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L’année dernière, l’établissement financier de Champagne-Bourgogne avait accru le nombre de ses collaborateurs en intégrant 127 nouvelles embauches en CDI. Une politique de ressources humaines dynamique lui permettant de figurer parmi le peloton de tête des premiers recruteurs privés de la région. Employant 1 725 salariés, le Crédit Agricole poursuit sur sa lancée…

QUETIGNY (Côte d’Or) : Mine de rien, les métiers de la banque font toujours recette auprès des jeunes diplômés de notre territoire. En 2019, le Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne a reçu la bagatelle de 4 500 candidatures traitées par les équipes des ressources humaines !

In fine, ce sont 127 prétendants au Graal suprême qui ont touché le firmament en intégrant l’un de ces postes proposés en contrat à durée indéterminée.

Preuve que malgré les nouveaux usages inhérents à la digitalisation, on pouvait encore postuler et faire carrière dans l’une des références historiques du milieu bancaire national.

Cette année encore, et ce malgré les aléas de la crise sanitaire et économique sans précédent que nous traversons, l’établissement emploiera cent-vingt nouvelles personnes supplémentaires. Histoire de soutenir un peu plus l’emploi sur sa zone de prédilection.

Pour autant, le Crédit Agricole n’hésite pas à moderniser sa stratégie de conquête pour capter l’intérêt de ces nouveaux talents. Les campagnes de recrutement s’affichent au grand jour dans la rue, sur les réseaux sociaux et par voie de presse.

Ce n’est pas tout ! Escape game, job dating et autres entretiens par vidéo complètent cette panoplie fort utile de moyens branchés ouverts à la communication tous azimuts.

Dans la capitale de Bourgogne, la rotonde caractéristique de la gare SNCF de Dijon, visible de loin, a été le réceptacle d’un énorme panneau promotionnel invitant les personnes intéressées à déposer au plus vite leur dossier de candidature. Celui qui, une fois placé dans le processus normal de circulation aura été analysé par le service des ressources humaines, dirigé par Florence HALLARD.

 

Des métiers en pleine mutation offrant une évolution de carrière…

 

Des postes de commerciaux aux fonctions managériales, tout est envisageable au sein de l’établissement régional. Celui-ci dispose d’une variété pléthorique de métiers plus méconnus mais tout aussi utiles à l’instar de ceux proposés parmi les services de l’audit, du juridique, des ressources humaines, du marketing ou de la communication.

Chacune de ces fonctions a démontré son utilité durant la crise sanitaire. Avec un leitmotiv commun : accompagner entreprises, professionnels et particuliers fragilisés par le confinement.

Le volet de la formation n’est pas oublié dans cette politique de recrutement et d’ouverture pédagogique envers les jeunes générations.

Ainsi, le Crédit Agricole a accueilli pour la première fois en 2019 onze stagiaires de classes de troisième issus de collèges des réseaux d’éducation prioritaire dans ses murs.

Au cours de ce même exercice, cinquante-cinq alternants ont pu apprendre les rudiments de leur métier grâce à ce mode éducatif de plus en plus usité dans l’Hexagone tandis que 73 stagiaires devaient se former aux métiers de la branche financière.

Un chiffre, un seul, démontre l’intérêt accordé par l’entreprise à la formation. Sur l’année 2019, 11 900 jours de formation ont été dispensés, soit près de sept jours par salarié. Comme le précise Florence HALLARD, « la formation est un levier clé de la politique des ressources humaines au sein du groupe… ».

Qu’il soit nouvel embauché ou plus expérimenté, le collaborateur à l’estampille de la Banque Verte bénéficiera d’un solide plan de formation via les solutions proposées par l’IFCAM, l’université d’entreprise du réseau bancaire.

 

 


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La corporation souffre de la crise sanitaire. Comme tout le monde, me direz-vous ! A ceci près que la précarité, voire la misère, guette nombre d’entre eux. En plus, ils sont privés de travail pour un temps  indéterminé. Le plan de relance a prévu deux milliards d’euros pour la culture. Mais, peut-on parler de relance pour un secteur aussi vaste que flou dans ces contours. Au-delà des artistes, les emplois induits par la culture sont vitaux pour le pays : transports, logements, restauration, hôtellerie, tourisme…Un large pan de l’économie en déshérence.

TRIBUNE : Le secteur culturel représente plus de 600 000 emplois ! Rien qu’en Bourgogne-Franche-Comté, on recense 1 532 employeurs faisant appel à au moins un intermittent, dont 310 en Côte d’Or et 190 dans l’Yonne, pour un total de plus de 6 millions d’euros. Toujours sur notre territoire, c’est aussi 18 421 contrats de travail dont 5 234 en Côte d’Or et 1 600 dans l’Yonne. Des sources statistiques qui datent quelque peu puisque élaborées en 2011.

De plus en plus, les contrats d’interventions artistiques concernent des compagnies ou des associations : un contrat représente plusieurs artistes. Des machinistes, caméramans et autres preneurs de sons, sont aussi concernés par le statut d’intermittent. 

Le problème de notre emblématique ministre de la Culture, Roselyne BACHELOT, c’est qu’elle n’a aucun pouvoir sur les deux milliards d’euros alloués à son ministère. C’est-à-dire le montant réel, l’échelonnement de l’aide…Bercy maîtrise seul ce budget qui demeure discrétionnaire…

Prévoir l’avenir ! Un spectacle vivant, une pièce de théâtre… ça se prépare, ça se monte,…il faut répéter, organiser…Il est difficile de décider d’un spectacle à partir de janvier ou de mars qui peut à tout moment être annulé. Comment, dans ces conditions, lancer des milliers de billets à la vente ?

Les intermittents du spectacle coûtent un milliard en assurance chômage. Toutefois, il existe des restrictions aux droits : si l’intermittent ne rassemble pas 507 heures de travail, il ne touche rien, ou presque. Le régime social du personnel intermittent fut créé pour les artistes du cinéma en 1936 !

Précisons également qu’un intermittent technicien gagne en moyenne 2 590 euros et 2 020 euros pour un artiste. C’est le problème des moyennes : il prend en compte des cachets démesurés. La majorité des artistes aimerait gagner ne serait-ce que la moitié de ce cachet !

 

Une artiste, régionale de l’étape, Nathalie GUERAUD, livre son sentiment

 

Nathalie GUERAUD est une vraie saltimbanque, une véritable artiste, fan de poésie et de Christian BOBIN. Comédienne, c’est sa vocation, c’est donc joyeusement qu’elle se  jette dans le théâtre, sur la scène, aux côtés de  Molière

Avec beaucoup de passion, elle va très vite conjuguer sur les planches, la comédie et le chant. En 1993, elle obtient le Grand Prix de la SACEM. Toujours curieuse de la vie comme de son art, Nathalie s’aventure avec bonheur dans le théâtre contemporain, le « seule-en-scène », le travail de clown, la mise en scène, avec quelques incursions dans le cinéma.

Elle choisit de travailler en territoire rural, en particulier sur la transmission de la poésie et de la lecture à voix haute. Direction l’Auxois, en Côte d’Or. Depuis 2005, elle organise le « Printemps des Poètes en Auxois », avec la Cie L’Enchantement de la Mandarine. Au programme : ateliers, lectures, brigades d’intervention poétique, spectacles...

Pour marquer, les dix ans de cette manifestation, elle concocte un livre, intitulé « Le Ca-sert-d’os du caméléon », riche en témoignages d’acteurs du territoire
et récemment, "Eclat(s)", son premier texte poétique, publié aux éditions L’Atelier des Noyers.

 

 

Quelles sont les difficultés rencontrées par les intermittents depuis le mois de janvier ?

 

Jusqu’au jour du confinement général, à partir du mois de mars, tous les spectacles ont été annulés. Nous nous sommes posé beaucoup de questions : pourquoi des élections maintenues et de petits spectacles annulés ? « Le Printemps des Poètes » de Semur fut logiquement supprimé ! Plus de six mois de préparation (trouver les partenaires, les acteurs du projet,…) : tout un concept de longue haleine réduit à néant… Aujourd’hui, tout est en stand-by.

Certaines communes s’engagent malgré tout. Certaines ont pu reporter des spectacles plutôt que de les annuler simplement. Cet été, au débotté,  quelques spectacles ont pu avoir lieu, en extérieur, mais avec une épée de Damoclès sur la tête : la préfecture peut tout annuler la veille… Aujourd’hui je prends le risque du « Printemps des poètes ». Il faut être créatif, inventif sur la façon dont cette manifestation, à caractère national, peut se dérouler localement. Il faut trouver des formes nouvelles de spectacle et axer l’essentiel sur la rue.

 

 

Le confinement n’a pas été le même pour tout le monde. Que dire du Puy-du-Fou, du festival d’Avignon ?

 

Aujourd’hui, l’ « économique » prévaut toujours sur l’humanisme ! Le Puy-du-Fou représente pour les artistes un non-sens, voire une incompréhension totale. Je n’entre pas dans des considérations politico-partisanes mais comme tous mes collègues, dans une approche de logique et de cohérence.  A titre d’exemple, à l’Opéra de Paris, on a tenté de régler des interventions d’intermittents sur la base de figurations alors qu’il s’agissait de rôles !

Aujourd’hui, l’unique logique d’une manifestation, c’est la rentabilité immédiate. Pour le festival d’Avignon, de nombreuses possibilités pouvaient être offerte avec la partie « In » du festival. Oui Avignon pouvait, sous certaines conditions, être maintenu !

 

 

Que pensez-vous des deux milliards d’aide à la culture ?

Je n’y connais rien ! Nous nous demandons simplement : d’où vient tout cet argent ? Comment on va le rembourser ? Depuis des lustres, on nous rebat les oreilles qu’il n’y a pas d’argent ! Et d’un seul coup, de la monnaie comme s’il y en pleuvait, nous tombe dessus ! Mais, il faudra bien rembourser un jour ! Quid de toutes ces inégalités liées à la crise ? Je ne pense pas uniquement aux artistes, mais à tous les pauvres et les déshérités laissés sur le bord de la route !

Existe-t-il une solidarité active entre les artistes ?

Le système est solidaire par essence. On ne peut pas inventer le travail. Toutefois, il arrive que l’on propose un artiste sur une intervention possible, par solidarité. La solidarité est ponctuelle, individuelle, personnelle et jamais nous refusons un bol de soupe à un ami.

Que se passe-t-il en Bourgogne ?

De nombreuses communes, ont, cet été, offert des spectacles gratuits en extérieur. Attention : spectacles gratuits ne veut pas dire non rémunérés pour les artistes ! Les engagements signés et annulés sont le plus souvent reportés. Certains engagements ont pu être honorés grâce à des enregistrements. J’ai pu ainsi effectuer quelques interventions à caractère culturel, préenregistrées et diffusées à la demande. La Bourgogne, c’est surtout une dynamique culturelle prégnante. Certaines villes sont dans cette dynamique, et dans ce cadre, c’est toute la ville qui est portée par cela ! Dijon est une ville fer de lance : cet été on pouvait sortir presque tous les jours ! Semur-en-Auxois a organisé des spectacles presque toutes les semaines : une ville à la hauteur de ces choix culturels. A Bussy-le-Grand, le musée Gorsline a organisé des animations en extérieur afin de garder le contact avec le public. On pourrait citer de nombreux spectacles « vivants » qui ont su maintenir ce lien indispensable entre le public et les artistes.

Aujourd’hui, que souhaitez-vous ?

Je construits des projets artistiques sans savoir s’ils aboutiront. Ce n’est pas grave, quand il y a de la vie, il y a aussi de la prise de risque ! Plus globalement, je souhaite à tous et à chacun de garder de l’énergie de plus en plus, encore et toujours, de préserver les échanges humains : le partage nourrit chacun. La culture permet de réfléchir autrement et c’est une forme de découverte de soi… « Ecrire, c’est dessiner une porte sur un mur infranchissable, et puis l’ouvrir » disait Christian BOBIN.

 

 

Propos recueillis par Jean-Paul ALLOU  

 


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Les 112 EPCI de Bourgogne Franche-Comté sont concernés par la signature de cette convention qui se veut une initiative unique en France sous cette configuration méthodique. Celle du Grand-Sénonais a choisi d’apposer son paraphe sur ce pacte destiné à soutenir et à accompagner les acteurs économiques issus des très petites entreprises. Soit 60 % du tissu professionnel de notre territoire…

SENS : A l’amorce de cet automne, les structures institutionnelles se préparaient à vivre avec impatience le rebond économique, tant attendu. La logique, en somme, après de longues périodes de doutes, inhérentes à deux mois de confinement total. Toutefois, c’était mal connaître les soubresauts pernicieux de cette épidémie pour le moins insolite et imprévisible qui ne cesse de jouer au yo-yo avec les humains.

L’Hexagone vit de nouveau avec les affres de l’urgence. Son gouvernement tente de parer au plus pressé pour soutenir et accompagner les professionnels issus des très petites entreprises (TPE).

Exaspérés par le contexte, ces derniers éprouvent le plus grand mal à retrouver un second souffle, salvateur et vital. Tant au niveau de leur trésorerie que pour leur carnet de commandes qui s’amenuise comme peau de chagrin dans certaines filières.  

 

Des aides financières pertinentes et efficaces…

 

Aussi, fort de ce postulat, la Région Bourgogne Franche-Comté multiplie depuis plusieurs semaines la signature de conventions de partenariat avec les EPCI.

A l’instar de la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais, soixante-douzième entité communautaire sur les cent-douze répertoriées dans notre contrée, à apposer sa précieuse griffe au bas des documents officiels.

De quoi se compose exactement ce pacte unique entre la Région et ces intercommunalités qui possèdent tout comme la référence exécutive régionale les compétences économiques ? D’aides financières qui se veulent pertinentes, accessibles, simples et efficaces !

 

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Aussi, accueillie par la présidente de l’Agglomération du Grand-Sénonais et édile de Sens, Marie-Louise FORT, dans la salle du conseil de l’hôtel de ville, la présidente de la Région, au lendemain d’une conférence des régions vécue à Matignon avec le Premier ministre, eut tout le loisir d’expliciter face à un parterre représentatif de décideurs économiques dans les moindres détails les mesures de ce dispositif novateur.

Des aides en direction des artisans et commerçants, de celles et ceux qui forment l’ossature prégnante de cette économie dite de proximité qui souffre aujourd’hui en silence. Loin des projecteurs des médias. Pourtant, insistera lourdement l’élue régionale, « ces TPE représentent 60 % des entreprises de notre territoire ».

Une richesse professionnelle que l’on ne peut exclure des plans de relance qui s’esquissent à répétition depuis plusieurs semaines…

 

 

Deux outils sur lesquels les TPE peuvent s’appuyer…

 

Marie-Guite DUFAY n’est donc pas venue les mains vides à la rencontre des EPCI signataires de ce pacte conçu sous le sceau de la confiance. Qualifié d’unique en France sous cette configuration par l’élu régional en charge de l’économie, Jean-Claude LAGRANGE, ce dispositif décline deux possibilités d’intervention dont peuvent bénéficier les entrepreneurs dans le besoin : un fonds d’avance remboursable sur sept ans destiné au renforcement de la trésorerie et surtout les aides consenties d’ordinaire par la Région (Fonds régional des Territoires) qui peuvent être gérées directement par les EPCI elles-mêmes dans le cadre de la loi grâce à une délégation spécifique.

Une approche innovante pour se montrer plus réactif et plus agile que d’habitude puisque les EPCI, en contact direct avec le terrain, sont à même de mieux identifier et cerner les attentes des entreprises exerçant sur leur zone géographique.

Ce qui aurait été impensable il y a un an encore du fait du millefeuille administratif de la sphère institutionnelle a donc volé en éclat pour faire éclore un partenariat unique qui s’appuie sur son opérationnalité.  

« La crise nous a précipités dans les bras l’un et de l’autre, commente avec un zeste d’humour la présidente de la Région, et c’est tant mieux ! Il nous faut jouer collectif et groupé entre le pouvoir régional et les 112 EPCI qui à terme seront tous signataires de ce pacte constructif… ».

 

Prôner la carte de l’investissement, nerf de la guerre pour les entreprises…

 

Cela suffira-t-il pour autant pour que la machine économique retrouve le chemin de la prospérité ?

Marie-Guite DUFAY a sa petite idée sur la question : « Il faut inventer de nouvelles façons de s’adresser aux consommateurs et ne pas hésiter à abattre la carte de l’investissement en moyens numériques, en équipements, en méthodes de communication, pour y parvenir… ».

La force de frappe de ces conventions réside aussi, au-delà des moyens financiers mis en œuvre par la Région (six euros par habitant dont quatre abondent les aides directes du fonds régional et deux intègrent le fonds d’avance remboursable), dans les partenariats avec la Banque des Territoires ou les chambres consulaires.

Chambres de Métiers et de l’Artisanat, de Commerce et d’Industrie et d’Agriculture sont partie prenantes dans cet applicatif qui devrait très vite porter ses fruits, selon Jean-Claude LAGRANGE.

Précisons, que dans l’Yonne, INITIACTIVE 89 assurera la coordination de ce dispositif.

Dès le 04 juillet, la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais avait opté favorablement pour ce projet via un scrutin qui validait l’abondement de deux euros par habitant pour alimenter le dispositif. Mettant ainsi en orbite le premier étage de cette fusée qui devrait faire mouche en atteignant sa cible : les responsables des très petites entreprises…

 

 

 


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Le réseau d’investisseurs privés entend réparer une lacune dans le développement de sa stratégie régionale. Se faire connaître auprès des entrepreneurs de l’Yonne devient une priorité. Une rencontre avec les acteurs de l’entrepreneuriat aura permis à la structure qui a déjà injecté 6,7 millions d’euros en soutien d’initiatives économiques depuis ses origines, de faire toute la lumière sur son mode d’intervention…

VENOY : Compétences, confiance et contacts. C’est le triptyque gagnant que préconise le réseau des « business angels » de Bourgogne Franche-Comté lorsque celui-ci apporte son précieux concours financier à un porteur de projets.

Quel que soit la nature de ce dernier, par ailleurs. Même si la tendance actuelle confirme une prédominance exponentielle pour l’univers des « Med Tech ». Un secteur corporatiste qui a le vent en poupe chez les néo-créateurs d’entreprise.

Invités à venir expliquer sa méthodologie pratico-pratique, plusieurs représentants de la structure associative régionale ont pu savamment disserter sur les bienfaits vertueux de ce réseau qui s’appuie aujourd’hui sur des investisseurs privés au profil de dirigeants, cadres supérieurs, professionnels libéraux, encore en activité ou non.

Non seulement ces derniers injectent leurs propres deniers dans un projet de création/reprise ou de développement d’une structure entrepreneuriale, mais en outre, ils mettent à la disposition du dirigeant, sans interférer dans sa ligne managériale, leurs compétences, expériences et autres réseaux relationnels.

Du pain béni pour les chefs d’entreprise, parfois peu enclins à développer ces techniques salvatrices, faute de temps.

Membre du maillage national France ANGELS, BFC ANGELS recense aujourd’hui une soixantaine de participants actifs qui suivent avec grand intérêt les circonvolutions de la sphère économique.

 

 

Des investisseurs au fait des rouages de la vie entrepreneuriale…

 

Conviés à cette présentation concoctée par la structure associative INITIACTIVE 89, autre entité inféodée à l’accompagnement des porteurs de projets, deux des responsables de BFC ANGELS, Pierre VIEILLARD, son président, et France OLLIER, déléguée générale (un troisième représentant en la personne de Daniel KLEE, vice-président en charge du développement et de la représentation sur les territoires de la Nièvre et de l’Yonne) s’exprimèrent longuement sur le rôle méthodique joué par les « anges des affaires ».

Des anges bénéfiques à plus d’un titre puisque des témoignages d’entrepreneurs ayant reçu le soutien du réseau accréditèrent le bien-fondé de ces aides financières qui, a contrario, n’ont rien ni d’aléatoires ni de providentielles.

Il suffit d’un pitch de dix minutes montre en main auprès d’un jury de spécialistes de l’entreprise pour que le dossier défendu par le candidat obtienne les faveurs (ou le désaveu) de ces investisseurs qui dégainent le plus souvent avec rapidité par rapport aux circuits financiers habituels.

 

 

A ce titre, l’effet de levier est multiplié par trois auprès des établissements bancaires et autres organismes financiers dès que les « business angels » se sont prononcés sur la viabilité d’un dossier qui nécessite quatre mois de préparation.

C’est dire si leur avis (et leur action) ne sont pas négligeables dans le sérail économique ambiant !

Originaire des Etats-Unis, et très bien implanté en Grande-Bretagne, le système de cette « love money » accordée par des gens compétents et au fait des rouages de l’entreprise éprouve encore quelques difficultés à se tailler la part du lion dans l’Hexagone.  Et surtout, à se faire connaître des principaux intéressés, les entrepreneurs eux-mêmes !

 

 

Les cibles choisies : des start-up de pointe dans tous les domaines…

 

Pourtant, les chiffres plaident en la faveur de ces structures qui commencent à percer aux quatre coins du pays. Fortes de 75 représentations officielles, les unités territoriales de « business angels » accueillent à ce jour plus de 4 500 adhérents, qui travaillent sur des projets financiers compris entre 50 et 500 000 euros. Le ticket moyen annuel s’élève à 100 000 euros.

Rien que pour l’année 2019, en France, le réseau a investi 43 millions d’euros pour soutenir les initiatives des entreprises ! Soit la bagatelle de 2 500 emplois créés ou sauvegardés.

En Bourgogne Franche-Comté, depuis qu’elle a été portée sur les fonts baptismaux, la structure a débloqué 6,7 millions d’euros en créant 250 emplois.  

Malgré la conjoncture calamiteuse observée en cette triste année 2020, BFC ANGELS a déjà consacré plus de 500 000 euros aux projets créatifs de néo-entrepreneurs.

Parmi les sociétés ayant bénéficié de ces subsides, citons PIXII (Doubs) qui fabrique des systèmes photographiques couplés à une application numérique, DEEDO (Doubs), une plateforme de streaming dans l’univers de la musique panafricaine, SKOPAI (Isère), Le « Tour du Monde des Epices » (Saône-et-Loire) qui importe des épices avant de les vendre dans ses trois boutiques, LEXICLIC (Doubs) encouragée pour une méthode d’apprentissage de la lecture couplée à un dictionnaire numérique, CASIS (Côte d’Or) qui intervient dans l’imagerie médicale, MADE IN PHARMA (Doubs) qui conçoit des produits anti-inflammatoires à base de plasma sanguin ou encore S3DEL, qui a créé un kit de prothèses dentaires…

 

 

Davantage de réunions délocalisées dans l’Yonne à l’avenir ?

 

Le réseau travaille en étroite osmose avec l’Agence Economique Régionale, BPI France et bon nombre de structures associatives inhérentes à la vie économique de Bourgogne Franche-Comté.

A l’instar d’INITIACTIVE 89 et de sa présidente, Malika OUNES, instigatrice de cette première réunion publique officielle dans l’Yonne qui aura réuni une soixantaine de participants.

Pour autant, est-ce à dire que BFC ANGELS délocalisera à terme, via la création d’une filiale, sa prégnance territoriale dans le département le plus septentrional de la contrée ?

Pas si sûr ! Mais, la décentralisation de réunions mettant en rapprochement direct investisseurs et entrepreneurs est dans le domaine du possible.

Afin de renforcer une présence plus soutenue à l’avenir. Il pourrait en être de même dans la Nièvre, l’autre département « pauvre » au nombre de dossiers soutenus par les « anges des affaires » régionaux. 

Il est donc grand temps que ces deux territoires limitrophes profitent enfin de la générosité et de l’expertise bienveillante de ces « gardiens du temple » qui agissent au nom du dynamisme de l’économie ! Ce ne sont pas les entrepreneurs du cru qui s’en plaindront !

 

 

Un article réalisé en partenariat avec INITIACTIVE 89.

 

 


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Le projet a su séduire les investisseurs du réseau régional BFC ANGELS. Fondatrice d’une plateforme d’hébergements touristiques éco responsables unique dans l’Hexagone, Mélanie MAMBRE a apporté un témoignage réaliste sur la bienveillance de ces « business angels » qui lui ont permis de boucler le budget de deux cents mille euros dont elle avait besoin au lancement de sa start-up. Un accompagnement qui l’aura placée sur de bons rails : ceux de la réussite…

VENOY: Onze années de son existence vécues dans le domaine bancaire et financier, à sillonner le globe par monts et par vaux. Et puis un jour, le déclic ! Celui qui vous impose de ne pas regarder en arrière tellement la décision à prendre pour se construire un avenir est importante.  

L’idée germait depuis longtemps sous les cheveux blonds de la jeune femme. Développer un concept novateur dans le secteur du tourisme. Mais, attention, pas n’importe lequel : celui issu de l’économie durable. Plus en phase avec ses convictions personnelles.

Invitée à venir s’exprimer jeudi soir lors d’une manifestation spécifique consacrée aux « business angels », la PDG fondatrice de VAOVERT n’aura pas eu assez de mots pour saluer la bienveillance et le professionnalisme de ses partenaires financiers qui l’ont accompagnée dans ce chantier devant la conduire à créer cette start-up.

Le concept nécessitait une levée de fonds évaluée à 200 000 euros. En suivant le protocole très bien ficelé du réseau d’investisseurs régional, la jeune entrepreneuse en obtiendra 80 000. Le reliquat étant complété par des fonds d’investissement.

Banque Populaire

 

Aujourd’hui, VAOVERT peut s’enorgueillir d’être le premier portail sur les hébergements touristiques éco responsables de France. Plaçant le tourisme durable sur une orbite haute d’où la structure n’est pas prête de retomber dans l’atmosphère. Elle met en relation des voyageurs soucieux de leur impact sur l’environnement avec des hébergeurs durables. Par le biais de gîtes pour une escapade familiale, des chambres d’hôtes pour un week-end complice, des lieux insolites pour prolonger le dépaysement, voire des campings où il est judicieux de s’évader en phase directe avec la nature.

La jeune dijonnaise développe son concept en s’inspirant de destinations authentiques de notre patrimoine. Sa structure porte plusieurs emplois qui l’entourent dans ses bureaux de Côte d’Or. A ce jour, une centaine d’hébergeurs inféodés au supplément d’âme de la société l’ont rejointe dans l’aventure.

Un témoignage qui aura suscité de longs applaudissements de la part de la soixantaine de chefs d’entreprise et investisseurs potentiels qui avaient été réunis par l’association économique INITIACTIVE 89 et sa présidente, Malika OUNES, pour mieux s’imprégner des valeurs de ces réseaux pouvant soutenir de jolis projets.

 

 

 


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