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Il est ici comme dans son jardin, le directeur de compagnie et comédien Xavier CLEMENT. Peut-être est-ce imputable à l’air salvateur et bénéfique de la campagne de cette Puisaye profonde, illustrée par ce singulier théâtre qu’est celui de La Closerie. L’artiste aime y créer de nouveaux spectacles. Au rythme régulier annuel, comme pour mieux familiariser le public de fidèles – ils le sont depuis 19 années de représentations ! – permettant de prendre conscience des imperfections de ce monde. « La Grande Terreur du IIIème Reich » en est un triste exemple, malheureusement…

 

ETAIS-LA-SAUVIN : C’est sûr, les zygomatiques ne seront pas sollicités lors de cette triple présentation ce week-end de la nouvelle création théâtrale concoctée par le fécond Xavier CLEMENT, l’un des pensionnaires attitrés depuis bientôt deux décennies de ce lieu si bucolique et charmant qu’est « La Closerie ».

Car, choisir comme source d’inspiration deux textes de Bertolt BRECHT et de Daniel KEENE faisant référence aux horreurs de l’impérialisme allemand des années 30/40 qui débouchèrent sur la Seconde Guerre mondiale et ses millions de morts n’autorise aucune légèreté dans leur appréciation scénique. C’est une évidence et une question de respect…

Mais, au-delà de l’humour faisant le lit des vaudevilles habituels du théâtre de boulevard à la FEYDEAU, c’est plutôt à une introspection psychanalytique sur les noirceurs de l’âme humaine et ses dérives abyssales à jamais blâmables à laquelle les spectateurs seront conviés.

D’ailleurs, ils auraient tort à 100 % de ne pas se prêter au jeu d’y assister. Afin de s’imprégner de la découverte de ces textes riches aux mots délicatement choisis au millimètre près, « Grand-Peur et misère du IIIème Reich », rédigé en son temps par le dramaturge allemand Bertolt BRECHT ayant subi les foudres avec force et véhémence de l’appareil autocratique et répressif de Berlin, et « La Pluie », une œuvre à l’estampille de l’auteur australien Daniel KEENE.

 

Un double récit basé sur le devoir mémoriel

 

Là, en couchant des phrases crues et sans fard sur le papier, l’écrivain de Melbourne évoque avec une infinie pudeur, et en faisant témoigner une vieille femme qui en narre les contours de l’histoire, l’existence de celles et ceux qui ne sont jamais revenus de leur ultime voyage à bord de ces trains de l’enfer les emmenant comme des bestiaux vers la déportation dans les camps de la mort. Ceux de la honte et du dégoût absolus…Seuls resteront quelques objets hétéroclites confiés à cette vieille femme pour que la mémoire ne les oublie pas dans les limbes.

L’œuvre de BRECHT, plus connue, est jalonnée de coups du sort et de coup de pouce de la destinée face à ce pouvoir dictatorial sanguinaire aux heures si sombres qu’il combattit par la pensée, bec et ongles.

Déchu dès 1935 de sa nationalité allemande, Bertolt BRECHT survécut après son exil et ce jusqu’en 1956 à la folie hégémonique du régime totalitaire d’un seul homme, Adolf HITLER, dont on a appris il y a quarante-huit heures à peine dans les informations internationales que sa demeure natale en Autriche allait se transformer en commissariat de police ! De quoi se retourner dans sa tombe pour le dramaturge !

 

  

Un rendez-vous théâtral pour mieux comprendre la géopolitique actuelle

 

Proposant une programmation qui se veut éclectique d’année en année La Closerie (Gérard-André et Andrée) n’hésite jamais à distiller de temps à autre des messages forts et prégnants au cœur de leur festival du spectacle vivant, dix-septième du nom en 2023. On se souvient ainsi de l’interprétation magistrale du « Joueur d’échecs » de Stefan ZWEIG, applaudi par plus de 600 spectateurs en seulement trois séances, qui fit exploser tous les compteurs de la fréquentation.

Sans doute, avec cette « Grande Terreur du IIIème Reich » aux relents si nauséabonds avec les évènements belliqueux vécus à l’Est de l’Europe, la jauge du public venant applaudir les artistes pourrait être dépassée. Certaines similitudes avec l’actualité donnent à réfléchir afin de mieux comprendre les affres de l’obscurantisme…

Sur scène, la jeune Justine LECOQ donnera la réplique à Xavier CLEMENT dans ce retour mémoriel vers cette page de l’Histoire si détestable. La mise en scène étant réglée comme du papier à musique par Amélie PREVOST.

On retrouvera avec plaisir, dès le mois d’octobre, ces artistes dans la représentation de « Berlioz, une vie dramatique » où Jules AMIEL a rassemblé les musiques et réalisé les prises de son pour les voix off tandis que le maître des lieux, comme ce week-end par ailleurs, Gérard-André officiera en technicien de la création des lumières et de la régie plateau.

 

 

En savoir plus :

« La Grande Terreur du IIIème Reich » inspirée de textes de Bertolt BRECHT et Daniel KEENE

Théâtre de La Closerie à Etais-la-Sauvin

Vendredi 25 août et samedi 26 août à 20h30

Dimanche 27 août à 16 heures

Participation de 09 à 15 euros

Réservations :

Tel : 03.86.47.28.16.

Internet : www.lacloserie-spectacles.fr ou mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 

 


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C’est presque une histoire de fantômes à la sauce britannique, of course, qui nous est proposée là par la programmation des Rencontres Musicales ! Ceux de John LENNON et de George HARRISON qui croisent l’ectoplasme de feu le compositeur anglais du XVIIème siècle, Henry PURCELL lors d’une improbable scénographie instrumentiste ! Qui sait si les deux BEATLES survivants, Paul McCARTNEY et Ringo STARR, ne seraient pas de passage sur la « Colline éternelle » pour couronner le tout !?

 

VEZELAY: Décidément, les « Quatre Garçons dans le vent » font toujours recette du côté de l’emblématique cité vézelienne. Déjà programmés en mai dernier lors d’un splendide week-end qui leur fut consacré par la Cité de la Voix, les « Fab Four » de Liverpool nous reviennent de façon mémorielle et nostalgique cet été en guise de sympathique hors d’œuvre pour l’ouverture des 23ème Rencontres Musicales ce jeudi. Un rendez-vous de haute volée que les mélomanes et férus de classique ne manqueront pas de suivre et d’apprécier durant les trois prochaines journées.

Au printemps dernier, trois journées de conférences, concerts et restitution d’un stage de chant avaient permis aux aficionados de la célèbre formation de la pop anglaise de se délecter en réécoutant, via des interprétations originales novatrices assurées par des musiciens issus de multiples horizons, les incontournables morceaux du groupe ayant vendu plus d’un milliard de disques dans le monde.

L’une de ses formations, les PALADINS, avait déjà pris part à cette belle aventure rétrospective de la carrière de John, Paul, George et Ringo. Ces mêmes PALADINS nous reviennent donc en ce jeudi 24 août en l’église Saint-Jacques-le-Majeur à Asquins pour ouvrir le bal de cette exquise farandole musicale, à consommer sans modération !

Mais, cerise sur le gâteau, les cinq chanteurs et musiciens (Jérôme CORREAS, clavecin, orgue et direction), Magali LEGER (soprano), Amandine BONTEMPS (soprano), Jean-François LOMBARD (ténor) et Arthur CAMBRELING (viole de gambe) ne se cantonneront pas à la relecture vocale et instrumentale originale des airs des « Quatre de Liverpool ». Ils y ajouteront un autre invité de marque, le compositeur anglais Henry PURCELL. Le créateur de la musique baroque à la sauce made in England ! Opéra, musique de chambre, cantates profanes et religieuses parsèment l’œuvre du compositeur dont la source d’inspiration fut les éléments stylistiques italiens et français en la matière.

Alors, serait-ce ce jour une rencontre improbable entre les BEATLES et PURCELL ? En tout cas, elle a le mérite de se mettre à nue pour le plus grand plaisir des mélomanes avertis. Ce public de Vézelay ouvert à toutes les expériences musicales…

 

En savoir plus :

Ouverture des 23èmes Rencontres Musicales de Vézelay

Eglise Saint-Jacques-le-Majeur à Asquins à 14h30

« BEATLES Baroque » par les PALADINS.

 

Thierry BRET

 


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C’est la sixième édition pour l’un de ces festivals artistiques très attendus par la population icaunaise, et auxerroise, en particulier. Du 25 au 27 août, le centre-ville de la capitale de l’Yonne va se métamorphoser pour accueillir une vingtaine de compagnies hexagonales et européennes spécialisées dans les spectacles de rue. Un supplément d’âme culturel qui fera vibrer un public qui en redemande déjà…

 

AUXERRE: C’est désormais une tradition. Chaque dernier week-end du mois d’août correspond à la tenue de ce rendez-vous, mêlant liesse et joie parfois enfantine parmi un public, toujours impressionné par les prouesses expertes de ces saltimbanques en lettres d’or. Ces artistes de rue qui écument tout l’été les grands rendez-vous hexagonaux leur permettant d’offrir le meilleur d’eux-mêmes devant le public.

Aurillac, Chalon-sur-Saône, et maintenant Auxerre intègrent ce club un peu restreint en France où les spectacles de rue prennent corps dès l’été revenu au beau milieu du patrimoine historique d’une cité.   

Porté par la collectivité, ce festival s’ouvrira ce vendredi avec le spectacle proposé par la Compagnie du Deuxième (« Animaversaire »). Il se clôturera deux jours plus tard par le programme concocté par PAKIPAYA, une compagnie apparue en 2008 et née de la rencontre de Noémie DIAZ et Adria MASCARELLI, réalisateurs, créateurs et interprètes de talent. « Shake, Shake, Shake » - la honte dans la langue de Shakespeare – en sera leur contribution physique.

In fine, nombreux seront les acrobates, danseurs, jongleurs, comédiens, chanteurs, et autres à investir les rues de la ville pour y porter le rêve et l’émotion.

 

Thierry BRET

 


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Le 11 juillet 2024, l’Yonne verra la flamme olympique traverser son territoire au cours de plusieurs étapes lors d’une journée d’exception qui s’annonce déjà mémorable par son intensité, ses animations sans doute proposées par la vie associative et sportive, le possible engouement du public (?), son originalité visuelle. Mais, c’est sûr : les Jeux de Paris ont déjà débuté dans notre département avec cette vaste campagne d’affichage qui est placardée sur les abribus des villes principales. Histoire d’égrener peut-être le compte à rebours qui nous rapproche de l’évènement ?   

   

Lundi 

C’est un drame qui se joue à moins de 2h30 d’avion de Paris. Selon l'ONG « Human Rights Watch », plus d’un millier d’exilés d’Afrique subsaharienne ont été déportés par les forces de sécurité tunisiennes dans une zone militaire désertique bordant la frontière libyenne, sans eau ni nourriture. Déjà 27 migrants ont été retrouvés morts de soif et plus d’une centaine sont « portés disparus ». La conséquence d’une flambée de violences racistes abondée par les propos xénophobes du président Kaïs SAIED à leur encontre. Des naufragés de l’existence qui jusque-là, survivaient en travaillant dans les champs pour moins de 20 dinars par jour (environ 6 euros). Peu d’échos dans les médias, à l’exception d’un reportage diffusé le 03 août dernier, sur « France 2 », avec cet avertissement éloquent en préambule : « Attention, certaines images peuvent heurter les plus sensibles »… Combien de temps encore, continuerons-nous à regarder ces femmes et ces hommes mourir sous nos yeux, dans  l’indifférence et le silence ? Devenue au fil des années une destination touristique majeure du bassin méditerranéen, la Tunisie est aussi appelée « pays du jasmin », du nom de cette fleur blanche emblématique, symbole de pureté, de douceur de vivre et de… tolérance !

 

 

Mardi

Deux ans aujourd’hui que Kaboul est tombée aux mains des talibans. Une prise de pouvoir qui a entraîné le pays dans une crise économique et humanitaire sans pareil et fait de l’Afghanistan une prison à ciel ouvert où les droits et libertés des femmes n’ont depuis, cessé de diminuer. En décembre dernier, l’ancien ambassadeur de France à Kaboul, David MARTINON était l’invité des « Conversations de l’Abbaye » à Auxerre, louant le travail mené par le gouvernement d’alors pour organiser l’exfiltration du plus grand nombre possible de ressortissants Afghans. Omettant dans son discours d’évoquer ces centaines de supplétifs, anciens auxiliaires de l’armée française, restés sur place avec leurs familles, à l’issue du pont aérien mis en place. Abandonnés à leur sort, combien depuis ont été arrêtés, torturés, voire exécutés sommairement, pour cause de « trahison » ? Un tragique scénario qui n’est pas sans rappeler le massacre des Harkis « oubliés » par les autorités françaises au lendemain de l’indépendance algérienne. Lorsque l’Histoire bégaie, ce n'est jamais à son avantage…

 

 

Mercredi

De jeunes voyageurs en partance pour l’Islande bloqués à Orly, sans aucune alternative ni solution d'hébergement proposée, après s’être vu notifier par la compagnie Transavia l’annulation de leur vol juste avant le décollage… Des passagers Ryanair abandonnés à leur retour de vacances à Liège, faute d’avoir pu se poser à Beauvais avant la fermeture nocturne de l’aéroport… Des adeptes de la société autocariste FLIXBUS « oubliés » sur une aire d’autoroute, à l’image de cette personne en situation de handicap, dont le voyage entre Besançon et Paris s’est achevé près d’Auxerre… Autant d’anecdotes pour témoigner des « limites du low-cost » en matière de voyages et de la considération toute relative portée aux personnes transportées. Le pire est peut-être à venir, quand on sait qu’il y a quelques années, le patron de Ryanair, Michael O’LEARY, envisageait de supprimer trois rangées de sièges et des toilettes à l’arrière de ses appareils, pour y faire voyager debout une cinquantaine de passagers… Inventant de fait les premiers « wagons à bestiaux » volants !

 

 

 

Jeudi

C’était jour de rentrée ce jeudi à la Réunion. Un évènement qui justifiait sans nul doute le déplacement sur l’île du nouveau ministre de l’Education, Gabriel ATTAL, même s’il est permis de penser que faire plus de 22 000 kms pour un séjour n’excédant pas 48 heures mérite un zéro pointé en matière de bilan carbone ! Par-delà les discours et déclarations de circonstance, l’on retiendra surtout de ce premier voyage officiel, la bourde de l’ancien porte-parole du gouvernement au sujet de « l’immigration mahoraise » frappant la Réunion. Oubliant un peu vite que Mayotte appartenait à la France depuis 1841 et que l’île avait même statut de département depuis mars 2011 après un référendum organisé deux ans plus tôt. L’élève ATTAL a semble-t-il encore du pain sur la planche en matière d’histoire et géographie ! Si ses futures déclarations sont du même tonneau, l’on attend avec impatience et gourmandise un éventuel voyage en Corse…

 

Vendredi

 

Incontournables du paysage parisien, cher au cœur des touristes, les bouquinistes des quais de Seine sont sommés par la préfecture de démonter avant l’été prochain leurs célèbres boîtes vertes, au motif de sécuriser les abords du fleuve pour la cérémonie d’ouverture des prochains Jeux Olympiques. Sans que l’on sache encore si elles reprendront par la suite la place qu’elles occupent pour certaines, depuis 1859. De « vieilles dames » trop fragiles pour un déménagement qui risque bien de leur être fatal…

 

 

Samedi

Depuis Atlanta en 1996, la firme Coca-Cola a pris l’habitude tous les quatre ans, de déclarer sa flamme aux Jeux Olympiques. Cette année-là, pas moins de 125 millions de dollars furent ainsi consacrés à sa publicité, dont plus de 40 millions pour obtenir le droit d’être fournisseur exclusif des boissons vendues dans les enceintes sportives. Déjà partenaires des JO 2024, la firme d’Atlanta parrainera également le relais de la flamme qui sillonnera l’Hexagone. Une flamme prévue passer dans notre département le 11 juillet prochain, comme en atteste cette campagne d’affichage à l’ombre des abribus auxerrois. Votre idéal olympique, vous le préférez comment… ? « Light », « Cherry » ou « Sans sucre » !

 

 

Dimanche

Présenté en comparution immédiate le 11 août dernier devant le tribunal correctionnel de Tours, un homme de 23 ans est soupçonné d’avoir une semaine plus tôt mis le feu à une vingtaine de poubelles, occasionnant au passage l’incendie de treize véhicules et de quelques façades de maisons. Placé en détention provisoire, dans l’attente d’une expertise psychiatrique, il sera jugé le 20 septembre prochain… Une info des plus banales après les émeutes ayant embrasé tout le pays en juillet dernier, à ce détail près que le présumé pyromane, fils d’un major de police était lui-même policier-adjoint à Vierzon depuis quatre ans et devait entrer en septembre à l’école de Police de Rouen. Sans doute ce que l’on appelle avoir le « feu sacré » !

 

Dominique BERNERD

 


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Ce samedi 19 août, il est 09h25 sur le quai 1 de la gare de Sens. Le TER 891223 en provenance de Paris et à destination d’Avallon y est annoncé à l’heure. Tout va bien ! Après Sens, les billets sont contrôlés : un fait suffisamment rare pour être précisé. Avant que ne survienne la surprise du jour. Et de taille, celle-là !

 

BILLET : C’est à Laroche-Migennes que les choses se gâtent. La ligne en direction d’Auxerre - Avallon n’étant pas électrifiée, les rames y circulent encore avec du gasoil.

Or, défense de rire, le plein n’ayant pas été effectué avant le départ du train, il nous faut donc quitter, nous autres pauvres voyageurs, la rame.

Peu après, des agents de la SNCF nous distribuent des bouteilles d’eau de marque « Cristalline » (merci Guy ROUX !).

 

 

Initialement prévu de trente minutes, notre retard sera finalement d’une heure et vingt minutes !?

Quatre-vingt minutes pour faire un plein de gasoil dans une locomotive, qui dit mieux côté efficacité ?

En guise de conclusion, j’ai une pensée émue pour nos navetteuses et navetteurs de l’Yonne, qui, si souvent, subissent ces inadmissibles aléas qui découlent d’un bien triste constat : le côté « j’m’en foutisme » du monde cheminot…

Gauthier PAJONA


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