Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Les PME et les entreprises du CAC 40 font appel à des cabinets de conseils depuis des lustres. Pour les commerçants, artisans et autres très petites entreprises, appeler un consultant correspond à un malade, qui après avoir fait le tour des médecins traditionnels, finirait par contacter un rebouteux. Avec l’affaire « McKinsey », les Français découvrent que l’Etat prend des décisions après avoir pris attache avec des cabinets de consultants.

 

TRIBUNE : Il s’agit d’une vieille pratique à laquelle souscrit de nombreux états. Lorsque le pape François arrive au sommet du Vatican, il décide de faire l’audit des comptes bancaires de Rome. Il déclare qu’il mettra fin au bricolage des études précédentes en faisant appel aux plus grands cabinets d’audit et de conseil américains.

Alors, faire appel à des cabinets de consultants pour accompagner les missions de l’Etat n’est pas nouveau. Le gouvernement actuel a suivi les pratiques de ses prédécesseurs. Le problème n’est pas là. Jusqu’en 2020, plus d’une cinquantaine de cabinets prodiguaient leurs précieux conseils, sachant que McKinsey ne représentait que 1 % du total. A partir de 2021, la machine s’emballe : McKinsey pèse selon le Sénat, près de 1,5 milliard de notes d’honoraires.

 

Le sanitaire et le numérique comme sources de missions…

 

Dans son rapport, le Sénat  écrit que « le rôle d’un cabinet de conseil consiste à rédiger des documents stratégiques à destination des responsables publics ». Mais, les missions des cabinets de conseil sont aussi beaucoup plus concrètes. Lors de la crise sanitaire, il leur a notamment été confié la logistique des masques, des équipements de protection et des vaccins, des systèmes d’information pour la vaccination – VAC-SI – et pour le passe sanitaire.

Mais une grande partie de l’activité de conseil relève du secteur informatique : ce domaine représente 646,4 millions d’euros en 2021, soit 72 % des dépenses de conseil. Le Sénat rappelle la teneur de ces missions : conseil en  « qualité des systèmes d’information », « stratégie des systèmes d’information », « étude de projets applicatifs » ou encore « urbanisation et expertise technique ».

 

 

Des zones d’ombre que le Sénat tente d’éclaircir…

 

Où sont les problèmes ? Le comptable représente le rétroviseur de l’entreprise alors que le cabinet conseil est la boussole : mieux inventer l’avenir. Le problème, c’est que face à une armée de technocrates, énarques et consorts, l’Etat semble dans l’incapacité de gérer sans l’intervention de tiers étrangers aux ministères. Ce qui interpelle et motive la commission d’enquête, voulue par les sénateurs. Ces derniers fustigent les sommes exorbitantes réglées par l’Etat à McKinsey, la prédominance de ce cabinet, l’intégrité de ce cabinet (McKinsey conseille sur la politique de vaccination alors que le cabinet américain est actionnaire de PFIZER !), sachant que le Président de la République a choisi le laboratoire des Etats-Unis comme fournisseur de vaccins.

Le Conseil Constitutionnel, présidé par Laurent FABIUS, a validé les dispositions législatives concernant les vaccins. Or, Victor, le fils de l’ancien Premier ministre dirige la filiale hexagonale de McKinsey. Précisons que le cabinet a prodigué, gratuitement, ses conseils auprès d’Emmanuel MACRON durant toute sa campagne de 2017. Pourquoi gratuitement ? Le Sénat veut aussi connaître les contreparties cachées, s’il y en a, d’une telle opération. McKinsey doit communiquer aux Etats-Unis la copie de toutes ses études et rapports (c’est la loi américaine). Ainsi, quid des études confidentielles qui se rapportent à la France ?

Enfin, dernier point, quid de l’impôt sur les sociétés concernant McKinsey en France. Existe-t-il une évasion fiscale légale ? Certes, s’il règle la TVA, le cabinet US déduit tout ce qu’il récupère sur ses achats.

 

 

Une histoire de moutons qui en dit long sur les consultants !

 

Connaîtra-t-on un jour les résultats de cette enquête ? L’avenir le dira. On doit remarquer le trouble que pose le questionnement du Sénat. Le problème ne se situe aucunement dans le fait que l’Etat fasse appel à des cabinets extérieurs. Si un journal, voici quelques années, avait écrit un jour : « …parlons des cabinets de consultants », je ne résiste pas à l’envie de vous raconter une histoire de consultant : « en pleine montagne, un homme d’affaires lambda (attaché-case, nœud papillon et costume de bonne coupe) arrête sa voiture devant un berger. Il s’écrie : « Ola, brave homme, si je vous dis en quelques secondes, combien il y a de moutons dans votre troupeau, vous m’en donnez un. D’accord, dit le berger. Le consultant parcourt le troupeau d’un regard balayant et déclare : il y a 198 moutons ! C’est bien, dit le berger et le spécialiste s’empare d’un animal. Attendez, déclare le berger, si je vous dis quel métier vous faites, vous me rendez ma bête ? Ok dit l’autre. Et bien vous êtes consultant, cher ami. L’autre est sidéré : comment vous avez deviné ?  Facile, dit le gardien de la montagne, vous arrivez quand on ne vous attend pas, quand on ne vous a rien demandé, vous nous dites ce que l’on sait déjà et c’est mon chien que vous avez pris ! ».

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

A quels saints se vouer lorsque l’on est à la tête d’une entreprise de travaux publics aujourd’hui ? Certes, face à une conjoncture pour le moins délicate (conséquences de la crise sanitaire, orages noirs qui s’accumulent sur la partie orientale de l’Europe), le moral est en berne car les prix, eux, ne cessent d’atteindre des sommets. Une poussée de fièvre inflationniste inéluctable qui grève les budgets. A commencer par ceux des sociétés qui tentent tant bien que mal de relever la tête et de garder le cap imposé par leurs carnets de commandes…

 

FLOGNY-LA-CHAPELLE A date, les professionnels des travaux publics ne rencontrent pas encore de problématiques liées à la pénurie sur les matières premières utilisées sur leurs chantiers. Une nouvelle positive, malgré ce vaste maelström d’informations néfastes qui leur tombe dessus depuis un moment. Une nouvelle à accueillir avec une réelle satisfaction, tout de même. Celle-ci étant synonyme de non-blocage des chantiers. Pour l’instant, devrait-on préciser un brin optimiste et en croisant les doigts.

Pour l’heure, le souci se situe ailleurs pour les entrepreneurs de la filière. Du côté de l’envolée vertigineuse des prix. Cela coince vraiment aux entournures et cela fait mal aux porte-monnaie déjà décharnés des sociétés du secteur qui ne s’attendaient pas à de telles secousses telluriques, mettant à mal leurs budgets et leurs projets de développement. Voire d’investissements.

La surcharge inflationniste observée sur les tarifs énergétiques depuis plusieurs semaines inquiète de plus en plus le sérail de la FRTP, la Fédération régionale des Travaux Publics. L’un de ses représentants départementaux, en la personne de Baptiste MANSANTI, dirigeant de la société éponyme, se soucie de cette progression tarifaire exceptionnelle. Entraînant de facto des répercussions de plus de 30 % sur les factures de gaz et d’électricité à l’année. Un bail…

Un alourdissement des notes à payer qui vient s’ajouter au 30 % de hausses constatées sur le prix des matériaux usuels, à commencer par les granulats, le bitume ou les enrobés.  

« Nous avons atteint des sommets tarifaires que je n’avais jamais observé jusque-là, souligne Baptiste MANSANTI, quelque peu désabusé par une situation devant perdurer si les choses s’enlisaient durablement en Ukraine. Nous suivons l’évolution de ce dossier avec vigilance… ».

 

 

Une demi-douzaine de courriers par jour de la part des fournisseurs…

 

D’autant que tous les produits dérivés des énergies fossiles (bitume, enrobé, gaz, pétrole, carburants) suivent une irrésistible courbe spéculative qui ne devrait pas en rester là selon les experts.

Impactées par ces effets en cascade, les sociétés de travaux publics subissent aussi le contre-coup de leurs fournisseurs. Les courriers rappelant une correction tarifaire sur des commandes pourtant passées de longues dates s’accumulent sur le bureau de Baptiste MANSANTI. Las, et le regard triste, il présente une liasse de documents qui ne cesse de s’étoffer de jour en jour, à son grand désarroi. Et malheureusement, à la lecture rapide de ces missives liminaires, il n’est fait aucune mention de pouvoir négocier quoi que ce soit dans les contrats.

Et quand ce ne sont pas les entreprises partenaires qui se rappellent au bon souvenir de leurs débiteurs, c’est évidemment l’Etat qui revient à la surface, telle une hydre à plusieurs têtes avec une nouvelle surcharge fiscale à appliquer sur le prix des carburants et de l’énergie, soit au 01 mai, plus quatre euros en moyenne perçus en sus par mètre cube sur les carburants spécifiques aux engins.

Bref, en quinze ans d’antériorité entrepreneuriale, le dirigeant de Flogny-la-Chapelle n’avait jamais vu une telle hystérisation de la chose spéculative (mais à qui in fine profite donc le crime ?), une situation ubuesque qui en serait presque risible si le contexte mondial n’était pas aussi névralgique.

 

 

Revoir la hiérarchisation du carnet de commandes…

 

Dès lors, en bon capitaine de corvette qu’il est devenu en reprenant le gouvernail de l’entreprise familiale, Baptiste MANSANTI repousse dès qu’il le peut et que cela se justifie du fait de l’éloignement de certains travaux la dead-line des chantiers, initialement portée sur le carnet de commandes. Le plus souvent après la rentrée automnale ; souhaitant que la conjoncture internationale s’améliore un chouïa. Tout en tentant de conserver ses marges.

Un délicat travail d’équilibriste du quotidien pour le quadragénaire qui s’expose, et il le sait, aux risques d’impayés de la part de clients qui seraient étranglés par ces hausses exponentielles qui font plonger le PIB de l’Hexagone.

Se refusant de céder à la panique, l’entrepreneur prend soin d’analyser dans le calme son carnet de commandes, en priorisant les chantiers à exécuter. Voire en les mutualisant dès que possible.

Sur le marché des collectivités, et de la commande publique par effet de ricochet, la préfecture a alerté les structures institutionnelles à accueillir favorablement les révisions de prix de manière systématique. Et de suspendre toutes pénalités de retard devant contraindre les chantiers à ralentir du fait de ce contexte complexe.

 

 

« Il faudrait aussi accélérer la publication des index permettant les mécanismes de révision des prix, ajoute Baptiste MANSANTI, en les ramenant à 45 jours… ».

Une proposition que ne cesse de marteler la FRTP en cette période d’entre deux tours de la présidentielle.

L’emploi du GNR et sa fiscalité avantageuse pour alimenter les engins de chantiers qui ne peuvent fonctionner à l’électrique sont privilégiés parmi les préconisations envisageables. Même si le prix au litre de ce carburant hors taxes est passé de soixante centimes d’euros avant la crise à 1,90 euros aujourd’hui

Autre aspect sensible de cette équation insoluble à plusieurs inconnues, le recrutement et la non-augmentation des salaires.

« Je recherche de trois à quatre nouveaux collaborateurs qui pourraient renforcer mes équipes en qualité de conducteurs d’engins, de maçons et de conducteurs de machine, argumente le président de la FRTP 89, or, je n’ai pas les moyens de financer leurs postes à l’heure actuelle compte tenu de la conjoncture… ».

Pour l’heure, la société MANSANTI poursuivra ses missions régaliennes, à savoir l’entretien des voiries, les travaux d’assainissement d’eau potable et usagée, et de terrassement en s’appuyant sur sa force vive de vingt-cinq salariés.

« On se serre les coudes, on fait le dos rond et on attend des jours meilleurs, résume le dirigeant un brin pessimiste mais ô combien réaliste sur la situation de la filière, nous sommes en contact direct dans le cadre d’un protocole avec le préfet de l’Yonne (une manière de faire connaissance avec Pascal JAN, nouveau représentant de l’Etat), afin de faire face à toutes les situations… ».

Les travaux publics, à l’instar de bon nombre de secteurs économiques, sont comme du lait à surveiller sur le feu, qui pour l’heure, ne déborde pas encore de la casserole…Pourvu que cela dure.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’une de ses principales qualités serait sa tempérance à être consensuelle. De la pure logique, en somme, pour notre interlocutrice puisqu’elle revendique avec fierté son appartenance zodiacale au signe de la balance. A 44 ans, la seule et unique femme « MSL » (Manager de Service Local) exerçant ses activités professionnelles pour le compte du groupe VEOLIA, au nord de la Bourgogne, n’en possède pas moins une solide expérience dans son domaine de prédilection, l’assainissement et le traitement de l’eau. Immersion aux côtés de cette battante qui aime valoriser l’esprit d’équipe…

 

AUXERRE : Qu’elle soit assise derrière son bureau à traiter les dossiers administratifs ou sur le terrain revêtue de sa plus belle parure de visiteuse de chantiers, Cécile THOUVIOT est une passionnée ! A la tête d’une micro cellule de six personnes (toutes masculines), cette Beaunoise d’origine officie en qualité de Manager de Service Local (MSL) pour le compte de VEOLIA Eau, l’une des filiales de l’opérateur mondialement connu.

Pourtant, Cécile ne se prédestinait pas à exercer un jour son savoir-faire au sein de cette branche corporatiste, plutôt aux antipodes des carrières coutumières de la gent féminine. Elle franchit ce cap en 1999. D’abord en intégrant, la Générale des Eaux qui se muera en VIVENDI par la suite. Avant de se retrouver de facto après les multiples mutations de l’entité, au fil des ans, parmi l’effectif imposant de VEOLIA.

 

La voie aquatique semble toute tracée…

 

Initialement, dans le choix de son cursus pédagogique, la jeune femme voue un enthousiasme à la branche « chimie ». Son baccalauréat en poche, Cécile hésite cependant à se lancer sur un secteur professionnel, ne lui offrant que peu de perspectives. D’où la poursuite de ses études et l’accessit d’un diplôme supplémentaire : un BTS des métiers de l’eau. Nous sommes en 1998. Sa voie, un zeste aquatique, semble toute tracée !

« Je souhaitai bifurquer de cet enfermement un peu trop « chimique » de mon cursus, souligne-t-elle, avec humour, l’univers de l’assainissement et du traitement des eaux m’apparaissait comme plus naturel à aborder. Ses stages en alternance durant sa période de BTS l’entraîneront de facto vers la Compagnie Générale des Eaux de Beaune, avant d’assurer le remplacement durant un trimestre d’une personne en congé maternité. La belle affaire pour Cécile THOUVIOT qui devient alors laborantine.

« J’ai découvert ce poste sur la station d’épuration locale pour l’agence de Côte d’Or, explique-t-elle, avant d’évoluer en qualité de responsable de réseau au sein de l’unité opérationnelle… ».

 

Une nouvelle opportunité de carrière à Auxerre…

 

L’opportunité de prendre le large, un peu mais pas trop !, l’amène à postuler lors de la signature du contrat de délégation de service public (DSP) de son groupe avec la ville d’Auxerre. Une année 2015 capitale dans la réorganisation de sa vie professionnelle (et personnelle) puisqu’avec son mari, Cécile décide alors de quitter les vignobles beaunois pour mieux emménager dans la capitale de l’Yonne, plus septentrionale.

C’est là, dans la cité chère à Paul BERT, que cette férue de livres de science-fiction endosse la vêture de sa nouvelle mission : manager de service local, ce fameux acronyme de MSL Une fonction hybride à plusieurs têtes !

« Dans les faits, précise l’encadrante, cela se traduit par beaucoup de choses. Avec des interventions savamment maîtrisées sur tous les sujets d’assainissement et de travaux concernant la ressource eau sur des zones géographiques clairement identifiées qui sont l’Auxerrois, l’Aillantais, le Jovinien. Les attributions sont différentes selon les secteurs, entre gestion des contrats de DSP : Auxerre et Aillant avec leurs réseaux assainissement, Joigny avec le suivi de la station d’épuration… ».

 

 

Objectif 2023 : les renouvellements des DSP…

 

Une appréhension du métier qui s’exerce en mode PME pour la jeune femme. Celle-ci  travaille aux côtés de cinq collaborateurs qui effectuent des tâches spécifiques mais dans la polyvalence. Sage précaution pour pallier les absences imputables aux congés ou aux formations.

L’ambition, aujourd’hui, est d’en faire davantage et d’optimiser les dossiers existants, lors des renouvellements des contrats de délégation de service public.

« C’est simple, souligne Cécile THOUVIOT, notre service peut soit tripler de volume du fait de ces renouvellements de contrat soit se réduire comme peau de chagrin ! ».

Confiante, la jeune femme sait que ces contrats devraient permettre de pérenniser l’équipe. Voire peut-être de l’étoffer davantage. L’enjeu est donc de taille d’ici l’été, terme de la période préparatoire. D’autant qu’en 2023, le manager de service local de l’Auxerrois devra bien préparer son affaire avant le renouvellement de la DSP à Auxerre.

« L’eau et l’assainissement seront à renouveler avec les contrats sur les 29 communes que compte l’agglomération. C’est une étape stratégique très importante, synonyme de pérennité du service ».

Des contrats le plus souvent reconduits pour une période de dix à quinze ans. Ils seront préparés lors de la période estivale. Avant d’être présentés dès l’automne pour un verdict définitif rendu cet hiver. D’ici là, et très motivée, Cécile THOUVIOT a de beaux objectifs devant elle. Le quotidien d’une femme très investie par sa mission…

 

 

 

En savoir plus :

Chez VEOLIA, l’égalité entre hommes et femmes fait partie intégrante de la raison d’être du groupe. C’est un pilier de la performance plurielle afin d’agir pour l’égalité professionnelle femmes/hommes et la féminisation des métiers. La mixité est un thème d’action prioritaire au sein de l’entreprise et fait l’objet d’une politique spécifique avec plusieurs enjeux :

- l’équité de traitement, d’opportunité et de promotion,

- la crédibilité vis-à-vis de l’ensemble des collaboratrices du groupe,

- la performance avec la mobilisation de chacun des talents,

- le respect autour de la responsabilité et une solidarité inconditionnelle qui fixe le cadre des relations entre collaborateurs.

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Toujours vaillante, la présidente de la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des Echanges internationaux ! A l’heure de dresser le bilan de la saison écoulée, ternie par une trop longue crise sanitaire faite de périodes de confinement, Marité CATHERIN s’est volontairement projetée vers l’avenir. Celui de cette association phare qui évolue dans le paysage de la société civile auxerroise. Autour de deux credo : le renforcement des liens à l’international, son violon d’Ingres, et l’attractivité du territoire, sur son versant économique qui se développe…

 

AUXERRE : Certes, l’assistance était quelque peu faiblarde à l’amorce des trois coups servant de prélude au lancement de ce rendez-vous annuel. Dommage, en vérité ! Car, une assemblée générale n’est jamais un moment anodin dans l’existence d’une structure associative qui, de surcroît, possède de réelles prétentions pour initier des projets fédérateurs et éclectiques, favorables à son rayonnement.

Et en matière d’influence au-delà de sa proche zone de confort géographique, cette maison peu singulière aux trois étages (jumelages, francophonie, échanges internationaux) rivalise d’ingéniosité et de besoin de créer. En permanence, c’est plus fort qu’elle !

 

Une cité espagnole pour étoffer le nombre de villes jumelées…

 

Primo, les liens entretenus avec les quatre villes étrangères, jumelles de la capitale de l’Yonne. Pour mémoire, Redditch, l’anglaise, Worms, l’allemande, Greve in Chianti (la bien-nommée transalpine !) et Plock, à l’ouest de la polonaise Varsovie, à la prononciation linguistique si particulière que les seuls initiés savent pratiquer avec perfection !

Des relations de gémellité auxquelles il est indispensable d’ajouter deux communes hexagonales, Saint-Amarin, en terre d’Alsace, et la bretonne, Roscoff, qui a donné son patronyme à l’espace verdoyant et arboré situé entre la Chambre de Commerce et d’Industrie et le port de plaisance.

Une nouvelle destination à ajouter dans l’escarcelle des jumelages point à l’orée du jour (lequel ?), du côté de la fière péninsule ibérique. Santo-Domingo-de-la-Cazalda. Des liens étroits existent déjà avec l’un des établissements pédagogiques de la ville. Le lycée des métiers Vauban qui a déjà sauté le pas en nouant des relations éducatives fortes. Logique, puisque la localité espagnole bénéficie de la forte renommée de ses vignobles, au cœur de la Rioja ! Sans omettre son patrimoine culturel très riche qui ne passionne pas uniquement les pèlerins se rendant à Compostelle. La balle est dans le camp de la Ville d’Auxerre qui a connaissance du dossier.

 

 

Un webinaire à géométrie internationale avec Corinne LEPAGE…

 

Secundo, l’entité associative n’en oublie pas moins son rôle d’acteur essentiel de la citoyenneté locale. A travers, son programme pédagogique où l’apprentissage des langues (anglais, italien, espagnol) prédomine.

Même si les cours ont subi quelque peu les affres de la pandémie lors de ces deux dernières saisons très perturbantes en termes d’agenda. Les volets jeunesse, sportifs et culturels sont aussi usités à bon escient pour faire de cette Maison, l’univers de chacun. Via la concrétisation de défis physiques (ce sera le cas lors du Trophée des Jeunes proposé lors du week-end de l’Ascension avec des représentants juvéniles d’Auxerre et de Worms) ; via des opérations menées durant la Semaine de la Francophonie, intense quant à son copieux menu déclinable aux quatre coins de la Bourgogne Franche-Comté.

La francophonie, parlons-en ! Sceau fédérateur unissant plus de quatre-vingts cinq pays de par le monde qui offre la sublime opportunité d’extérioriser Auxerre et son bassin vers d’autres civilisations, la discipline sera une fois encore au cœur de l’actualité en ce mois d’avril.

 

 

Plus précisément, en date du 22, à l’occasion de la Journée internationale de la Terre (elle en a grandement besoin !) où à l’initiative de l’ancienne ministre de l’Environnement Corinne LEPAGE, présidente de Cap Ecologie, sera organisé un webinaire porté par la Déclaration des Droits de l’Homme et le Réseau International des Maisons de la Francophonie (RIMF).

Réseau dont sont adhérentes évidemment les Maisons de la Francophonie de France, et par effet gigogne, celle d’Auxerre qui revendique aussi l’appellation de maison de Bourgogne Franche-Comté (cocorico !).

L’une des membres de la structure locale, Laura NAUDET-DEON, aura le privilège de pouvoir s’exprimer avec de jeunes interlocuteurs reliés sur les cinq continents grâce à la magie du numérique.

 

 

L’économie et l’attractivité, autres terreaux de la quintessence proactive…

 

Tertio, l’autre versant de cette structure protéiforme, le développement économique des relations à l’international engendrées par ces jumelages et la francophonie, s’est concrétisé depuis plusieurs années par la création d’une commission qui n’a rien de « Théodule » dans son aspect.

Se réunissant par quinzaine selon son rythme de croisière, et englobant en son sein des acteurs de la vie institutionnelle et économique du sérail, cette « cellule » intellectuelle avait organisé en novembre dernier un colloque consacré au poids de l’international vu par le prisme auxerrois (culturel, associatif, jeunesse, économique). La manœuvre se réitérera à l’automne prochain à partir d’un tout autre item, mais très complémentaire : l’attractivité du territoire, selon ses forces, ses faiblesses et l’apport de suggestions concrètes pour remédier au dernier aspect.

On le voit : l’oisiveté n’est pas la mère de tous les vices au sein de cette structure, qui certes a vu décroître le nombre de ses adhérents historiques (102 cotisants à ce jour) du fait de deux années de réduction de la voilure de ses activités (merci qui ? A la COVID 19 !), mais qui conserve un noyau dur d’optimistes quant à son avenir et à sa multitude de projets ayant pour vocation à faire bouger les lignes. Une forme de quintessence proactive, en somme…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Indéniablement, c’est ce que l’on appelle joindre l’utile à l’agréable pour les intéressées ! La section esthétisme du CIFA de l’Yonne s’est pleinement mobilisée lors du traditionnel concours de l’ « Un des meilleurs apprentis de France » organisé dans les locaux du centre de formation auxerrois. La moitié de cette classe candidatait afin d’obtenir le précieux « Graal » de la victoire. Le reliquat faisant office de modèle. Ingénieux et très motivant !

 

AUXERRE : Mieux appréhender l’exigence d’une épreuve de haut niveau en se proposant d’incarner le rôle de modèle : voilà ce qu’on vécut huit jeunes demoiselles du centre de formation de l’Yonne il y a peu lors de la sélection départementale de l’épreuve « Un des meilleurs apprentis de France ». Un challenge qui ne manqua pas de créer du stress chez ces jeunes filles, peu habituées au feu nourri des projecteurs.

 

 

Une épilation rapide et des soins en manucure/pédicure…

 

Durant une heure et trente minutes, les esthéticiennes en herbe déroulèrent le programme imposé par ce concours, concocté par la Société nationale des Meilleurs Ouvriers de France, à savoir une épilation rapide avant de proposer des soins du visage avec un masque, complétée d’une séance de manucure où redonner de la beauté aux ongles représentait une impérieuse obligation !

Parallèlement, une autre compétition se tenait en ces murs. Le concours organisé autour de la vente et des élèves suivant la filière Commerce. Soit 3h30 de réflexions et de prises d’initiative à la réalisation d’une vitrine répondant à l’item du jour : « La gourmandise est un très joli défaut ».

 

 

Susciter l’acte d’achat d’un consommateur à la vue d’une vitrine…

 

A partir d’une page blanche, et on l’imagine de beaucoup de créativité, les jeunes concurrentes devaient élaborer dans ce court laps de temps la conception d’une vitrine devant satisfaire les sens visuels des gourmands, gourmets et autres épicuriens, alléchés par tant de prouesses. Mise en valeurs de produits gastronomiques, scénographie autour des spécialités de la boulange et de la pâtisserie…autant de pistes appétissantes dans lesquelles s’engouffrèrent certaines candidates inspirées.

Une prise de parole, devant le jury, compléta cette première mise en bouche. Là, il aura fallu expliquer la stratégie merchandising de ces différentes créations visuelles devant inciter in fine le client potentiel à valider son acte d’achat en faisant fi de la tentation de la gourmandise !

 

 

Lors de son allocution, Michel TONNELLIER, président du CIFA de l’Yonne, insista sur l’expérience acquise par tous ces jeunes de prendre part à ces concours, vecteurs de l’excellence – un terme qui résonnait à ses oreilles, comme à celles du directeur de l’établissement Marcel FONTBONNE – et de vivre l’émulation du dépassement de soi qui y est associé.

Président départemental de la Société des Meilleurs Ouvriers de France, Marc LABARDE procéda ensuite en guise de plat de résistance à la remise des prix. En lâchant un conseil utile à cette honorable assistance en quête d’un bel avenir : « Soyez toujours à la recherche de l’excellence dans l’exercice de votre métier ! ».

Un message reçu cinq sur cinq par les récipiendaires d’un soir !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil