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C’est un mois de mars important qui débute pour les élus de la petite localité de la Forterre. D’ici quelques jours, le conseil municipal aura à se prononcer sur le mode opératoire budgétaire à mettre en œuvre dans le cadre du projet d’aménagement du cœur de ce village si pittoresque. En sollicitant des subsides auprès de  l’Etat et de la Région Bourgogne Franche-Comté, les élus ont la ferme intention de glaner des aides à hauteur de 80 % des futurs travaux d’un dossier dont l’investissement global n’excède pas 150 000 euros…

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Améliorer et positiver le cœur de village de cette bourgade si typique de l’Yonne s’inscrivent parmi les grands chantiers de l’actuel édile, Jean-Michel RIGAULT.

Et comme l’a précisé dernièrement le maire de cette commune aux trois cents âmes de ce territoire occidental de l’Yonne, quoi qu’il en soit, ce dossier devra être finalisé avant le terme du mandat électoral. Sachant, pour mémoire, que les prochaines municipales se dérouleront au printemps 2020.

De quoi s’agit-il précisément ? L’équipe en place souhaite optimiser tant au plan logistique et structurel que sur le développement de l’économie interne l’essor de la localité. Tout en le pérennisant.

Soutenir les acteurs de l’économie locale…

Celle-ci rayonne bien au-delà de sa zone d’influence naturelle (Ile-de-France) par son approche touristique (elle bénéficie de plusieurs labels de qualité qui en valorise sa découverte) et par la présence de plusieurs artisans d’art.

Jean-Michel RIGAULT désire aller encore plus loin dans cette quête utile, faisant d’une pierre deux coups dans ce projet d’aménagement. Non seulement, la commune facilitera l’accueil de ses futurs visiteurs en créant de nouvelles aires de stationnement et en se dotant d’infrastructures ludiques supplémentaires, qui permettront de grossir l’offre de loisirs.

Mais, en outre, il entend bien booster l’activité économique intra-muros en prenant soin de soutenir les professionnels de l’artisanat d’art (potiers, céramistes, peintres, sculpteurs, producteurs de recettes et denrées du terroir…). Ceux-ci pourront bénéficier indirectement de cette manne qui n’a rien de providentielle.

Dans les faits, ce concept s’articulera peut-être en deux tranches de travaux à budgéter sur les prochaines années à venir. Il valorisera certains espaces de la commune. L’idée serait d’utiliser l’ancienne cour de l’école pour y implanter un espace arboré et créer ainsi de nouvelles possibilités de stationnement.

Quant au parking existant, il verrait ses capacités à accueillir des véhicules se prolonger.

L’essentiel des investissements de 2019…

Côté agrément, diverses infrastructures à caractère sportif, à l’instar d’un terrain mixte de volley-ball et de badminton, conféreraient une dimension ludique au projet. Il y serait rajouté un terrain de jeux de boules. 

Les artisans d’art qui créent une plus-value attractive du fait de leurs activités seraient dotés de petits chalets en bois – on parle de trois à quatre points d’accueil -, mis gracieusement à leur disposition au centre de la commune.

Enfin, et pour être tout à fait complet sur la configuration de ce projet, cette dernière se réserverait le droit de construire un bâtiment en bois, dans le même esprit que celui de l’actuelle guinguette au bord du plan d’eau, pour y entreposer divers matériels dans un souci de stockage. L’installation d’un jardin participatif représente aussi une option envisageable.

Une chose est sûre, avant que ne soit décidé par le conseil municipal de l’opportunité ou pas de lancer les demandes de subventions en bonne et due forme auprès des services de l’Etat et de la Région, ce dossier aux multiples ramifications constituera l’essentiel des investissements réalisés par la commune de Forterre cette année.


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LEVINAS, KANT, MACRON…Emmanuel, prénom qui évoque le fils d’Isaïe, est porté par les hommes depuis vingt-huit siècles. Il se trouve que je m’appelle ainsi. Emmanuel, comme notre président. Ce prénom était tombé en pleine désuétude : il est revenu à la mode. En ce qui concerne le président, « être à la mode », cela veut dire scruter les sondages afin d’en apprécier les courbes ascendantes et descendantes. Or, depuis quelque temps, « sa mode » ou plutôt sa cote de popularité est singulièrement remontée à la hausse. Elle est passée de 18 % en décembre pour caracoler à 30 % à la fin du mois de janvier. Conclusion : tout va donc pour le mieux en France...Quoi qu’on en dise !

TRIBUNE : Pourquoi m’a-t-on appelé ainsi ? Parce que c’était le prénom du frère de ma grand-mère, mort au champ d’honneur en septembre 1914. Le même jour que Charles PEGUY, lors de la contre-attaque lancée par les généraux JOFFRE et GALLIENI, au cours de la bataille emblématique qui est devenue la grande victoire de la Marne.

De Bouvines à la Marne, en passant par Marignan (1515) et Austerlitz (1805), notre histoire est constellée de victoires éclatantes. Elles faisaient vibrer les petits écoliers français d’autrefois. Tandis que leur cœur se serrait à l’énoncé des défaites telles que Crécy, Azincourt, Waterloo, Sedan et j’en passe. Des défaites et des victoires successives qui ont forgé la Nation à travers le temps...

Mort au champ d’honneur ! Voilà une expression qui nous rendait muets d’admiration. Emmanuel ROZAN et Charles PEGUY ont perdu la vie au champ d’honneur : « Heureux ceux qui sont morts dans une juste guerre … » avait écrit le lieutenant PEGUY quelques années auparavant, avant d’avoir dit à ses hommes, comme Emmanuel ROZAN : « Baïonnette au canon, et en avant ! ».

Un prénom aux lointaines origines hébraïques…

À qui doit-on la victoire de la Marne ? Aux Russes qui, avançant sur Berlin, ont contraint l’état-major germanique à dégarnir le front occidental pour protéger leur capitale. Mais aussi, à l’arrogance du chef de l’armée allemande : le général Von KLUCK. Sûr de sa victoire, l’officier teuton avait trop détendu ses lignes. Cette victoire glorifia les généraux JOFFRE et GALLIENI qui virent l’erreur allemande et décidèrent de lancer une contre-attaque massive. Et, puis surtout, il y eu la bravoure et le courage des soldats français.

Après avoir reculé en ordre dispersé pendant des semaines face à l’armée d’Outre-Rhin, qui les avait surpris en violant la neutralité de la Belgique, ils se sont arrêtés et sont repartis avec fougue contre l’envahisseur du sol national.

Un membre de l’état-major allemand fit alors cette réflexion : « Que des soldats qui marchaient en retraite pendant des semaines soient encore capables de repartir à l’assaut avec une telle fureur et de culbuter les troupes ennemies, cela nous ne l’avions jamais appris à l’école militaire… ». Un vibrant hommage à ces Français de 1914, les fameux « Poilus ».

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Mais, cessons cette digression aux références historiques et revenons à la signification sémantique du prénom Emmanuel. D’où vient-il ? Des Hébreux. Il signifie : « Dieu est avec nous ». Son origine remonte au siège de Jérusalem par les Assyriens en 701 avant J.C.

En bon conseiller du roi de Juda Ezéchias, le prophète Isaïe lui dit : « Avant que mon fils ne soit né, les Assyriens auront levé le siège de Jérusalem. Je l’appellerai Emmanuel car « Dieu est avec nous »… ».

Se sentir investi pour relever les défis…

Les Allemands arboraient sur leur ceinturon les mots suivants, « Gott mit uns », soit une traduction littérale de cette même expression, exhumée de la nuit des temps.  

Comme l’a dit avec ironie VOLTAIRE, après un « te deum » à Notre-Dame de Paris pour remercier le divin Créateur d’une victoire : « En général, Dieu est avec les gros bataillons contre les petits… ».

En fait, il semblerait que Dieu n’a rien à voir avec nos misérables instincts génocidaires. Les batailles sont gagnées par les armées dont les chefs ont le coup d’œil. Dont les officiers font montre d’exemplarité. Dont les hommes font preuve de courage et d’abnégation.

Comme exprimé dans la précédente tribune, nous menons aujourd’hui la Troisième guerre mondiale en ces périodes troubles. Le conflit est d’un genre nouveau : c’est une guerre économique et technologique. Allons-nous avoir enfin un sursaut comme les soldats de la Marne pour y faire face ?

Encore faut-il que les « officiers » du pouvoir qui se sentent investis d’une mission où l’implication est reine, ne désarment pas dans les semaines et mois à venir.

Sinon, les « hommes du rang », au lieu de mettre baïonnette au canon, continueront à revêtir des gilets jaunes afin de protester inlassablement. Même si, notre président de la République porte fièrement un prénom qui lui rappelle chaque jour que « Dieu est avec lui… ».

Emmanuel RACINE


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Le retour de la belle saison, à l’amorce du printemps, peut s’avérer fatale pour certaines espèces animalières. C’est le cas des amphibiens. Sortant de leur cachette hivernale, les batraciens cherchent à rejoindre leur lieu de reproduction (mare, étang, fossé, plan d’eau…). Un périple qui comporte son lot de dangers. Surtout lorsque ces animaux doivent traverser des axes routiers. Spectaculaires, les migrations concernent plusieurs milliers d’individus qui traversent les routes sur quelques centaines de mètres. Entraînant une forte mortalité de l’espèce. Or, à l’initiative de sociétés d’histoire naturelles, des actions se déploient sur le territoire bourguignon pour que cesse cette hécatombe…

AUTUN (Saône-et-Loire) : Les amphibiens sont de sortie ! Et pour éviter qu’ils ne se fassent écraser par milliers sur les routes, la Société d’histoire naturelle d’Autun vient nous rappeler les règles existantes à respecter lorsque l’on est un automobiliste citoyen.

Durant la période de reproduction, ce ne sont pas moins de treize actions de sauvetage qui sont mises en place en Bourgogne par différentes associations et structures prônant pour la sauvegarde de la nature et de l’environnement.

Multiples et hétéroclites, ces actions se traduisent par le ramassage en soirée des batraciens téméraires ou la déviation temporaire d’une route traversée par le flux migratoire des amphibiens.

Plusieurs communes de la Bourgogne consentent à organiser ces interventions. C’est le cas d’Appoigny, Beine, Bellechaume, Bussy-en-Othe, Chamoux, Malay-le-Grand, Marsangy, Saint-Julien-du-Sault et Vergigny pour l’Yonne. Le succès de ces opérations est possible grâce à la mobilisation de bénévoles, amoureux de la nature. Et des grenouilles et autres crapauds !

Le signalement des zones de traversées s’impose…

Naturellement, avant toute intervention, il est fondamental de signaler les portions de routes sur lesquelles ont été observées des amphibiens. L’objectif de ce chantier est d’identifier le maximum de zones d’écrasement à fort potentiel en Bourgogne. Afin de les répertorier sur la cartographie officielle réalisée par les spécialistes de la faune en Bourgogne. Ces informations peuvent également être transmises, grâce à l’outil de saisie en ligne E-Observations sur le site http://faune.bourgogne-nature.fr ou en renvoyant les observations par mail.

Il existe de nombreuses données d'amphibiens sur les routes dans la base de données régionale, la Bourgogne Base Fauna (BBF). Certains de ces sites présentent un enjeu potentiel vis-à-vis de la problématique d'écrasement des amphibiens, mais il manque des informations pour estimer l'enjeu réel du site. C'est dans ce sens que les citoyens peuvent être amenés à aider les protecteurs de la nature en effectuant des inventaires précis sur certains de ces secteurs.

Vous trouverez plus d’informations sur la page du SOS Amphibiens de Bourgogne, sur le site de l’association Bourgogne-Franche-Comté Nature…


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Elle se refuse à toute concession intellectuelle face à l’envahissement chronique du « global english » dans notre société. Un sabir, le « globish », dont elle est réfute, avec une pointe d’ironie, l’utilisation abondante à toute les sauces, y compris dans la sphère économique. Invitée de l’animation culturelle, « Le Cercle Condorcet fait son printemps ! », ce jeudi 07 mars au Théâtre , la philologue, philosophe et académicienne, fervente admiratrice des œuvres du poète grec Homère, nous réserve sans aucun doute de belles surprises orales au cours de l’entretien public qu’elle accordera à la rédactrice en chef de « Sciences Humaines », Héloïse LHETERE. Une discussion à bâtons rompus autour du réel pouvoir des mots et de la sémantique dans notre environnement actuel…  

AUXERRE : Rare représentante de la gent féminine à occuper un fauteuil d’immortel à l’Académie française, Barbara CASSIN, si elle est une esthète en la matière pour évoquer le sens des mots et leur utilisation, n’en n’est pas pour autant une ardente défenseuse de la langue de Molière. Elle qui s’accommode fort bien des textes homériques de l’Antiquité grecque !

Auteur de moult ouvrages consacrés à la philosophie (le sophisme, notamment), la directrice de recherches au CNRS (Centre national de la recherche scientifique) fera une halte remarquée, jeudi prochain, à Auxerre dans le cadre d’une manifestation culturelle siglée par le Cercle Condorcet local.

Conviée à venir sur la scène du théâtre auxerrois pour s’y exprimer sur les dangers de l’anglicisme à tout crin, cette spécialiste de la traduction aura à cœur de s’opposer farouchement à ce « global english » qui inonde nos consciences année après année. Avec, comme il se doit, de nouveaux termes à ajouter à notre vocabulaire à chaque saison.

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Il n’y a pas un langage, mais des langues…

Interrogée par la journaliste Héloïse LHETERE, rédactrice en chef de la revue « Sciences Humaines », l’helléniste devrait nous conseiller de ne pas céder à la tentation de véhiculer ces mots à connotation anglaise à trop forte dose. Leurs valeurs sont contestables à bien des égards.

Se préservant de tout protectionnisme de la langue, la philosophe souhaite par-dessus tout défendre la diversité linguistique et lutter bec et ongle contre ce formatage de la pensée. Et comme elle aime à le préciser au détour de ces interventions : « Il n’y a pas un langage, mais des langues… ».

Face à l’uniformisation de cette pensée unique vers laquelle on veut nous modeler, il existe une arme noble et efficace : la traduction. N’a-t-elle pas, par ailleurs, produit un imposant « Dictionnaire des Intraduisibles » dans lequel elle examinera plus de 1 500 mots du langage philosophique confrontés à la difficulté de pouvoir les expliquer dans une quinzaine de langues ?

D’ouvrage en ouvrage, Barbara CASSIN, faite Chevalier de la Légion d’honneur et détentrice de la médaille d’or du CNRS en 2018 (la plus prestigieuse des distinctions à la recherche nationale), décortiquera lors de cet entretien public la construction du langage, ses codes politiques mais aussi le pouvoir des mots. Et par extension, combien la diversité linguistique nous enrichit si nous faisons l’effort de construire des passerelles…

« Ce que peuvent les mots », entretien avec Barbara CASSIN.

Théâtre d’Auxerre, grande salle.

Jeudi 07 mars à 18h30. Entrée libre.


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Le nombre de retours à l’emploi de plus d’un mois est en augmentation dans le département de l’Yonne. En l’espace d’une année, la statistique dévoilée par le directeur général de Pôle Emploi Yonne, Yves HUTIN, est sans équivoque : + 1,91 % de mieux par rapport à l’exercice antérieur. Près de vingt mille personnes (19 298 précisément) ont repris le chemin du travail, profitant d’une reprise économique qui s’amorçait déjà depuis le premier trimestre 2018. Face à cette configuration conjoncturelle inédite et plutôt orientée vers le positif, 44 % des demandeurs d’emploi accèdent au marché du travail dans le semestre suivant leur inscription. Encourageant pour l’organisme de l’Etat, même si beaucoup de choses restent encore à faire…

AUXERRE : Les derniers indicateurs de Pôle Emploi apportent une véritable bouffée d’oxygène pour celles et ceux qui doutaient encore de pouvoir sortir un jour de l’ornière professionnelle dans laquelle ils étaient embourbés. Indubitablement, le taux de chômage diminue en Bourgogne Franche-Comté, y compris sur le territoire de l’Yonne.

Près de vingt mille « chercheurs » d’emploi sont retournés en entreprise pour y exercer leur savoir-faire, entre les mois d’octobre 2017 et septembre 2018. Un chiffre dont le directeur général de l’institution dans le département se satisfait. D’ailleurs, à l’analyse des derniers chiffres, Yves HUTIN confirme que quatorze indicateurs de résultat, propres à évaluer la performance de l’organisme, s’orientent dans la même direction. Ils bonifient et accréditent le travail de fourmi des conseillers en matière d’accompagnement professionnel et du placement en entreprise. Même le volet de l’indemnisation des allocataires vire au vert.

Côté recrutement, la tendance demeure saine avec une hausse enregistrée tant au plan régional que départemental pour l’Yonne. A contrario, mais ce n’est guère une surprise, un léger tassement s’amorce autour de l’emploi salarié.

Multipliant les actions (plus de quatre-vingts depuis septembre 2018), Pôle Emploi ne demeure pas les deux pieds dans le même sabot pour trouver des préconisations fiables et pérennes à son public.

Petit déjeuner avec des employeurs, information collective sur certaines filières (espace vert, vie scolaire…) ou la découverte approfondie des métiers du transport sont autant d’animations concrètes qui ont engendré de bons résultats dans l’une des différentes agences du territoire.

Certaines d’entre elles ont su profiter de l’opération « Vers un métier » pour tirer leurs résultats vers le haut. Incitant des candidats à bénéficier d’une formation (14 %) ou à entrevoir une porte de sortie honorable vers la vie active en trouvant un job (37 %).

De sérieux besoins dans l’industrie et le secteur de l’aéronautique…

Que l’on ne s’y trompe point. 66 % des opérations menées par le partenaire à la recherche d’emploi concernent justement le recrutement. Contre 22 % d’initiatives de découverte des secteurs professionnels et des métiers. Le reliquat étant affecté à la promotion de l’offre de formation, indispensable pour acquérir les rudiments nécessaires à certaines typologies de postes.

Cinq secteurs économiques proposent une réelle dynamique d’intégration des candidats à l’emploi : l’industrie, le transport, l’hôtellerie-restauration, le commerce et le bâtiment. Rien que le secteur du transport offre 60 000 postes à pourvoir de suite en France ! Mention particulière, également, pour la filière aéronautique dans l’Yonne. Une convention de partenariat a été établie avec les services du Pôle de formation des industries technologiques 58/89 et l’Union des industries de la métallurgie. Elle favorise le renfort des effectifs au sein du groupement aéronautique départemental, GISAERO. De nombreuses offres sont encore vacantes.

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Conserver son employabilité à tout prix…

Pour faire taire les idées reçues, la grande majorité des demandeurs d’emploi, c’est-à-dire 95 % d’entre eux, démontrent qu’ils sont bel et bien en quête d’un travail. 40 % sont inscrits depuis plus d’un an au chômage, alors qu’un quart de ces personnes le sont depuis deux ans.

Mais, quatre personnes bénéficiaires de l’assurance chômage sur dix intègrent l’épineuse catégorie des demandeurs d’emploi de longue durée. Agées de cinquante ans, elles entrent dans une tranche de vie où il est difficile d’occuper encore une place au soleil dans le système économique et social actuels. Pourtant, la valorisation des compétences représente une clé de voûte à vendre auprès des entreprises. Car, 60 % des dirigeants de société considèrent que le comportemental est de loin nettement plus en phase avec leurs besoins après 50 ans.

Les entrepreneurs perçoivent favorablement l’action de Pôle Emploi. Pour 68 % d’entre eux, l’accompagnement via les services ad hoc, les propositions inhérentes autour de la formation de leurs futurs collaborateurs et l’ensemble des prestations conviennent. Soit un satisfecit en augmentation de sept points en l’espace d’un an.

Le taux de satisfaction des demandeurs d’emploi se situe encore plus haut. Il atteint 74 % des intéressés. Et progresse de quatre points depuis le précédent bilan.

Quant au paiement des allocations (une enveloppe annuelle de dix millions d’euros), on constate que les délais sont respectés dans 95 % des cas. Cela représente une sensible évolution de 0,2 point par rapport à l’exercice antérieur alors que la direction départementale vise les 100 % de résultat.

 


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