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L’établissement mise sur l’ouverture de deux écoles numériques innovantes dans leur approche pédagogique cette année. L’EPSI accueillera à Sens et ce, dès cet automne, la première promotion d’experts en informatique et systèmes d’information. Depuis le campus localisé sur le site du Pôle Formation à Auxerre, la WIS (Web International School) sera, quant à elle, opérationnelle en septembre pour initier les jeunes gens friands de technologies à l’expertise du marketing digital. Le XXIème siècle entre de plain-pied dans la sphère éducative du centre de formation soutenu par l’UIMM…

AUXERRE/SENS : 2019 s’étire à peine et l’on sait déjà que cette année ne sera pas vécue comme une période de transition pour les responsables du projet pédagogique du Pôle Formation Yonne-Nièvre. Deux évènements majeurs ponctueront l’actualité du troisième trimestre, une époque charnière préfigurant les phases évolutives de la rentrée.

Première école d’informatique en France, l’EPSI a été créée par des spécialistes de la question numérique depuis plus de cinquante ans. Son implantation au cœur de l’Institut de l’Enseignement supérieur de l’Yonne (IESY) à Sens est déjà en soi un petit évènement dans le landerneau de l’éducation et de la formation icaunais.

En septembre, les premiers étudiants viendront y suivre des cours ; ceux donnés en informatique et systèmes d’information. Deux parcours éducatifs y seront possibles : un bachelor (bac + 3) et un cursus d’ingénieur (bac + 5). Objectif avéré pour les étudiants : devenir des exégètes de la spécialité professionnelle.

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Le marketing digital prendra possession du Pôle Formation à Auxerre…

Le second volet de ces nouveautés très attendues dans le paysage pédagogique de l’Yonne s’installera à Auxerre. Dans l’antre du Pôle Formation Yonne-Nièvre. Les formateurs de la WIS (Web International School) mettront leur savoir au service des jeunes pousses icaunaises désireuses de devenir les experts du marketing digital de demain.

Le credo de l’école repose sur l’accompagnement personnalisé des jeunes pendant leurs études et de les préparer à l’intégration optimale dans la vie professionnelle.

A l’identique de l’EPSI, deux modes de formation seront déclinés : en alternance ou en initial avec le statut d’étudiant. Accessible dès le niveau bac + 3, le programme menant à l’expertise « Digital Business » se déroule en deux ans. A l’issue de leur cycle d’orientation, les diplômés (bac + 5) peuvent agir en qualité de managers opérationnels dans la filière du digital, développant au passage des compétences techniques mais aussi managériales grâce à l’acquisition d’un double diplôme.

 


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Plus de 426 entreprises commerciales nouvelles ont été enregistrées et immatriculées au cours de l’année 2018. Une note d’optimisme, saluée par le président de la vénérable institution, Pascal BAILLY. Pourtant, ce chiffre ne peut faire oublier les 134 audiences qui se sont déroulées au tribunal de commerce auxerrois. Et malheureusement, les mêmes causes qui ont produit des effets similaires au niveau des entreprises en défaillance. Dont 75 d’entre elles ont dû jeter l’éponge et mettre la clé sous le paillasson…

AUXERRE : Pédagogue, le président du Tribunal de Commerce souhaite l’être davantage. En y associant son équipe dont les deux nouveaux représentants qui viennent d’incorporer l’organisme. Afin d’empêcher que de pareilles mésaventures ne surviennent dans la sphère entrepreneuriale du landerneau auxerrois.

Chaque année, lors des audiences officielles, sont prononcées des décisions irrévocables par ces exégètes du droit et de la règlementation. Celles-ci conduisent le plus souvent vers des redressements judiciaires (au nombre de 38 dossiers pour l’année 2018 dont 50 % se sont vus convertis en liquidation judiciaire). Un préalable qui aura concerné 75 entreprises au terme de l’exercice en cours.

Pourtant, le chiffre correspond à une activité relativement stable si on le compare aux années antérieures. La prise de ces décisions avait fait l’objet en amont de vingt-deux audiences de procédure collective

Malheureusement, pour ces 75 chefs d’entreprise qui ont dû tirer un trait définitif sur leurs activités professionnelles, les mêmes causes produisent souvent les mêmes effets. Les liquidations sont encore trop souvent prononcées parfois même sans passer par un redressement judiciaire.

« La genèse de ces décisions s’explique, précise Pascal BAILLY, ces entreprises qui sont pour la plupart de plus en plus jeunes, avec deux à trois années seulement d’ancienneté, manquent singulièrement d’anticipation sur leur mode de fonctionnement. Leurs difficultés sont imputables à une stratégie commerciale pas assez approfondie, le plus souvent associée à un défaut de communication, voire parfois de formation… ».

Bref, un abîme qui ne peut se résoudre de manière positive si la faiblesse du capital initial génère en sus des problèmes de trésorerie à la moindre baisse d’activité ou si la société affronte une crise de confiance même passagère.

« A ceci, ajoute le président de l’instance juridique, il est nécessaire de prendre en compte les aléas de l’existence : les divorces, les séparations, les accidents de la vie. Enfin, la pérennité d’une entreprise englobe les aspects conjoncturels. Ainsi, des difficultés de recrutement du personnel imputent la saine gestion de l’entreprise. Quant à l’omnipotence des sites de ventes en ligne, nul ne peut les ignorer au plan comptable lorsque l’on se destine à la gestion d’une entité commerciale… ».

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Un rôle préventif lors des difficultés de gestion administrative…

De bon conseil, le Tribunal de Commerce agit bien en amont des décisions irrévocables. « On constate toujours de réelles difficultés administratives dans les sociétés, renchérit le président, or, le tribunal peut intervenir avant que ne se produise l’irréparable. Le nombre de mandat ad hoc ne cesse d’ailleurs de progresser puisqu’il double quasiment chaque année. Toutefois, et j’insiste sur ce point, pour pouvoir agir en parfaite connaissance du dossier, le Tribunal  a besoin de s’appuyer sur des indicateurs précis, des signaux tangibles pour vérifier la bonne santé d’une entreprise. Dont, naturellement, le dépôt des comptes… ».

2019 : prévention et augmentation des magistrats en ligne de mire…

L’année judiciaire qui débute devrait se conformer à celle qui vient de s’achever. En ce sens, le président BAILLY ne donne qu’un seul mot d’ordre : la prévention.

« Nous allons poursuivre et accentuer une démarche proactive en matière de prévention au service des entreprises. Cela induira en parallèle un travail continuel de valorisation de notre instance. L’objectif stratégique à obtenir auprès de la chancellerie sera la création de quatre nouveaux postes de magistrats. Ce qui devrait nous permettre de bénéficier à terme d’une organisation plus fluide dans les roulements d’audience et dans le développement du préventif auprès des entrepreneurs… ».

Pascal BAILLY devait conclure cet entretien en rappelant qu’une nouvelle directive européenne, transposée en droit national sur l’obligation qui est faite depuis août 2017 à l’ensemble des personnes morales immatriculées au registre du commerce et des sociétés, l’obligation de déclarer sur le registre des bénéficiaires effectifs, le ou les bénéficiaires.

 

 


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Respectant le calendrier qui a été défini pour gérer au mieux cet épineux dossier depuis que le collège auxerrois a fait l’objet de mesures conservatoires le 21 décembre, le Conseil départemental de l’Yonne a acté le principe d’un séminaire. La date de ce rendez-vous consultatif a été arrêtée au mercredi 13 février. Elle sera le prélude à la future session où sera rendue la décision collégiale concernant l’hypothèse d’engagement, ou non, de travaux de réhabilitation de l’établissement scolaire…

AUXERRE : Quelles solutions pour assurer la pérennité et l’amélioration fonctionnelle du collège Bienvenu-Martin à l’automne 2019 ? Le Conseil départemental de l’Yonne qui doit engager un travail de fonds, en étroite osmose avec l’Inspection académique, à ce propos, se réunira dès la semaine prochaine, le 13 février, afin d’analyser et de sérier toutes les possibilités envisageables qui se présentent à lui.

Dans un contexte particulièrement délicat, l’action conjointe des services de l’Etat et du département a permis d’assurer la reprise de la scolarité des élèves dès la mi-janvier.

Concrètement et depuis cette période, les collégiens suivent leur enseignement sur le site même de l’établissement ainsi que dans un bâtiment annexe du collège Denfert-Rochereau, réhabilité en urgence. Un édifice où il est déjà programmé une série de travaux complémentaires visant à améliorer le confort du site, lors des prochaines vacances scolaires.

Toutefois, une nouvelle organisation sera proposée aux élèves et aux enseignants dès la future rentrée.

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Préparer de manière optimale la rentrée 2019…

Le 07 février, le président du Conseil départemental, Patrick GENDRAUD, a pu expliquer un certain nombre d’éléments informatifs aux représentants du conseil d’administration de l’établissement scolaire. Parmi lesquels, cet état de fait : la réalisation éventuelle de travaux de réhabilitation dans l’enceinte actuelle du collège nécessiterait de trois à quatre ans.

Il y aurait à l’étude l’installation d’espaces modulaires, de type ALGECO. Le coût de l’opération oscillerait entre 1,6 et 2,1 millions d’euros hors taxes en cas d’acquisition desdits modulaires. Quant à la durée d’installation, avant exploitation, elle est estimée à une période de seize mois, de la commande aux raccordements définitifs.

Or, la mobilisation conséquente des surfaces extérieures du collège incite le Département à abandonner cette hypothèse.

Dès lors, le président de l’exécutif départemental a pris soin d’organiser ce séminaire. Il servira à préparer, dans les meilleures conditions, la rentrée 2019. Sachant que la décision finale devrait intervenir en mars, ou au plus tard en avril, et s’inscrira dans une réflexion globale sur la programmation pluriannuelle des investissements du Département pour l’ensemble des collèges de l’Yonne.

Les résultats des travaux engagés par l’assemblée départementale feront l’objet d’une communication spécifique. Un premier communiqué de presse, cosigné par Annie PARTOUCHE, la directrice académique des services de l’Education nationale de l’Yonne et du président GENDRAUD, a été diffusé ce vendredi 08 février…


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Depuis le 01er janvier, le groupe industriel de Sens s’offre de réelles perspectives d’accroître ses parts de marché au plan national grâce à la commercialisation d’un produit novateur. Celui-ci, baptisé « NOVO GAZ » intègre l’une des segments qui faisait encore cruellement défaut à l’entreprise : le générateur à gaz de petite taille. Désormais, CHAROT lance un sérieux avertissement à l’ensemble de la concurrence avec de solides espérances au niveau des ventes auprès des installateurs…

SENS : L’année ne pouvait pas aussi bien débuter pour le groupe industriel de l’Yonne spécialisé dans la conception de ballons d’eau chaude sanitaire. Après plusieurs mois d’analyse et d’étude de faisabilité, CHAROT a enfin sorti un nouveau produit sur l’une des strates de cet imposant « mille-feuille » que constitue ce secteur d’activité à l’échelle nationale.

Le « NOVO GAZ » correspond à un générateur à gaz de nouvelle génération qui trouve une place légitime sur le segment des ballons d’eau chaude de petit volume.

« Nous possédons depuis toujours une excellente notoriété sur le marché des gros générateurs, confie Pascal CHAROT, dirigeant de la société éponyme, mais nous n’étions pas encore placés sur cette gamme de produits. Or, régulièrement, une forte demande émanait du terrain par les commerciaux qui prennent le pouls sur la réalité des besoins… ».

Lancé le 01er janvier, le nouveau produit offre de belles perspectives de vente pour l’industriel. Il concerne des cibles consommatrices de générateurs de petit volume, c’est-à-dire des salons de coiffure, des structures hôtelières articulées autour d’une vingtaine de chambres.

 

 

Un bonheur technique ne vient jamais seul…

Seconde innovation : le réchauffeur de boucle. Ce système a été élaboré pour équiper des établissements hôteliers d’une dizaine d’étages. Placé à chaque pallier, ce concept intermédiaire permet de chauffer l’eau de manière constante et tempérée à tous les niveaux d’un bâtiment. L’innovation porte sur la possibilité de changer les éléments chauffants de cette technique sans procéder à une vidange ni en modifiant l’installation.

Placé à la verticale, le système permet aux opérateurs de réaliser des vidanges avec aisance et d’extraire les impuretés se déposant dans les tuyaux.

Plusieurs ballons d’eau chaude ont subi un léger lifting technique afin de mieux correspondre aux attentes des installateurs et de leur clientèle.

A l’aide de ces nouveautés, le groupe CHAROT devrait conforter ses parts de marché, notamment sur le segment du chauffage eau chaude sanitaire qui représente à ce jour 80 % de son chiffre d’affaires. Celui-ci s’élevait à 26,3 millions l’an dernier.

 

 

 


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Le chef de file national du parti des démocrates et des indépendants n’en démord pas. L’institution européenne ne protège pas assez les entrepreneurs français de la concurrence déloyale. A l’intérieur en faisant référence aux travailleurs détachés dont la présence inonde des secteurs cruciaux de l’économie comme le bâtiment ou les transports. Ni à l’extérieur puisque l’abondance de produits américains et chinois sur le marché impacte les marchés sans que les normes soient identiques. Pire : la France rajoute des couches normatives là où il n’y en aurait pas besoin….

AUXERRE : Désormais, en matière de sémantique, les consommateurs français devront réviser leur latin avant de faire leurs courses. Une récente décision européenne oblige en effet les producteurs de légumineuses et de fruits à spécifier sur leurs étals la provenance de leurs produits.

Non pas, au plan de la localisation géographique, preuve de leur traçabilité mais bel et bien au niveau de la catégorie scientifique de l’article mis en vente. Ainsi, les variétés de salades et de tomates arboreront leur désignation latine !

Le texte officiel de cette subtilité linguistique émane de l’Union européenne.

« Une décision, parfaitement inutile, ironise le leader national de l’UDI, Jean-Christophe LAGARDE.

Tête de liste de l’Union des démocrates et des indépendants, le député de la cinquième circonscription de la Seine-Saint-Denis livre ses orientations à quelques mois de l’échéance.

La sécurité est l’un de ses chevaux de bataille. « Créons un FBI européen, précise-t-il,  et dotons de plus de moyens humains et financiers FRONTEX, le système de gardes-frontières de l’Europe afin de maîtriser la politique d’immigration… ».      

L’homme politique n’en omet pas moins d’évoquer l’avenir de nos industries. « L’intelligence artificielle a un rôle à jouer pour renforcer notre présence dans ce domaine. Il n’y a pas que la Chine ou les Etats-Unis qui doivent posséder le monopole en la matière ; la France doit intervenir sur ce sujet essentiel mais avec la complémentarité des autres pays européens… ».

Une complémentarité qui existe déjà et fait cruellement défaut à la France.

« Je trouve insensé de ne pas utiliser davantage les crédits européens dans l’Hexagone alors que bon nombre de nos partenaires de l’Union y accèdent à profusion… ».

Il n’y a pas d’Europe sans agriculture…

Pan de l’activité économique capital à ses yeux, Jean-Christophe LAGARDE fait plusieurs propositions. Il souhaite récupérer les trois milliards d’euros initialement versés aux Britanniques en cas de BREXIT pour les attribuer au budget de la Politique Agricole Commune (PAC).  Si la sortie du glyphosate et du cuivre devient une nécessité environnementale, a contrario, il faut aider les agriculteurs à changer de méthode de production.

« L’avenir du monde agricole passe par l’avènement d’exploitations à taille humaine et raisonnable, concède-t-il, en d’autres termes, il est indispensable de privilégier le modèle français ! Cela passe par un plafonnement des aides à 100 000 euros, voire 80 000 euros, pour financer les vraies exploitations ; et non les « usines ». Enfin, et pour simplifier les démarches administratives, il faut préconiser la mise en place de contrats pluriannuels de cinq à six années. C’est devenu tellement compliqué que de nombreux agriculteurs ont recours dorénavant à des prestataires externes. Concrètement, si le professionnel doit investir, changer de méthode ou de produits, les règles ne changent pas durant cette période. Ce qui offre à l’agriculteur de réaliser des économies de paperasses supplémentaires… ».

En revanche, le responsable de l’UDI n’a pas caché son inquiétude pour le monde viticole.

« Le marché souffre actuellement du fait du BREXIT. Les Britanniques disposent aujourd’hui de stocks importants. Cela risque d’être catastrophique une fois que la Grande-Bretagne sera sortie de l’Union européenne… ».

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Avant de sortir de l’Europe, s’inspirer du modèle britannique…

Evoquant la ruralité, la pensée de Jean-Christophe LAGARDE se rapproche de celle du chef de l’Etat : « il faut miser sur les métropoles qui sont des « premiers de cordée ». Mais, il ne faut surtout pas oublier les suivants ! Autrement dit, les métropoles doivent servir à l’ensemble du territoire. Pour ce faire, il ne faut pas fermer tous les services publics et surtout s’assurer qu’il y ait une meilleure redistribution des métropoles à la ruralité… ».

En guise de conclusion à cet entretien, le patron de l’UDI décrochera quelques flèches en direction de personnalités comme Marine Le PEN, Jean-Luc MELENCHON ou encore Nicolas DIUPONT-AIGNANT.

« Ils veulent que la France se désengage de l’Europe en ayant applaudi par exemple ce qu’ont décidé les Italiens et leur nouveau gouvernement. Mais, avec objectivité, il est important de regarder la situation délétère économique de la Grande-Bretagne. Et je rappelle que les Britanniques ne sont même pas encore partis ! ».

Une petite pichenette en direction de ces autres ténors de la politique avec une dose d’humour à l’anglaise…

 


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