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Ce samedi 19 août, il est 09h25 sur le quai 1 de la gare de Sens. Le TER 891223 en provenance de Paris et à destination d’Avallon y est annoncé à l’heure. Tout va bien ! Après Sens, les billets sont contrôlés : un fait suffisamment rare pour être précisé. Avant que ne survienne la surprise du jour. Et de taille, celle-là !

 

BILLET : C’est à Laroche-Migennes que les choses se gâtent. La ligne en direction d’Auxerre - Avallon n’étant pas électrifiée, les rames y circulent encore avec du gasoil.

Or, défense de rire, le plein n’ayant pas été effectué avant le départ du train, il nous faut donc quitter, nous autres pauvres voyageurs, la rame.

Peu après, des agents de la SNCF nous distribuent des bouteilles d’eau de marque « Cristalline » (merci Guy ROUX !).

 

 

Initialement prévu de trente minutes, notre retard sera finalement d’une heure et vingt minutes !?

Quatre-vingt minutes pour faire un plein de gasoil dans une locomotive, qui dit mieux côté efficacité ?

En guise de conclusion, j’ai une pensée émue pour nos navetteuses et navetteurs de l’Yonne, qui, si souvent, subissent ces inadmissibles aléas qui découlent d’un bien triste constat : le côté « j’m’en foutisme » du monde cheminot…

Gauthier PAJONA


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Le rendez-vous est devenu au fil du temps une institution incontournable que bon nombre d’édiles de l’Yonne biffent avec réel plaisir sur leur agenda automnal.  Plus de quatre décennies après leurs créations, les « Entretiens de Champignelles » attirent toujours  avec le même enthousiasme celles et ceux qui ont soif de connaissances, de découvertes et de rencontres en rapport avec leurs responsabilités d’élus. Un véritable programme de formation qui mettra le cap début novembre vers la capitale hanséatique de l’Allemagne, Hambourg…

 

CHAMPIGNELLES: La feuille de route de l’édition 2023 de ces fameux « Entretiens » - une énième variante qui prend forme au gré des ans et ne semble pas avoir pris une ride – vient d’être dévoilée ces jours-ci par son principal maître de cérémonie, Jacques GILET.

Perturbée bien malgré lui durant deux saisons par les aléas de la crise sanitaire internationale, ce séminaire aux passionnantes réflexions intellectuelles nourries par un parterre d’intervenants de belle facture, devant accueillir des élus de Puisaye-Forterre mais pas que, s’est depuis refait une belle cure de jouvence.

Ce fut un déplacement à Rome et une immersion dans l’Italie de Giorgia MELLONI l’an passé ; ce sera donc l’Allemagne et la visite de l’une de ses villes les plus caractéristiques en matière de développement économique, sise près de la Baltique, Hambourg cette année.

Accueillant les élus du secteur occidental de l’Yonne, qu’ils soient maires, adjoints, conseillers départementaux, régionaux ou parlementaires – n’est-ce pas Dominique VERIEN qui en sa qualité de sénatrice est l’une des aficionados de ces rendez-vous -, les « Entretiens » doivent permettre à tous ces décideurs de la chose publique de mieux appréhender la gestion budgétaire de leurs localités, de mieux s’insérer dans la gestion patrimoniale et de mieux s’informer sur des thématiques choisies annuellement par avance, faisant le sel de chacune de ces éditions.

 

 

Les taxes injustes ou créatives de service au menu

 

Période de sécheresse et de réchauffement climatique oblige, il sera tout naturellement question de l’eau lors de ce colloque à la puissance trois, s’étalant entre octobre et novembre. « L’eau qui n’est pas une ressource inépuisable…, un item abordé au troisième rendez-vous de cette manifestation, le 24 novembre dans la petite localité de Puisaye, au Centre de rencontre.

 

 

Un mois auparavant, soit le 24 octobre, les élus de l’ouest de l’Yonne se retrouveront au même endroit pour y évoquer le financement des communes avec deux taxes et l’appui de l’Etat aux collectivités. Parmi les intervenants du jour, le sénateur Bernard DELCROS, figure politique du Cantal, l’un des porte-étendards de la ruralité en France et membre du groupe Centriste. Il évoquera lors de sa prise de parole « les taxes injustes ou créatives de service ». Pauline GIRARDOT, secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne, assistera également à ces travaux. En outre, il sera question de la gestion du patrimoine avec un large volet abordé par les participants l’après-midi.

 

 

Immersion en terre hanséatique à Hambourg

 

Entre ces deux dates, le cap vers l’international offrira l’opportunité aux élus de Puisaye-Forterre de découvrir Hambourg, la ville hanséatique où un copieux programme de trois jours leur sera concocté.

De l’hôtel de ville avec des échanges officiels prévus avec les autorités locales à la visite du port – l’un des plus importants au monde -, sans omettre plusieurs immersions dans les communes environnantes (Rendsburg, Tornesch où la pépinière locale possède des liens très étroits avec les pépinières NAUDET installées près de Saint-Florentin !) : la délégation icaunaise devrait emmagasiner bon nombre d’informations précieuses et utiles, devant nourrir par la suite les débats de ce colloque, proposé en mode triptyque.

 

Thierry BRET

 

 


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D’une durée moyenne de quatre-vingt-dix minutes et proposé uniquement sur rendez-vous, le don de plasma fait figure de grand méconnu auprès d’un très grand nombre de nos compatriotes. Pourtant, tout aussi important que le prélèvement de sang, le geste est vital, voire irremplaçable pour des milliers de malades au quotidien. Dépendant à 65 % du plasma fourni par les Etats-Unis, la France veut remédier à cela en organisant à l’avenir plus de 3 000 dons journaliers.

 

DIJON (Côte d’Or) : Prendre le temps pour soi mais aussi pour les autres ! C’est le leitmotiv de l’Etablissement Français du Sang qui propose, via son antenne régionale en Bourgogne Franche-Comté, une opération de sensibilisation autour du don de plasma, l’un des dons souvent oubliés en France.

Liquide aux vertus insoupçonnées, le plasma contient des protéines et des anticorps d’un intérêt thérapeutique majeur pour la fabrication de médicaments. Mais, il n’y a pas que cela ! Le plasma est également précieux en dehors de la transfusion car il sert aussi à fabriquer des médicaments. C’est sur ce point que les besoins sont en très forte augmentation pour les patients, créant des tensions mondiales.

L’Hexagone doit faire face à un double défi : assurer sa souveraineté sanitaire et défendre son modèle éthique de non marchandisation du corps humain.

Pour le relever, elle a besoin de rendre publique cette problématique. C’est pourquoi l’EFS propose jeudi 24 août un premier webinaire consacré aux besoins des patients en médicaments dérivés du plasma et à ses enjeux mondiaux.

 

Des spécialistes pour répondre à toutes les interrogations

 

Ce webinaire sera présenté, côté EFS, par le Dr Fanny DELETTRE, directrice Biologie, Thérapies et Diagnostics et le Dr Christophe BARISIEN, responsable régional des prélèvements ainsi que les présidents des commissions médicales des CHU de Dijon et de Besançon, les professeurs Alain BONIN et Samuel LIMAT.

Durant 45 minutes, ces spécialistes répondront aux questions suivantes : pourquoi les besoins sont-ils de plus en plus importants créant des tensions internationales autour de l’approvisionnement en médicaments dérivés du plasma ? En parallèle, ils aborderont aussi les maladies soignées par les médicaments dérivés du plasma. Avant de poser comme équation la question suivante : comment donner son plasma participe à défendre le modèle éthique de non marchandisation du corps humain et à assurer la souveraineté sanitaire de la France en médicaments dérivés du plasma ?

Donneurs et patients partageront également leurs expériences. L’exercice s’adressera également aux donneurs de sang. Logique, car lors d’un don du sang, on récupère des globules rouges, des plaquettes mais aussi du plasma.

Webinaire sur le don de plasma de 18h à 18h45 jeudi 24 août.

 

Inscription sur https://urlr.me/4tRXp

 

Thierry BRET

 

 


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Cà et là, elles fleurissent partout, ces curieuses banderoles incitatives à la recherche d’emploi. Accrochées aux murs des collectivités ou positionnées idéalement près d’un sens giratoire afin que l’automobiliste n’en manque pas une miette de son contenu dès qu’il ralentit. Dans le cas présent, c’est la recherche de médecins et dentistes qui aura motivé ses auteurs (en l’occurrence, entre autres, la Communauté de communes de Puisaye-Forterre) à la placer là. Parfois, ce sont les employeurs eux-mêmes qui les posent près de leurs entreprises, faute de candidatures…

 

AUXERRE : On savait d’ores et déjà que dans notre pays, il suffisait de traverser la rue pour trouver un job avec une relative facilité ! Voilà que désormais les offres d’emploi viennent à nous en version calicots et s’affichent publiquement aux yeux de tous quand il y a nécessité, voire une certaine urgence à les pourvoir !

D’ailleurs, c’est bien ce mot, « urgence », qu’il convient d’utiliser lorsqu’il s’agit de trouver les perles rares, notamment celles qui interviennent au quotidien dans le domaine des métiers de la santé.

Epiphénomène se répandant comme une traînée de poudre depuis peu ou technique de communication réellement éprouvée par ses auteurs, la pose de banderoles, aux endroits stratégiques les plus fréquentés par la population, s’avère désormais d’une banalité presque anodine, dans le landerneau. On ne compte plus en effet le nombre de ces supports plastifiés et pancartes qui éclosent au grand jour tels des fleurs des champs après la rosée.

Ici, il est question de médecins et dentistes qui sont vivement sollicités afin de se manifester si intérêt à l’installation. Là, c’est peut-être un ophtalmo ou un allergologue que l’on ciblera en écrivant le plus gros possible le précieux numéro de téléphone à contacter. Il pourrait en être de même pour les rhumatologues, les cardiologues, les dermatologues, les anesthésistes, etc. Des filières professionnelles qui se raréfient à la vitesse grand « V » par chez nous.  

 

Un manque de plus de 6 000 médecins dans les campagnes

 

La désertification médicale est telle dans ces départements ruraux que sont ceux de la Bourgogne septentrionale (Nièvre, Yonne) que les collectivités locales en sont réduites à jeter une véritable bouteille à la mer en matière de communication pour espérer décrocher le Graal : l’installation d’un praticien dans leur campagne en s’en remettant au fruit du hasard. Fut-il généraliste ou spécialiste.

 

 

Histoire, aussi, pour certaines d’entre elles, d’alimenter en représentation physique leurs maisons de santé, nouvellement apparues, dans le paysage.

Alors que 30,2 % de la population hexagonale vit dans un désert médical, il manquerait selon une étude produite en 2022 par l’Association des Maires Ruraux de France plus de 6 000 praticiens dans les campagnes françaises. Autant dire un gouffre abyssal qui n’est pas prêt de se résoudre alors que la courbe démographique de la vieillesse est optimale !

 

Et si le Code de la Route s’en mêlait !?

 

Si l’idée de ces pancartes incitatives à dispatcher çà et là à travers le paysage rural n’est pas mauvaise en soi – « qui ne tente rien n’a rien » dit l’adage ! -, quels en sont les réels effets sur la motivation profonde des intéressés, à condition qu’ils les aient vus, lus et qu’ils y soient sensibles ?

Vu le nombre de postes médicaux à pourvoir dans la France rurale (environ 6 000 avons-nous dit), en matière de signalétique, il n’y a plus, pour la rendre efficace, que le Code de la Route qui peut y répondre favorablement pour en changer la donne, en créant un nouveau panneau directionnel qui indiquerait le bon endroit où le médecin pourrait s’installer ! Un vœu pieu, bien sûr…

 

Thierry BRET

 


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« Le criquet tient dans le creux de la main, mais on l’entend dans toute la prairie… ». Originaire du Sénégal, ce proverbe fleurant bon l’exotisme s’adapte à la perfection au fameux magazine dont sont friands chaque mois et ce, depuis dix-huit ans déjà, les habitants du Centre-Yonne et de la partie méridionale de notre territoire. Un « Criquet » qui, dans son édition de l’Auxerrois et de Puisaye-Forterre est aujourd’hui incarnée par la souriante Céline DURAND. Elle en a repris les rênes en janvier dernier, succédant ainsi à Thierry SMOLARSKI…

 

AUXERRE : Que du bonheur ! C’est ainsi que la jeune trentenaire à la tête de la société « A2C » qui exploite localement l’édition du middle Yonne de ce magazine gratuit, un support d’informations publicitaires issu de la franchise nationale – le titre est apparu en 1997 du côté de Nantes grâce à son fondateur Pierre LECHAT -, résume son expérience, vécue intensément depuis le mois de janvier. Un bonheur qu’elle partage à chaque retrouvaille mensuelle avec un lectorat de fidèles, férus de renseignements pratico-pratiques sur les actualités commerçantes et artisanales du secteur géographique dédié.

 

Un nombre de points de distribution très élevé : 700 !

 

A 35 ans, Céline DURAND s’est donc muée en une véritable cheffe d’entreprise. Elle qui avait vécu jusque-là travaillé avec le statut du salariat, dont elle avait finalement fait le tour avant de se lancer un nouveau défi, celui de la reprise de société. Une bonne étoile et le hasard devaient la placer en fin d’année dernière sur la route du pourtant inamovible Thierry SMOLARSKI, figure charismatique du média gratuit, connu et apprécié de tous, dans le landerneau, aujourd’hui à la retraite.

Avec à l’époque, plus de 900 points de distribution répartis sur une large frange de terre, implanté entre Aillant-sur-Tholon jusqu’aux confins du Tonnerrois, le sieur Thierry n’eut jamais une seconde à lui, ne serait-ce que pour respirer un instant !

Qu’elle se rassure, la « belle » Céline n’en aura plus que sept cents de ces points de distribution à alimenter dans le Centre Yonne dorénavant chaque mois afin de perpétuer le flambeau de ce magazine populaire que les Icaunais aiment lire tranquillement à la maison. Un maillage qui reste très important, tout de même !

     

Le renouveau des maquettes et des rubriques sous le prisme de la féminité…

 

Pas prise de tête du tout, avec « Le Criquet Magazine » ! Depuis ses origines, le support propose un contenu informatif ludique, parfois pédagogique, sur cette actualité dite de proximité. Celle des artisans et des commerces indépendants qui fleurissent çà et là au gré des campagnes mais aussi dans les zones urbaines. Celle des informations pratiques qui sont distillées au travers de sympathiques rubriques s’ouvrant vers le jardinage, la philatélie, la mode, les loisirs, la gastronomie, la culture, l’environnement. Les grilles de mots croisés et de sudoku y sont recherchées par ses lecteurs, histoire de se détendre. C’est un peu tout cela, ce magazine au curieux nom d’insecte !

Venant de la sphère commerciale et du marketing, Céline DURAND, bouillonnante d’idées, a souhaité impulser tout de suite après le rachat de ce produit au fort potentiel de développement une nouvelle formule. Histoire de casser quelque peu avec les codes référentiels déclinés jusque-là par Thierry SMOLARSKI. Des codes qui lui avaient pourtant si bien réussis.

 

 

Une prise de risque assumée par la jeune dirigeante, sous le sceau de la féminité et de sa touche caractéristique, qu’il était nécessaire d’imposer à ce nouveau format de lecture.

« Ce renouveau des maquettes et de son contenu sont partis pour durer, confie la jeune femme avec un éclatant sourire. Cela plaît beaucoup aux lecteurs, anciens ou néophytes, souligne-t-elle, en présentant le numéro double estival (juillet/août), magazine qui annonce dans le menu la multitude d’évènements et de festivals de l’été… ».

 

 

Le Sénonais dans le viseur de la zone de chalandise d’ici 2024…

 

Se définissant comme une éditrice de proximité – la belle formule – notre « criquette » rêve tout haut à la mise en place de grands projets d’ici 2024. Notamment le positionnement du support dans le Sénonais, terre qui persiste encore à demeurer vierge à toute implantation de ce média gratuit pour le moment. Peut-être avant l’automne 2024, à l’instar de nouveaux recrutements pour optimiser l’essor de ce produit qui s’approche petit à petit de ses deux décennies de présence dans l’Yonne !

Quant à sa version numérique, elle prend progressivement son rythme de croisière avec plus de 250 visites chaque mois. Preuve que le digital s’adapte parfaitement aux besoins de la presse gratuite.

Autre excellente nouvelle (et de taille) pour la jeune entrepreneuse : la nette envolée de la pagination avec un magazine qui autrefois possédait une jauge de 24 pages et qui est aujourd’hui à une quarantaine de pages par numéro ! Preuve s’il en est que le marché publicitaire de proximité et rural conserve tous ses points d’ancrage et sa fidélité envers les gratuits.

En parallèle et sous couvert de la société « A2C » dont elle est la dirigeante, Céline DURAND qui n’a pas les deux pieds dans le même sabot a développé la vente d’objets publicitaires (goodies, banderoles, signalétiques, cartons invitation, adhésifs, etc.) qui lui assure des rentrées d’argent complémentaires. Un plus avec les offres d’emploi dont elle a hérité sur le site Internet !

Edité à 15 000 exemplaires mensuels, « Le Criquet Magazine » n’a pas de soucis à se faire pour l’avenir : pas de doute, il tient presque dans la main et on l’entend dans toute la prairie !

 

Thierry BRET

 


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