Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

C’est un retour aux sources ou presque pour le PDG des FESTINS de Bourgogne qui, en 1975 essuyait les plâtres en sa qualité de jeune apprenti au sein de ce centre de formation fraîchement apparu dans le paysage pédagogique de l’Auxerrois. Quelques années plus tard, c’est-à-dire ce jeudi 11 février, c’est pour prodiguer de judicieux conseils aux restaurateurs inspirés par la vente à emporter que le chef d’entreprise icaunais est revenu dans son établissement de prédilection !

AUXERRE : Il a le regard qui pétille, Didier CHAPUIS ! Avec sans doute un petit pincement du côté du cœur. Car, c’est toujours avec un plaisir sans limite que ce spécialiste des métiers de bouche aime venir au centre de formation icaunais. Un endroit empli de souvenirs qui lui a permis d’embrasser la carrière, devenue la sienne depuis si longtemps.

Entre le patron des FESTINS et le CIFA de l’Yonne, c’est une vieille histoire d’amour, entamée il y a déjà quarante-six ans de cela ! Alors quand cet entrepreneur est sollicité pour y apporter son savoir et un retour d’expérience sur le métier qu’il pratique au quotidien, c’est toujours avec empathie qu’il se plie volontiers à l’exercice.

 

 

 

Lors de cette intervention, longue d’une bonne vingtaine de minutes, à l’adresse des restaurateurs tentés par la vente à emporter, Didier CHAPUIS a évoqué l’importance du choix du packaging et des différents types d’emballages. Histoire de bien réussir le passage de l’assiette à la barquette !

Placer des mets dans une « boîte » n’a donc rien de péjoratif à ses yeux.

« Quand les recettes sont bonnes, ce n’est pas un problème en soi, souligna avec un trait d’humour l’ancien élève du CIFA.

 

 

Un exercice oratoire pédagogue et informatif…

 

Partant du postulat que tout ou presque de la cuisine traditionnelle pouvait être emporté au domicile des consommateurs, sauf le frit et le poêlé qui ne se réchauffent pas, Didier CHAPUIS a insisté sur le choix des matières premières.

Pour lui, le temps de réchauffe des plats par le consommateur final est prédominant quant à la réussite de l’opération. Les notions de solidité des produits dans l’assiette, tout autant.

« Certains mets peuvent être trop mous dans le contenant au moment du redressage. Prenons l’exemple d’une purée de légumes qui peut facilement se mélanger avec un autre ingrédient… ».

L’entrepreneur de l’Yonne abordera ensuite les informations essentielles à véhiculer grâce à l’étiquetage des fameux contenants. Date limite de consommation, poids, composition, présence d’allergènes, renseignements sur l’emballage…autant de précieuses informations relatives à la traçabilité du produit et de son conditionnement qui apporteront des indications subtiles à la clientèle.

Tour à tour, le PDG de FESTINS, pédagogue dans cet exercice oratoire, présentera à son public divers contenants et leurs spécificités : le carton, l’aluminium (plutôt avantageux pour la cuisson au four à micro-ondes) et le verre.

Faisant un parallèle entre les métiers de charcutier/traiteur et celui de la restauration de plats cuisinés.

La chaîne du froid ne fut pas occultée des arguments de l’intervenant : au vu de l’importance capitale de l’hygiène pour tout ce qui concerne l’alimentaire, la durée de conservation des récipients permit de nourrir quelques échanges fructueux avec un auditoire intéressé par ce flux d’informations techniques.

Bref, ce fut un moment ô combien revigorant pour les restaurateurs invités à suivre cette séance didactique imaginée par le CIFA de l’Yonne et son indéfectible partenaire, la société METRO Auxerre.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Les chiffres sont implacables : 73 % des jeunes disent être affectés sur le plan psychologique. 23 % pensent même au suicide. C’est dur et dramatique. L’empathie veut que nous les écoutions, les entendions, que nous trouvions tous des solutions pour aider cette génération en détresse. En premier, les parents. Mais aussi les amis, les professeurs, les services sociaux, l’Etat. Il est aussi de notre devoir de les aider à relativiser leurs problématiques. La déprime de la jeunesse  n’est pas un phénomène nouveau…

TRIBUNE: Tout d’abord, avec ou sans la COVID-19, les incertitudes face à l’avenir sont prégnantes. Quel métier choisir face à la mondialisation des études et des compétences ? Quand on pense que plus de la moitié des métiers qui seront pratiqués dans la prochaine décennie, ne sont encore identifiés. Dans ces conditions, comment anticiper au mieux ?

Le contexte est anxiogène à plus d’un titre. Sur le plan émotionnel et aussi sur le terrain des finances. La soupe populaire pour les jeunes est très mal vécue. Les petits boulots et les jobs complémentaires pour financer les études sont impossibles aujourd’hui. Les familles peuvent de moins en moins aider financièrement…

La raréfaction des interactions sociales n’arrange pas ce système pourvu d’angoisse ! Les étudiants quittent les parents pour aller à la faculté et se retrouvent parfois seuls, dans une ville qu’ils ne connaissent pas. Nos jeunes ne sont pas prêts à vivre la solitude et ne sont pas préparés à l’autonomie, ni par les parents ni par leurs anciens professeurs.

 

 

Les évolutions de la pensée déstabilisent la jeunesse…

 

Observons attentivement les files d’attentes de ces jeunes gens aux portes des secours alimentaires : vêtements à la mode, chaussures de sport de marques coûteuses, le dernier IPhone 12…Ce n’est pas la majorité, certes, mais globalement, nous n’avons pas appris à nos bambins à se passer du superflu quand les anciens savaient se priver de l’essentiel !

Nous n’avons pas préparé notre jeunesse à souffrir, à devoir se « battre » contre eux-mêmes pour vivre et pour survivre. On ne les a pas formés à la patience : aujourd’hui, la règle c’est l’immédiateté ! Notre jeunesse est déstabilisée par les évolutions de la pensée. Elle est de moins en moins cultivée, donc plus manipulable ! La philosophie rétrograde au rang du facultatif ou d’une discipline accessoire. Les langages sont peu décryptables, il faudrait presque des formations complémentaires : la langue des cités, la langue phonétique utilisée sur les téléphones mobiles, la langue qui donne la primauté aux femmes,…

Face à un environnement peu rassurant, les courants religieux extrémistes, la violence des cités, la drogue qui permet aux plus jeunes de dealer plutôt que de travailler ou de faire des études, s’insèrent progressivement dans notre société. On a l’impression que l’on peut être un artiste et gagner beaucoup d’argent sans efforts. BRASSENS disait : « Sans le travail, le talent n’est qu’une sale manie ». A méditer…

 

Une vie synonyme de précarité et de malheur entre 1914 et 1918

 

Nos anciens, durant leur jeunesse, ont pu dire qu’ils ont lutté contre les envahisseurs en 1914, qu’ils ont chassé le nazisme au prix de leur vie…Notre jeunesse souhaite combattre pour l’écologie mais cela génère une grande frustration, faute de moyens !

Oui, jeunes de France et de Navarre, votre situation n’est pas enviable et devient de plus en plus dramatique mais n’est pas sans solutions.

Je souhaite préciser, que dans l’histoire, la jeunesse a connu des situations dramatiques où la vie même devenait précaire et aléatoire. Une vie où le travail n’était plus au bout du chemin et où les aides alimentaires, les aides de l’Etat n’existaient pas. Que dire en effet des conscrits de 1914 ?

14-18 : c’est tout de même plus de vingt millions de morts, dont la moitié de civils ! 800 millions de personnes entrent en guerre, le quart de la population mondiale. On enregistre sur toute la durée de la guerre, 900 soldats français morts chaque jour. Au total, cette guerre compte plus de 21 millions de blessés et de mutilés, les fameuses « gueules cassées » !

« La Grande Guerre » encore appelée la « première guerre moderne », est bien connue pour les graves séquelles physiques qu’elle engendrera. A contrario, elle est moins connue pour les conséquences psychologiques qu’elle eut sur les soldats. Ce conflit fut pour les « aliénistes » un moment unique pour étudier les névroses. C’est durant celui-ci que se mit en place la première médecine d’urgences psychiatriques. La « peur morbide », les troubles psychiques affectent des centaines de milliers de soldats. Des régions entières sont concernées par des migrations massives, générant misère et famine.

 

 

Que dire de la fameuse la grippe « espagnole » de 1918 ?

 

Dans la foulée de la Première guerre mondiale, la grippe dite « espagnole », une pandémie associée à un virus de type « grippe A » ou H1N1, va provoquer la mort de 2,5 % à 5 % de la population du globe. Des chiffres hallucinants, entre 50 et 100 millions de morts ! Les autorités sanitaires ne sont pas encore sensibilisées aux gestes sanitaires. Cependant, on peut noter que dès l’automne 1918, l’Etat demande aux préfets de faire fermer les écoles et les théâtres. L’origine de la grippe espagnole est contestée : la théorie qui veut que le virus « père » soit né en Chine, à Canton semble erronée, on ne prête qu’aux riches…

On imagine sans peine, l’angoisse et le stress permanent qui va frapper, au niveau planétaire, toutes les générations.

 

Un certain « jeudi noir » : le 24 octobre 1929 !

 

Le krach  boursier de 1929, à New York, accable toute la planète et particulièrement l’Europe ! L’Allemagne vit difficilement les modalités du traité de Versailles, la pauvreté est forte. L’écrivain Pierre-Mac ORLAN décrit, en 1932, la pauvreté extrême des Berlinois. La population meurt de faim. En France, la pauvreté s’installe. On ne consomme plus, on est en surproduction et c’est la réaction en chaîne : chômage, pauvreté, misère,…soupe populaire. Les extrémistes, les fascistes et autres dictateurs trouvent un terrain propice à l’agitation populaire. Le second conflit mondial se profile. Est-il besoin de préciser les angoisses et la misère psychologique qui se  répandent sur  Terre. A cette époque, pas de cellules psychologiques, pas même de psychologues…Quand on est en survie, on ne se regarde pas trop le nombril. On doit s’adapter : la vie même en dépend !

 

Les conflits modernes s’abattent sur l’Europe et dans le monde…

 

La brutalité des chiffres est terrible pour l’Europe où l’on compte vingt millions de militaires morts et cinquante millions de civils tués. Près de trois fois plus de civils que de militaires disparaissent. C’est la guerre la plus meurtrière avec 92 millions de soldats engagés, donc des jeunes ! C’est aussi la plus choquante : 66 % de la population juive fut exterminé.

Bilan psychologique : toutes les familles des victimes sont toujours sous le choc de cette guerre très meurtrière. De plus, les personnes qui ont survécu aux camps de concentration ont énormément de difficultés à vivre comme avant. Les souvenirs qui les hantent jours et nuits sont traumatisants. Ici encore, la capacité d’adaptation  reste forte. Une question demeure : devons-nous dire seconde ou deuxième guerre mondiale ? La réponse peut être inquiétante.

Les guerres coloniales françaises dont celle avec l’Indochine engendrent 60 000 militaires français morts et des centaines de milliers de morts militaires et civils côté vietnamien. L’après-guerre aura pour conséquences des troubles physiques et psychologiques pour les deux camps.

La guerre d’Algérie, de 1954 à 1962 avec ses 25 000 militaires français tués va clore la fin des guerres coloniales françaises. A part l’approximation de l’épuration des Harkis, entre 30 000 et 150 000 morts, il n’existe aucune donnée fiable concernant le nombre de morts du côté algérien.

Durant les accords d’Evian, le FLN estime officiellement à 300 000 le nombre de morts côté algérien. Pour les plus jeunes, les harkis sont des musulmans enrôlés dans l’armée française. Après la guerre, ils sont abandonnés à leur sort par la France. Torturés et massacrés par le FLN. Les témoignages sont pléthoriques et déchirants de tous les côtés de la Méditerranée…

Les soldats français vivaient dans l’angoisse des attentats et des embuscades. En France, les attentats de l’OAS traumatisent la population. Un soldat combattant des deux guerres déclare : « J’ai laissé mon cœur au Vietnam et mon âme en Algérie ».

 

Ne pas minimiser ce que vivent les jeunes aujourd'hui ?

 

L’histoire nous montre que depuis le début de l’humanité (on vous a épargné  la guerre de Cent ans, les guerres napoléoniennes, la peste noire…), l’homme a affronté des situations dramatiques qui dépassent l’entendement. Nos aïeux témoignent : nous nous en sommes toujours sortis.

Mais, ne minimisons pas ce que vivent nos jeunes aujourd’hui. Aucune douleur n’est comparable à une autre. Les parents ont contribué à fragiliser les enfants en les surprotégeant, c’est factuel.

Que notre jeunesse soit capable de s’adapter et de dépasser leur difficulté psychologique et leur mal être, c’est certain. Aidons là, aimons là et faisons lui confiance.

« Ce dont la jeunesse a besoin, c'est qu'on lui dise qu'il y a un bateau en construction dans sa propre cale sèche mentale, et que ce bateau est destiné à prendre la mer » Aldo LEOPOLD.

 

Jean-Paul ALLOU

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Les prémices de la nouvelle saison se font ressentir pour la plupart des clubs cyclistes de Bourgogne Franche-Comté. Les premiers coups de pédales sont donnés au gré de sorties facilitant le retour progressif vers une bonne condition physique. Même si les températures sont rudes pour les organismes, les adeptes de la petite reine n’en ont cure. Ils bravent la météo, soutenus par leurs partenaires à l’image de l’un des leaders du secteur assurantiel et de prévoyance…

AUXERRE : Question liminaire : comment bien débuter la future saison avant même qu’elle ne soit actée dans les faits ? Tout simplement en bénéficiant de la confiance de l’un de ses incontournables partenaires qui vous remet de quoi s’équiper avant de se lancer dans le grand bain de la compétition !

C’est ce que viennent de vivre cette semaine les dirigeants du Team Elite Restauration (ex-Vélo Club de Toucy) en recevant en guise de nouvelle dotation un jeu d’une trentaine de maillots et de cuissards floqués aux couleurs de GROUPAMA.

Dans le cadre de son opération marketing, « Un club, un maillot », l’assureur mutualiste régional (en l’occurrence la direction de la caisse départementale de l’Yonne) a remis ces précieuses tuniques au président du club cycliste de Puisaye-Forterre.

Un geste salué très chaleureusement par Philippe GERBAULT, à la tête de l’association sportive depuis plusieurs saisons.

Trois coureurs de ce club qui évolue en Nationale 2 ont tenu à arborer en avant-première leurs nouvelles parures dont ils ne se priveront pas de porter haut les couleurs tout au long d’une saison riche en péripéties et en évènements.

C’est le directeur d’établissement départemental de GROUPAMA Paris Val-de-Loire Jacques BLANCHOT, grand amateur de sport (l’entité est aussi un irréductible soutien de l’AJ Auxerre et du Rugby Club Auxerrois) qui devait offrir ces nouvelles tuniques aux dirigeants de la structure associative. Gageons que les coureurs de ce club de très belle facture sauront y faire honneur !

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le 14 février, nous fêterons la Saint-Valentin ! Journée poétique, romantique, pleine de mots doux, de petits cadeaux et de fleurs. L’histoire des origines est contestable. Voire contestée. Pour certains, ses prémices datent de la Rome antique. Pour d’autres, la fête des amoureux est attestée en Grande-Bretagne au XIVème siècle ! A cette époque, on pensait que les oiseaux choisissaient ce jour-là pour s’apparier ! Si on ne recense pas moins de huit Valentins devenus saints, avec différentes protections associées (guérisons de maladies, vaches, oignons, apiculture…), l’Eglise se concentre sur un prêtre mort le 14 février 270, fervent défenseur du mariage, qui deviendra le saint patron des amoureux.

TRIBUNE : Le XXème siècle consacrera la fête laïque avec son cortège de Cupidons en pendentif, de dîners aux chandelles, de champagne et de cadeaux. Il semble important d’ajouter que l’amour ne s’achète pas : il se célèbre, tout simplement !

« Je t’aime » : c’est universel et se décline dans toutes les langues. « Je t’aime » de A comme Albanais « Unë Të Dua » à Z comme Zoulou « Ngiyakuthanda »…Petit tour du monde des amoureux en fête !

Au Japon, la fête est propulsée entre 1936 et 1960 par les fabricants de chocolats. C’est ainsi que la coutume veut que lors de cette journée particulière, on s’offre des confiseries à base de cette onctueuse matière. Ce sont les femmes qui offrent des chocolats aux hommes. D’abord par obligation sociale (collègues de travail), le «giri-choco », puis les chocolats sont réservés à l’homme qui compte le plus. On appelle cela le «honmei-choco ». Notons aussi le « tomo-choco » destiné aux amis et enfin, le « jibun-choco », ceux que l’on s’offre à soi-même.

Un mois plus tard, le 14 mars, les hommes doivent acheter un cadeau à celles qui ont offert les fameux chocolats ! Ce jour est appelé le « white day », généralement, ces cadeaux doivent être de couleur blanche. Alors kanpai avec ou sans saké ! Et « Kimi o ai shitern », traduisez par « je t’aime ».

Au Danemark, dans le pays de Karen BLIXEN, l’homme écrit une lettre d’amour à la femme qu’il aime. Il doit signer avec autant de points qu’il y a de lettres dans le nom de l’auteur ! Ensuite, la femme doit deviner le nom du galant. Si elle réussit, elle recevra un œuf de Pâques !

On a aussi coutume d’offrir des bouquets de perce-neige. En danois, « je t’aime » a quelques résonances de la langue de GOETHE : « Jeg elsker dig ».

Du côté de l’Ecosse, la première personne de sexe opposé, ou pas, que vous croisez dans la rue le jour de la Saint-Valentin, devient immédiatement votre Valentine ou votre Valentin !

Certes, cela reste symbolique car doit se limiter à un grand sourire…Et entre deux verres de whisky, on se déclare : « tha goal aga ort ».

 

 

Des messages d’amour sur des mandarines jetées à l’eau à Singapour…

 

En Afrique du Sud, ce jour-là, les femmes doivent épingler le nom de leur amoureux sur leur manche…et dire « ek hit jou lief ».

Quant au Mexique, on y célèbre l’amour mais aussi l’amitié. On marque ses sentiments à chaque personne pour qui on éprouve un ressenti amoureux. Je t’aime au Mexique, c’est comme chez CERVANTES « te quiero »…On dit « te quiero » avant de partir à la conquête des moulins à vent

A Taïwan, on fête deux fois la Saint-Valentin : une fois le 14 février et une deuxième fois, le 7 juillet. Si un homme offre 108 roses à une femme lors de l’un de ces deux jours, c’est qu’il la demande en mariage. Sans la censure de la reine Victoria, on ose dire ici : « I love you ».

A Rio de Janeiro comme dans l’ensemble du Brésil, « Dia dos mamorados » est le jour des amoureux qui est fêté le 12 juin. On fait la fête avec la personne aimée. Il faut aoûter une fête des célibataires, veille de la Saint-Antoine, protecteur des amoureux, qui doit permettre aux femmes seules de trouver un époux… Les fados d’Amalia RODRIGUEZ sont remplis de « Te amo »… Si proche de « Io amo » du roi de la fête, Roméo…

En Lituanie, on colle des autocollants sur le visage et les vêtements de ses collègues, amis et amoureux ! On peut aussi écrire : « Tave mylin » !

Plus loin de nous, à Singapour, les femmes célibataires écrivent des mots d’amour sur des mandarines avant de les lancer sur un cours d’eau, dans l’espoir de trouver un mari ! On peut dire, je t’aime dans la langue tamoule : « Nan unnai necikkirin », mais en anglais on sera compris !

Dans le pays des rennes, en Finlande, cette journée correspond au championnat du « port de la femme ». Epreuve qui consiste à porter la femme lors d’une course d’obstacles entre couples. Le gagnant reçoit le poids de la femme en bière ! Il déclare sa flamme en disant : «  Mina nakastan sinna » !

Aux Philippines, de nombreux couples se rejoignent : c’est le jour de « Lova paloouza ». Dans la baie de Manille et à minuit, tous les couples s’embrassent en gardant les lèvres jointes pendant plusieurs secondes ! C’est aussi l’occasion, dans le cadre d’un mariage de masse, de s’unir gratuitement et de se dire « Mahal kita ».

 

 

En Arabie saoudite, la fête est proscrite par l’Etat…

 

La Chine ne fait pas abstraction de cette célébration. La fête y est célébrée le 14 février mais surtout le 7 juillet du calendrier lunaire, le jour du « double 7 », la grande fête des amoureux. Dans les deux cas, on se dit des « Wo ai ni ».

En Russie, c’est la journée des familles, de l’amour et de la fidélité. Pour les familles orthodoxes, les couples affichant une longévité de vingt-cinq ans ou plus, reçoivent une médaille. C’est nettement moins coûteux que nos noces d’argent…Les plus romantiques lisent des extraits de « poèmes à Lara » et murmurent des « ya lioubliou ticbia ». Na zdorovie ! Tchin tchin si vous préférez !

Les Etats-Unis dépensent plus de 19 milliards de dollars en cadeaux en tout genre ; les Autrichiens défilent dans les rues. Chez nos amis britanniques, on est aussi adepte du dîner aux chandelles tandis qu’au Portugal, les femmes offrent des alcools et du vin contre des chocolats.

En Irak et en Egypte, les vitrines arborent des décorations rouges et invitent les amoureux à s’offrir des cadeaux. Depuis 2008, en Arabie Saoudite, cette fête est interdite. Mais, tout se passe sous le manteau, plutôt sous la burka. En Italie, les chocolats sont enveloppés dans des messages d’amour.

Souvent, dans les anciennes colonies d’Afrique, la Saint-Valentin est fêtée comme une pièce rapportée aux traditions locales.

On voit donc qu’il n’y a pas de frontière pour fêter l’amour universel. Le 14 février enflamme la planète de mille feux de joie et de douceur.

Les scientifiques nous confient que l’immunité est renforcée par le positif, les bonnes nouvelles, l’amitié, l’affection et l’amour. Alors, abusons de l’amour, le meilleur antidote pour juguler nos épidémies, en évitant les doses homéopathiques et sans modération !

Quelle que soit la façon de célébrer la Saint-Valentin, seule, la chaleur humaine, des notes d’amour empreintes d’originalité et pourquoi pas de folie, font oublier durant quelques instants la morosité ambiante !

 

France C.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La connexion accrue entre les réseaux d’affaires et d’influence est une vertu salvatrice dont il est nécessaire de cultiver les principes par les temps qui courent. En cela, les membres du nouveau club d’entrepreneurs qui officie dans l’Auxerrois depuis juin 2020 l’ont parfaitement assimilé. En accueillant lors de sa dernière réunion en présentiel le président du CJD de l’Yonne (Centre des Jeunes Dirigeants) Marc BESANCENEZ, CARBAO élargit sa vision stratégique en matière de relations publiques et d’opportunités de business…

AUXERRE : Une quinzaine de chefs d’entreprises issus d’un panel éclectique de la sphère professionnelle composent l’ossature névralgique de ce nouveau club d’affaires et de recommandation par le bouche à oreille. Une terminologie basique qui a donné naissance par un simple acronyme au sigle « CARBAO » !

Officiellement porté sur les fonts baptismaux à l’été 2020, mais après une longue période de gestation mûrie depuis 2018, ce réseau flambant neuf qui opère sur le territoire de l’Yonne fait petit à petit son bonhomme de chemin dans le sérail des décideurs économiques.

Ici, les valeurs intrinsèques de ce club ont pour raison d’être l’échange, l’éthique et le business. Car, il ne faut pas se voiler la face : les entrepreneurs qui investissent de leur précieux temps et un peu de leurs deniers personnels dans une cotisation annuelle de mille euros veulent faire fructifier intelligemment leur implication.

Constitué de dirigeantes (une minorité à l’heure actuelle) et de dirigeants qui cherchent à développer un réseau de qualité afin de booster leurs affaires, CARBAO propose des réunions bimensuelles en présentiel (il est bien l’un des rares à le réaliser aujourd’hui sur l’Auxerrois dans les conditions requises du moment, à savoir avec le respect des gestes barrières et de la distanciation physique), accueilli dans les salons de l’hôtel Ibis Style.

Un credo résume son action : gagner du temps avec de vraies mises en relation physiques au sein du club afin d’optimiser la performance des activités !

 

 

 

De nouvelles créations de club prévues en 2021 dans la région…

 

Deux figures de l’entrepreneuriat icaunais s’érigent en porte-étendard de ce club : Stéphane ROBERT, promoteur de la structure à l’échelle de notre contrée Bourgogne Franche-Comté et Eric CHEVALLIER, président de l’antenne auxerroise. Ils appliquent avec la même méthodologie la philosophie du tandem, Walter BELLON et Sébastien REY, co-fondateurs de ce réseau apparu en 2013 et qui ne cesse depuis de faire des émules aux quatre coins de l’Hexagone.

Dans l’Yonne, CARBAO s’est également positionné à Sens avec aux manettes directionnelles Pascal CARLO, un chef d’entreprise qui évolue dans le secteur de l’évènementiel.

CARBAO devrait s’enrichir d’une vingtaine de nouveaux clubs cette année. Nevers, Chalon-sur-Saône, Dijon, Troyes, Orléans sont d’ores et déjà fonctionnels ou en phase de l’être.

 

 

 

En janvier, le club auxerrois a accueilli un invité de référence lors de sa session matinale en la personne de Marc BESANCENEZ, directeur général du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle à Auxerre. Mais, l’invité du jour possédait également une autre casquette fort intéressante pour alimenter les débats : celle de président du CJD de l’Yonne, le Centre des Jeunes Dirigeants d’entreprises.

On l’aura compris aisément, les ponts entre les deux réseaux peuvent ainsi se relier avec aisance dans la perspective, pourquoi pas, de futurs projets en commun.

Une rencontre entre les étudiants, peut-être avec ceux du BTS, du premier groupe scolaire privé de l’Yonne et les membres de CARBAO ne semble pas être exclue dans un proche avenir. Histoire de partager un retour d’expériences de ce que vit un acteur économique aujourd’hui.

Parmi les autres missions portées par ce jeune club, le soutien à la jeune entrepreneuse Julie ESCAFIT qui vient de lancer sa société de couture à Sens, « De Fil en Couleur ». Un parrainage fort utile pour mettre en orbite la jeune femme.

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil