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Convier une quarantaine de chefs d’entreprise afin de leur présenter les aléas subis en cas de fraude au virement et les moyens d’y faire face constituait la base informative d’une intervention proposée en cette période estivale par l’établissement bancaire régional. Mettre en garde les entrepreneurs contre les risques encourus aura permis un échange constructif et vertueux entre les participants de cette session à vocation pédagogique.

AUXERRE : La fraude au virement ne cesse de croître en France. Au détriment de celles et de ceux qui sont aux commandes des entreprises. Ou de leurs subordonnées. Car, le plus souvent, ce sont les cadres, voire les personnes intermédiaires évoluant à toutes les strates de la hiérarchie professionnelle qui en sont les victimes ; au grand dam des entrepreneurs eux-mêmes.

A cours de la seule année 2016, deux tiers des entreprises françaises ont subi une tentative de fraude alors qu’elles n’étaient encore que 55 % deux années auparavant. Même les services administratifs des structures institutionnelles intéressent dorénavant les fraudeurs.

Bref, face à cette envolée de méfaits qui nuit aux intérêts financiers des structures professionnelles tout secteur confondu, le Pôle entreprise de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté dans l’Yonne a décidé d’agir en provoquant des séances informatives sur cette thématique. Jean-Philippe BEZIN, responsable de la cellule icaunaise, n’a pas hésité à mobiliser ses troupes pour inviter des chefs d’entreprise à découvrir le fondement de ce problème pouvant s’avérer crucial pour la pérennité d’un outil de travail.

Il y a deux ans, on estimait le préjudice subi à 500 millions d’euros de pertes cumulées pour les milliers d’entreprises victimes de cet odieux désagrément sur le territoire national. Celui-ci, hybride, pouvant prendre différentes formes d’application. Toutefois, les spécialistes estiment que ce chiffre est encore plus élevé dans la réalité…

On ne lutte pas à armes égales, même en respectant la loi…

Une autre statistique, lâchée au cours de l’intervention du conférencier de la Banque Populaire, expert en la matière, aura suscité un léger remous parmi l’assistance. Près de 20 % de ces fraudes aboutissent in fine.

Les escrocs, jamais à court d’imagination, travaillent sur la duplicité de leurs victimes, se faisant passer pour leur responsable, un gros client, un partenaire, voire même un banquier. Les méthodes évoluent sans cesse et s’adaptent aux besoins d’un marché lucratif et fructueux, avec de nouveaux codes et des plans bien construits.

« Concrètement, explique l’intervenant dans un silence religieux, les faux ordres de virement qui soulagent les trésoreries engendrent de vrais virements au crédit de comptes ouverts à l’étranger. La plupart du temps dans les pays de l’Europe de l’Est. On peut citer ainsi la Pologne, la Hongrie, la République tchèque. Le modus operandi est toujours le même. Le faussaire usurpe l’identité du dirigeant de la société ou d’un cadre supérieur pour intimer un ordre de virement à un subalterne en le manipulant et en lui ordonnant d’exécuter l’opération dans les meilleurs délais sur la bonne foi de l’interlocuteur. On appelle cela la fraude au président. Parfois, le fraudeur emprunte l’identité d’un avocat ou d’un cabinet conseil. Mais, le résultat reste similaire avec le déclenchement de ce virement à l’étranger… ».

Dans l’absolu, le facteur temporel joue contre la victime. Car, l’exécution de l’ordre de virement se réalise très vite, dans l’heure qui suit l’appel. Il est difficile de pouvoir ensuite intercepter cet ordre.

Les moyens de communication jouent contre les entreprises…

Cette usurpation d’identité fonctionne bien dans la réalité. Utilisant les nombreux modes de communication à distance, les fraudeurs ne peuvent être identifiés. Par le biais de fax, d’appels téléphoniques, d’e-mails, voire de SMS, les supercheries font mouche et permettent aux fraudeurs d’agir en toute quiétude et sans risque. Le fax, qui atteste néanmoins une intervention sur papier, demeure le moyen le plus prisé des voleurs.

Parfois, des logiciels espions s’insèrent à l’aide de virus dans le circuit informatique de l’entreprise. Objectif : siphonner le contenu des informations. Ces attaques représentent un réel danger pour la société. Les fraudeurs ne se contentent pas de piller l’ensemble des informations financières et techniques d’une entreprise. Ils se servent de ce procédé pour demander une rançon. On appelle cela les crypto-attaques ou ransomware.

« Les fraudeurs cryptent l’ensemble des informations détenus par l’entreprise, ajoute l’expert, en les rendant indéchiffrables pour leurs propres utilisateurs. Un antidote est alors proposé, moyennant une rançon qu’il s’agira d’honorer en bitcoin, cette unité monétaire universelle facilement négociable sur le marché. Un conseil : il ne faut jamais s’acquitter de la rançon. Ce serait le début d’un engrenage douloureux et sans fin… ».

Parmi les parades éprouvées face à une telle situation : les sauvegardes systématiques qui doivent être mises en place. Toutefois, il est nécessaire d’employer des moyens à distance hautement plus sécurisants que les modes habituels (disque dur, clé USB, etc.).

Des règles élémentaires pour faire face à ce fléau…

Se prévaloir en amont de tels agissements est possible. Cela suppose de la vigilance et d’user de quelques méthodologies ayant fait leurs preuves. En premier lieu, l’emploi du tutoiement et du vouvoiement dans la relation exercée avec un contact clairement identifié. Si le message téléphonique de votre patron ne comporte pas de telles familiarités du fait de l’absence de l’habituel tutoiement le jour J d’un ordre de virement important à exécuter vers un pays de l’Est, c’est qu’il y a manifestement anguille sous roche. Ce sont autant de petites informations, aussi anodines qu’elles puissent paraître, qui peuvent être prises en compte pour faire la différence dans ce genre de situation controversée.

En parallèle, l’information faite à l’ensemble des collaborateurs de l’entreprise est devenue indispensable pour lutter contre cette fraude au virement, fléau pouvant conduire au licenciement pour faute grave ou vers un état dépressif la personne qui en a été la victime.

Reste, enfin, comme ultime parade des plus efficaces à ces contraintes : l’adoption de la signature électronique sur les documents officiels de l’entreprise. Cet acte est fiable. Il représente à minima l’élément basique permettant de rassurer toutes celles et tous ceux qui pourraient avoir maille à partir avec des fraudeurs au bout de la ligne cet été…


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Jusqu’au 31 décembre 2018, le Comité départemental aéronautique de l’Yonne emboîte le pas à son grand frère régional afin de relayer cette campagne promotionnelle ayant comme objectif de susciter des vocations. Les femmes et les jeunes filles de notre territoire sont invitées à prendre les commandes d’un avion et à devenir les actrices d’un vol d’initiation…

BEAUNE (Côte d’Or) : Passer du simple statut de passagère à celui de pilote est vivement encouragé par les instances de l’aéronautique de Bourgogne Franche-Comté. La nouvelle action déclinée depuis peu par le Comité régional se nomme : « découverte du pilotage au féminin ».

Dans le cadre d’un baptême de l’air, un instructeur de vol qualifié se chargera de faire évoluer l’état d’esprit de ces personnes de la gent féminine désireuses d’en connaître davantage sur cette discipline aérienne.

Ainsi, les a priori habituels « je ne touche à rien, je ne parle pas et je cache mon stress » se transformeront très vite en affirmations volontaristes, « je peux prendre les commandes de l’appareil, je m’intéresse aux étapes du vol, je demande des précisions, j’ai plaisir à voler et j’ai envie d’apprendre ».

Ces vols « découverte » permettront, en s’appuyant sur un programme spécifique, d’inculquer les fondamentaux du pilotage en laissant l’opportunité aux apprenantes de piloter par elles-mêmes l’aéronef.

Commencés depuis juillet, ces vols d’initiation se poursuivront jusqu’au terme du mois de décembre. Ils s’articuleront autour d’un programme d’une heure, décomposée en deux modules, comprenant un briefing au sol et la réalisation d’un vol.

Un aperçu généraliste de l’art du pilotage…

Le premier module, celui du débriefing d’une durée d’une trentaine de minutes, s’intéressera à la mission « vol » que la jeune néophyte devra réalisée. Seront ainsi abordés des points essentiels tels que le secteur de vol, l’environnement y compris la météo, les moyens de communiquer et la connaissance de l’avion. Cet aspect intégrera une présentation à côté de l’appareil mais aussi dans la machine afin de découvrir les éléments prépondérants à la maîtrise de la sécurité du vol.

Le second volet focalisera l’intérêt de l’instructeur et de son apprentie sur la trajectoire à suivre au moment de l’exercice dans les airs, l’initiation au pilotage en maîtrisant le manche en se référant à un repère et l’observation visuelle à partir d’un repère naturel. Avant que l’appareil ne revienne sur la piste d’atterrissage de l’aérodrome selon une méthode simple, définie au sol…

Un point complémentaire, juste avant, optimisera le meilleur niveau de sécurité de l’équipage avant que celui-ci ne décolle. Avec l’étude des possibilités d’interruption du vol ou encore les conditions météorologiques du jour.

Ces vols d’initiation sont exclusivement réservés aux féminines non adhérentes d’un club et sans limitation d’âge. Pour s’inscrire, il suffit de se rapprocher de l’aéroclub le plus proche de son domicile pour savoir s’il participe à cette action soutenue par le Comité régional de l’aéronautique. L’Yonne dispose de plusieurs aérodromes et de nombreux clubs pouvant répondre à vos attentes : Avallon, Auxerre, Joigny, Saint-Florentin et Sens.

Un contact au Comité départemental de l’Yonne : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.


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L’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs a publié ses dernières statistiques cet été. Cette seconde vague de chiffres concerne les pertes d’emploi des dirigeants d’entreprise en Bourgogne Franche-Comté. 1 633 entrepreneurs ont ainsi perdu le leur l’année dernière. Cela représente 3,5 % des pertes d’emploi en France. En 2016, ils étaient cependant 1 799 chefs d’entreprises à avoir rendu les armes à la suite d’une liquidation judiciaire. Soit 7,6 % de plus…

DIJON (Côte d’Or) : A l’exception du Jura, la Bourgogne Franche-Comté enregistre une baisse généralisée du chômage de ses dirigeants d’entreprises. Les statistiques dévoilées par l’association GSC « Assurance perte d’emploi des dirigeants et entrepreneurs » et la société ALTARES, experte en data entreprises, viennent de le confirmer pour l’année de référence, 2017. Cette année, le territoire profite dans la majorité d’une amélioration. Au moment où le gouvernement d’Edouard PHILIPPE a statué sur l’indemnisation allouée aux indépendants en situation de perte d’emploi.

Sur les huit départements qui constituent la région, c’est le Territoire de Belfort qui obtient la plus forte de baisse avec 90 chefs d’entreprises en situation de perte d’emploi au terme de 2017. Soit 18,2 % de moins qu’en 2016. La Côte d’Or se classe en seconde position avec ses 291 entrepreneurs en situation de chômage. Une amélioration très nette est également observable dans l’Yonne où le nombre de dirigeants ayant perdu leur emploi retombe à 200 en 2017.

Nonobstant, quatre départements affichent quant à eux des baisses moins importantes. Il s’agit de la Haute Saône (-5,6 % soit 135 dirigeants touchés), la Saône et Loire (-3,7 % soit 389 chefs d’entreprises), le Doubs qui enregistre une baisse de 1,3 % pour un total de 299 dirigeants concernés. Quant à la Nièvre, elle connaît une très faible évolution avec -0,9 % soit 110 dirigeants.

Le département du Jura voit sa situation se dégrader. 149 dirigeants ont perdu leur emploi au terme de l’année contre 144 l’année précédente. Ce territoire affiche une hausse de 3,5 %.

Le secteur du commerce reste le plus impacté…

Quant aux secteurs d’activités, ce sont ceux du commerce, de la construction et de l’hébergement hôtellerie et restauration qui sont les plus concernés par ces pertes d’emploi. Avec ses 461 entrepreneurs en situation de chômage, le commerce représente 28 % des pertes d’emploi de la région Bourgogne Franche-Comté. On notera que le commerce de véhicules motorisés est le plus impacté avec 90 chefs d’entreprises hors circuit, suivi par le commerce d’habillement (62 personnes) et le commerce de détail alimentaire (55 chefs d’entreprise concernés).

La construction concentre à lui seul 885 pertes d’emploi dont 761 imputées au seul secteur du bâtiment. Quant à l’hébergement, restauration et débits de boisson, il subit là-aussi une recrudescence des liquidations judiciaires engendrant un chômage des entrepreneurs qui culmine à 565 dirigeants en 2017, dont 76 % travaillaient dans la restauration.

Directeur des études chez ALTARES, Thierry MILLON apporte ses commentaires : « La région Bourgogne Franche-Comté a franchi le cap des 2 000 défaillances d’entreprises en 2007 et n’était, depuis, jamais redescendu en dessous, établissant même un record en 2014 à 2 500 jugements. L’année 2017 a confirmé l’amélioration observée en 2016 et permis enfin de retomber juste sous les 2 000 procédures. Ce recul des ouvertures de procédures se traduit naturellement par une baisse du nombre de liquidations judiciaires directes (les deux tiers des jugements) mais aussi de liquidations post redressements judiciaires (les trois quarts). Moins de liquidations judiciaires, c’est moins de chefs d’entreprises en situation de perte d’emploi. Cette année 2018 devrait confirmer, à l’instar d’un premier trimestre très encourageant, la sinistralité des entreprises. Elle est la plus faible depuis 2008 en Bourgogne et même depuis 2005 pour la Franche-Comté ».

Une situation analogue au niveau national bien que le nombre d’entrepreneurs au chômage soit encore élevé…

Dans l’Hexagone, ce sont 50 011 dirigeants d’entreprises qui ont dû faire face à une liquidation judiciaire en 2017. Soit 9,2 % de moins que l’année précédente. L’âge médian de ces personnes s’élève à 45 ans. Sachant que la part des quinquagénaires a tendance à légèrement augmenter.

Les entrepreneurs âgés de plus de 50 ans représentent 35,7 % des dirigeants concernés. On notera que les artisans-commerçants et les gérants de TPE demeurent les plus impactés par la perte d’emploi. 74 % de ces dirigeants ayant rejoint les rangs du chômage géraient une entreprise de moins de trois salariés. 15 % des entrepreneurs employaient entre trois et cinq salariés.

Pour la directrice générale de l’association GSC, Elodie WARNERY, « Le recul du nombre d’entrepreneurs en situation de chômage ces trois dernières années est un indicateur du dynamisme entrepreneurial français. Il est encourageant pour l’avenir. Cependant, le risque d’être confronté à une perte d’emploi n’est pas le même suivant le secteur, la région et la taille des entreprises. Et dans tous les cas, l’entrepreneur doit faire preuve d’agilité et de vigilance face aux évolutions de son marché, aux adaptations nécessitées par le mouvement permanent de son environnement économique, social et juridique. Lorsqu’un homme ou une femme perd son entreprise et par là même son emploi, il n’est pas juste question de perte de revenu mais de perspectives d’avenir pour lui et sa famille. Il y a là une problématique sociale... ».

La majorité des régions françaises est concernée. Le nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi est en baisse dans douze régions sur treize. Pour autant, la réalité des territoires apparaît plus complexe. Si l’année précédente, sept régions sur treize enregistraient une baisse supérieure ou égale à 10 %, les résultats 2017 sont très contrastés. Les régions du Grand Est (-12,6 %) et des Hauts de France (-11 %) connaissent une nette amélioration tandis que les pertes d’emploi de dirigeants ont légèrement augmenté en Provence Alpes Côte d’Azur (+0,4 %). Pour huit régions sur treize, la baisse est inférieure à 7 %.

Autre commentaire : celui de Charles BATTISTA, directeur de la communication et des relations externes chez ALTARES.

« Les créations d'entreprises sont au plus haut depuis le début de la décennie tandis que les défaillances d'entreprises sont au plus bas sur dix ans. La France recolle au peloton de tête des économies dynamiques. Pourtant, cette embellie oublie une autre réalité. Alors qu'ils lancent des entreprises, inventent le business de demain, et créent des emplois, les entrepreneurs peuvent chaque jour être confrontés à leur propre « chômage ». Cinquante mille chefs d'entreprises ont été placés devant cette difficulté en 2017 après la liquidation judiciaire de leur entreprise. Oser le risque est l'ADN de chaque entrepreneur. C’est un moteur pour l’économie mais cela ne peut se concevoir sans un filet de sécurité... ».


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La première rame ferroviaire aux couleurs de la Région et de la nouvelle marque « MOBIGO Bourgogne Franche-Comté » a été dévoilée par le vice-président en charge des transports, des déplacements et de l’intermodalité, Michel NEUGNOT en gare de Dijon à la mi-juillet. Entouré du directeur régional SNCF Mobilités, Eric CINOTTI, et de Jérôme GRAND, directeur territorial SNCF Réseaux, l’élu régional profitait de la manifestation pour rappeler le rôle prépondérant joué par l’organisme territorial en matière de transport et de mobilité. Avant de faire le point sur la modernisation du parc de trains circulant en Bourgogne Franche-Comté…

DIJON (Côte d’Or) : Depuis 1982, les Régions possèdent la compétence en matière de transports régionaux de voyageurs, en complément de celle attribuée aux Départements à l’époque. Un positionnement qui ne cessera de s’accroitre au fil des années. Devenues Autorité organisatrice des transports ferroviaires régionaux (AOT) en 2002, les Régions renforceront encore leur présence trois ans plus tard en ajoutant les transports interurbains, scolaires et à la demande.

Avant que la loi d’orientation sur les mobilités (LOM) ne s’applique d’ici quelques mois (ce texte devrait faire des Régions des autorités organisatrices des mobilités régionales responsables du pilotage de l’ensemble des solutions de mobilité sur leur territoire), celle de Bourgogne Franche-Comté a eu envie de se donner de la visibilité et de la cohérence sur cette nouvelle politique.

Elle a créé une nouvelle marque de mobilité régionale : MOBIGO Bourgogne Franche-Comté. Celle-ci couvre l’ensemble des solutions de mobilité proposées par l’institution. Aussi, cette nouvelle enseigne sera déployée progressivement sur de nombreux supports : véhicules et matériels roulants, abris-vélos, poteaux d’arrêts routiers, distributeurs de billets, documentation et fiches horaires…Il était naturel qu’elle apparaisse également pour la première fois sur une rame TER récemment mise en service. C’est chose faite depuis le 11 juillet dernier.

Un investissement global de 163 millions d’euros…

Acteur majeur de la mobilité et du transport en Bourgogne Franche-Comté, la Région se voit dorénavant confiée l’organisation des transports interurbains par car et des transports scolaires (à l’exception du transport des élèves en situation de handicap) en lieu et place des Départements. Seul le Territoire de Belfort n’intègre pas ce nouveau schéma de compétence.

En complément d’une offre ferroviaire et routière structurante, la Région souhaite placer l’usager au cœur de sa stratégie (le bon moyen de transport au bon endroit et au bon moment à un coût soutenable par la collectivité et à un prix acceptable par le voyageur) au centre de ses prérogatives. L’une des colonnes vertébrales idéales de cette stratégie se nomme le rail. Proposant un partenariat global avec la SNCF, l’appareil régional adopte en mai 2018 une convention spécifique concernant la promotion du TER Bourgogne Franche-Comté. Parallèlement, la Région assure par son engagement qu’aucune ligne ne sera fermée. Ce plan s’appuie sur la déclinaison d’investissements effectués au niveau de la maintenance et de la modernisation des infrastructures existantes. En dernier lieu, l’organisme territorial favorise l’acquisition de nouveaux matériels, plus modernes, confortables et écologiques, tels que les modèles « Régiolis » du constructeur français ALSTOM. L’enveloppe allouée à cet achat s’élève à 163 millions d’euros.

Douze nouveaux trains de type « Régiolis » à livrer d’ici 2020…

A l’heure actuelle, le parc de trains de la région Bourgogne Franche-Comté se compose de 137 rames. Dont douze trains de type « Régiolis » qui ont été déjà livrés et mis en circulation au service de l’ambition de desserte voulue par l’exécutif régional. La livraison des douze prochaines rames s’effectuera de manière progressive jusqu’en 2020.

Le reste du parc s’articule autour de matériels produits par le canadien BOMBARDIER (57 trains de type BGC, ZGC et XGC), 39 trains de version X73500 (ALSTOM), 18 trains Corail, 8 trains Z9600 et trois V2N, des appareils proposant deux niveaux d’accueil des passagers.

Ce plan d’actions de la Région intègre le développement de la mobilité partout et pour tous selon le schéma directeur de la loi NOTRe (Nouvelle organisation territoriale de la République), adoptée en 2015.

Rappelons que ce réseau régional représente 22 lignes ferroviaires et 115 lignes routières pour une fréquentation annuelle de 886 millions de voyageurs/km sur le réseau régional TER et 2,1 millions de voyages annuels sur les lignes régulières de car.

Quant aux lignes de proximité et les transports à la demande (au nombre de 70), elles représentent 44 000 voyages de manière annuelle.


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Huit nouveaux sapeurs-pompiers volontaires sont venus grossir au début de la période estivale les effectifs du Service départemental d’incendie et de secours de l’Yonne. Ils ont bénéficié de la signature des deux conventions de partenariat, permettant à leurs employeurs (le Centre hospitalier spécialisé d’Auxerre et la société des ambulances RENARD/AUXERROISES) de les encourager à vivre pleinement ce geste citoyen…

AUXERRE : Deux nouvelles conventions de partenariat ont été validées au mois de juillet entre le SDIS de l’Yonne et des structures entrepreneuriales. La première concernait le Centre hospitalier spécialisé d’Auxerre. La seconde se rapportait aux ambulances RENARD/AUXERROISES.

Dans les deux cas, ces conventions offraient la possibilité à huit personnes, de devenir des sapeurs-pompiers volontaires employés par ces établissements de se former et/ou de partir en intervention sur leur temps de travail.

Pour les responsables du Service départemental d’incendie et de secours de l’Yonne, ces partenariats permettent de fidéliser les sapeurs-pompiers par le biais du tissu professionnel. Mais aussi de fiabiliser les réponses opérationnelles en matière de proximité.

De plus en plus d’entreprises du territoire consentent à encourager cet acte citoyen auprès de leur personnel. Cette initiative bénéfique pour les missions du SDIS de l’Yonne intègre le plan de développement du volontariat auprès de la population icaunaise.

Ces convention intègrent le procédé « gagnant/gagnant » dans leur mode applicatif car elles permettent aux chefs d'entreprises de faire former gratuitement à la charge du SDIS des personnes qui, sur leur lieu de travail, pourront intervenir en premier recours sur tout état de crise : secours d'un employé blessé, début d'incendie, incident divers,...

Quand on sait que les premières minutes peuvent être vitales pour les personnes impliquées mais aussi parfois pour la survie de l'entreprise après sinistre, ces sapeurs-pompiers volontaires sous conventions dans les entreprises représentent un gage de sécurité supplémentaire pour le monde économique…


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