Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Entériné au printemps 2019 par le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, le transfert du centre d’apprentissage agricole de Champignelles vers Venoy eut tôt fait de bouleverser quelque peu le microcosme local. D’autant que la petite localité de Puisaye avait à gérer en concomitance un autre départ : celui de l’Ecole nationale vétérinaire. Force est de constater que depuis son déménagement survenu à l’été dernier, le CFA a gagné en attractivité et en effectifs…

VENOY : Centre de formation professionnelle et de promotion agricole (CFPPA), lycée professionnel agricole de Champs-sur-Yonne (LPA), lycée agricole d’Auxerre La Brosse (LA) : il ne manquait à cette photographie éducative déjà éclectique que la présence physique d’un centre de formation d’apprentis (CFA) pour que l’offre pédagogique déclinée par l’établissement de l’Auxerrois soit réellement complète.

A ceci près que le LPA de Champs-sur-Yonne est situé à quelques encablures du vaisseau amiral de l’enseignement agricole icaunais (une distance réelle de quatorze kilomètres), soit un petit quart d’heure de déambulation par la route.

 

Un établissement fonctionnel depuis 1975…

 

Jadis, établi en Puisaye au cœur de la commune de Champignelles, le CFA agricole accueillait depuis 1975 celles et ceux de ces jeunes gens ayant une appétence naturelle pour les métiers de la filière verte.

Notamment autour de quatre de ces spécificités les plus représentatives : les métiers du jardinage et du paysagisme, ceux du secteur équestre, de la viticulture et de l’agriculture.

Des cursus qui restent ô combien d’actualité même si le complexe structurel a déménagé entre-temps. Une opération de logistique qui s’est déployée au cours de la dernière période estivale et qui avait l’assentiment de la région Bourgogne Franche-Comté.

De la pure évidence que de regrouper sur le même site, celui des Terres de l’Yonne à Venoy, ce centre de formation quelque peu excentré des grands axes de communication. Un positionnement géographique délicat en fin de compte qui lui aura coûté en termes d’effectifs et surtout en rentabilité.

 

  

 

Des synergies naturelles avec les autres établissements du complexe…

 

 

Désormais, accueillie dans un ensemble de structures modulaires mixant ergonomie et fonctionnalité, l’équipe administrative et enseignante du CFA agricole ne souhaite qu’une seule et unique chose : accroître ses effectifs en privilégiant la visibilité.

Une requête d’autant plus facile que l’infrastructure pédagogique est dorénavant située au cœur même de l’édifice du complexe agricole icaunais.

D’où un gain légitime en visibilité et surtout une osmose évidente avec les autres strates enseignantes locales : le lycée agricole La Brosse et le Centre de formation professionnelle et de promotion agricole (CFPPA).

Les synergies qui vont s’y développer dans le futur ne peuvent être que normales.

S’il n’existe pas encore de section dédiée à l’accueil d’un BTS, les cent-cinquante apprenants qui fréquentent les lieux se répartissent vers d’autres cursus menant à l’obtention d’un CAP ou d’un baccalauréat professionnel.

 

 

Communication, qualité et digitalisation : des items synonymes d’avenir…

 

Les quatre filières demeurent très attractives pour les jeunes gens. Notamment celles qui préparent aux métiers de l’aménagement des espaces verts dont sont friands les collectivités et les entreprises ; celle de l’hippisme avec une corrélation naturelle vers la kyrielle de centres équestres répartis sur les départements de l’Aube, la Côte d’Or, la Seine-et-Marne et l’Yonne. Du côté du secteur purement agricole, les demandes de contrat d’apprentissage sont toujours importantes au vu des besoins des exploitations.

L’un des objectifs pour la nouvelle directrice de l’entité, Hélène DECULTOT, sera d’obtenir la certification de qualité, QUALIFORMAGRI, en 2021. Reconnu par l’AFNOR, ce précieux sésame attestera de la qualité de l’enseignement agricole public. Il est salué par le ministère de l’Agriculture comme étant un nouvel outil d’amélioration continue.

Si le développement d’une politique de communication accrue figure parmi les axes de réflexion prioritaires de la jeune directrice, l’apport de la digitalisation afin d’encadrer les cours assurés par les enseignants est un autre volet des chantiers à mettre en exergue dès la saison prochaine.  

Pour mémoire, précisons que le transfert du CFA agricole aura nécessité une enveloppe budgétaire de 750 000 euros financée par la Région.

 

En savoir plus :

 

Pour connaître l’ensemble des activités et des cursus proposés sur le site, un contact :

CFA Agricole de l'Yonne

La Brosse

89290 Venoy

03.86.45.15.23.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le mot d’ordre servant de fil d’Ariane à cet événementiel décliné en numérique est simple. Sans circonvolution inutile. Il s’agit de construire coûte que coûte la relance économique sans carbone applicable dans les régions de l’Hexagone. C’est la trame éthique prioritaire qui est abordée durant quatre jours d’ateliers et de conférences dispensées jusqu’au 27 novembre…

CHALON-SUR-SAONE (Saône-et-Loire) : L’événement se décline sur quatre jours jusqu’au 27 novembre. Malheureusement, de manière virtuelle. Qu’importe, cela ne nuira nullement à la qualité des débats qui y sont proposés autour d’une thématique pertinente, à la pointe de l’actualité. « Comment construire une relance économique sans carbone sur notre territoire ? ».

Un vaste débat de fond, certes, qui devrait trouver son lot de réponses adéquates lors d’échanges et d’ateliers qui se veulent clairs et engagés au niveau des organisateurs.

En l’occurrence, les responsables de NUCLEAR VALLEY, l’unique pôle de compétitivité de la filière nucléaire civil en France, accueilli dans la capitale de la Saône-et-Loire.

Parmi les participants à cette animation digitale d’envergure, citons chez les incontournables donneurs d’ordre de cette filière : FRAMATOME, EDF Bourgogne Franche-Comté, ORANO et le CEA (Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives).

Une centaine de responsables achats, projets et techniques des donneurs d’ordre et de grandes entreprises de la filière nucléaire se sont également inscrits à cette animation.

 

 

Une initiative encouragée par l’Etat et les régions dont BFC…

 

En outre, de nombreux experts couvrant l’ensemble des domaines du cycle du combustible, de l’extraction au démantèlement, en passant par la recherche, la construction, l’exploitation, la maintenance et la formation suivent avec grand intérêt ces échanges digitalisés.

Dans ce contexte de crise sanitaire et de crise économique, NUCLEAR VALLEY dirigé par Jean-François DEBOST mobilise avec cet événementiel tous les moyens pour dynamiser et lancer des pistes de réflexion favorables à la filière.

En valorisant des préconisations innovantes et durables pour bâtir une relance économique sans carbone, nécessaire à la sauvegarde de la planète. Une relance qui par extension ne peut se concevoir autrement que par le biais de l’innovation, l’emploi et la formation. D’où les nombreux ateliers déclinables lors de cet évènement avec la présence des nombreux donneurs d’ordre de ce secteur d’activité. Soutenue par l’Etat et les régions Bourgogne Franche-Comté et Auvergne Rhône Alpes, l’initiative démontre ainsi tout le potentiel de la filière nucléaire, une industrie d’avenir et porteuse d’emplois…

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Dans le jargon de l’entraide, on appelle cela une maraude. Un terme dont la sémantique usuelle se rapporte d’ordinaire au monde de la nuit et aux taxis à la recherche de clients noctambules. Dans le cas présent, les « clients » de l’antenne icaunaise de ce groupe de « bikers » altruistes et généreux se composent des laissés pour compte de l’existence. Celles et ceux qui subissent au quotidien les affres cruelles d’une société dont ils sont exclus…

AUXERRE : La prochaine opération se déroulera ce mercredi 25 novembre à la tombée de la nuit. Place Surrugue, à partir de 18h30. Une maraude. Un moment privilégié pour celles et ceux qui font encore preuve d’empathie et d’altruisme en ce bas monde envers les autres. Celles et ceux qui souffrent dans leur chair, dans leur corps et surtout dans leur âme.

A raison de plusieurs rendez-vous mensuels, l’antenne icaunaise des « UNITED RIDERS » organise ce type d’actions salvatrices au contact des nécessiteux et autres défavorisés de la vie. Histoire de leur apporter un zeste de réconfort et de réchauffer leur terne quotidien…

Des opérations menées sur le terrain qui ne se cantonnent pas à la seule capitale de l’Yonne aujourd’hui. Tant les besoins sont gigantesques avec les conséquences funestes de la crise sanitaire. Tant cette précarité que beaucoup ne voulaient voir éclate aux yeux de tous au détour d’une rue, sur le banc d’un square ou à proximité d’un commerce.

 

 

Plus d’une vingtaine de structures officialisées en France…

 

Organisation non gouvernementale composée d’aficionados de grosses cylindrées, évoquant le monde des « bikers » et leur philosophie, l’association a pour vocation de travailler avec les missions humanitaires et l’ONU, pour venir en aide aux plus démunis sur le globe. Y compris dans l’Hexagone. Où, une vingtaine de structures se sont développées depuis une trentaine d’années sous la forme associative pour accomplir leur mission caritative.

Offrant des vêtements, des produits d’hygiène, des sous-vêtements, et même des croquettes pour les compagnons à quatre pattes de ces malheureux en totale déshérence, les bénévoles d’UNITED RIDERS multiplient à rythme soutenu ces maraudes porteuses d’une faible lueur d’espoir.

Or, le constat de ces humanistes si généreux a de plus en plus le goût de l’amertume. Les pauvres, les exclus de la société, les oubliés du microcosme économique, les invisibles de notre monde voient leurs rangs s’épaissir à vue d’œil à chacun de leurs passages. Hélas, ce ne sont pas les plans sociaux qui se profilent à l’horizon 2021 qui feront changer la donne…

 

 

La recherche d’un local pour entreposer les dons…

 

Au-delà du traditionnel appel aux dons et à la générosité de tous envers cette population qui ne cesse de s’accroître, il est indispensable aujourd’hui pour la structure associative de pouvoir se doter enfin d’un point de chute physique.

Un vrai local dans l’Yonne qui lui permettrait de stocker dans des conditions optimales le fruit de ces nombreuses distributions mensuelles. Des vêtements, du mobilier, et tout ce qui peut apporter un brin de lumière et un peu de vie à ces ombres de l’oubli qui rasent les murs. Il y a péril en la matière à résoudre cette équation tant l’urgence est devenue la priorité de ces « bikers » pétris de bonne volonté. Et pavés des intentions les plus louables…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le constat se vérifie après trois semaines de confinement : une légère accalmie se précise enfin sur le front de la propagation du virus dans l’Yonne. Pour autant, les derniers indicateurs fournis par l’Agence régionale de Santé (ARS) n’autorisent encore pas une baisse inappropriée de la garde. La vigilance reste l’unique préoccupation de la préfecture de l’Yonne qui procédait à un nouveau point informatif sur la crise sanitaire vendredi soir…

AUXERRE : Indéniablement, le virus de la COVID-19 circule toujours avec une certaine virulence dans notre département. Même si de facto les premiers effets positifs de la seconde période de confinement se font ressentir à l’énumération des dernières tendances statistiques par l’Agence régionale de Santé.

Lors du nouveau point avec la presse accordé vendredi soir depuis son bureau de la préfecture, Henri PREVOST a observé ce léger frémissement, porteur d’espérance. Même si la plus grande prudence doit demeurer le leitmotiv prioritaire de chacun, notamment sur le respect des normes de protection.

« Dans l’ensemble, devait confier le représentant de l’Etat, l’attention de nos concitoyens est plus soutenue sur l’application des gestes barrières… ».

Des motifs de satisfaction sur le comportement des Icaunais, certes, même si quelques réfractaires tentent avec la même pugnacité de jouer les filles de l’air en se déplaçant sans les attestations autorisées. Ils s’exposent ainsi à des sanctions qui si elles restent limitées dans les faits et financièrement peuvent conduire à la récidive et au pénal. Pour mémoire, 19 000 contrôles ont été procédés depuis le 30 octobre pour 400 verbalisations.

 

Des taux observés au-dessus de la moyenne nationale

 

Alors que la France est suspendue à la prochaine prise de parole du résident de l’Elysée prévue au soir du mardi 24 novembre, la Bourgogne Franche-Comté, à l’instar de sa voisine Auvergne Rhône Alpes, ne présente pas un bilan des plus optimistes côté chiffres.

Le Doubs, le Jura, la Saône-et-Loire et la Côte d’Or figurent encore parmi les mauvais élèves dans la gestion de cette crise sanitaire exceptionnelle. Et le département de l’Yonne, dans tout ça ?

C’est Eve ROBERT, directrice départementale de l’ARS pour notre secteur géographique, qui apporte comme à l’accoutumée les réponses appropriées. Les indicateurs de circulation virale présentent une substantielle embellie, avec un taux d’incidence qui s’élève à 350 pour mille habitants à date, au lieu de 450 constaté la semaine dernière.

Un léger mieux démontrant un ralentissement de l’épidémie, mais de manière très lente. Le taux de positivé, évalué à 21 % il y a huit jours, décroit et se situe au 20 novembre à 18 %.

Toutefois, ramenés dans leur véritable contexte, ces chiffres, comparés à la moyenne hexagonale, ne sont pas bons. Le taux d’incidence est en France de 220 avec un taux de positivité établi à 15,5 %.

Conséquence, l’Yonne reste un territoire où la propagation de la COVID-19 est bien réelle, n’en déplaise aux empêcheurs de tourner en rond !

 

 

Des décès qui ne frappent pas seulement les seniors et les personnes à risque

 

Ces signes d’extrême fragilité s’observent sur la population âgée de plus de 65 ans ou celle qui présente des facteurs de risque importants. Le taux d’incidence, apprécié à 360, baisse nettement moins vite que parmi les autres strates de la population.

Quant aux disparités sectorielles, elles démontrent que l’Auxerrois reste de loin la zone la plus perturbée par les effets pernicieux de l’épidémie. Même s’il n’existe pas de réelle disparité sur le département.     

La décrue s’amorce avec lenteur dans les centres hospitaliers soumis à de réelles tensions à cause de nouvelles entrées régulières des patients.

A ce jour, 197 personnes ont été admises dans les unités de soin au titre du coronavirus dont quatorze vivent des moments très délicats de leur existence, alités dans les services de réanimation.

Leur taux d’occupation explose, atteignant 117 % au lieu de 92 % au plan national. Ce qui aura induit le fait de déprogrammer des opérations chirurgicales et de les reporter à plus tard. Pour l’heure, rien n’est encore venu inverser cette stratégie.

Les décès (139 sont à dénombrer) s’accélèrent dans l’Yonne : vingt-quatre personnes sont passées de vie à trépas au cours de ces deux dernières semaines. Cependant, Santé Publique France met en garde contre les idées surfaites : 10 % des personnes décédées depuis le début de cette crise ne présentaient aucun facteur de comorbidité. Un tiers se situait en dessous de 65 ans.

Dans les EHPAD, un établissement sur deux dans l’Yonne (32 y sont recensés) doit affronter avec détermination les effets dangereux de la crise. Dont trois sites où l’infection virale provoque des ravages avec plus de 50 % de malades. Ce sont 86 seniors qui sont disparus depuis le mois de mars dont vingt-cinq issus de la seconde vague.

La diffusion des tests antigéniques dans les officines pharmaceutiques, les cabinets médicaux ou auprès des infirmières libérales offre cependant la capacité de détecter avec une relative efficience et rapidité le nombre de personnes contaminées.

Ils complètent la palette de tests existants dont les PCR réservés pour les cas contact. Une réduction de temps appréciable pour les services sanitaires puisque les résultats obtenus au bout d’une quinzaine de minutes offrent des éléments intéressants dans ces analyses. Toutefois, leur fiabilité est moindre et en deçà des tests PCR.

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Contexte sanitaire oblige, c’est par voie numérique que se sont déroulées du 13 au 19 novembre les élections pour le renouvellement des présidents et des conseils départementaux des fédérations du Mouvement Démocrate. Dans l’Yonne, le scrutin a rendu son verdict. Il est revenu favorable aux candidatures de Michèle CROUZET et de Pascal HENRIAT. Sans réelle surprise…

AUXERRE : Pas de suspense possible à envisager lors de la désignation du nouveau président du MoDem sur notre territoire ! Il est vrai qu’une seule candidature à la fonction suprême avait été déposée en amont de cette échéance avant que ne se déroule ce scrutin par vote numérique.

Celle de l’actuel président : Pascal HENRIAT. Ce dernier briguait fort légitimement le renouvellement de son bail à ce poste.

Autant dire que toutes les supputations inimaginables et hypothétiques étaient déjà mortes dans l’œuf avant même que ne se tienne le vote et que l’on découvre ses résultats, sauf revers exceptionnel de la part des adhérents votants.

Elu pour une mandature de trois ans, le vice-président de l’Agglomération de l’Auxerrois, conseiller départemental et maire-adjoint aux Finances retrouve donc son fauteuil de leader du parti centriste sur le département. Restant fidèle et attaché à la ligne politique de son président national François BAYROU.

 

 

Quant à la liste unique qui était en lice pour le Conseil départemental, emmenée par la députée de la troisième circonscription Michèle CROUZET, elle a reçu les suffrages indispensables de la part des adhérents pour être validée de manière démocratique.

Rappelons que la parlementaire de Sens, membre de la commission des Affaires économiques et ancien soutien du parti présidentiel, avait choisi de rejoindre les rangs du MoDem en août 2020, après avoir quitté La République en Marche l’été précédent.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil