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Les Chambre de Commerce et d’Industrie tentent de faire face tant bien que mal aux changements de cap voulus par les politiques. Elles ont eu à subir des prélèvements importants en 2018, soit une ponction de cent millions d’euros. Chose qui avait été décidée l’année précédente. D’ailleurs, l’opération devrait être réitérée jusqu’en 2021. Toutefois, leurs dirigeants, à l’instar du président de la CCI de l’Yonne, Alain PEREZ, espèrent toujours dans leur for intérieur, que cette prise de décision initiée par la gouvernance soit revue à la baisse, voire totalement prorogée. En substance, cet argent est prélevé aux entreprises et qu’elles n’en sont aucunement bénéficiaires par un quelconque retour sur investissement même si le ministre des Finances avait pris un engagement contraire dans ses déclarations initiales.

SENS : Quelles en ont été les conséquences directes pour le budget de fonctionnement de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne ?

Ce prélèvement induit quatre millions d’euros en moins pour la chambre consulaire de Bourgogne Franche-Comté et une enveloppe de 400 000 euros dont la chambre de commerce départementale doit se priver. Sachant, comme je l’ai précisé en préambule, que cette ponction se renouvelle chaque année. Concrètement, le budget icaunais aura été divisé par trois entre 2012 et 2021. Cela impacte nos investissements. Et si nous avons pu faire face jusque-là, c’est grâce aux économies de mutualisation que nous avions réalisées lors de la fusion de la Bourgogne et de la Franche-Comté.

Avant tout, nous nous inscrivons sous le sceau de l’entrepreneuriat dans la gestion de la chambre consulaire. Grâce à ce rapprochement qui nous aura permis de mutualiser nos organismes, deux millions d’euros ont été économisés et ont été laissés dans les chambres territoriales. Mais, on n’est pas encore au bout de cette démarche.

Cette orientation stratégique n’a nullement affecté les investissements…

Maintenir la qualité et l’ergonomie de notre outil de travail demeure la priorité. La CCI de l’Yonne a assuré par exemple au cours de ces derniers mois la rénovation de ses bâtiments, la réalisation d’outils numériques à destination des mandants (les entreprises), l’adaptation des hôtels consulaires à devenir de véritables hôtels d’entreprises avec des locataires, et surtout l’optimisation des pépinières (six en nom propre et une déléguée) qui bénéficient aussi de rénovations régulières. Il nous faut par contre réfléchir à des solutions qui nous permettent de conserver nos espaces professionnels en l’état…

Vous mettez l’accent sur le côté entrepreneuriat dans la manière d’aborder le pilotage et la gestion de la Chambre de Commerce et d’Industrie. Est-ce une entreprise à part entière ?

Oui ! Chaque président de CCI est un patron en puissance, à la tête d’une structure indépendante et autonome. Cependant, il existe d’énormes disparités d’une région à l’autre et un manque de cohésion flagrant de ce réseau économique. Peut-on réellement comparer le domaine d’intervention de la CCI du Territoire de Belfort à celles de l’Ile de France ? Cela ressemble à l’écart qui existe entre une multinationale et un commerce local. Aujourd’hui, je suis favorable à l’émergence d’un lobby des CCI qui aurait pour vocation de fédérer l’ensemble des organismes de la métropole à travailler en parfaite osmose et non pas de les opposer entre elles. Mais, attention, cela n’empêcherait nullement les CCI territoriales de posséder chacune leurs ambitions et de défendre leurs intérêts…

Selon vous, ce réseau avait-il besoin de se réformer ?

Je pense qu’il était temps de procéder à une réforme en profondeur. Mais dans mon esprit, je l’envisageais plus en phase directe avec le monde économique. En accentuant notre écoute vers toutes les entreprises. Devenir in fine, une sorte de parlement à leur service. Alors que la réforme actuelle, de par la dépendance dans laquelle elle nous met vis-à-vis de l’Etat, pose de réels problèmes.

La vocation des CCI est de revenir à nos fondamentaux. Les entreprises ne sont pas forcément informées de la pertinence de cette situation. Car, il existe un vrai déficit de communication.

Si cette réforme doit aboutir à la création d’un réseau de CCI plus soudées et solidaires, qui soient plus à l’écoute des entrepreneurs avec des solutions modernes et concrètes à leur proposer, ce serait hautement positif. C’est sûr, on dépoussière, on innove, on prend des risques et on se remet en cause. On entre de plain-pied dans un principe disruptif comme le souhaite l’Etat, en y injectant de la libre concurrence tout en proposant des services payants, autour de l’innovation et de l’assistance.

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Bref, la Cci devient un prestataire de services. Mais, c’est un plan qui aurait une chance de réussir si l’Etat nous laissait dix ans devant nous pour sa mise en œuvre. Aujourd’hui, cela va bien trop vite pour compenser, sans casse cette perte de ressources. Il nous aurait fallu un peu plus de temps pour le faire dans les règles de l’art. Avec la révision de nos missions, on aurait pu réussir…

Vous parlez de cette réforme comme si elle avait d’ores et déjà échoué…

Non, elle n’est pas vouée à l’échec ; la réforme peut se vivre de trois manières différentes. La première, et j’espère que ce sera le cas en Bourgogne Franche-Comté, renforcerait les efforts dans la mutualisation, en gérant les actifs de manière optimale tout en maîtrisant le coût des activités onéreuses.

La seconde serait de tendre vers une régionalisation complète avec la suppression du statut d’établissement public départemental et un rattachement à la région. Certes, il y aurait sans doute une possibilité de s’en sortir à moyen terme mais ce serait la mort garantie du réseau de la CCI sur notre territoire.

Reste la troisième option : ce  serait le rapprochement des Chambres de commerce et d’industrie avec les chambres des métiers et de l’artisanat au niveau départemental. Cela nous permettrait de sortir de ce faux débat qui existe sur les statuts des entreprises adhérentes et de constituer un véritable parlement des entreprises sur le territoire.

De ces trois réformes, nous allons travailler avec la Chambre régionale où nous avons la chance d’avoir un président qui a été élu sur le respect du territoire, et qui se bat pour le maintien d’un organisme territorial.

Quant à mon souhait personnel, il faudrait que de ces trois hypothèses, ce soit la première solution qui soit adoptée en privilégiant des rapprochements ponctuels avec la Chambre des métiers et de l’artisanat. D’ici fin mars 2019, une décision sera prise lors de l’assemblée générale…

Vous effectuez votre troisième mandat à la présidence qui court jusqu’en novembre 2021. Comment voyez-vous ces trois prochaines années pour la CCI de l’Yonne ?

Mon objectif est de préserver le statut d’établissement public de la Chambre de Commerce et d’Industrie. Cela passe par une analyse approfondie de l’existant et un abandon de certaines missions qui en découlera. Forcément, cela engendrera des conséquences sociales. Notamment, grâce à des départs à la retraite.

Quant aux entreprises, elles deviennent, et c’est normal, plus exigeantes en termes de qualité de services. Ces derniers vont évoluer. Certains n’existeront plus. D’autres apparaîtront. Nous sommes à la veille de cette disruption. Mais, cela n’altèrera pas la suractivité de la chambre consulaire…

 


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A titre personnel comme au plan politique où elle représentait le député Guillaume LARRIVE, lui-même mobilisé Place de la République à Paris, la vice-présidente du Conseil départemental de l’Yonne et élue de Puisaye-Forterre ne pouvait se soustraire à ce rassemblement citoyen, mobilisateur à Auxerre. Avocate de formation, Isabelle FROMENT-MEURICE qui avait déjà pris fait et cause dans la lutte contre les violences faites aux femmes souhaite que les réseaux sociaux soient davantage encadrés. Sans tomber dans les travers de la censure. Et surtout, que nos concitoyens ne cèdent pas à la peur…

AUXERRE : Prendre part à cet appel à l’union contre l’antisémitisme et les actes discriminatoires représentait beaucoup pour vous en votre qualité d’élue ?

C’était tout bonnement indispensable à mes yeux ! Le président dans l’Yonne de notre mouvement, le député Guillaume LARRIVE était lui, Place de la République à Paris : il m’appartenait donc, en qualité de secrétaire départementale Les Républicains, de représenter notre formation politique. J’y serai allée de toutes façons, car je condamne ces actes antisémites et discriminatoires qui portent atteinte à la République dont nous sommes, nous, les élus, les représentants au sein de nos collectivités respectives.

Et sur le plan personnel ?

Une évidence ! Petite-fille de compagnon de la Libération, avec de surcroît une mère qui a été collaboratrice de Simone VEIL pendant des années au Ministère de la Santé, et justement parce que élue, il est de mon devoir d’assumer mes opinions. Je ne pouvais envisager de rester les bras croisés, sans exprimer publiquement mon indignation et mon soutien à toutes les victimes de ces actes.

Comment analysez-vous cette poussée de violence et de xénophobie qui se banalise depuis plusieurs semaines dans l’hexagone ?

Le sentiment de délaissement d’une partie de la population. Celle qui peuple la France rurale, loin des métropoles et de leur rythme tourbillonnant. Celle victime  de la « fracture territoriale » ou rurale comme l’appelle et l’analyse très justement le géographe Christophe GUILLY, s’est exprimé avec les « Gilets jaunes ». Du moins dans l’essence de ce mouvement, avant qu’il ne soit peu à peu dévoyé par ce que j’appelle les « anti-tout » : anti-élite, anti-élus, anti-journalistes, anti-taxes, qui tapent sur tout ce qui dépasse, tout ce qui réussit et qui attribuent la difficulté du quotidien aux complots mondiaux libéraux et antisociaux…Bref, la vanne s’est ouverte. Et avec elle, toutes sortes de débordements, que certains utilisent, sciemment, pour semer ce climat de violence et de xénophobie.

Légiférer davantage est une chose sur laquelle le Gouvernement souhaite s’atteler plus implicitement ces jours-ci ; en votre qualité de juriste, quelles seraient les parades idéales, selon vous, pour réduire ces intentions malveillantes à l’égard des populations victimes de ces actes odieux ?

L’arsenal législatif est principalement celui mis en place dans le cadre du code pénal et de la loi sur la presse. Cet arsenal permet déjà de poursuivre les auteurs d’incitation à la haine raciale, de harcèlement, d’atteintes au respect dû aux morts (pour la profanation des tombes du cimetière juif de Quatzheinem par exemple), ceux qui enregistrent filment et diffusent des images de violence etc… Mais, cet arsenal ne s’est pas encore adapté aux nouveaux moyens employés par ces auteurs, notamment dès lors que tout cela se fait par les réseaux sociaux… Il faut absolument encadrer la responsabilité des hébergeurs de ces réseaux sociaux, ce qui est un exercice délicat car il ne faut pas non plus tomber dans les travers de la censure… 

Adapter l’arsenal législatif est donc une nécessité. Mais, il est également indispensable que les victimes de ces actes portent plainte. Or par essence, les « minorités silencieuses », surtout quand elles portent encore dans leurs chairs les stigmates du passé, souhaitent avant tout se fondre dans la majorité, et ne pas attirer l’attention sur elles. Et le plus souvent, elles se cachent, honteuses alors que ce sont les auteurs de ces actes qui devraient être honteux.

On a connu la même chose avec les femmes battues, harcelées, violées. Depuis l’affaire WEINSTEIN et le #denoncetonporc, elles sont sorties de l’ombre et ont porté plainte. Je souhaite qu’il en soit de même pour les victimes d’actes d’antisémitisme et plus généralement des victimes d’actes d’incitation à la haine raciale : qu’elles soient encouragées à porter plainte systématiquement, qu’elles soient entendues, écoutées par les forces de police et de gendarmerie quand elles auront le courage de porter plainte, et que, du coup, la justice se saisisse et poursuive les auteurs systématiquement. La honte doit changer de camp !

La France Insoumise et le Rassemblement national n’ont pas été invités de manière officielle par le Parti socialiste, à l’initiative de ce grand rassemblement national, à manifester sa désapprobation contre l’antisémitisme. Est-ce franchement républicain dans l’esprit ?

Rien ne les empêchait de se joindre à ce Rassemblement national, la place était ouverte à tous, personne n’a, que je sache, montré la carte de son parti pour entrer ?

Vous êtes une élue de Puisaye-Forterre. Avez-vous eu vent de phénomènes antisémites sur cette contrée icaunaise ? Craignez-vous des effets boule de neige dans l’Yonne devant l’amplification de ces actes, savamment relayés par les médias ?

Je n’ai pas eu vent d’un acte de ce type en Puisaye. Mais, la Puisaye n’abrite à ma connaissance ni cimetière juif, ni synagogue…  En revanche, un maire s’est fait très violement attaquer, parce qu’il représentait l’autorité, la République, (le maire de Saint-Privé, Jean-François BOISARD), et à l’heure des réseaux sociaux, personne n’est à l’abri.

Vous développez des permanences qui favorisent les échanges et la concertation dans plusieurs localités de Puisaye-Forterre. Prendre le temps de rencontrer les citoyens est-il le moyen de renouer les liens avec la population et de résoudre les problématiques de la société ?

Je n’ai pas la prétention à moi toute seule de résoudre les problématiques de la société ! (rires). J’ai juste constaté que quand on était conseiller départemental de cantons qui sont maintenant assez étendus (24 communes en ce qui me concerne), il était difficile de rester un élu de proximité en recevant les personnes qui le souhaitent dans un bureau anonyme du Conseil départemental à quarante, voire cinquante kilomètres de là. Donc, j’ai souhaité rester à l’écoute, et si possible apporter quelques solutions en ouvrant une permanence à Toucy. Mais, également en en tenant une à Saint-Fargeau et une à Bléneau… Cela me permet de rester à l’écoute, et d’essayer, très modestement, d’apporter des solutions.

Est-ce que la France de 2019 vous fait peur en l’état actuel des choses ?

Avoir peur, c’est déjà se placer dans un état de résignation, et je ne crois pas que cela soit dans mon caractère. Prendre conscience de l’état de la France, écouter, comprendre et travailler chaque jour à essayer d’apporter des solutions, tel est mon état d’esprit...


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Une douzaine de stands itinérants se promènent à travers la France jusqu’au 15 mars, date butoir qui marque le terme du Grand Débat national voulu par la présidence de la République. Depuis le 18 février, une centaine de villes bénéficient de la visite de ce point de convergence, propice à la collecte des idées et de la récolte des préconisations. Ce stand de proximité a fait étape à Auxerre, deux jours durant, où il a été accueilli par le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, et Françoise FUGIER, secrétaire générale de la préfecture et sous-préfète d’Auxerre. Cette dernière est aussi la référente « Grand Débat national » pour l’Yonne…

AUXERRE : Installé sur un point névralgique de la ville, le stand de proximité « Grand Débat national » avait pour objectif de collecter la parole citoyenne de personnes qui souhaitaient contribuer à la consultation nationale dont Emmanuel MACRON s’est fait le garant.

Tenu par des étudiants ou des juniors entreprises, sur la simple base du volontariat, le concept, mobile, s’est donc posé 48 heures dans la capitale de l’Yonne. Occupant ainsi la cour centrale de La Poste.

C’est à cet endroit, précisément, que le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, accompagné de la référente départementale « Grand Débat », la secrétaire générale de la préfecture, Françoise FUGIER, leur ont rendu une visite de courtoisie, placée sous le sceau de la découverte et de l’encouragement.

Collectées, ces contributions feront ensuite l’objet d’une numérisation avant d’être analysées par des logiciels spécifiques faisant appel à l’intelligence artificielle. Conséquence : les résultats déboucheront sur des analyses globales nettement plus abouties, permettant in fine de produire des synthèses très précises.

A ce jour, l’Yonne a déjà été le théâtre d’une quarantaine de rendez-vous publics. Beaucoup de participants sont issus des milieux de retraités, de mouvements associatifs, institutionnels et politiques.

La mise en harmonie de ces différentes rencontres à l’échelle départementale a été le fruit du travail de Françoise FUGIER et des services de la préfecture.

 


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Instaurés depuis 2006, les Prix Initiatives Associations ont pour vocation de récompenser chaque année deux structures lauréates par département. Qu’elles soient clientes ou non de l’établissement bancaire, ils illustrent les actions prises dans le domaine de la solidarité, l’éducation, l’environnement, le sport amateur, la culture et le patrimoine. Toutefois avec un sérieux bémol à la clé qui peut s’avérer rédhibitoire s’il n’est pas respecté scrupuleusement : la réalisation, le lancement et le développement du projet devront se concevoir dans le département ad hoc. Dans l’Yonne, L’Escargot Noir qui promeut le premier salon de la littérature policière à Sens et l’Association Musiques et Spectacles, facilitatrice à l’éveil musical et choral, ont obtenu les suffrages d’un jury de professionnels…

AUXERRE : Portés par la Fondation d’entreprise Bourgogne Franche-Comté Solidarité, appareil inhérent à la Banque Populaire régionale, les Prix Initiatives Associations offrent chaque année l’heureuse opportunité à des structures associatives de pouvoir se distinguer pour leur travail et leur sens de l’abnégation.

En partenariat avec la CASDEN, l’organisme financier soutient les actions locales de ces entités qui font œuvre de citoyenneté et de prosélytisme dans leur environnement.

En recrutant de nouveaux membres motivés, par exemple, au sein de ces outils régis par la loi de 1901. En déclinant, aussi, des opérations sociétales que l’on peut qualifier de capitales dans des domaines aussi éclectiques que fonctionnels que sont la pratique du sport amateur, de la culture, du patrimoine, de l’environnement, de la solidarité ou encore de l’éducation.

Des items forts qui intègrent précisément les pôles référentiels du jury, soucieux de peser le pour et le contre avant de décerner les précieux sésames, pouvant expédier l’heureux bénéficiaire du challenge un cran au-dessus. C’est-à-dire à l’échelle régionale pour y disputer la grande finale.

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Un empilement de gains et d’euros supplémentaires…

Dix-huit lauréats, in fine, profiteront de la bonne grâce de ce défi, où l’originalité, mais également la pertinence du projet, suscite de l’intérêt parmi les membres du jury. L’Ain, la Côte d’Or, le Doubs, la Haute-Saône, le Jura, la Nièvre, la Saône-et-Loire, le Territoire de Belfort et l’Yonne, soit les neuf départements formant l’identité géographique de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et du Pays de l’Ain.

Côté prix, les lauréats se voient remettre une récompense financière de mille euros. Une manne quasi providentielle qui peut représenter un sacré coup de pouce pour le développement de l’action mise en exergue.

Sachant qu’après coup, pour les lauréats, qu’il est toujours envisageable de concourir au niveau régional. Et de gonfler ses gains en obtenant pour les vainqueurs, trois mille euros supplémentaires !

Enfin, pour être tout à fait complet sur le processus de ce challenge, les sociétaires de la Banque Populaire régionale peuvent désigner le Prix Coup de Cœur parmi les trois derniers prix. Soit un subside complémentaire de trois mille euros pour le gagnant de ce super jackpot !

Encore une étape avant de toucher le gros lot régional…

La désignation des deux lauréats de l’Yonne représentait donc une grande première pour le nouveau directeur régional, en charge du développement de l’Yonne, Yann NUNES. Une vingtaine de dossiers de candidature avait été sélectionnée pour cette édition 2019. La plupart instruits par les conseillers commerciaux des agences de la banque.

Bénéficiant d’une cote d’amour sans équivalence de la part du jury, la candidature de l’Escargot Noir vira largement en tête à l’issue de la présentation de l’ensemble des prétendants.

Créée en 2018, la structure promeut la littérature policière sur le Sénonais. Un projet de salon où seraient accueillis plus de trente auteurs de polars se préfigure à l’horizon du mois de mai.

Son dauphin, l’Association Musiques et Spectacles obtint une méritoire deuxième place, qualificative elle-aussi pour la finale régionale prévue le 10 avril à Nevers, lors de l’assemblée générale des sociétaires.

Le projet de création d’une chorale interrégionale de 120 enfants a semble-t-il titillé la fibre artistique de plusieurs jurés, sensibles à la dimension culturelle de cette initiative.

Si les remises de ces deux prix s’effectueront courant mars, les deux heureux récipiendaires n’en ont donc pas fini avec le concours. Place à la finale régionale et à la possibilité de glaner le gros lot !

 


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L’antisémitisme est l’affaire de la Nation toute entière. Mardi en fin d’après-midi, sur le parvis de l’Hôtel de ville d’Auxerre, les représentants de multiples formations politiques, mouvements et associations ont fait bloc face un public garni en manifestant leur désapprobation contre le fléau antisémite qui frappe à nouveau la France au plus profond de sa chair. Rejetant cette haine indigeste, devenue une incitation au meurtre, toutes et tous se sont recueillis avec beaucoup de solennité durant de longues minutes en souvenir des victimes innocentes de ces actes dramatiques…

AUXERRE : L’antisémitisme n’est pas la France ! Dénonçant la xénophobie et l’homophobie qui menacent les libertés individuelles dans notre pays, les représentants d’une quinzaine de partis politiques, mais aussi de mouvements associatifs, se donnaient le mot pour rejeter de manière publique cette forme honteuse d’ostracisme qui remet en cause les fondamentaux de notre société.

Une réaction spontanée qui avait pour objectif de condamner la multiplication de ces actes au cours de l’année 2018 et de ce début de nouvelle année.

A l’énoncé d’un credo répétitif, « ça suffit ! », femmes et hommes, qu’ils soient politiques ou de la sphère publique, écoutèrent à l’unisson le message lu par Mani CAMBEFORT, premier secrétaire fédéral du Parti socialiste de l’Yonne.   

Ce dernier rappelait que « l’antisémitisme n’est pas une opinion mais un délit ». Puis, il égrena les patronymes de celles et ceux qui ont été les victimes de leurs bourreaux parce que Juifs : Ilan HALIMI, les enfants de l’école Ozar Hatorah, les malheureuses personnes de l’hyper cacher de Paris, Sarah HALIMI ou encore Mireille KNOLL. Tous décédés, assassinés, parfois torturés…

S’élever contre toute forme d’agression et de discrimination…

Le sens commun de la République, ces personnalités l’ont fièrement arboré sur l’esplanade de l’Hôtel de Ville. Même si, dans le débat public, leurs opinions peuvent devenir divergentes. Adoptant le principe vertueux de l’Union sacrée, face à la banalisation de la haine et à la barbarie, toutes et tous ont voulu témoigner par leur présence leur engagement dans le respect de la liberté et de ce refus inexpugnable de l’antisémitisme.

Réaffirmant que rien ne pouvait justifier de telles dérives et comportements, Mani CAMBEFORT, au terme de sa lecture, évoqua le principe de la constitution et de son article 1 : « l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion » et le respect de toutes les croyances.

Une note d’espérance partagée par ces centaines d’Auxerrois qui, tous en chœur, ont clôt ce moment républicain, empli d’émotion, en entonnant la Marseillaise…

 

 


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