porte de l'établissement.

De façon originale, les tables y sont réservées par prénom ! La nôtre le fut par l'ami Serge SONNET, émérite graveur sur acier local, qui n'eut même pas l'honneur de se voir confier la gravure de la médaille des 850 ans de la cathédrale en 2014. Passons....

Il y a du monde autour de nous, avec une table de banquiers locaux, celle d'un torréfacteur d'outre-Atlantique ! Sur une étagère, trône un joli recueil charcutier co-signé par le MOF Fabien PAIRON, devenu désormais un bel aubergiste helvète. Dommage pour nous autres, les habitants de sa terre natale icaunaise.

 

 

 

Une « drôle » de sensation, fil d’Ariane de ce déjeuner hivernal…

 

Une planche aux feuilles froissées tient lieu de menu ! La responsable de salle est aussi souriante que pro. Bonne pioche vineuse avec l'Irancy grande côte de l'excellent vigneron Benoît CANTIN qui réconcilia votre serviteur - après deux ou trois déceptions...- avec ce nectar icaunais. Il est accompagné d'une gougère pâteuse, sans goût et pour tout dire pas terrible. Une sensation qui sera le fil rouge de ce déjeuner hivernal.

En entrée, le beignet de « butternut » au piment doux, crème d'herbes fraîches semble une bonne idée. Il est ici trop grassouillet et un « p'tit » passage avant envoi sur du papier absorbant lui aurait été salutaire. Quant à la crème aux herbes, elle n'est pas assaisonnée. L'œuf fermier poché à la crème d'Epoisses n'est pas terrible non plus : c’est une sorte de sauce trop liquide et non liée, dommage...

 

 

 

 

Un burger en guise de plat principal…

 

En plat de résistance, voulant faire jeune dans l'air du temps (!),  je choisis un burger, plat que je n'aime guère ! Symbole des États-Unis, ce mets arriva tout d'abord en France, dans les années 70, par le biais de la chaîne WIMPY, créée par feu Jacques BOREL - le Tricatel du film « L'Aile ou la Cuisse », c'était lui ! -, puis, hélas par le biais de Mc Do dès son implantation hexagonale en 1979. On connaît la suite...

Chez « Monette », il est plutôt bon. Le pain est tiède, la viande est servie saignante, et les frites sont croustillantes...Moins bonne pioche, par contre, pour l'échine de porc confite qui est plutôt quelconque et sans caractère.

 

 

Entre l’inutile crème Chantilly industrielle ou rien du tout, il fallait mieux le rien du tout !

 

Quelconque, la tourte aux pommes-cannelle l'est tout autant, et me semble industrielle tout comme l'inutile Chantilly qui l'accompagne d'ailleurs. Mieux vaudrait une bonne crème fraîche.  Ou rien du tout !

C'était pas très chouette « Chez Monette » et l'on n'y retournera pas. Eh oui, n'est pas Laurette qui veut. N'est-ce pas sieur Michel DELPECH !

 

 

En savoir plus :


Les + : une jolie terrasse accueille la clientèle pour les beaux jours.

Les - : la « cuisine » est très approximative pour un menu proposé à 30 euros.

 

 

 

Contact :

Restaurant Monette

75 grande rue

89100 Sens

Tel : 03 86 88 43 51.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 

 


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On plaisante, on sourit, on se congratule et surtout on ne cache pas sa satisfaction d’être là ! L’esthétique bureau, accueillant le centre de santé de Villeneuve-sur-Yonne – pure coïncidence, hasard ou volonté manifeste - jouxte l’officine pharmaceutique de la commune. Il en serait presque trop exigu pour recevoir la délégation de personnalités institutionnelles et politiques du territoire venant officialiser le premier centre de santé initié par le Conseil départemental dans l’Yonne. Une première qui en appelle d’autres, assurément !

 

VILLENEUVE-SUR-YONNE : Onze mois sans voir l’ombre d’un médecin généraliste exercer le noble art des sciences sanitaires pratiqué sous les vertus du serment d’Hippocrate : voilà ce qu’aura enduré in fine la commune dirigée par la première élue, Nadège NAZE.

La vice-présidente du Grand Sénonais en charge du Tourisme se serait donc bien passée de ce désagrément inapproprié devant nuire à la qualité des soins prodiguée à la population. Une situation désormais remisée au fond du placard des histoires anciennes puisque depuis le 18 octobre 2022 un généraliste est venu s’installer dans l’agglomération.

Pour mémoire, il s’agit du docteur Jean-Gilbert AHANG, figure médicale bien connue des habitants de Sens où il exerce déjà dans son cabinet. Une installation, soutenue par le Conseil départemental, dans le cadre de sa politique volontariste qui encourage le salariat des médecins dans les territoires les plus carencés en matière de ressource médicale.

 

Une première initiative qui en appelle d’autres…

 

Le mode opératoire est convaincant. Il ne demande qu’à être dupliqué dans d’autres zones sectorielles de notre territoire. A la baguette de cette stratégie médicale qui fait ses preuves, le chef d’orchestre se nomme Patrick GENDRAUD. Le président n’est pas seul, naturellement. Les solistes de l’orchestre qui jouent la partition à l’unisson se nomment Gilles PIRMAN, vice-président du Département en charge de la Santé et Elisabeth FRASSETTO, présidente du Pôle des Solidarités départementales. D’ailleurs, le patron de l’exécutif icaunais annonce déjà la couleur au niveau de nouvelles installations de ces centres de santé: Migennes, Charny-Orée-de-Puisaye, entre autres, suivront à très court terme.

« Bien que la santé ne soit pas dans notre domaine de compétences, rappelle Patrick GENDRAUD, comme je le dis à chaque fois ! Nous exerçons une politique de santé que ce soit en termes d’investissement pour une construire l’extension d’un établissement mais aussi en accordant des bourses aux étudiants, des bourses d’installation professionnelle, on essaie de trouver toutes les solutions possibles, voire inimaginables pour maintenir les médecins sur notre territoire… ».

 

 

Une prise en charge financière assumée par le Département…

 

L’étape supplémentaire concerne donc le salariat des médecins – une première dans l’Yonne alors que la pratique est déjà usitée en Saône-et-Loire à titre d’exemple – en concertation étroite avec les communes. Ainsi, dans le cas de Villeneuve-sur-Yonne, un centre de santé départemental a été créé le 18 octobre dernier afin de faciliter le recrutement du nouveau praticien en charge de réaliser des consultations locales.

Le modèle est simple : la localité fournit des locaux à travers la maintenance, l’entretien et les charges, tandis que l’organe institutionnel départemental prend à sa charge le salariat de l’occupant du centre de santé, le médecin généraliste.

Mais, pas seulement, puisque dans le cas présent, le financement de l’indispensable collaboratrice du praticien intègre également cette prise en charge budgétaire.

Faire venir d’autres praticiens à Villeneuve-sur-Yonne fait partie du plan de bataille de l’édile Nadège NAZE, ravie de cette première installation, qui ne compte pas en rester là dans sa quête médicale, digne du Graal…

 

Thierry BRET

 

 

 


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