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C’est bien le fils de son père ! Incontestablement, les chiens ne font pas des chats ! Lumineux, le regard se pose sur l’assistance, présente dans la petite salle surchauffée. Il se sert copieusement de boulettes et de riz, des mets à l’odeur si alléchante. Les cheveux ébouriffés, l’humour déjà bien aiguisé et à fleur de peau, Romain COLUCCI partage son déjeuner avec une dizaine de bénévoles des Restos du Cœur. Celles et ceux qui avec humilité et générosité entretiennent l’œuvre de son regretté paternel qui eut la fabuleuse idée, un soir de septembre 1985, de porter sur les fonts baptismaux de la création, une certaine structure associative, toujours aussi solidaire…

 

APPOIGNY : Bon, la première tentative a été avortée et s’est donc soldée par un échec. Point de Romain COLUCCI à 11 heures tapantes, dans les locaux en mode hangar de l’association caritative auxerroise. Hormis les habituels bénévoles qui s’escrimaient dans la dynamique avec des palettes et des monte-charge pour achalander les camionnettes de victuailles prêtes à être expédiées aux quatre coins du département, il n’y avait pas l’ombre du fils aîné de COLUCHE en cette fin de matinée, mardi.

On nous aurait trompés sur la véracité de l’information ? Que nenni ! Le retard du personnage prodigue tant espéré s’expliqua par des soucis techniques, imputables à la SNCF, du côté de Montereau en Seine-et-Marne ! Moyennant quoi : il faudra s’armer de patience, ronger son frein en retournant au bureau après un premier aller-retour pour du beurre et revenir d’ici deux heures, laps de temps nécessaire pour que le garçon, en provenance de la capitale, arrive enfin à bon port, à bord d’une automobile sur son lieu de chute, le siège social des Restos du Cœur auxerrois.

Treize heures, rebelote ! Cette fois, c’est la bonne tentative. Attablé aux côtés d’une dizaine de bénévoles qui discutent gaillardement de leurs projets, fourchettes et couteaux à la main en dégustant de succulentes boulettes de viande, agrémentées d’un riz en sauce, Romain COLUCCI prend le temps de déjeuner. L’appétit est là ! Et le singulier personnage ne plaisante pas avec cela, visiblement !

Répondant aux questions et livrant ses impressions au journaliste que je suis tout en découpant une boulette en deux avant de l’avaler ! Une interview à la mode bonne franquette entre deux cliquetis de couverts que n’aurait nullement renié son regretté paternel, nous ayant tant faire rire !

« Pourquoi suis-je ici ?, s’interroge Romain COLUCCI, c’est très simple : je suis là parce qu’il y a les bénévoles et je suis venu soutenir ces bénévoles… ».

 

 

Plus d’1,2 million de repas servis dans l’Yonne en 2023

 

Le regard malicieux, le sourire aux lèvres, le fil aîné de COLUCHE est en tournée. Non pas pour y interpréter l’un des titres fétiches de son père, « Misère », mais pour être au plus près de celles et de ceux qui perpétuent le souvenir toujours très vivant de l’humoriste qui avait lancé sur les ondes d’Europe 1 le 26 septembre 1985 ce fameux dispositif, « Les Restos du Cœur », de plus en plus opérationnel et obligatoire sur le terrain.

D’ailleurs, ne serait-ce que dans l’Yonne, 8 000 personnes de tout âge bénéficient désormais de ces services. Une manière de lutter contre la précarité alimentaire, l’inflation galopante, le coût de la vie qui s’envole. En 2023, ce sont 1,2 million de repas qui y ont été servis dans les seize centres accueillis en Bourgogne septentrionale. Des Restos qui ne cantonnent plus à la distribution de repas et de nourriture. Mais, aussi proposent désormais de l’aide à la personne, grâce à des conventions signées avec des unités territoriales, dépendantes du Conseil départemental. Loisirs, culture, retour à l’emploi, santé…autant d’orientations utiles qui viennent se greffer à l’existant.

Entre deux bouchées, Romain COLUCCI se désole de la situation conjoncturelle, impitoyable envers les plus défavorisés. L’an passé, il a rendu visite à plus de cent-trente centres, répartis aux quatre coins de l’Hexagone. Il espère en découvrir 150 en 2024. Un vrai tour de France en hommage à l’altruisme et au bénévolat. Qui l’emmènera à Bourges, au Mans d’ici peu.

 

 

Honte aux élus qui pratiquent le déni de pauvreté !

 

« Plus la situation est difficile, souligne-t-il, plus il est nécessaire et indispensable de soutenir les bénévoles. Les Français sont généreux dans l’ensemble. Comme dans l’Yonne, où deux sociétés privées nous donnent des quantités de palettes de nourriture en abondance, EURIAL pour les laitages et yaourts, et la FOURNEE DOREE pour les viennoiseries. Sans oublier le groupe SCHIEVER… ».

A contrario, Romain est très critique contre celles des localités qui ne jouent pas le jeu. Sans les citer, il les pointe d’un doigt honteux : « ce n’est pas une histoire de couleur politique, mais c’est une histoire de courage personnel et de déni de la part des édiles. Certains élus nous disent qu’il n’y a pas de pauvreté dans leur commune, ce qui n’est pas vrai ! ».

Citant les chiffres de l’INSEE, Romain COLUCCI est à ce titre très catégorique : en France, dix millions de nos concitoyens vivent sous le seuil de pauvreté. Dont 550 000 personnes supplémentaires dans la seule année dernière !

« Evidemment, ces gens-là vivent dans toutes les communes de France : cela me révolte de le nier ! ».

Le porte-parole des Restos ne demande pas l’aumône vis-à-vis de ces élus peu engageants : « on ne souhaite parfois qu’un simple local que l’on nous refuse sous prétexte qu’il n’y a pas de pauvres dans ces localités ! ».

En 1985, COLUCHE s’était intéressé de près à la cause des chômeurs de longue durée. Justifiant sa célèbre démarche associative que l’on connaît depuis. Aujourd’hui, outre ce phénomène, il y a la problématique des travailleurs précaires, des personnes qui possèdent une activité professionnelle mais très mal payée.

« Quand on calcule le reste à vivre, argumente Romain COLUCCI, une fois enlevées les charges et les taxes, ces personnes peuvent prétendre aux aides des Restos du Cœur ! ».

Et de ce citer les 400 familles impactées par la disparition de BENTELER à Migennes qui vivent depuis deux ans très difficilement des allocations du chômage aujourd’hui.

 

 

La France n’arrive même pas à nourrir sa propre population

 

D’ailleurs, la liste des bénéficiaires des Restos ne s’arrête pas là. « On peut y ajouter les étudiants, et surtout une catégorie sociale dont on parle beaucoup ces jours-ci, ce sont les agriculteurs ! ».

26 % de la profession agricole vit à date sous le seuil de pauvreté en France. Quant aux seniors et aux petites retraites, Romain COLUCCI les ajoute à cet inventaire à la Prévert.

Mais, l’émotion surgit dans le regard de notre interlocuteur lorsqu’il s’attarde sur le sort des enfants. « Avant quand j’allais aux Restos du Cœur, je ne voyais que des adultes, aujourd’hui, est-ce normal qu’il y a de plus en plus de gamins… ». Un sacré paradoxe dans le pays de la bouffe par excellence ?

« C’est tout de même terrible que la France, pays de production alimentaire, n’arrive pas à nourrir sa propre population… ».

Faisant dire à l’interviewé, « il ne faudrait pas oublier que les Restos du Cœur sont un des maillons de la souveraineté alimentaire en France… ».

Un dernier mot avant d’afficher de nouveau un large sourire sur ce sympathique visage qui perpétue dans la bonne humeur l’œuvre de son père. « Tant qu’il y a la bonne ambiance aux Restos du Cœur, nous sommes dans l’esprit COLUCHE ! ».

Qui mieux que son fils aîné pour le dire, à quelques jours de la collecte nationale qui sera organisée les 01er et 02 mars prochains…C'est l'histoire d'un mec !

 

Thierry BRET

 

 


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On ne change pas une formule gagnante, dit la maxime ! Un credo qui s’applique même dans le domaine artistique. La preuve nous en est donnée à l’Espace culturel de Gurgy. Jusqu’au 25 février, une douzaine d’artistes y ont déposé leurs œuvres sur des cimaises, entre réalisme et onirisme, tendresse et rêverie, esthétisme et beauté. Les « 4’ Arts », fameuse association auxerroise, démontre à tous ses admirateurs que la chose culturelle peut se décliner sous de multiples formes…avec réussite !

 

GURGY : Certes, les férus de l’art pictural sont en nombre comme à l’accoutumée ! Il y a des spécialistes de l’aquarelle. De l’acrylique, aussi. Des adeptes des pastels. Ceux qui ne dérogeront jamais à la sacro-sainte règle de ne travailler les toiles en les noircissant du fruit de leur inspiration qu’à partir de la peinture à l’huile ! Une sacrée palette d’artistes du sérail. Dont certaines et certains se sont fait déjà une belle notoriété dans le landerneau.

Michel VERAY, Marie-Françoise DURNERIN, Sylvie PINON, Annie BASSET ou encore, entre autres, Didier BOISSEAUX. Déjà connus et reconnus par leurs pairs ! Mais, ils ne sont pas les seuls. Tous possèdent ce dénominateur commun d’être des fidèles parmi les fidèles, membres de cette belle association locale, les « 4’Arts ».

Les quatre arts. Le beau patronyme, que voilà ! On se croirait presque à la célébration des jeunes diplômés ingénieurs de la fameuse école de Cluny, l’école nationale supérieure des Arts et Métiers, les « Gadz’ Arts » ! Mais, là, s’arrête la comparaison ! Même si nos valeureux adhérents de la structure associative auxerroise en connaissent un rayon sur la mise en avant de la pratique artistique à l’imaginaire fécond.

Les quatre arts ? Oui, bien sûr, il y a la peinture. Mais, aussi dans la déclinaison présente jusqu’au 25 février à l’Espace culturel, cher à Jean-Luc LIVERNEAUX, édile du cru et fervent supporter des milieux artistiques, la photographie, la sculpture et la mosaïque.

 

 

 

Le bonheur jubilatoire de douze artistes au meilleur de leur forme

 

C’est précisément l’univers de Marc SEBERT que les visiteurs retrouveront durant cette immersion dans le monde si particulier et poétique de la mosaïque. La photographe proposant son travail n’est autre que Liliane PECHENOT. Une « vieille » connaissance dont nous suivons toujours les travaux et l’actualité avec grand intérêt, tant la jeune femme fait parler son talent au détour de ses clichés, finement ciselés. Quant à la sculptrice, Valérie FAGEOT, elle a quitté le milieu de la presse où elle exerçait jadis ses inspirations professionnelles pour ne se consacrer uniquement à celles de l’art et au travail du bronze. Elles dévoilent des œuvres aux lignes épurées tout en joliesse.

Entre le figuratif ou le semi-abstrait, des voyages au flanc de montagne ou sur les canaux de la Cité des Doges, la belle Sérénissime (Venise), des natures mortes presque plus vivantes que la réalité et des marines par temps de grand vent : on se laisse bercer de douces visions du bonheur de voir ces douze artistes en pleine maîtrise de leurs capacités. Un clin d’œil jubilatoire à Sabine CHAPRON et à ses acryliques non dénuées de truculents personnages emplis d’humour.

Que Jean-Luc LIVERNEAUX se rassure : la saison culturelle à Gurgy est déjà sur de bons rails !

Exposition Les 4’Arts à l’Espace culturel de Gurgy

Jusqu’au 25 février 2024

Les mercredis, samedis et dimanches de 14h à 18 h.

 

Thierry BRET

 

 


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Elle ne se départit jamais de son joli sourire juvénile, Eugénie ! Même lorsqu’elle est invitée à rejoindre le podium – ah, ah, encore un signe du destin annonciateur d’un bel été ? – où se déroule la présentation des vœux des dirigeants de la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté. La sportive de l’Yonne, soutenue par l’établissement bancaire régional, a eu l’opportunité de s’adresser à un public de VIP de la sphère institutionnelle et économique de Dijon, afin d’y parler de son rêve le plus cher : décrocher son billet pour les Jeux de Paris !

 

DIJON (Côte d’Or) : Certes, Eugénie DORANGE, championne de canoë-kayak bien connue des Icaunais, n’était pas la seule athlète à bénéficier de ce régime de faveur en termes de communication spéciale – se présenter lors de la cérémonie des vœux du groupe bancaire qui faisait anciennement référence à l’Ecureuil ! – mais galanterie oblige, elle eut droit à la primeur de prendre la parole en ouvrant le bal de la petite série de présentation.

Invitée par Jérôme BALLET, président du directoire et Eric FOUGERE, président du conseil d’orientation et de surveillance, la jeune femme à la chevelure blonde donna quelques nouvelles sur sa période actuelle, consacrée à une phase d’entraînement intensive. Logique : le billet pour les Jeux Olympiques de Paris n’est pas encore en poche. Il lui faudra se distinguer dès le mois de mars prochain pour décrocher, lors d’une première étape, le précieux sésame lui permettant de participer en mai au tournoi de qualification olympique de sa spécialité. Rien n’est encore fait mais la jeune femme se donne tous les moyens pour y parvenir.

 

 

 

Un soutien financier mais aussi moral de la part de 1 600 collaborateurs

 

Championne de France en C1 sur 200 mètres, 500 mètres et 5 000 mètres en 2023, Eugénie DORANGE a enregistré une belle progression au cours de ces dernières années. Plus jeune, n’avait-elle pas déjà obtenu un titre de vice-championne du monde en moins de 23 ans en 2017 et une médaille aux championnats européens l’année suivante !

Aux côtés de deux de ses camarades sportifs encouragés par la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté – sept compétiteurs de haut niveau sont ainsi suivis par le groupe bancaire depuis 2019 en vue des J.O. de Paris dans le cadre du Pacte Utile, favorisant la consécration de sportifs tricolores aux Jeux et aux Paralympiques 2024 -, Eugénie DORANGE aura partagé l’affiche de la soirée avec le gymnaste Kevin CARVALHO et le para tir sportif Cédric FEVRE.

Tous devaient rappeler l’importance d’être soutenus par un tel partenaire tant sur le plan financier – on s’en doute ! – que moral : ce sont 1 600 collaborateurs de la Caisse d’Epargne qui défendent ainsi avec fierté les couleurs de ces sept athlètes de Bourgogne Franche-Comté qui espèrent tirer leur épingle du jeu l’été prochain dans la capitale de l’Hexagone.

 

Thierry BRET

 

 


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Vu le temps glacial et le froid qui mordent cruellement les joues, ils ne chôment pas les salariés de BERNER ! Trop affairés à apporter la couche de peinture nécessaire pour embellir les petits cabanons, ceux qui ont pour pensionnaires une cohorte de chats domestiques qui observe avec curiosité toute cette agitation humaine. « Le Secours Félin », refuge perdu au milieu de nulle part mais havre de paix royale pour les animaux en attente de maîtres, est le grand bénéficiaire de cette opération altruiste concoctée par l’entreprise allemande implantée à Saint-Julien-du-Sault. Le Noël des chats, en somme ?!

 

CHAUMOT : Les doigts sont gourds, et il n’est pas si simple d’immortaliser via l’appareil photographique tenu tant bien que mal dans les mains gelées le chantier en cours, assuré par les collaborateurs volontaristes du groupe BERNER ! Un premier cabanon présente une flamboyante physionomie rouge qui dénote avec le décorum ambiant du refuge, géré par l’association « Le Secours Félin ». Un second où s’active l’équipe en place se teinte de vert. De manière progressive, à grands coups de pinceaux et de rouleaux. Que du matériel et des produits à l’estampille de BERNER, c’est logique ! D’ailleurs, on est jamais aussi bien servis que par soi-même, non ?

Depuis 2017, c’est la même en couleur ! Avec un plaisir identique et une bonne humeur communicative entre les membres de cette opération qui apprennent aussi à mieux se connaître. En matière de cohésion de groupe, ce dont rêvent tous les dirigeants d’entreprise et spécialistes des ressources humaines, c’est plutôt réussi. Vêtus de leurs combinaisons blanches qui se tâchent petit à petit de peinture verte, les acteurs de cette animation à vocation sociétale et environnementale se détendent tout en effectuant leur labeur. On rigole, on plaisante, on s’entraide, on mutualise les efforts, on abat la carte de la solidarité : bref, on est dans la fierté de réaliser quelque chose de bien !

 

Des travaux tous azimuts pour le confort des chats

 

Aujourd’hui, et malgré ce froid de canard (cela aurait plu aux félins maintenus dans leurs enclos d’en avoir quelques-uns avec eux, histoire de s’amuser !), une quinzaine de salariés sont à pied d’œuvre. Certains verdissent l’extérieur de la cabane – une chatterie – de leurs coups de pinceaux experts ; d’autres sont à l’intérieur afin d’isoler au maximum le toit du petit bâtiment, chauffé d’ordinaire. Les chats du refuge, même s’ils ont été abandonnés ou en quête de maîtres gentils avec eux, méritent bien un peu de chaleur ambiante. Avant de recevoir celle des humains.

 

 

Bénévoles, les participants de cette belle opération digne d’un conte animalier de Noël ont réalisé lors de ces derniers jours des travaux de ponçage, d’isolation thermique, de peinture, d’aménagement extérieur en créant des espaces de suspension et de jeux pour leurs amis à quatre pattes. De velours, de surcroît !

 

 

Un don de 6 000 euros à toutes fins utiles

 

Outre le geste symbolique – celui de retrousser les manches via ses salariés pour améliorer le site -, BERNER s’est également mobilisé en proposant le don de matériel indispensable à la réalisation des travaux et à la redistribution d’une collecte comprenant nourriture et litière. Collecte qui fut organisée au siège social de Saint-Julien-du-Sault en amont.

La cerise sur le gâteau, elle se présentait sous la forme d’un fac-similé de chèque en version grand format pour annoter la somme offerte par le spécialiste de la distribution de matériels et outillages industriels : soit la coquette enveloppe de 6 000 euros ! Et pour parodier le célébrissime film de saison du SPLENDID, une note d'humour de circonstance : « Joyeux Noël, Félix ! ». Le chat, bien entendu !

 

Thierry BRET

 

 


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Des mois de préparatifs. Mêlés d’inquiétude, de doute, de stress et d’angoisse ! Sombre tableau, en vérité ! Mais que l’on ne s’y méprenne pas : c’est grâce à la somme de tous ces ingrédients, vrais stimulants pour les organisateurs, pour qu’un tel évènement arrive à produire de l’exceptionnel. Ce sera sans doute le cas en cette journée dominicale du 24 septembre, entre Saint-Fargeau et Toucy, tout au long de 170 kilomètres de course…

 

TOUCY: C’est le troisième acte de cette dramaturgie sportive locale. Un de plus, pourrait-on dire, mais qui va gagner encore en incertitude quant à son résultat final et surtout en qualité, du fait d’un plateau de coureurs très relevé. La plupart viennent de l’Hexagone. Mais pas que ! On dénombre des natifs de Grande-Bretagne, d’Allemagne, de Biélorussie…

De jeunes pousses qui ne rêvent que d’exploits et de triomphes lors de cette épreuve à multiple épisode qui se nomme la Coupe de France cycliste. Celle de Nationale 2, pour être plus précis. Un cinquième opus – le dernier de la saison – qui à l’instar d’une bonne série audiovisuelle va livrer son verdict définitif au soir de ce premier dimanche automnal (mais de surcroît plutôt ensoleillé selon les prévisionnistes de la météo) du côté de Toucy, après s’être disputé au détour de différents endroits de l’Hexagone.

Pour mémoire, et il est toujours important de la saluer, ce rendez-vous en terre de l’Yonne est donc le troisième que l’on doit à l’appellation de « Classique Puisaye-Forterre Souvenir Philippe GERBAULT ». En hommage au regretté ancien président du Vélo Club de Toucy dont il prit les rênes quelques années avant sa disparition accidentelle tragique...

 

 

 

Ce dimanche, ils seront donc 138 coureurs représentants 23 équipes qui s’élanceront à 12h35 précises de Saint-Fargeau. L’épreuve se déroulera sur une distance de 170 kilomètres (pas mal !) dont 118 kms en ligne et 13 kms sous la forme d’un circuit final, soit quatre passages où le public, amateur de cyclisme, pourra applaudir les tentatives d’échappées et les coureurs les plus combatifs.

L’an passé, le Belge Louka MATTHYS avait empoché la mise en coiffant sur le fil deux coureurs français, Justin DUCRET et Kevin LE CUNFF. Qui pour lui succéder cette année ? Sachant que c’est le team de Bricquebec Cotentin qui occupe à date la tête de leader du classement général de cette coupe hexagonale…

En mars, dernier, Jérémy MAISON, ancien coureur professionnel et chef de file de l’organisation de cette course de belle facture avait présenté lors d’une soirée conviviale à ses sponsors et partenaires la physionomie de cette édition 2023. Cette fois, c’est chose faite : les organisateurs sont dans le dur, la course se lancera dans 48 heures !

 

Thierry BRET

 

 


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