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« Dieu merci, heureusement qu’il existe les fondations pour soutenir financièrement les structures associatives de l’insertion… ». Président de SITAPHY, entreprise d’aide au retour à l’emploi des travailleurs handicapés et chômeurs de longue durée implantée à Auxerre, Serge CHOPINET ne tarit pas d’éloges sur le rôle de ces entités aux actions bienveillantes. La Fondation VINCI vient de lui en apporter une nouvelle fois la preuve en concourant aux travaux de réhabilitation du site…

 

AUXERRE : Les salariés de l’atelier de fabrication de jouets en bois aux inspirations historiques pourront remercier longtemps l’initiative prise par la Fondation VINCI. Exit leur ancien système d’aspiration de poussières boisées voletant dans leur espace de travail qui était devenu obsolète, voire à la limite de la vétusté, bienvenu au nouvel appareillage qui leur garantit désormais une qualité optimale de circulation de l’air, débarrassé enfin de ses scories !

Grâce à l’investissement conséquent assuré par la fondation nationale de ce poids lourd de la construction et de l’énergie, la petite vingtaine de personnes s’affairant au quotidien au sein de l’unité de production de la structure auxerroise respireront mieux. Un confort de vie très appréciable de tous, y compris des deux responsables de l’entreprise associative, Serge CHOPINET, président et le nouveau directeur aux manettes de ce spécialiste de la conception du jouet en bois, Philippe JAYET.

C’est ce dernier, précisément, qui avait pris attache avec le siège national de la fondation à Paris il y a quelques semaines de cela en adressant un dossier complet en explicitant ses besoins.

Le changement de ce système d’aspiration vétuste, soit un investissement global de plus de 9 000 euros que VINCI par le prisme de son organe d’intervention auprès des acteurs de l’économie sociale et solidaire (ESS) prendra à son compte 80 % du montant des travaux.

 

 

Déjà par le passé, SITAPHY avait profité des subsides généreux de la Fondation VINCI…

 

Une aubaine ou un cadeau de Noël selon les cas pour Serge CHOPINET qui rappelle que SITAPHY avait déjà par le passé eu recours aux aides si précieuses de la Fondation VINCI, voire d’autres partenaires à l’instar de la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté afin d’améliorer l’outil de travail auxerrois, considéré comme une voie royale pour un retour à la vie active pour ces travailleurs handicapés ou demandeurs d’emploi de longue durée qui le fréquente journellement.

Représentant local de la Fondation VINCI, Joël MARROU s’est rendu au siège social de la structure où il a pris soin d’apposer son paraphe au bas d’un document officialisant cet engagement partenarial entre les deux structures. C’est la première fois que ce jeune homme, exerçant son savoir-faire professionnel au sein d’une filiale du groupe VINCI dans l’Yonne – les Sablières de Gurgy –, parraine une association issue de l’économie sociale et solidaire.

Un parrainage qui ne se limite pas seulement à financer les travaux de rénovation du bâtiment de SITAPHY, par ailleurs.  Joël MARROU s’est engagé à apporter aussi conseils et préconisations aux salariés de l’association dans leur quête à se réinsérer vers l’emploi au terme de leur vingt-quatre mois de présence sur le site d’Auxerre. Qui sait, peut-être de favoriser l’employabilité de quelques-uns d’entre eux à l’issue ?

 

Thierry BRET

 

 


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Il est très inquiet, Arnaud DELESTRE, le président de la Chambre départementale d’Agriculture. Le nombre de vétérinaires exerçant dans les campagnes est en chute libre depuis plusieurs années, à l’instar des médecins généralistes ou des spécialistes devant soigner les pathologies humaines. Un dossier, élaboré avec le concours de deux EPCI de l’Yonne et trois de la Nièvre, fait observer la prégnance de cette pénurie sanitaire, source d’inquiétude de la part des éleveurs…

 

AUXERRE : Il y a du nouveau dans les tendances professionnelles qui régissent la corporation des vétérinaires dans le pays. On observe depuis un moment déjà le glissement progressif des praticiens ruraux – c’est-à-dire celles et ceux de ces spécialistes qui soignaient jusqu’alors les gros animaux de nos campagnes – vers les soins à prodiguer aux animaux résolument domestiques, soit les chiens et les chats. Ou tout autre animal de compagnie !

Un changement radical qui occasionne une désertification de la filière dans les zones rurales, au grand dam des éleveurs qui ne savent plus vers quels saints se vouer pour soigner leur cheptel.

Un sujet d’inquiétude, aussi pour les représentants consulaires de la filière agricole de notre territoire, à commencer par Arnaud DELESTRE, président de la Chambre départementale.

Lors de ses vœux à la presse – un exercice que le chef de file de l’organisme affectionne à pareille époque tous les ans -, Arnaud DELESTRE a abordé ce thème parmi un florilège de sujets d’actualité, surtout après l’action engagée par deux EPCI de l’Yonne (les communautés de communes de Puisaye-Forterre et du Jovinien) et trois de la Nièvre afin de trouver des solutions pérennes à l’avenir.

 

Un dossier qui comporte de nombreuses comparaisons avec celui des généralistes...

 

Un dossier que l’on imagine copieux quant à ses arguments explicatifs a été porté par la chambre icaunaise et les cinq communautés de communes de la Nièvre et de l’Yonne au niveau national, avec le concours d’une dizaine de territoires hexagonaux. Une opération qui devait être réalisée également en concertation étroite  avec les deux Conseils départementaux de ces territoires et l’Ordre des vétérinaires. Un travail de recoupements qualifié d’intéressant par le responsable de l’organisme consulaire. Avec en toile de fond, le nœud gordien qui est abordé dans cette analyse fine : l’attraction de nouveaux professionnels sur ces territoires aujourd’hui délaissés.

« Nous nous sommes aperçus que ce dossier vétérinaire possède de nombreuses similitudes avec le phénomène d’attirance des médecins dans ces territoires, confie Arnaud DELESTRE, avec une multitude de questions à la clé sur l’accueil des internes vétérinaires ou les moyens de les loger… ».

Il existe quatre écoles vétérinaires en France dont deux sont aux portes de la Bourgogne Franche-Comté. Celle de Lyon, peut-être un peu plus distante de l’Yonne septentrionale. Et celle de Maisons-Alfort que les Icaunais connaissent bien, puisqu’une de ses filiales occupaient des locaux à Champignelles pendant de longues années.

 

Il manque a minima une vingtaine de vétérinaires ruraux dans l’Yonne…

 

Un vrai sujet où l’attractivité du territoire résonne haut et fort dans les propos, d’où un rapprochement légitime avec les services du Département dont c’est précisément l’une des missions régaliennes.

On estime à une vingtaine le nombre de vétérinaires ruraux qui font à l’heure actuelle défaut à notre territoire, beaucoup trop en substance pour aider les besoins des trois mille agriculteurs de l’Yonne, même si tous ne sont pas éleveurs. Même s’il existe des incitations financières peu connues auprès des jeunes internes, d’une rare complexité parfois pour les obtenir.

Proposer une offre d’accueil favorable aux jeunes professionnels – il se forme près de 700 vétérinaires ruraux en France chaque année ce qui est encore trop peu – est l’idée de ce travail collectif porté par la Chambre départementale d’Agriculture et les collectivités.

Il faut faire vite car il y a urgence dans les campagnes. Faute de soins et de vaccins, les bêtes ne peuvent être commercialisées à l’export ; certaines meurent lorsqu’elles mettent bas dans de pitoyables circonstances au fond de leurs étables sans aides sanitaires.

 

Thierry BRET

 


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La mesure figurait au programme de campagne du candidat MACRON lors de la dernière présidentielle. Le versement du RSA (Revenu de Solidarité Active) applicable désormais sous certaines conditions. Notamment une contrepartie de quinze à vingt heures d’activité professionnelle hebdomadaire et l’assurance d’un accompagnement plus ciblé pour ses bénéficiaires. A l’instar de 19 territoires (18 départements et Mayotte), l’Yonne, retenu par l’Etat, testera ce chantier expérimental ces douze prochains mois…

 

AUXERRE : Une fois n’est pas coutume, le territoire de l’Yonne figure au premier plan d’un test expérimental de grande envergure à l’échelle de l’Hexagone, en étant sélectionné par l’Etat. Comme la Côte d’Or et le Loiret, limitrophes. Et dix-huit autres départements de la métropole, auquel il faut ajouter pour les DOM-TOM, Mayotte.

Objectif de cette sélection inhabituelle : expérimenter le nouveau dispositif s’inscrivant dans le cadre du chantier de France Travail, soit la nouvelle dimension conférée au Revenu de Solidarité Active, le fameux RSA.

Cette année, dix-neuf territoires ont donc été choisis pour tenter une expérience unique en son genre qui ne fait visiblement pas que des heureux et des convaincus auprès des représentants de l’opposition (La France Insoumise), voire de certains syndicats et associations telle ATD Quart-Monde.

 

L’Yonne dans la liste des 19 territoires sélectionnés par l’Etat…

 

Il est vrai que le dispositif repose sur l’association du versement de ce revenu minima à un certain nombre de contreparties pour les allocataires, à savoir l’obligation de travailler de quinze à vingt heures par semaine au profit d’une entreprise ou d’une collectivité ; tout en bénéficiant de parcours d’accompagnement visant à renforcer l’insertion desdits bénéficiaires du RSA dans la vie active.

Promesse de campagne d’Emmanuel MACRON, cette mesure et son volet applicatif ont été confiés au haut-commissaire à l’emploi et à l’engagement des entreprises, Thibaut GUILLUY. Ce dernier avait d’ailleurs rendu visite à notre territoire à Saint-Florentin en octobre dernier pour y rencontrer les acteurs institutionnels de l’emploi et de la formation, dont ceux de Pôle Emploi.

Est-ce pour cela que l’Yonne – 43 conseils départementaux avaient au préalable fait acte de candidature avant la date limite du 21 octobre 2022 - a été retenue en figurant dans les petits papiers de ce haut serviteur de l’Etat ? Possible ! En tout cas, c’est le ministre du Travail, du Plein Emploi et de l’Insertion, lui-même, Olivier DUSSOPT qui dévoilera à la mi-décembre – le 13 précisément ce qui est donc un porte-bonheur pour notre territoire ! – la liste de ces départements retenus pour tester durant une année ce RSA à la configuration nouvelle. Banco, l’Yonne y figurait bel et bien !

 

 

Priorité au recul du nombre d’allocataires du RSA et de leur retour vers l’emploi…

 

Dans le concret, la gouvernance de ce dispositif expérimental – il pourrait s’élargir à l’ensemble de l’Hexagone après coup – sera assurée par le président du conseil départemental et le préfet du département concerné. Quant au pilotage opérationnel de ce chantier, il a été confié au binôme Département/Pôle Emploi.

Les moyens en matière d’accompagnement social et professionnel vont être renforcés avec la mobilisation des employeurs du privé et du public. Via des périodes d’immersion en entreprises, de préparations à l’emploi mais aussi d’opérations spécifiques de recrutement.

Président du Conseil départemental de l’Yonne, Patrick GENDRAUD se dit très satisfait que « l’Yonne ait été choisi parmi les territoires français retenus pour expérimenter cette approche innovante ».

Il devait rappeler par ailleurs que « notre territoire allait s’engager avec détermination et énergie sur la mise en place de ce dispositif ; le recul du nombre de bénéficiaires du RSA constituant un objectif prioritaire à ses yeux… ».

Aujourd’hui, 7 381 foyers de l’Yonne perçoivent le RSA. Le Conseil départemental souhaite préserver les plus fragiles d’où un redoublement d’efforts de la part de l’exécutif territorial.

Grâce à cette phase expérimentale, l’organe institutionnel icaunais va surtout permettre à chacun des allocataires de pouvoir bénéficier d’un diagnostic précis et d’avoir une activité sous une forme adaptée à ses capacités. Sacré challenge en perspective pour répondre aux besoins d’un tissu économique qui est toujours en quête régulière d’une main d’œuvre…

 

Thierry BRET

 

 

 


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L’exercice n’est pas aussi anodin qu’il n’y paraît. D’autant que pour l’interlocuteur principal de cette cérémonie des vœux, il y aura forcément l’ombre de son prédécesseur qui planera avec insistance au-dessus des têtes du public. Celui de la population sénonaise et de ses diverses composantes qui en constituent le socle, soit des acteurs de la vie institutionnelle, politique, économique, associative et citoyenne, réunis ce samedi 07 janvier...

 

SENS : Plus que jamais, la solennité sera de mise lors de la cérémonie protocolaire des vœux concoctée par la Ville de Sens. Une manifestation traditionnelle qui dans un récent passé a été considérablement perturbée par la crise sanitaire et ses délicates périodes de confinements depuis 2020.

Une célébration qui permet en règle générale à l’édile de la capitale septentrionale de l’Yonne de brosser bilans et perspectives, tout en souhaitant le meilleur aux habitants de la place.

Un exercice de style dans lequel excellait Marie-Louise FORT. Trop tôt disparue, à l’automne dernier, la regrettée personnalité de la vie publique icaunaise sera pourtant dans toutes les mémoires au moment où Paul-Antoine de CARVILLE, son successeur, prendra la parole, samedi peu avant midi dans les grands salons de l’hôtel de ville.

 

 

Cette cérémonie sera la première adresse à l’ensemble de la population sénonaise de la part du jeune élu de Sens, investi dans ses nouvelles responsabilités depuis le 07 octobre dernier.

C’est certain, l’ombre de Marie-Louise FORT sera bien présente dans l’immense pièce aux richesses décoratives murales. Qui pourrait l’oublier par ailleurs ?   

Paul-Antoine de CARVILLE profitera également de ce temps de parole public pour évoquer les actions qu’il souhaite décliner avec l’ensemble de l’équipe municipale durant l’année 2023. Histoire de bien nous rappeler que malgré tous les aléas de l’existence, la vie reprend ses droits et doit se poursuivre inlassablement…

 

En savoir plus :

Cérémonie des voeux de la Ville de Sens

Samedi 07 janvier à 11 heures dans les grands salons de l'hôtel de ville.

 

Thierry BRET

 


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Accompagner les établissements scolaires du public s’inscrit parmi les prérogatives principales de la Région Bourgogne Franche-Comté. On le sait, la ligne budgétaire accordée par l’organe institutionnel est importante pour améliorer la qualité de vie des élèves et étudiants mais aussi des enseignants chaque année. Un effort qui est également consenti auprès des établissements issus du privé. Ce qui n’est pas une surprise en soi, comme devait le rappeler la conseillère régionale Isabelle POIFOL-FERREIRA, inaugurant le nouveau foyer des BTS, du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle à Auxerre.

 

AUXERRE; Ce serait presque une lapalissade. La jeunesse représente l’un des socles essentiels des nombreuses missions régaliennes assurées par le Conseil régional sur notre territoire.

L’une de ses représentantes, la conseillère en charge de la Culture, Isabelle POIFOL-FERREIRA – figure de la vie politique auxerroise par ailleurs- assistait il y a peu à la cérémonie inaugurale du nouveau foyer devant accueillir lors de séances salvatrices de repos et de moments de ressource bien mérités, les étudiants des deux sections BTS du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle. Celles et ceux qui suivent les cursus de commerce international et de formation à la filière du notariat.

Une phase d’officialisation où l’élue icaunaise qui connaît particulièrement bien l’établissement, l’ayant déjà visité à maintes reprises, devait rappeler que « l’éducation et la formation représentaient l’avenir des jeunes générations… ».

Très surprise, mais de manière agréable, d’avoir été accueillie par des étudiants posés et polis – le savoir-vivre est une règle de bonne conduite inculquée dans l’établissement catholique de la capitale de l’Yonne -, Isabelle POIFOL-FERREIRA a félicité les responsables du groupe lasallien pour la qualité de l’enseignement proposé en ces murs.

« Nous avons pour obligation de nous occuper des conditions de travail et à leurs améliorations des étudiants reçus dans les établissements publics, souligna-t-elle, mais aussi de soutenir celles et ceux qui fréquentent aussi les établissements privés car ces derniers contribuent à dispenser un enseignement qualitatif… ».

Et de ponctuer ainsi ses propos par la formule suivante, « si l’on est bien accueilli dans un établissement scolaire, c’est qu’il s’y passe de belles choses… ».

Avant de visiter la nouvelle extension de ce bâtiment, ouvert depuis le printemps, qui occupe deux niveaux de surface avec une mezzanine du plus bel effet, Isabelle POIFOL-FERREIRA devait insister sur la nécessité de pouvoir disposer à Auxerre de telles infrastructures permettant d’accueillir et de fidéliser des étudiants dont le département a grandement besoin afin de mieux rayonner au niveau de son attractivité. Qu’elle soit éducative, voire économique, il va de soi…

 

Thierry BRET

 


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