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Pour la première fois de son histoire, le constructeur japonais vire en tête des marques les plus fiables sur le marché américain. Devançant au passage un autre poids lourd de l’automobile qui possède la marque de fabrique de l’Empire du Soleil Levant à travers sa technologie, Toyota.  

PARIS : 2020 peut être considéré comme une excellente année pour le constructeur nippon. Tant aux Etats-Unis que sur le Vieux continent ! Pour la première fois de son existence, MAZDA se place en pôle-position du classement des constructeurs les plus fiables de l’avis des consommateurs américains.

L’enseigne du Sud-Est asiatique coiffe même sur le poteau l’indéboulonnable Toyota et la luxueuse Lexus. L’an passé, MAZDA s’était classée sur la seconde marche du podium, battue par la japonaise haut-de-gamme Lexus qui recule cette année de deux rangs. Toyota occupant la troisième place.

Les constructeurs japonais ont réalisé le tir groupé idéal cette année dans cette évaluation faite par un organisme officiel en décrochant pas moins de cinq accessits parmi les dix premières places de ce classement annuel.

Précisons que d’autres constructeurs asiatiques réalisent de très belles performances dans ce hit-parade de la fiabilité : le japonais Honda et le sud-coréen Hyundai.

 

 

Au niveau des marques made in USA, Buick est celle qui a obtenu les meilleures notes cette année : elle termine à la quatrième position de ce classement. En revanche, Lincoln et Tesla sont à la traîne et font pâle figure dans cette liste, loin derrière...

Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, MAZDA a également reçu la note maximale de cinq étoiles aux nouveaux tests euro NCAP 2020 grâce au MX-30, petit bijou ergonomique de caractère apparu il y a peu sur le marché.

C’est le cinquième véhicule à décrocher cette note grâce à la philosophie de sécurité proactive voulue par le constructeur.

 

 


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Décliné sous la forme d’un webinaire, ce rendez-vous informatif concerne les acteurs de l’industrie. Celles et ceux qui souhaitent intégrer le numérique et la robotique au sein de leur unité de production afin de mieux en optimiser les potentialités. D’autant que des aides de l’Etat, initiées par le plan « France Relance », peuvent en assurer le financement…

 

SENS : Voilà une date intéressante à biffer d’ores et déjà sur les agendas ! Celle du jeudi 26 novembre, à partir de 17h30.  

Dans le cadre de ses échanges mensuels initiés au nom de la communauté des « Positives Entreprises », la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne invite les industriels et autres entrepreneurs à se relier au webinaire consacré à l’apport du numérique et de la robotique en entreprise.

Une intervention à multiples entrées qui facilitera la compréhension et le bon usage de ces technologies à travers leurs champs d’application. Mais aussi d’évoquer leur financement.

Le gouvernement a lancé un plan d’action pour accélérer l’adoption des technologies relevant de l’industrie du futur dans les entreprises de la filière industrielle.  

Ainsi, l’apport de robots, cobots, machines de production à commandes numériques, fabrication additive, réalité virtuelle ou augmentée, réseaux de capteurs, logiciels de conception intègrent ce processus de développement visant à renforcer la compétitivité de l’industrie en France et sa capacité à créer de l’activité et des emplois sur le territoire.

 

 

Un plateau de choix pour faire toute la lumière sur ce dossier…

 

Lors de cet échange, coordonné par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et le Club Business Sens, différents dispositifs seront présentés à l’auditoire. Notamment l’aide transformée en subvention à l’investissement, élargie aux ETI, relevée jusqu’à 40 % de subventions de l’investissement hors taxes pour les sociétés impactées par la pandémie et 20 % pour les autres, sur du matériel neuf ou d’occasion.

Parmi les intervenants de ce rendez-vous en virtuel, citons la présence des entreprises de l’Yonne, RB3D et NEED ROBOTICS qui parleront des potentialités offertes par la robotique ; de Gérard VALLET du CETIM qui interviendra sur le programme industrie du futur en Bourgogne Franche-Comté et du tandem de la CCI, Christine JAN et Patrick COTTIN, dont les propos se focaliseront essentiellement sur les aides pour l’industrie du futur.

Les aides de droit commun au niveau régional seront spécifiées en partenariat avec l’Agence Economique de la Région (AER) et la Région Bourgogne Franche-Comté.

 

 

 

 

 


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Quel avenir sera réservé au fameux Pôle environnemental ? Alors que le bâtiment dont les travaux se sont achevés début 2020 était à l’aune de son inauguration au printemps, le doute sur la finalité exacte de ce concept persiste depuis le changement de gouvernance à la municipalité d’Auxerre, et par effet gigogne à la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois. Pour l’un de ses instigateurs, l’écologiste Denis ROYCOURT, l’abandon du projet en l’état représente un réel gâchis. Explications…

AUXERRE: Les supputations les plus insolites s’accélèrent dans le microcosme institutionnel-politique de l’Auxerrois sur l’affectation du fameux Pôle environnemental et de son édifice aux formes si caractéristiques. A quoi ce bâtiment va-t-il être destiné en définitive ?

Ce projet dont les origines datent déjà de 2008, aura pris son temps avant de se matérialiser à nos yeux, douze années plus tard.

Prêt à être inauguré au printemps, ce bâtiment de huit cents mètres carrés flambant neuf brille aujourd’hui par son inactivité chronique. Ce ne fut pas forcément le cas à l’achèvement des travaux à l’hiver dernier.  

Une exposition y avait été installée avec une thématique de choix portant sur le délicat dossier de l’eau potable. Mais, celle-ci s’est très vite évaporée dans les limbes de l’oubli en se conjuguant avec les temps du passé ! Version décomposée !

Jamais inauguré de manière protocolaire, l’édifice à l’abandon ressemble désormais à une spacieuse coquille vide venue s’échouer sur les rives de l’Yonne, laisser là en plan à quelques encablures du parc des expositions dont il devait être un corollaire d’attractivité.

Pourtant, trois entreprises du cru, sélectionnées pour leur appétence au développement durable et à l’économie verte auraient dû s’installer dès que possible dans ce cadre agréable où le bois reste ce matériau noble et prédominant à sa construction. Or, elles n’y sont toujours pas. Et ne le seront jamais, sans doute…

Autre signe de vie tangible qui était prévu pour agrémenter le site : l’accueil de l’équipe ad hoc, garante de sa bonne fonctionnalité. Celle-ci  a été déplacée dans un bâtiment bien trop exigu, accueillant déjà le service développement durable de l’Agglo.

Plusieurs raisons expliquent ce singulier tableau qui n’a rien d’idyllique dans les faits aujourd’hui : la persistance du confinement imputable au coronavirus qui aura paralysé toutes les velléités opérationnelles liées à l’emménagement des trois entreprises dans ces locaux et surtout le changement de gouvernance, survenu au lendemain des échéances municipales, aussi bien à la ville d’Auxerre qu’un peu plus tard à l’Agglo de l’Auxerrois.

 

 

 

Une infrastructure trop coûteuse dans la conjoncture actuelle…

 

Lors d’un récent conseil communautaire, la question du devenir de cette infrastructure fut d’ailleurs abordée par l’un des instigateurs du projet, l’écologiste Denis ROYCOURT. Il interpella le nouveau président de l’Agglo Crescent MARAULT sur cet épineux sujet. En pointant de l’index un hypothétique abandon du projet.

La réponse du maire ne se fit pas prier pour dénoncer le coût prohibitif de ce complexe (rappelons que le bâtiment aura coûté la coquette somme de trois millions d’euros à la communauté) et ses frais de fonctionnement nécessaires pour en assurer le maintien, soit une enveloppe annuelle de 500 000 euros.

 

 

Disant stop de manière ferme à ces coûts budgétaires qui ne sont plus supportables pour la collectivité, surtout en cette période de crise exceptionnelle, Crescent MARAULT renvoya la balle dans le camp de son interlocuteur en précisant, en outre, que les trois start-ups initialement choisies pour s’installer dans les murs du Pôle environnemental ne correspondaient pas à la finalité première du projet : à savoir celui de capter des entreprises extra territoriales.

Dubitatif et insatisfait par les réponses obtenues, Denis ROYCOURT s’interroge aujourd’hui sur les perspectives de ce qu’il qualifie de véritable gâchis.

« Le personnel compétent est totalement démotivé, précise-t-il, y-a-t-il encore un pilote à la direction de la Communauté ? ».

 

Un plan d’occupation mis en place dès le mois de mai 2019…

 

« Avant même de lancer un appel à projets en direction des entreprises vertes pour rejoindre ce pôle, ajoute l’un des chefs de file d’Auxerre Ecologie, ce dernier avait reçu et accepté les candidatures de plusieurs start-ups, soucieuses de s’y installer. C’était le cas d’AK TEAM (bureau d’études en écologie), de PHENIX (entreprise gérant la seconde vie des produits et luttant contre le gaspillage alimentaire), de DIVINE (avec sa filiale de recyclage des collants usagés), d’INGENT (bureau d’études et recherche & développement en géosciences). D’autres frappaient également à la porte, à l’instar de BIO Bourgogne qui souhaitait y ouvrir un espace de huit personnes travaillant sur le développement des circuits courts. Quant à l’association AUX’OLEIL (toits solaires), elle avait fait part de sa volonté de rejoindre le pôle… ».

Et Denis ROYCOURT de rappeler les trois missions fondamentales qui avaient été retenues par le conseil communautaire à l’origine du concept. La première d’entre elles consistait à devenir grâce à cet outil le « haut-parleur » de la politique environnementale de l’Agglo. Notamment dans le domaine de l’eau, de l’air, de l’énergie, des déchets et des mobilités.

Le Pôle s’inscrivait comme un lieu d’accueil privilégié d’exposition et d’expérimentations présentant des campagnes d’informations et de sensibilisation destinés aux scolaires mais aussi aux citoyens, aux collectivités et aux acteurs de l’économie.

 

 

 

La seconde mission du Pôle reposait sur la constitution d’un réseau fédérant les acteurs de l’Auxerrois positionnés sur le développement durable et l’économie verte. Un comité de suivi avait déjà été créé pour en assurer les aspects opérationnels.

La troisième orientation du site se rapportait à l’innovation et à l’aide apportée au développement de l’économie verte.

L’accueil d’un incubateur de projets verts visait à faciliter l’émergence d’activités novatrices en provoquant l’installation d’entreprises qui auraient par la suite rejoint la zone d’activités Aux-R-Parc.

Parmi les secteurs qu’il convenait de retenir : l’alimentation durable, les énergies renouvelables, la gestion des déchets, les transports, le bâtiment ou encore l’écologie industrielle.

Le Pôle environnemental qui sommeille dorénavant dans une profonde léthargie avait acquis une véritable notoriété au plan de l’Hexagone. En obtenant trois distinctions : le TEPC (Territoire à énergie positive pour la croissance verte), le GPATIC (Grand prix d’aménagement en territoire inondable constructible) et le Prix de la sélection FIMBACTE.

Autant de reconnaissances qui n’avaient rien d’honorifiques puisqu’elles avaient permis d’apporter de précieuses subventions à sa réalisation !

De précieux subsides dont il faudra peut-être un jour rembourser au centime près à ses donateurs si le projet initial devient définitivement obsolète ?

Thierry BRET

 

 


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Malgré le contexte inédit qui ont vu s’annuler les unes après les autres les manifestations déclinables autour des fêtes de fin d’année, la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de notre territoire a concocté un référent virtuel afin de soutenir les entrepreneurs. Une vitrine de Noël numérique qui identifie les artisans se prêtant à cette judicieuse initiative…

AUXERRE : Marchés de Noël, salons, foires…la liste des évènementiels qui sont passés par la trappe des pertes et profits ne cesse de s’allonger chaque jour depuis le retour du confinement.

Or, les fêtes de fin d’année se profilent à l’horizon, sources de chiffre d’affaires pour les artisans et commerçants.

Face à cette situation inéluctable, la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté a décidé de proposer une visibilité supplémentaire aux entreprises afin de booster le flux d’internautes sur leurs sites marchands.

Trois webinaires ont permis de réunir virtuellement 250 professionnels dont une centaine s’est déjà positionnée en faveur de ce projet.

 

 

Concrètement, la vitrine virtuelle de Noël prend la forme d’une carte interactive et d’un annuaire où sont répertoriés les artisans de la région, préalablement préinscrits.

Seule condition d’accès à cette vitrine : les professionnels doivent obligatoirement être immatriculés au répertoire des métiers de la région BFC. Et s’engager à vendre des travaux de leur fabrication réalisés selon les techniques et savoir-faire du métier.

A ce jour, on dénombre parmi les produits proposés des objets de décoration, de la maroquinerie, des vêtements et accessoires, des gourmandises locales…

Les artisans peuvent s’inscrire directement sur cet outil, baptisé ARTIZONE, depuis le site suivant : www.artizone-bfc.fr

 

 


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Le futur siège social de l’établissement bancaire régional au Parc Valmy se veut unique en France. De par sa structure constructive qui privilégie la savante alliance très esthétique entre le béton et le bois. Livré fin 2021, l’édifice accueillera les collaborateurs au terme du premier semestre de l’année suivante. Une vraie prouesse technique que l’on doit à la quarantaine d’entreprises du cru intervenant sur ce projet…

DIJON (Côte d’Or): Modernisation et ergonomie, les maîtres mots de ce chantier débuté il y a plusieurs mois occupent les esprits des nombreux artisans retenus sur ce projet d’envergure.

Immanquablement, le futur siège social de la Caisse d’Epargne de Bourgogne-Franche-Comté va faire peau neuve dans l’un des quartiers de la capitale des ducs les plus attractifs : le Parc Valmy.

Grâce à sa carapace protectrice et rassurante, faite de béton et de bois telle qu’elle a été imaginée par les malicieux créatifs de l’agence francilienne GRAAM Architecture.

L’achèvement de la première phase de cette œuvre singulière l’atteste : la structure bois crée l’originalité de ce bâtiment de six étages qui aura pour vocation de regrouper in fine l’ensemble des collaborateurs du groupe bancaire répartis jusque-là sur plusieurs sites administratifs.

Le 12 novembre dernier, le président du directoire Jean-Pierre DERAMECOURT et le président du Conseil d’Orientation et de Surveillance (COS) Eric FOUGERE ont pu constater de visu les faits aux côtés de François REBSAMEN, édile de Dijon : le premier chapitre menant à l’édification définitive de ce nouveau siège social se clôturait. De manière plutôt brillante au vu du résultat !

Dès lors, les habillages intérieurs et l’aménagement des espaces bureaux, tels qu’ils ont été suggérés à la suite de l’implication des collaborateurs concertés à ce sujet, peuvent commencer. L’objectif étant d’accueillir les futurs occupants des lieux, quatre cents collaborateurs, avant l’été 2022.

 

 

Un projet qui s’inscrit dans les valeurs de la RSE…

 

D’une surface de 9 500 mètres carrés, long de soixante-dix mètres et haut de vingt-deux mètres, la construction en impose. Sa finalité est de faciliter le travail collaboratif et la transversalité des services en favorisant l’adaptabilité des organisations propres à l’établissement.

Passif, l’édifice qui a été érigé dans le respect des valeurs de la RSE (responsabilité sociétale des entreprises) dont la CEB BFC se fait le porte-étendard, ne consommera pas plus de 40 kwh par mètre carré et par an. Mais, l’audace de ses concepteurs réside en l’utilisation harmonieuse du bois qui offre des avantages thermiques et énergétiques appréciables.

 

 

 

Sise sur une dalle de béton (il en aura fallu 3 032 mètres cubes), la structure bois et son exosquelette sont visibles sur l’ensemble du bâtiment selon un processus constructif à colombages. Une enveloppe de verre agrafé assure un confort thermique et protège la matière noble qui trouve de plus en plus sa place en milieu urbain grâce à un effet « double peau ». Le résultat est saisissant. D’autant que l’usage du bois, 2 500 mètres cubes utilisés, permet de générer le stockage de 2 500 tonnes de CO2.

Un projet mûrement réfléchi qui offre l’opportunité à la banque régionale de participer au dynamisme du territoire en valorisant les filières d’activité développement durable comme le bois.

Piloté par FORESTARIUS en tant qu’entreprise générale, le projet s’est également appuyé sur les compétences pour la maîtrise d’ouvrage du promoteur LCDP, la SEM ainsi que de trente-neuf entreprises régionales pour la plupart reconnues pour leur savoir-faire.

Thierry BRET

 


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