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Certains visages sont connus car ils jouent un rôle dans le sérail auxerrois. Preuve que la déontologie de la structure associative, spécialisée dans l’insertion sociale, séduit toujours les participants. Sans que cela n’émousse leur degré d’implication. Qui plus est, il y a même de nouvelles entreprises partenaires ! Un signe fort et bien visible de cette assemblée générale. Il traduit les intentions louables d’AMIDON 89 de poursuivre son essor…

 

AUXERRE : Elles et ils se nomment Anne AZALBERT, Simone PARIS, Jean-François FINANCE, Jacques HOJLO, Jean-Luc TABOUREAU…Studieux et attentif au moindre propos prononcé par le président de la structure associative en assemblée générale ce jour-là, Guy PARIS – il demeure le vaillant porte-étendard de l’une des associations icaunaises impliquées à 200 % pour le retour en grâce des déshérités de la vie dans le monde professionnel -, ces figures de la vie locale confirment du fait de leur présence leur profond intérêt au travail effectué au quotidien par cet organe que l’on ne présente plus. C’est simple : si AMIDON 89 n’existait pas, il faudrait nécessairement l’inventer !

Sur un plan purement structurel, la raison d’être de cet organisme prend ses racines dans la définition suivante : AMIDON 89 est un atelier chantier d’insertion. En terme clair, il agit en répondant en connaissance de cause au besoin de retour à l’emploi de personnes qui en sont éloignées depuis un laps de temps plus ou moins long et ce, pour une multitude de raisons. Vu le contexte économique et sociétal, on ne peine nullement à les énumérer !

 

 

72 % de retour vers l’emploi ou la formation à l’issue de 2022…

 

Un atelier qui articule ses actions vers le retour à l’emploi via deux vecteurs professionnels que sont les activités de repassage et de couture. Rien de désuet ni de ridicule à cela : ces fonctions sont de première nécessité pour bon nombre de clients, personnels et professionnels adhérents de la structure, qui s’engagent dans une démarche gagnant/gagnant en adoptant ses préceptes altruistes.

Question que l’on peut légitimement se poser à l’écoute de la présentation, bien fournie, de l’ancien premier adjoint à la Ville d’Auxerre sous l’ère de Guy FEREZ ? Est-ce que ce système est efficace pour faciliter le retour vers l’emploi de celles – c’est l’immense majorité – et ceux qui fréquentent AMIDON 89 en espérant davantage in fine ?

Un chiffre corrobore tout le bien que l’on peut penser de cet acteur indispensable du paysage icaunais aidant à l’employabilité sur notre territoire. En 2022, 72 % des personnes ayant quitté le cadre bienveillant et salvateur pour la remise à niveau, côté moral, proposée par l’association ont été dirigées vers un emploi, stable de surcroît, ou à défaut vers une formation. Pas si mal que cela, en vérité !

« C’est un résultat excellent, a par ailleurs précisé Guy PARIS, il nous place au-dessus de l’objectif conventionné par l’Etat et le Département, soit 60 % ! ».

L’effectif de la saison dernière se composait de 47 demandeurs d’emploi salariés par AMIDON 89 dont 23 bénéficiaires du RSA, des personnes plus ou moins jeunes qui résidaient en majeure partie dans les quartiers prioritaires de la ville d’Auxerre. Des « stagiaires » salariés de niveau inférieur au CAP pour 34 % d’entre elles et le plus souvent d’origine étrangère.

 

 

La maîtrise des dépenses, cheval de bataille absolu en 2023…

 

C’est dans ce cadre-là que seront mis en place dès le mois de juin 2022 des ateliers linguistiques très utiles à l’acquisition rapide de la langue française, permettant ainsi d’augmenter les chances d’intégration et du retour vers l’emploi. Des sessions explicatives qui ont été assurées par deux bénévoles, se muant ainsi en de véritables pédagogues ! Signalons, que 2023 est propice à la découverte des savoirs numériques avec l’ouverture d’ateliers spécifiques imaginés depuis le début de la nouvelle année.

Quant aux adhérents – la clientèle en fait de la structure qui bénéficie de ses judicieux services -, leur nombre s’élève à 256 membres au terme de l’exercice écoulé. Une nette hausse, de l’aveu du président Guy PARIS qui s’en réjouit, « cette progression est imputable en partie grâce à l’activité couture ». Une hausse qui impacte les trois sites gérés par AMIDON 89 à Auxerre, Chablis et Saint-Florentin.

Toutefois, Guy PARIS demeure très vigilant. La baisse de la trésorerie – elle est liée aux versements tardifs des Fonds européens et surtout aux baisses drastiques des subventions – inquiète le dirigeant de la structure. Même si l’exercice comptable se clôt avec un excédent de 5 412 euros sur un budget global de 660 000 euros…

Guy PARIS s’en explique : il faudra maîtriser le plus possible les dépenses dans un contexte inflationniste très exigeant pour les comptes.

« C’est certain, concède-t-il, c’est un exercice difficile à gérer mais notre détermination pour trouver de nouvelles pistes de développement – et de financement a contrario - est entière, tant sur l’Auxerrois que sur la proximité de Chablis et de ses environs… ».

 

 

Un pied sur le frein des dépenses, un pied sur l’accélérateur des recettes…

 

Un numéro d’équilibriste sans filet qui n’aura malheureusement pas empêché l’entité de prendre des mesures douloureuses pour 2023 ; c’est-à-dire la fermeture sine die de l’atelier de Saint-Florentin.

« Il nous faut faire des économies, renchérit le président d’AMIDON 89, il faut éviter à tout prix l’émergence de risques financiers et ne pas revivre la période de difficultés déjà observée entre 2015 et 2016 qui nous a placée en convalescence… ».

Du côté des bonnes nouvelles – car il y en a aussi ! -, la piste d’un partenariat avec le site touristique de Guédelon pourrait mettre du beurre dans les épinards et rendre plus acceptable le budget prévisionnel ! Un budget qui est par ailleurs annoncé, curieusement, comme déficitaire.

« C’est pour garder en permanence un pied sur le frein des dépenses et l’autre sur l’accélérateur des recettes, s’amuse Guy PARIS en analysant la situation.

Ce dernier conserve cependant plusieurs atouts majeurs dans son jeu malgré ce contexte économique si particulier. De nouvelles productions au niveau de la broderie sont envisagées pour le marquage de vêtements – tiens, tiens, comme au bon vieux temps des années 50 et 60 ! -, quant à l’amplitude de l’offre d’ouverture de l’atelier de Chablis, elle devrait s’élargir.

De même que la mise en place de la démarche qualité pouvant conduire à la labellisation de la structure avec le label « RSE » : un sérieux plus pour convaincre de nouveaux partenaires entrepreneuriaux à adhérer sur le gage du sérieux. D’ailleurs, la réponse à l’appel à projets de la Fondation GRDF pour le numérique tant pour la structure, les adhérents et les actions pour les salariés va dans ce sens. Malgré le contexte, AMIDON 89 est bel et bien décidée à embrayer la vitesse supérieure afin de respecter et de conforter la charte morale qui est sienne : « bienveillance, exigence, autonomie et réussite ».

 

Thierry BRET

 


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Son dernier opus date du mois d’août 2022. « L’Air était tout en feu ». Un ouvrage plébiscité par la critique, unanime. Une plongée dans le temps ramenant le lecteur à l’époque de la Régence. A travers les méandres des conspirations politiques et les haines familiales. Celle de l’univers de Louis XIV et des complots ourdis contre le Roi-Soleil. Invité des « Conservations de l’Abbaye », l’ancien conseiller de Nicolas SARKOZY et écrivain Camille PASCAL évoquera ce soir à 18h30 le pouvoir via son vécu personnel et ses écrits. Prometteur à plus d’un titre !

 

AUXERRE : Le public ne devrait pas manquer d’anecdotes croustillantes et insolites à se mettre entre les oreilles avec cette immersion dans les alcôves de la politique hexagonale, lors de l’acte II des fameuses « Conversations de l’Abbaye », accueillies ce jeudi en fin d’après-midi, à Saint-Germain.

En invitant l’ancien conseiller à la présidence de la République et écrivain, Camille PASCAL, Céline BAHR – et par ricochet l’ancien député de la première circonscription de l’Yonne Guillaume LARRIVE qui a été le précurseur de ces retrouvailles intellectuelles de haute volée -, ont placé le curseur de l’intérêt de cet évènementiel régulier vers la stratosphère ! Surtout pour celles et ceux des Icaunais qui s’intéressent de près à la chose politique : ils ne devraient pas être déçus en assistant à la conférence, intitulée sobrement, « Vivre et écrire le pouvoir ».

L’auteur de « L’Air était tout en feu » - son dernier succès en date – a joué un rôle éminemment stratégique sous la présidence de Nicolas SARKOZY, devenant sa seconde « plume » aux côtés d’Henri GUAINO. Lauréat du grand prix du roman de l’Académie française en 2018, Camille PASCAL a été jadis le directeur de communication et le secrétaire général de France Télévisions : autant dire qu’en matière de prise de parole et de maîtrise de l’oralité, ce haut fonctionnaire est au-dessus du lot ! Un talent qui lui a permis aussi de travailler plus récemment auprès de Jean CASTEX, alors Premier ministre…

 

Thierry BRET

 

 


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Exigeant. Voire qualifié par certains des observateurs de « défavorable ». Tel aura été le contexte économique ayant bercé les activités des milieux bancaires en 2022 dans l’Hexagone. Un contexte où nul n’a pu se soustraire, y compris au plan régional, où l’envolée inexorable de l’inflation a laissé de sérieuses traces dans les comportements consuméristes tous secteurs confondus. Président du Conseil d’Orientation et de Surveillance (COS) de la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté, Eric FOUGERE, a fait part de ses ressentis en préambule de la présentation annuelle des résultats de l’établissement mutualiste…

 

DIJON (Côte d’Or) : Il aime se confronter à cette typologie d’exercice, le président du COS de la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté. Un rendez-vous collectif où il prend un malin plaisir à discuter avec la presse afin de donner son point de vue, sans arrière-pensée, sur une actualité économique et sociétale qui, à dire vrai, au-delà de sa richesse ne manque pas ni de piquant. Ni d’imprévus !

Tout en laissant libre cours à l’échange constructif, en appui de moult questions posées par les représentants de la presse régionale. Dont ses acteurs n’hésitent pas à multiplier les kilomètres depuis la Franche-Comté voisine ou la Bourgogne septentrionale afin de ne pas perdre une miette, même minuscule, de cette rencontre annuelle, où se décortique avec minutie comme un savoureux homard agrémenté de sa mayonnaise faite maison, le moindre élément informatif !

Bon, c’est sûr ! Les journalistes qui côtoient le personnage depuis sa prise de fonction officielle, datant du 30 avril 2019, savent pertinemment que le président du Conseil d’Orientation et de Surveillance de Bourgogne Franche-Comté n’est jamais avare en la matière, côté arguments et explications de texte. Alors quand il commence à poser les jalons initiaux de ce que sera cette antépénultième conférence de presse à laquelle il participe aux côtés du président du Directoire Jérôme BALLET, on sait de quoi il en retourne !

 

Un exercice de style savamment maîtrisé pour évoquer les résultats…

 

Membre du Conseil d’Orientation et de Surveillance du groupe BPCE – organe décisionnel commun à la Caisse d’Epargne, la Banque Populaire et NATIXIS -, Eric FOUGERE est un habitué aguerri de ces rendez-vous oratoires servant à faire toute la lumière sur la stratégie de l’entreprise. Elles sont cordiales, polies, courtoises, pédagogiques, lissées. Mais, ici, on fait fi de la polémique et de l’attaque frontale envers des représentants entrepreneuriaux de la dynamique régionale dont notre territoire ne pourrait évidemment se passer. Qu’il s’agisse des particuliers, des entreprises et des collectivités.

Parfois, l’humour n’est jamais très éloigné des propos entendus. Surtout quand on sollicite le binôme de cette grande maison très prisée des épargnants qui autrefois faisait référence à l’un des animaux qui s’épanouit dans nos sous-bois – le fameux écureuil – réputé économe en « noisettes » !

A la sempiternelle question, pourquoi les Français pensent que les banquiers ne prêtent jamais d’argent quand on en a besoin, le tandem de répondre que les offres de prêts sont bel et bien là, pléthoriques, sur les différents marchés mais qu’a contrario, les demandes ne sont plus aussi soutenues qu’auparavant…la crise de confiance et la crise économique sont passées par là.

Un item taillé sur mesure pour le directeur financier du groupe viticole LATOUR implanté à Beaune – l’un des plus grands domaines de Bourgogne avec ses cinquante hectares -, qui est également membre du Directoire de la fameuse maison.

Somme toute, quoi de plus logique pour Eric FOUGERE d’aborder cette conférence de presse devant dévoiler les bilans et perspectives de l’établissement financier aux termes de l’exercice 2022 en évoquant le niveau d’inflation actuel qui bouleverse bon nombre de paramètres.

 

Des ambitions volontaristes de conquête en 2023 à l’identique de 2022…

 

« On ne connaissait pas, depuis si longtemps, la présence d’un niveau aussi élevé d’inflation, devait-il souligner, C'est un contexte sociétal où on a eu aussi des tensions sur les matières premières, les approvisionnements, la facture énergétique. Une problématique de poids qui n’aura pas manqué d’impacter une banque comme la Caisse d'Epargne de Bourgogne Franche-Comté, qui dispose d'un réseau de 182 agences. Mais, ce contexte inflationniste a aussi touché les clients... ».

Pourtant, la Caisse d’Epargne BFC tel le roseau de la célèbre fable a su plier avec efficience pour faire le dos rond au plus fort de la crise (on pense immédiatement à celle de la COVID) en attendant la sortie de cette période trouble, sans avoir à subir les aléas de la cassure définitive. Bien au contraire !

« D’un point de vue financier, nous sommes solides, renchérit le président du COS, nous avons conforté notre capacité à prêter et celle à pouvoir financer des projets. D’ailleurs, n’avons-nous pas réalisé notre plus gros volume de prêts immobiliers en Bourgogne-Franche-Comté, soit un peu plus d'1,7 milliard d’euros ! ».

Alors, frileuses les banques régionales en matière de crédits immobiliers ? Que nenni !

« C'est vrai qu'il y a les paroles, ajoute Eric FOUGERE, mais il y a aussi les actes ! Nous, même si on a réalisé notre plus grosse année de crédits immobiliers en 2022, nous conservons toutes nos ambitions pour faire de même en 2023 ! ».

Des propos qui confirment que la Caisse d’Epargne BFC a donc rendu une brillante copie à l’issue de l’année écoulée.

« C’est un exercice solide, insiste Eric FOUGERE, il traduit nos ambitions vis-à-vis de l’économie régionale et montre notre volonté d’être la banque de référence en faveur de l’attractivité de notre territoire ».

Une posture qu’endosse volontiers l’établissement dans son rôle d’acteur complet de vecteur dynamique du territoire. « On l’a montré en 2022, on va continuer à le montrer en 2023 dans ce contexte plus que défavorable ! ».

 

Le kafkaïen équilibre entre les ressources et les crédits à distribuer…

 

Quant à la hausse rapide des taux d’intérêts, Eric FOUGERE, en bon analyste financier qu’il est, veille au grain.

« Je ne parle pas d’une hausse importante des taux d'intérêt, parce que je fais la distinction entre la valeur absolue du taux d'intérêt et la rapidité avec laquelle on est arrivé à ce niveau-là. Ce qui est plus difficile à gérer en termes de transition, c'est le fait de passer de 0,5 à 3 % en un an. C'est ça, la difficulté pour nous…parce qu’il faut bien savoir que c'est avec les dépôts qu'on fait des crédits. Des crédits à taux fixe, principalement des crédits immobiliers. Or, dans une activité comme la nôtre, ces crédits à taux fixe sur l'immobilier sont bas. C’est ce qu'on a connu ces dernières années et sur de longues périodes, avec un financement qui provient de ressources que représentent les dépôts de nos clients effectués sur des livrets. Mais, du fait de l’inflation, ces mêmes livrets voient leur taux de rémunération monter rapidement. C’est donc ce décalage-là, entre une ressource qui coûte cher et des crédits qui ont été fait à des taux pas chers, où se créé une perturbation dans la rentabilité des banques… ».

Une situation durable ou très provisoire dans le temps ? Le président du COS estime que ce contexte si particulier ne durera pas.

« Cela ne doit pas nous faire dévier de notre cap, affirme-t-il. Mais, cette perturbation va tout de même nous accompagner au cours de ces prochains mois… ».

Il en faut tout de même plus pour que la stratégie du groupe bancaire soit mise à mal. Les responsables de la Caisse d’Epargne ont décidé en toute connaissance de cause de maintenir le cap en 2023, sans en dévier la trajectoire du moindre degré malgré cet afflux de vents contraires, considérant que la situation actuelle correspond à un épiphénomène violent.

Or, devenir la banque de référence de l’économie régionale reste un credo à appliquer au quotidien pour les collaborateurs du groupe. Un leitmotiv qui pourrait presque s’inscrire en lettres d’or sur le fronton des 182 agences d’un établissement qui annonce ne vouloir fermer aucune de ses vitrines commerciales et qui déroule un vaste programme de rénovation de 5 millions d’euros annuels concernant certaines d’entre elles au cours de ces prochaines semaines. Pas de doute : la Caisse d’Epargne ne connaît pas la crise et le fait savoir autant dans ses paroles que dans ses actes !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Œuvre d’art évoquant l’esprit très alambiqué de son créateur ? Pièce de collection unique en son genre devant être au centre de tous les regards lors d’un prochain vernissage, qui serait agrémenté de quelques amuse-bouche et d’un verre de Chablis en guise de convivialité ? Que nenni ! L’objet de toutes les convoitises du jour n’est autre que la réalisation d’un prodige de l’installation thermique, Nathan DE MONGE DE FRANEAU. Celui-ci concourrait pour décrocher un sésame à l’épreuve de « Un des Meilleurs Apprentis de France ». Résultat : il a décroché deux médailles d’or qui l’envoient en finale nationale !

 

AUXERRE : Il faut bien s’imprégner de cette réalisation. Si elle s’apparente quelque peu, du fait de sa qualité de finition à une œuvre artistique, à la façon d’un créatif débridé de l’art contemporain en pleine exaltation, il n’en est rien. Les puristes du BTP auront reconnu et de loin le montage réussi et bien ciselé d’une installation thermique factice, ayant servi de support à la notation d’un jury lors de l’une des énièmes épreuves, inhérentes aux différentes variantes du concours « Un des Meilleurs Apprentis de France ».

Un concours qui ne se cantonne pas uniquement aux métiers traditionnels de l’artisanat (esthétique, coiffure, boulangerie, boucherie…) et qui sait faire des immersions parfois spectaculaires et visuelles comme avec le fruit de ce travail dans le monde du bâtiment et des travaux publics.

L’épreuve du MAF installateur thermique – une filière professionnelle en pleine expansion au vu des nouvelles contraintes énergétiques dans les logements – ne réunissait in fine que deux valeureux candidats à Auxerre, au CFA Bâtiment, pour les sélections départementales et régionales. Mais, ces deux-là étaient au top niveau côté maîtrise de leurs sujets !

 

 

Un duo prometteur en termes de médailles…

 

En alternance chez SANYTHERMIC, le jeune Nathan DE MONGE DE FRANEAU a réussi un sacré coup en empochant l’or, tant au niveau départemental que régional. Deux belles breloques qui lui permettent de se qualifier pour la finale nationale de la discipline qui se déroulera à Nice à partir du 22 juin prochain.

Son dauphin, Lorenzo JAVORCEK n’a pas à rougir de sa prestation. Il glane l’or départemental et doit se contenter de l’argent pour le concours régional. Mais, il a reçu les félicitations de l’entreprise qui le forme : Christophe MERLIN.

Ce joli doublé a séduit Marc LABARDE, président départemental de la Société des Meilleurs Ouvriers de France, responsable départemental et régional du concours « Un des Meilleurs Apprentis de France » et Meilleur Ouvrier de France lui-même en conseil en solution énergétique. Avis partagé par Christian DUCHET, délégué général de la Fédération Française du Bâtiment de l’Yonne et Gérald JAFFRE, directeur du CFA Bâtiment de l’Yonne.

 

Thierry BRET

 

 


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Du 04 au 10 juin prochain, Vichy accueillera les « VIRTUS Global Games » dans son cadre de verdure bien connu des curistes. Soit treize disciplines, permettant à un millier d’athlètes internationaux de s’affronter durant une semaine de compétitions. Une répétition instructive à douze mois des Jeux Olympiques de Paris. Terre de sport, comme chacun le sait, Auxerre réceptionnait le week-end dernier l’équipe nationale de Para Handball adapté. Avec le concours du club local…

 

AUXERRE : C’est au complexe sportif René-Yves AUBIN que s’est déroulé ce stage préparatoire de l’équipe de France de Para Handball avant qu’elle ne rejoigne d’ici quelques jours les infrastructures d’accueil de Vichy, théâtre de cette édition 2023 des « VIRTUS Global Games » du 04 au 10 juin.

Une équipe tricolore qui se frottera durant cette compétition aux cadors de la discipline, où deux joueurs et un entraîneur évoluant au sein du Handball Club Auxerrois (HCA) ont été sélectionnés. De quoi apporter pleine satisfaction au président Raphaël BESANCENOT et à l’ensemble de son staff !

 

 

La formation tricolore a été reçue également par les officiels de la ville, en l’occurrence le premier vice-président de l’Agglomération de l’Auxerrois, Christophe BONNEFOND et Hicham EL MEHDI, en charge des Sports en sa qualité d’adjoint municipal. On notait également la présence de l’élue responsable de la Communication, Emmanuelle MIREDIN.

Plus que jamais, l’Yonne peut s’honorer de porter le titre distinctif de « Terre de jeux » !

 

Thierry BRET

 

 


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