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Quand le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne décide de passer à l’action, ce n’est pas dans la demi-mesure ! La preuve nous en a été donnée au terme d’une séance de travail importante survenue il y a quelques jours. Une enveloppe de 3,5 millions d’euros a été votée par les membres de l’organisme pour encourager les communes à effectuer des travaux en faveur des économies d’énergie sur leurs bâtiments.

MIGENNES : Adopté le 10 juin, le plan de soutien énergétique aux communes de l’Yonne prend racine autour de quatre souches essentielles : le doublement des aides actuelles, la bonification des études, la mobilité électrique et le champ sanitaire.

Ambitieuse, la démarche s’appuie sur une stratégie de conquête qui n’a pour seul et unique objectif que de réduire la facture énergétique des 409 localités icaunaises bénéficiaires sur les 420 existantes.

Or, le nerf de la guerre demeurant toujours l’argent pour en assurer sa pleine réussite, ce plan de pure relance économique profite d’une manne providentielle de 3,5 millions d’euros. Un subside important ayant été validé par le conseil d’administration du SDEY.

Cette bulle d’oxygène salvatrice permet aux élus des collectivités locales de poursuivre leurs travaux à l’arrêt depuis plusieurs semaines du fait de la présence du coronavirus. Voire d’en démarrer certains qui demeuraient toujours en stand-by.

Immanquablement, ce qui est bon pour les collectivités l’est implicitement pour les entreprises des travaux publics, qui restent en selle pour assumer leur rôle sur les chantiers.

 

 

Le vote unanime du Conseil d’administration…     

 

La décision soumise à un scrutin n’a été qu’une simple formalité pour le président du puissant syndicat, Jean-Noël LOURY. L’unanimité faisant foi au moment du verdict de ce vote.

Un tiers des membres du CA sur quarante-huit personnes assistait par ailleurs à ce rendez-vous présentiel organisé dans les locaux du SDEY à Migennes, le premier depuis des lustres. Les absents suivaient en direct la tenue de ces échanges constructifs grâce aux moyens technologiques usuels.

 

 

Le dispositif arrêté ce 10 juin court en définitive jusqu’au 31 décembre…2021. Une orientation facilitatrice pour les édiles qui auront le temps de préparer convenablement leurs dossiers. Ces derniers ont reçu depuis le courrier explicatif leur permettant de recevoir ces aides.

 

Le volet sanitaire pas oublié par ces aides…

 

Le plan, à proprement parlé, prévoit le doublement des aides actuelles. Celles-ci se rapportent à la rénovation et à la construction de bâtiments publics. Mais également à l’installation de panneaux solaires photovoltaïques ainsi que du solaire thermique. Le développement du bois énergie (chaufferie bois, réseau de chaleur) y est intégré.

Outre la bonification des études (toujours importantes en amont pour connaître la faisabilité exacte de ces projets et leurs réalisations), le plan favorise l’essor de la mobilité électrique, l’un des leitmotivs préférés du président LOURY.

Sachant que l’aide à l’achat ou à la location de véhicules électriques passe de 2 700 euros à 3 000 euros.

Enfin, compte tenu du contexte, le volet sanitaire n’aura pas été occulté de ce soutien : le SDEY a fourni du matériel d’hygiène pour lutter contre la propagation du virus aux communes qui versent leur taxe communale sur la consommation finale d’électricité (TCCFE).

 

 

Soit un package qui comprenait vingt-cinq masques en tissu pour chaque mairie, deux bornes de gel hydro-alcoolique (une pour la municipalité, l’autre destinée à équiper les écoles publiques) et un thermomètre.

Avec l’ensemble de ces dispositifs, le SDEY endosse la houppelande du Père Noël bien avant l’heure en acteur de l’économie qu’il est devenu au fil des ans.

Dans un seul intérêt : celui d’être un accélérateur de projets qui agit en faveur de l’attractivité territoriale…et des entreprises.

 

 

 


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Plutôt studieuse que farniente la future période estivale des enfants et adolescents cette année ! Ainsi en a décidé le ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse Jean-Michel BLANQUER qui dévoilait ce samedi matin à Paris aux côtés de Julien DENORMANDIE et de Gabriel ATTAL les diverses facettes du programme « Vacances apprenantes » dont les quartiers sensibles seront prioritaires…

PARIS : C’est dans les salons du ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse, rue de Grenelle, qu’a eu lieu ce samedi matin la présentation du copieux programme dont sera bénéficiaire un million d’enfants et d’adolescents cet été. Un processus validé par le gouvernement pour lutter avec efficience contre le décrochage scolaire qui est lié à la longue période de confinement.  

Le concept baptisé « Vacances apprenantes », de quoi réjouir les frimousses joyeuses des têtes blondes qui n’en demandaient pas tant depuis leur retour en classe (!), bénéficiera d’une enveloppe budgétaire de deux cents millions d’euros.

Le dispositif, gratuit, sera toutefois réservé aux plus modestes des familles. Et en particulier, à celles et ceux de ces enfants qui vivent dans les quartiers dits « sensibles ». Bon nombre de ces gosses n’ont pas emprunté le chemin de l’école depuis le 15 mars dernier, date du début du confinement.

Le ministre de l’Education nationale a ensuite détaillé son plan lors d’une conférence de presse, autour d’une stratégie qui s’articule selon les principes vertueux de vacances épanouissantes et éducatives.

En terme clair, il s’agira pour les participants à ce dispositif de joindre l’utile à l’agréable, c’est-à-dire s’amuser et profiter des joies inhérentes aux congés d’été sans omettre de remettre la blouse le temps d’une séance pédagogique instruit de manière officielle.

Le gouvernement table sur la pratique des colonies de vacances, des écoles ouvertes et autres centres aérés pour que la jeunesse rattrape les manques intellectuels perdus durant près d’un trimestre. 250 000 départs en colonies seront ainsi financés par l’Etat dont deux cents mille seront réservés aux enfants des familles les plus modestes.

Toutefois, il a été précisé que les « enfants ayant décroché de l’enseignement à distance faute d’équipement numérique » seraient également prioritaires pour suivre ces camps de vacances éducatifs.

Les centres aérés à vocation pédagogique devraient accueillir 300 000 enfants. Le développement de jeux à orientation éducative y serait favorisé dans le cadre de la remobilisation scolaire.

 

 

2 500 écoles, collèges et lycées pourraient ouvrir cet été…

 

Quant à l’ouverture des établissements scolaires cet été, elle n’est pas exclue. Jean-Michel BLANQUER souhaite mobiliser près de 2 500 écoles, collèges et lycées dans les villes et les territoires ruraux.

On sait également que des activités de soutien scolaire, des cours d’éducation physique et des actions culturelles compléteront le dispositif pour 400 000 élèves.

Enfin, pour être tout à fait complet sur ce dossier, il faut savoir que 50 000 jeunes âgés de moins de 17 ans pratiqueront l’école ouverte buissonnière cet été. Soit à la campagne, soit sur le littoral. Histoire de se familiariser avec la nature et la découverte du patrimoine local.

Une aide ponctuelle exceptionnelle de trente millions d’euros sera attribuée par l’Etat aux collectivités territoriales qui désirent financer ce dispositif. Sachant que douze millions d’élèves sont scolarisés en France.

Reste le principal levier à ce plan pour qu’il fonctionne correctement : le nombre suffisant d’enseignants mobilisés sur la base du volontariat.

Idéalement, le gouvernement aimerait s’appuyer sur la présence physique de 25 000 professionnels pour que les 400 000 scolaires qui suivront le programme en école ouverte le fassent dans de bonnes conditions. Soit cinq fois plus qu’actuellement en période scolaire.

Mais, le SNES-FSU, syndicat  national des enseignants du second degré, a déjà fait savoir qu’il n’était pas du tout convaincu par la pertinence de ce programme « vacances apprenantes ». Logique, il a le malheur de tomber en pleine période estivale !

 


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Astucieux prétexte que celui du calendrier julien qui place la fête des mères et celle des pères en cette période printanière de la saison. C’est en ces instants de félicité familiale qu’a choisi le Meilleur ouvrier de France (MOF) des charcutiers-traiteurs 2011 pour se rappeler à notre bon souvenir. Et à celui, surtout, des épicuriens et autres gourmets qui empruntent son sillage depuis ses débuts. Un come-back culinaire plein de succulence et de savoir-faire…

CHEMILLY-SUR-YONNE : Le concept s’apparente presque à un nouveau défi gourmand. Tant le garçon possède l’audace nécessaire pour y parvenir et sait se subjuguer pour donner le meilleur de lui-même jusqu’au fond de l’assiette.

Concevoir une nouvelle ligne de produits autour de spécialités gastronomiques conditionnées en gamme de bocaux stérilisés requiert de l’appétence dans la maîtrise du moindre geste technique effectué.

Un tour de main que possède le coordonnateur et enseignant de la célèbre Ecole hôtelière de Lausanne (Suisse) qui n’en a pas oublié pour autant les préceptes d’Escoffier.   

Il suffira pour s’en convaincre de déguster quelques-unes de ces recettes intégrant sa nouvelle ligne de produits baptisée « Charcuterie Fine ».

Des saveurs délicates dont on peut se sustenter dès l’entrée, sous la forme de terrines, mousses et autres recettes à tartiner. Mais aussi, de plats cuisinés devant faire le bonheur des férus de bonne chère.

 

 

L’eau vient à la bouche à la simple lecture de la carte qui dévoile les atouts de cette collection savoureuse : blanquette de veau aux graines de moutarde, cuisses de canard confites à la sarriette, confit de joue de bœuf à la bourguignonne ou encore le poulet de la maison MIERAL à la chablisienne. Pour cette dernière recette, Fabien PAIRON s’est rapproché du fameux producteur de volailles de Bresse pour en garantir toute la qualité.

D’ailleurs, l’artisan le précise : « Toutes ces créations ont été réalisées sans additifs, ni conservateurs et autres colorants ajoutés. Elles ont été stérilisées donc elles sont à conserver à température ambiante… ».

Pour l’anecdote, cette gamme de recettes en bocaux est en cours de certification auprès des services du Collège Culinaire de France. Mais, les récents évènements liés à la présence sur notre territoire du coronavirus ont quelque peu retardé les démarches.

 

 

Des produits élaborés et distribués par Le BORVO…

 

Le projet a été élaboré avec l’étroite complicité de Daniel RAYMOND et de son fils, Benjamin. Une figure emblématique de l’artisanat et des arts de vivre à la sauce de l’Yonne que l’on ne présente plus. Ensemble, ils ont développé cette gamme de recettes en bocaux qui sont distribués par la société de CHEMILLY.

« En fait pour la petite histoire, précise Fabien, j’aime bien cette maison icaunaise « Le BORVO », avec qui je partage mes racines. Aussi, je souhaitai apporter mon soutien à cette structure via cette action pour lui donner aussi un joli coup de projecteur en cette période complexe pour les artisans, les restaurateurs, les hôteliers… ».

 

 

 

On l’aura compris : il y aussi derrière ce geste beaucoup d’altruisme et de générosité de la part du Meilleur ouvrier de France originaire de Villeneuve-sur-Yonne qui aura conçu ce projet dans le pur jus du bénévolat !

« Vous savez, ajoute-t-il en souriant, je me fie le plus possible à une maxime quand je réalise de nouveaux projets : « On peut sortir un bourguignon hors de la Bourgogne mais on ne peut pas sortir la Bourgogne d’un bourguignon ! ».

Une formule joliment dite qui démontre l’autre facette intime de ce personnage au cœur gros comme ça !

En savoir plus :

Commandes possibles de cette gamme de produits sur la boutique en ligne : www.boutique.leborvo.fr

 

 


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Même si les professionnels de l’immobilier du département nord-bourguignon ont en règle générale plutôt bien négocié l’épineux épisode de la crise sanitaire en réalisant quelques transactions, le grand rush tant annoncé d’une migration massive des Franciliens et Parisiens vers notre territoire est loin d’être à l’ordre du jour dans les faits. Surtout sur le marché de la résidence principale quand on est un primo-accédant…

SENS : Une clientèle de l’Ile-de-France désireuse de s’installer définitivement dans l’Yonne, pourquoi pas ? Mais, au-delà de réelles touches velléitaires se rapportant à l’attrait conféré par les résidences secondaires pour vivre une villégiature tranquille loin des nuisances de la capitale, on n’en constate pas vraiment les effets concrets depuis la sortie de crise.

Certes, il existe bien quelques acquéreurs originaires de la capitale de l’Hexagone ou de sa proche banlieue à vouloir tenter l’expérience de l’achat en province. Mais de l’avis du président régional de la FNAIM Ile-de-France, Guy BRUGGEMAN, cela reste toutefois très marginal dans les faits.

Le coût prohibitif du foncier appliqué en Ile-de-France est pourtant la première motivation de ces personnes qui pensent que l’herbe est plus verte ailleurs que dans leur région d’origine.

« On assiste plutôt à des achats pulsionnels, précise l’ancien président de la FNAIM de l’Yonne, mais ce n’est pas directement imputable à la sortie du confinement. D’ailleurs, une question se pose : cela va-t-il durer longtemps ? ».

Sans doute les professionnels ont-ils été contactés un peu plus que d’ordinaire par les Franciliens en manque de verdure champêtre ces dernières semaines. Mais, les biens ciblés figuraient le plus souvent parmi ceux de la catégorie des petits prix.

Toutefois, avec le resserrement bancaire tel qu’il est observé depuis plusieurs mois par Guy BRUGGEMAN, beaucoup de ces demandes ne dépasseront pas le stade du refus net et définitif par les établissements bancaires, faute de l’obtention de la ligne de crédit nécessaire.

« Il faut encore patienter jusqu’à la rentrée avec peut-être les effets réels de la sortie de crise pour obtenir un aperçu exact du marché, confie le professionnel, et connaître la vraie politique mise en œuvre en matière de logement par le gouvernement à l’automne… ».

 

 

Le télétravail n’est pas un argument suffisamment crédible…

 

Plusieurs interrogations subsistent. Quid du devenir du prêt à taux zéro ou des garanties accordées par l’Etat pour rassurer les banques en matière d’emprunts ?

Pour l’heure, le marché de l’immobilier navigue un peu à vue, balloté par de nombreuses incertitudes liées à la conjoncture économique.

« Nous avons aussi observé que des acheteurs payaient comptant l’acquisition de leur terrain sans qu’il y ait un projet constructif à mettre dessus… ».

Quant aux vendeurs, ils sont plutôt dubitatifs.

Certains éprouvent de la crainte à mettre leur bien en vente. D’autres hypothèquent sur une poussée haussière du marché qui ne vient toujours pas. D’autres, enfin, hésitent même à vendre leur logement !

Le spectre d’une noria d’investisseurs franciliens se précipitant dans l’Yonne pour acquérir leur résidence principale est donc illusoire. On est loin des années 1990 où 90 % de la clientèle des agents immobiliers du Sénonais provenaient de la région limitrophe.

D’autant que les Franciliens exècrent même l’idée de se déplacer en transport en commun pour continuer à se rendre sur leur lieu de travail à Paris, après les derniers évènements et les mesures sécuritaires qui leur sont imposées.

Quant à l’argument miraculeux du télétravail, il n’est pas crédible aux yeux de Guy BRUGGEMAN : « Ce sont des fantasmes de certains vendeurs pour se rassurer. Si nous touchions seulement de 5 à 10 % de ces personnes qui ont opté pour cette nouvelle forme de travail, ce serait déjà exceptionnel… ».

Si regain d’intérêt il y a pour notre territoire, c’est plutôt du côté des résidences secondaires qu’il faudrait le chercher. L’archétype même du bien idéal, la maison agrémentée de son jardin, fait nourrir quelques espérances auprès des professionnels, notamment ceux qui évoluent au sud de Villeneuve-sur-Yonne, dans l’Auxerrois, le Vézelien et l’Avallonnais.

Un état des lieux avéré depuis la saison dernière selon le président départemental de la Fédération des professionnels de l’immobilier de l'Yonne, Stephan SIMPSON, qui s’est concrétisé avec l’émergence de nouvelles ventes.

 

 


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Magistral coup de théâtre à Auxerre comme savent si bien les écrire les scénaristes des dramaturgies en plusieurs actes ! Alors que les suiveurs de la sphère politique envisageaient déjà le possible rapprochement entre les deux listes écologistes de la place avant le second round de ces interminables municipales (le 28 juin), le coup de grâce venant tirer un trait définitif à cette hypothétique union est venue de…Maud NAVARRE, elle-même. Elle a accepté la main tendue du maire sortant Guy FEREZ pour constituer un ticket orienté résolument transition écologique…

AUXERRE : C’est incontestablement l’information qui fera date au terme de cette journée ensoleillée dans l’Auxerrois.

Un coup de semonce, sans doute, pour celles et ceux des suiveurs du landerneau écologiste qui espéraient un rapprochement imminent entre les deux listes encore qualifiées pour le second round des municipales, prévues le 28 juin. Il n’en sera rien in fine. Dont acte.

L’émergence de ce nouveau projet incarné par ce duo pour le moins inattendu mais connu de l’échiquier politique local place la transition écologique au cœur des grandes priorités de demain.

D’ailleurs, que l’on ne se méprenne pas sur les intentions de ce ticket paritaire qui conduira désormais le projet durant la campagne.

Jusqu’à l’appellation de ladite liste, « L’assurance d’une transition sereine », tous les voyants s’inscrivent donc au vert, si les suffrages des électeurs leur sont accordés au soir du 28 juin pour que les deux chefs de file de ce projet environnemental à la puissance dix permettent à la première ville de l’Yonne d’assumer pleinement son virage à 180° en faveur du développement durable et de l’économie circulaire. Un projet qui repose sur des déclinaisons pragmatiques mûrement réfléchies selon leurs auteurs.

Nous y reviendrons plus largement dans une prochaine publication ce samedi afin de les détailler…


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