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Officialisé le 26 octobre chez nos confrères de la web TV, « COMCOM TV » à Maillot, ce nouvel opuscule médiatique proposé par l’agence de communication B3C, et son responsable Christophe DEBURGHRAVE (OUSORTON), se positionne en qualité de moyen de communication de proximité ayant pour cible prioritaire la partie nordique du territoire de l’Yonne. Pourtant, le porteur de projets à la tête de cette nouvelle aventure média n’hésite pas à flirter vers les zones limitrophes comme le Loiret (Courtenay). Ce mensuel au format A4 devrait très vite trouver son rythme de croisière, en s’articulant autour de 32 pages de contenus publicitaires et d’articles à vocation pratiques…

 

SENS : Mais qu’est-ce qui pousse encore Christophe DEBURGHRAVE à remettre sans cesse son ouvrage sur la table ? La passion et le désir de rapprocher les habitants de l’Yonne avec des supports de communication de proximité ayant toute légitimité !

Orpheline à la suite de la disparition corps et âme de l’ancienne publication du « Criquet édition nord » depuis plusieurs années, la contrée Sénonaise se devait de revoir surgir tôt ou tard un nouveau concept de presse gratuite, lui permettant à la fois d’optimiser les besoins de sa force artisanale et commerçante, mais aussi de bénéficier d’un regard éclairant sur les actualités associatives et pragmatiques de son secteur géographique.

C’est le pari relevé désormais par l’agence de communication B3C et son dirigeant, Christophe DEBURGHRAVE, avec l’avènement de ce gratuit orienté vers les arts de vivre, le commerce et l’artisanat.

Un premier numéro de 16 pages pour débuter…

« La force de ce média s’appuie essentiellement sur le principe de répétition, explique l’ordonnateur du concept, sa diffusion s’effectuera sur l’axe Charny, Joigny, Migennes, Saint-Florentin jusqu’à l’extrême nord du département ainsi que la ville frontalière de Courtenay (Loiret). Quant aux canaux de distribution, ils resteront dans un schéma classique utilisé habituellement par les acteurs de la presse gratuite de proximité, à savoir des dépôts de magazine chez les artisans et les commerces, ainsi que dans les endroits à forte fréquentation… ».

Consultable en parallèle sur la toile, « Yonne Côté Nord » a été édité à l’occasion de son premier numéro en seize pages dans l’esprit qualitatif d’un magazine. Quelques jours après son lancement, les réactions des lecteurs du cru se situent dans la positivité à son égard.

Le projet pourrait à brève échéance évoluer vers la création d’emplois. Il n’est pas exclu dans la démarche stratégique voulue par Christophe DEBURGHRAVE de s’adosser les besoins d’un maquettiste, voire de spécialistes experts dans les domaines du juridique ou de l’environnement pour rédiger l’axe rédactionnel pratico-pratique que souhaite décliner le chef d’entreprise Icaunais.

Respecter l’équilibre structurel d’un média de proximité…

« Le morphotype de ce média doit respecter les codes usités par la presse gratuite de proximité, ajoute le créateur du concept, avec une symétrie et un équilibre à concevoir entre les articles, un quart du contenu, et les modules publicitaires, les trois quarts du contenu. ».

Poursuivant aussi l’expérience, plutôt fructueuse du format A5 « OUSORTON », magazine publié sur l’ensemble du département et positionné sur les actualités de loisirs, Christophe DEBURGHRAVE mènera de front le développement qu’il souhaite pérenne de ces deux titres qui possèdent leur place dans l’univers médiatique du nord de la Bourgogne. Un sacré challenge, en vérité…


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Dépistage des cancers, prévention et vaccination contre la grippe, aide au sevrage tabagique ou explication de texte autour des concepts « PRADO » qui interviennent après une hospitalisation… : l’organisme a pu concevoir un exercice de synthèse très appréciable en terme de contenu lors d’une conférence de presse afin de démontrer son extrême mobilisation sur tous les dossiers sanitaires du moment. Sachant que ces services à la santé concernent en priorité les personnes malades et qu’ils leur permettent d’être mieux accompagnées au quotidien…

 

AUXERRE : Avant la tenue du Conseil Public du jeudi 23 novembre prochain décliné autour de la désertification médicale, la direction de la CPAM de l’Yonne procédait il y a quelques jours à un exercice dont elle est coutumière : une conférence de presse. Un outil de communication qui fut parfaitement maîtrisé par Etiennette BERROUET, sous-directrice de l’établissement départemental.

Evoquant en préambule les missions de prévention actuelles de la caisse icaunaise, via la campagne de vaccination contre la grippe ou la sensibilisation auprès des familles sur les soins dentaires à réserver aux jeunes enfants, la responsable de la CPAM devait aborder la thématique du jour, consacrée à la prévention tertiaire. C’est-à-dire les offres de services mises à la disposition des personnes déjà malades.

SOPHIA : des scores en matière d’inscription au-delà de la moyenne nationale

En lien étroit avec les thérapeutes, des mesures d’accompagnement se sont développées au cours de ces cinq dernières années. Notamment le programme « SOPHIA », destiné aux personnes atteintes de diabète ou souffrant de crises d’asthme. Aujourd’hui, 14 269 personnes sont éligibles dans l’Yonne. Mais, seulement 4 451 personnes ont adhéré (31 %) à ces services gratuits et sans obligation,  via leur compte AMELI. Nonobstant, la statistique est très intéressante car elle se situe au-dessus de la moyenne nationale. La CPAM promeut ces programmes avec les CCAS, voir certaines dispositifs comme les ambassadeurs de quartier à Auxerre et à Sens. Ou encore avec le soutien des Maisons de service au public (MSAP) dont une quinzaine sont fonctionnelles dans l’Yonne sous la supervision de la préfecture dans les territoires ruraux.

Quant aux aides dispensées après une période d’hospitalisation ou de maternité depuis 2012, elles se poursuivent sous le concept « PRADO ». L’accompagnement après la sortie de l’hôpital se conçoit avec le précieux concours des professionnels de santé mais aussi le personnel de l’assurance maladie. En terme clair, comme devait le spécifier Etiennette BERROUET, « c’est un véritable accompagnement concentrique et à la stratégie globale que nous mettons en place pour les patients… ».

Le suivi partenarial des établissements sanitaires de l’Yonne…

Le programme « PRADO » connaît un réel essor aux quatre coins du territoire. Comme devait le confirmer la sous-directrice de la CPAM : l’initiative s’avère aujourd’hui judicieuse avec l’investissement officiel de nombreux partenaires telles que les maternités d’Auxerre et de Sens, mais aussi la clinique Paul PICQUET dans le cadre de l’accompagnement après intervention chirurgicale. Les responsables de l’hôpital de Joigny ont également apposé leur paraphe au bas du dossier d’engagement. Des négociations ont lieu à l’heure actuelle pour ajouter à cette liste les centres de soins de Tonnerre et d’Avallon.

Dans l’absolu, ce sont 1 730 jeunes mamans qui ont été visitées en 2017 par les équipes techniques de ce concept tandis que 1 563 d’entre elles adhéraient au programme. Précisons que sur le pôle chirurgie, 68 personnes ont également profité de ce suivi très personnalisé.

Cinquante-quatre autres patients, souvent de victimes de pathologies chroniques à l’instar des bronchites ou d’insuffisance cardio-vasculaires ont pu bénéficier de ce service. Un chiffre légèrement en deçà des prévisions, du fait de l’absence de pneumologues sur le département…

Le programme « PRADO » très apprécié par le plus grand nombre…

« Ce programme « PRADO » destiné aux malades chroniques s’effectue sur une durée de huit semaines, précisa Etiennette BERROUET, l’objectif est de réaliser de l’éducation thérapeutique. Ce dispositif dans son mode applicatif est très sérieux : il assure une vraie prise en charge des patients avec constance et régularité… ».

Le bilan d’évaluation obtenu auprès des personnes bénéficiaires démontre un certain nombre de satisfaction des assurés. La prise en charge s’avère très bonne. Grâce à la déclinaison de ce programme « PRADO », sur sa phase maternité, le nombre de sages-femmes connaît une recrudescence sur le territoire. Avec une quinzaine de professionnelles exerçant désormais leur savoir-faire.

Parmi les autres actions de prévention menées par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie, celles imputables au Centre d’examens de santé engrangent le succès. Plus de 8 000 bilans de santé annuels y sont ainsi réalisés à destination de personnes, vivant pour une large majorité, en qualité de précaires.

« Nous devons optimiser tous les dispositifs qui existent, ajoute Etiennette BERROUET, c’est un changement de paradigme dans l’approche des soins que nous devons prodiguer. Afin que toutes les populations puissent bénéficier de ces services et de leurs outils comme le dépistage (diabète, cancer…). Le rôle de l’assurance maladie est de créer un réseau, en élargissant l’offre vers les territoires les plus éloignés et en sécurisant la prise en charge de ces soins… ».

Quant à Santé Active, il s’agit d’un concept ouvert à tous les assurés ayant un compte AMELI. Il offre la possibilité d’être encadré par un coach (kinésithérapeute ou professionnels de santé) dans le cadre de la nutrition, de problèmes de lombalgie ou de difficultés cardio-vasculaires. 641 personnes suivent les trois programmes qui s’articulent sur une meilleure connaissance de l’alimentation (51 %), des problèmes de dos (30 %) et les aspects cardio-vasculaires (le reliquat).

Reste que le budget dépensé chaque année dans l’Yonne pour les opérations de santé s’élève à un milliard d’euros. Seules 1 % de ces dépenses devant être consacrées à la prévention…une paille.


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Le service commercial de l’agence YONNE TOURISME, Yonne Réservation, vient d’éditer une nouvelle brochure destinée aux groupes, baptisée « Made in Yonne 2018 ». Tirée à 12 500 exemplaires, et diffusée auprès de 115 029 prospects et clients depuis le début de la période automnale, la plaquette dévoile une sélection de 22 excursions et séjours gastronomiques révélateurs de la richesse patrimoniale et culturelle de notre département…

AUXERRE : Distribué également tout au long de l’année auprès de ses points d’accueil, ce document n’a d’autre vocation que de susciter l’envie de venir et de découvrir en les approfondissant les subtilités culturelles et touristiques de ce territoire du nord de la Bourgogne.

Présentée officiellement à la presse, cette nouvelle édition explique dans le moindre détail l’ensemble des circuits et séjours qui demeurent les valeurs sûres de l’offre touristique déclinée sur l’Yonne. Mais, au-delà des références traditionnelles, l’agence de développement du tourisme suggère aussi de s’immerger vers des séjours à la carte, voire d’emprunter des chemins de traverse moins connus que les parcours classiques.

Et justement, parmi les grandes nouveautés de cette future saison 2018, quatre créations étayeront le contenu de ce catalogue de très belle facture. La première d’entre elles n’est autre qu’une journée gourmande avec démonstration de cuisine, permettant d’acquérir les astuces et tours de main d’une ancienne toque ayant officiée au palais de…l’Elysée !

Seconde subtilité : le site archéologique des Fontaines salées au sud d’Auxerre avec la découverte originale de son nouveau centre d’interprétation. Colette, le mythe du personnage, son œuvre, et son parcours atypique, constitueront le troisième volet passionnant à découvrir dès la saison prochaine en parallèle de l’ouverture de son domicile à Saint-Sauveur en Puisaye.

Enfin, note culturelle oblige et en partenariat avec l’Office du tourisme de Migennes, le cabaret de l’Escale ouvrira ses coulisses afin de mieux imprégner les visiteurs de ce lieu chargé d’histoire où firent leurs débuts Charles Aznavour ou Johnny Hallyday…

Toujours prompte à jouer la carte de la modernité technologique, l’agence Yonne Tourisme propose d’approfondir les connaissances de ces programmes en renvoyant les curieux vers des flashs codes offrant davantage d’informations et de renseignements utiles…

 


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De passage dans l’Yonne ce 28 octobre et invité à inaugurer l’extension du siège social de la CAPEB à Auxerre, le président national de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment s’est montré optimiste pour les perspectives de sa filière à l’orée de 2018. A condition, toutefois, que les signes favorables à la reprise se maintiennent durablement. Mais, il prévient aussitôt que cette dynamique et le retour aux carnets de commandes mieux garnis sont assujettis aux décisions gouvernementales à valider lors du projet de loi de finances pour l’année prochaine…

 

AUXERRE : « Le mode opératoire de la réussite du bâtiment, c’est simple : cela peut se comparer à un véhicule alimenté au Diesel ayant besoin de préchauffage. Si cela fonctionne bien à l’allumage, alors le véhicule atteindra très vite son rythme de croisière… ».

Muni de ses nombreux dossiers, le président de la CAPEB France constate que la reprise tant attendue est bel et bien là. Mais, sans trop d’exagération. Un frémissement subtil qui se traduit néanmoins par les chiffres. Au terme de l’année 2017, ce sont 4 000 nouveaux emplois qui iront grossir les effectifs des petites entreprises de ce secteur d’activité artisanal ayant souffert de la terrible crise des « subprimes » depuis 2008.

« Si nous relançons l’activité de manière pérenne et que la confiance revienne, alors nous pourrons créer de l’emploi et inciter nos jeunes vers l’apprentissage afin d’inverser la courbe du chômage… ».

En l’espace d’une décade, le bâtiment aura perdu près de 50 000 postes parmi ses entreprises. Sauf en 2016. Où l’actif et le passif en matière de solde d’emploi devaient se stabiliser. Un premier signe devant engendrer l’exercice en cours…

Le crédit d’impôt sur la transition énergétique parmi les priorités…

La reprise actuelle sur le marché de la construction, les programmes incitatifs à la rénovation énergétique, la baisse encore relative des charges dans les entreprises et la hausse du pouvoir d’achat chez certaines catégories socio-professionnelles offrent une conjonction favorable à la relance économique. « Mais, attention, insiste le président de la CAPEB, les crédits à l’investissement s’amenuisent depuis quelques mois : cela est très inquiétant… ».

La sonnerie de son portable ramène Patrick LIEBUS à d’autres préoccupations. Celui des combats quotidiens qu’il livre avec pugnacité à la défense des intérêts de ses adhérents. Le premier d’entre eux concerne le crédit d’impôt sur la transition énergétique, débattu la semaine dernière encore à l’Assemblée nationale. Le gouvernement a déposé un amendement à l’article 8 concernant les modifications immédiates voulues sur la diminution de ce crédit, sur les fenêtres, les portes et les chaudières à fioul. Pour l’heure, rien n’évoluera jusqu’à la fin de l’année. En attendant de nouvelles directives…

« Les artisans doivent le savoir : un client qui a bénéficié d’un devis détaillé de la part d’un professionnel et qui propose un acompte en guise de validation des futurs travaux pourra les réaliser aux mêmes conditions l’année prochaine si les documents sont entérinés d’ici la fin de 2017... ».

Prévue en novembre, une rencontre quadripartite entre les ministères du logement, de la transition énergétique, et des finances, à laquelle seront associés les représentants des syndicats patronaux du bâtiment, CAPEB et FFB, permettra de redéfinir le contenu applicatif du crédit d’impôt en 2018.  Mais, d’autres discussions sont ouvertes sur l’apprentissage, la formation professionnelle et l’assurance chômage avec le Premier ministre Edouard PHILIPPE qui enregistre un déficit de 39 millions d’euros. S’inspirant de l’exemple concret de nos voisins suisses et néerlandais, notamment en matière d’apprentissage, ces rencontres s’effectueraient de manière bilatérale avec les partenaires des filières professionnelles qui auraient leurs opinions à émettre.

Un tour d’horizon des grands dossiers du moment…

Concernant les ordonnances autour de la réforme du Code du Travail, Patrick LIEBUS estime que « c’est une très belle avancée ». Renchérissant à ses propos, il observe « qu’il y a une réelle prise en compte de l’artisanat et de la TPE. Cela correspond à nos souhaits et nous permet de trouver des solutions tangibles afin de sécuriser l’entreprise. Je pense aux embauches et aux risques de désaveu avec un salarié. Pour éviter les problèmes : il y aura l’existence d’un CERFA qui énoncera les règles devant être respectées avant d’engager le processus d’un licenciement… ».

Quant au RSI, le président de la CAPB est favorable à son adossement au régime général mais sous certaines conditions, à savoir sans hausse des cotisations et en conservant les mêmes prestations. « Nous devons rester gestionnaires de cet outil en notre qualité d’indépendants. La mise en place des deux années de transition me semble très importante afin d’éviter les défaillances… ». Enfin, devait-il conclure sur ce thème : « le régime général devra s’assurer que le système informatique soit en capacité de gérer de manière optimale ce futur adossement… ».

Que pense réellement Patrick LIEBUS du compte pénibilité ? Réponse de l’intéressé : « il faut tenir compte des conditions de travail et permettre aux salariés et aux artisans de pouvoir partir avant à la retraite. Cela suppose là aussi des moyens de contrôle accrus et fiables ». La suspension du dossier concernant le prélèvement à la source se justifie pour le président de la CAPEB : « Il n’est pas question que nos entreprises artisanales puissent devenir des préleveurs d’impôts sur le dos de nos salariés, cela engendrait immanquablement des risques de conflit dans nos entreprises… ».

Contrôler les travailleurs détachés grâce à une plateforme européenne…

Reste le dernier volet de ce long entretien : la révision de la directive sur les travailleurs détachés. « A ce propos, beaucoup de travail doit être encore fait en France mais aussi dans le reste de l’Europe. Aujourd’hui, les orientations vont dans le bon sens, avec la limitation du temps de détachement, l’obligation d’un formulaire « A1 » délivré par le régime de sécurité sociale du pays d’envoi qui déterminera si un salarié est affilié au régime général de son pays depuis trois mois, avant d’être détaché dans un autre pays. L’objectif est de sécuriser le salarié détaché lui-même et de lutter avec efficience contre les travailleurs illégaux qui arrivent en nombre sur le territoire. D’ailleurs, à ce titre, la durée de détachement se fera sur un an avec six mois renouvelables grâce à un accord de l’Etat du lieu de détachement. Enfin, la rémunération doit correspondre à l’équivalence du salarié selon sa qualification. Les primes de déplacement et de restauration devant être payés à part…. ».

Patrick LIEBUS en appelle de ses tous vœux à la création d’une plateforme européenne de gestion et de contrôle qui coordonnerait les travailleurs détachés à travers leurs diverses missions professionnelles. Concluant que ce sujet ô combien actuel ne devrait trouver de véritables solutions que lors de sa mise en exergue : en 2022…


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La petite structure associative, pur produit des années 1980 et de ce mouvement libérateur sur les ondes voulu par François MITERRAND, est aujourd’hui mâture et rayonne comme l’une des plus belles représentations radiophoniques du territoire de l’Yonne. Observatrice de la vie locale, assurant le suivi factuel de nombreux événements, la structure reste toutefois dépendante des fameux contrats aidés dont la récente remise en question pourrait lui être funeste si la chose en restait là. Alors que les perspectives et le mode opératoire actuels contribuent à son succès…

 

SENS : Trente-cinq ans. Pour un média local, c'est l'âge de raison. Pour un média local associatif, avoir trente-cinq ans d'existence, c’est une marque de résilience. Radio STOLLIAHC a organisé en cet honneur, une réception à la Salle de la Poterne, à Sens, où étaient invités officiels, personnalités politiques, chefs d'entreprises, acteurs des milieux culturel et sportif et bien évidemment les salariés et bénévoles ayant contribué à l'aventure STOLLIAHC.

L'effervescence ambiante a atteint son apothéose lorsque l’édile de Sens, Marie-Louise FORT a entonné un « Happy Birthday » à l'issue d'un discours où elle est revenue sur les joies et les peines que lui ont provoqué la radio locale au travers de sa couverture de la vie locale.

Une station pionnière dans le paysage de la presse départementale

« Je crois en la liberté d'expression » a conclu l'élue. En prenant à la fin des années 80 le pari de faire de l'information locale sa marque de fabrique, STOLLIAHC FM a vu passer à ses micros, plusieurs générations de politiciens, générant de nombreux débats, lesquels étaient rendus disponibles durant la soirée grâce à des archives disposées en format K7, minidisque et CD.

« Avec la libération des ondes en 1982, on a eu pour la première fois, des campagnes locales des municipales radiodiffusées » rappelait André CHAUSSAT, maire de Sens entre 1979 et 1983. La radio locale de Sens a fait ainsi partie des pionniers, avec TRIAGE à Migennes et Radio AVALLON, provoquant un changement dans le paysage et la culture du journalisme et des médias en province.

Ce rapport plus direct avec la vie locale n'est pas pour autant source de jouissance économique. La marque de fabrique de ces radios est d'avoir survécu à des périodes de vaches maigres. « Notre premier studio a été installé dans un garage à vélo mis à disposition par la SA HLM - bailleur social, ex-BRENNUS HABITAT- notre matériel a été compilé grâce au système D » se souvient Jean-Pierre HANRYON premier président de la radio locale de Sens. « On devait toujours être sur le qui-vive, on utilisait des lecteurs K7 et des platines vinyles. Il fallait toujours être prêt à appuyer sur le bouton lecture dès qu'un son s'arrêtait sinon c'était le blanc ! Et on en a souvent eu (rires) » témoigne un technicien de la première heure.

Un rapprochement salvateur avec PACIFIC FM…

À la libéralisation des ondes, l'État joignait l'obligation de ne pas réaliser de publicités. Cette loi, contournée par certaines radios dès le milieu des années 80, a rapidement créée une disparité des richesses générant des ogres nommés NRJ, Skyrock et Fun Radio, et des petits luttant pour survivre. Trouvant sa place dans la deuxième catégorie, STOLLIAHC est déjà passé aux bords du dépôt de bilan. D'où la résilience. Fin des années 80, le concours de PACIFIC FM permit de gagner du temps et des moyens. On parlait alors de Pacific-Stolliahc FM. En 1989, ce réseau national a été racheté par le groupe NRJ, forçant STOLLIAHC à retrouver une autonomie financière.

Durant la décennie suivante, avec une grille de programme complétée par des séquences de la banque de Rire et Chansons, le média Sénonais, présent tous azimuts, solidifie sa position, avant l'épisode TDF. L'opérateur, alors filiale de France Télécom, veut prendre le contrôle de l'antenne relais de STOLLIAHC. Il fallut lutter, faire valoir tout son poids dans la vie locale et mener un combat judiciaire pour obtenir gain de cause. Ce qui a été une victoire aura tout de même laissé des plumes. En 1995, la radio eu à délocaliser son siège en périphérie de Sens, au Foyer des Jeunes Travailleurs, tout en poursuivant sa quête de contenus riches et diversifiées. Le quatrième déménagement et pas le dernier…

Un horizon incertain malgré des objectifs positifs…

Depuis 2004, STOLLIAHC a trouvé demeure au 50 rue Thénard, retrouvant une présence en centre-ville. Variant à la marge son modèle économique, générant un nombre important d'évènements, brocantes et salons, STOLLIAHC, comme toutes les associations, reste dépendante des contrats aidés. Les diverses annonces de l'année a échaudé la direction.

« Si nous n'avons pas de contrats aidés, nous ne pourrons pas poursuivre nos missions » élude Jean-Louis PECHINE, président du média depuis 1999. Cette ligne directrice et ces objectifs mènent la radio à disposer à ce stade de son propre programme musical privilégiant la pop alternative et de plus de dix heures de programmes d'informations locales en semaine sans compter les émissions spéciales.

Haeckel BEKKA et Thierry BRET


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