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Distillant ses interventions médiatiques avec parcimonie, le patron du groupe SCHIEVER a présenté ses vœux jeudi soir à un parterre de représentants institutionnels et économiques dans le cadre du Réseau Entreprendre Bourgogne (REB) dont il est le porte-étendard en sa qualité de président dans l’Yonne. Un discours maîtrisé dont il a le secret et la mise en scène qui aura fait grand honneur au terroir du Morvan…

 

AVALLON : Son fidèle nœud papillon ajustant le col de sa chemise bleu azur, Vincent PICQ, tout en élégance vestimentaire, n’aura pas ergoté trop longtemps côté timing avant de rejoindre l’estrade de la grande salle de réunion qui accueillait les retrouvailles du Réseau Entreprendre Bourgogne, convié à la traditionnelle cérémonie des vœux, jeudi en début de soirée.

Une manifestation qui se déroulait dans l’un des nombreux bâtiments avallonnais du groupe SCHIEVER qu’il préside et que l’on ne présente plus en tant qu’acteur évoluant dans la sphère de la grande distribution internationale.

Mais, ce n’est pas au titre de sa société que devait s’exprimer le porte-voix de ce poids lourd de l’économie de la distribution nationale mais bel et bien en sa qualité de président départemental de l’antenne icaunaise du fameux réseau, Entreprendre Bourgogne, qui ne cesse de se multiplier tels des petits pains depuis sa création en termes d’effectifs.

Un réseau composé de chefs d’entreprise, de cadres supérieurs mais aussi de représentants du sérail institutionnel à l’image de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne.

Etre ensemble et pouvoir communiquer à satiété demeure le principe de base de ce type de rendez-vous, caractérisé par la convivialité et le plaisir de se revoir. D’autant que les précédentes réunions programmées en début d’année avaient été annulées pour les raisons que l’on sait, la crise sanitaire et ses confinements.

 

Le granit rose du Morvan comme totem de l’entrepreneuriat !

 

Axant ses propos liminaires sur des comparaisons géographiques pédagogiques – « Il y a l’Yonne du Nord et l’Yonne du sud, mais ici à Avallon, vous êtes surtout dans le Morvan » -, Vincent PICQ prendra soin d’insister précisément sur les valeurs de cette terre morvandelle qui représente à ses yeux l’entreprise.

« Le Morvan, c’est le granit, souligne-t-il, un granit rose qui montre la force de l’entreprise. Leur résistance. D’ailleurs, vous êtes toujours là après avoir vécu des moments difficiles. Vous êtes résilients et représentez la force de ce granit ! ».

Onirique, presque lyrique dans sa gestuelle et sa tonalité, théâtral parfois, le président de REB Yonne pousse un peu plus loin devant un auditoire attentif les comparaisons de la vie entrepreneuriale à ce fameux terroir du Morvan qu’il apprécie tant.

 

 

« Les chemins tortueux de la vie quotidienne d’une entreprise sont un peu comparables à ceux que l’on emprunte dans le Morvan. On passe en qualité de dirigeants des moments où l’on ne voit rien dans ces entreprises, ce sont les bois du Morvan. Il peut y avoir des conditions de vie difficiles sur ce territoire, de la pluie, du vent, du brouillard, de la neige…c’est la vie de l’entreprise, tout bonnement ! ».

Vincent PICQ ne pouvait clore ce discours original et décalé sans évoquer les lacs du Morvan.

« On a la vision, plus claire, qui apparaît avec l’horizon qui s’élargit…Le Morvan c’est aussi le lien identitaire de la Bourgogne, puisque s’étalant sur quatre départements. Cette image entre le Morvan et le monde de l’entreprise, je l’adore et je voulais la partager avec vous tous… ».

 

 

« C’est une excellente nouvelle, vos entreprises sont vivantes malgré les obstacles… »…

 

Puis, léger et un tantinet humoristique, le responsable de l’antenne départementale du réseau Entreprendre Bourgogne lâchera qu’il ne souhaitait pas parler de vœux. Du moins dans leur formulation habituelle.

« Je me souviens il y a deux ans, je parlais de bonne santé et comme je ne suis pas responsable de celle-ci, je m’abstiens de l’évoquer désormais. Rappelez-vous, quelques semaines après avoir prononcées ces vœux en 2020 débutait alors la COVID… ».

En résumé, Vincent PICQ n’avait pas envie jeudi soir de souhaiter des choses qu’il n’aurait pas été capable de tenir après coup ! Compte tenu, en sus, de la conjoncture économique particulièrement délétère, il est vrai.

« Mais, la bonne nouvelle, c’est que vous êtes tous présents parce que vous avez traversé des moments difficiles, et que vos entreprises, personnes morales, sont vivantes. Malgré les obstacles qu’il a fallu traverser pendant des semaines. C’est l’extrême « bonne nouvelle ». Vous êtes en capacité de sauter les obstacles, c’est bien une excellente nouvelle. Et quand bien même, il y aurait des difficultés à les franchir, ces obstacles, nous sommes là. Nous tous, les membres du réseau Entreprendre Bourgogne qui est un ensemble de maillons… ».

Un message que l’assistance a bien reçu cinq sur cinq. Aussi sûr que peut l’être la résistance du granit du Morvan !

 

Thierry BRET

 


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La frimousse est encore un brin juvénile. Le ton de la voix, pourtant calme et assuré lors de l’entretien, se veut timide. A peine audible, parfois, pour répondre aux interrogations. Elle en serait presque effacée, à la limite de la discrétion, notre témoin du jour ! Mais, une fois les habits professionnels revêtus et le casque bien vissé sur la tête, Laurine se mue en un tout autre personnage dès qu’il s’agit de gravir les barreaux de l’échelle en fer la menant vers les toits. Que dire lorsqu’elle grimpe, seule et solidement harnachée, à la conquête d’un pylône de plus de cent mètres de hauteur pour y exécuter avec dextérité ses gestes professionnels pour le compte d’ORANGE ?!

 

AUXERRE : Un petit sourire malicieux au coin des lèvres, Laurine, jeune trentenaire bien dans sa peau, savoure l’instant. La jeune femme est l’exemple parfait de la réussite de la politique de féminisation déclinée chez l’opérateur ORANGE depuis plusieurs années, occupant de fait une fonction éminemment stratégique que bon nombre de ses collègues masculins n’oseraient peut-être pas faire !

Son dada, excusez du peu et à proscrire pour les personnes craignant le vertige, est entre autres de grimper aux pylônes posés çà et là par l’opérateur afin d’en assurer la maintenance et l’entretien ! Un exercice à la virilité affirmée qui dénote avec le calme olympien de la jeune fille, titulaire d’un bac scientifique.

Qui l’eût cru ? Même pas elle, et pourtant son intégration au sein d’ORANGE en qualité de technicienne l’a littéralement transformée. Une « Wonder Woman » qui n’a pas peur du vide et qui se régale du haut de sa « tour d’ivoire » ! Elle est donc bien loin la période de l’alternance vécue chez l’opérateur entre 2014 et 2016, juste avant l’embauche…

 

Une perche tendue par ORANGE, celle de l’alternance après le Bac pro…

 

Une fois les gammes réalisées dans le service box, routeur et téléphonie, Laurine ajoute une nouvelle corde à son arc, côté diversité : le FH (Faisceau Hertzien). En terme clair, elle assure l’entretien des pylônes, au-dessus de la terre ferme ! Une vraie « pylôniste », en somme, dans le jargon usité par les techniciens de l’entreprise à la couleur orangée !

Parallèlement, la jeune femme pratique aussi la VQSE, soit après la traduction de cet acronyme, la vérification qualité sécurité et environnement. Du contrôle de la qualité, à l’état pur !

Vraie perle rare au sein de son service – Laurine est la seule fille volontaire pour escalader les pylônes -, qui comprend une trentaine de collaborateurs, elle ne regrette pas ses choix de carrière. A l’heure où la politique de féminisation de ses métiers va se poursuivre chez ORANGE. Le poids lourds des télécoms s’est fixé un objectif de 35 % de féminisation, notamment dans les fonctions de l’encadrement, d’ici 2024. Le service dans lequel exerce Laurine SIMMONET est bien en deçà de ce taux, 10 % de femmes seulement recensées parmi l’effectif.

Sans idées préconçues au sortir de sa scolarité, Laurine une fois son Bac Pro systèmes électroniques et numériques, option « Télécommunications et Réseaux » en poche, choisit l’alternance par le prisme de l’IUT Auxerre qui l’accueille via le DUT Réseaux et Télécommunications, en intégrant ORANGE. Un pied posé dans la porte professionnelle, légèrement entrouverte, d’une future carrière.

Le baccalauréat obtenu, ORANGE convertit cette immersion en alternance par un poste en CDI. On connaît la suite !

« Certes, reconnaît-elle, ce fut un peu difficile au début. J’arrivais dans un monde du travail où il n’y a en majeure partie que des hommes. Communiquer avec les autres personnes était un peu compliqué au début. Mais, maintenant, assure-t-elle fièrement, cela va nettement mieux ! ».

 

 

« Je ne crains pas le vertige et j’aime relever les challenges ! »…

 

Un peu garçon manqué dans l’âme, Laurine n’a pas hésité à saisir la perche tendue par ORANGE à la fin de son Bac pro. « L’univers technique me paraissait très intéressant et le fait d’être une femme était un challenge pour démontrer que ce métier de technicien d’intervention client entreprise n’est pas seulement réservé aux hommes… ».

Pour l’heure, et dix ans après ses débuts chez ORANGE, Laurine SIMONNET qui n’est pas plus que cela motivée par le sport en règle générale, n’a pas encore une vision précise de son plan de carrière. Hormis peut-être de grimper sur des pylônes encore plus haut ?!

« J’aime bien monter à ces hauteurs, je n’éprouve pas de sensation de vertige… ».

Parfois, avec certains clients, elle fait montre de pédagogie pour expliquer qu’elle est avant tout une technicienne même si elle est une femme. Problématique récurrente observée avec la mixité dans certaines professions aux préjugés masculins.

Pourtant, ORANGE multiplie les initiatives pour éradiquer les différences entre les femmes et les hommes dans l’emploi. C’est l’un de ses objectifs que nous détaillera dans un autre article Véronique MORLIGHEM, déléguée régionale du groupe en Bourgogne.

N’est-ce pas Chrystel HEYDEMANN qui à 47 ans succéda à la direction générale du groupe, s’installant ainsi dans le fauteuil de l’ancien PDG, Stéphane RICHARD en avril 2022 ? C’est la seconde femme à diriger une entreprise du CAC 40. L’autre étant la responsable d’ENGIE.

Mais, il y a encore beaucoup de chemin à parcourir en France sur la voie de la féminisation dans les postes à haute responsabilité, alors que la loi COPE prévoyait il y a une décennie de cela un quota de 40 % de femmes dans les conseils d’administration des entreprises hexagonales…Peu mieux faire, en vérité !

 

Thierry BRET

 


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On plaisante, on sourit, on se congratule et surtout on ne cache pas sa satisfaction d’être là ! L’esthétique bureau, accueillant le centre de santé de Villeneuve-sur-Yonne – pure coïncidence, hasard ou volonté manifeste - jouxte l’officine pharmaceutique de la commune. Il en serait presque trop exigu pour recevoir la délégation de personnalités institutionnelles et politiques du territoire venant officialiser le premier centre de santé initié par le Conseil départemental dans l’Yonne. Une première qui en appelle d’autres, assurément !

 

VILLENEUVE-SUR-YONNE : Onze mois sans voir l’ombre d’un médecin généraliste exercer le noble art des sciences sanitaires pratiqué sous les vertus du serment d’Hippocrate : voilà ce qu’aura enduré in fine la commune dirigée par la première élue, Nadège NAZE.

La vice-présidente du Grand Sénonais en charge du Tourisme se serait donc bien passée de ce désagrément inapproprié devant nuire à la qualité des soins prodiguée à la population. Une situation désormais remisée au fond du placard des histoires anciennes puisque depuis le 18 octobre 2022 un généraliste est venu s’installer dans l’agglomération.

Pour mémoire, il s’agit du docteur Jean-Gilbert AHANG, figure médicale bien connue des habitants de Sens où il exerce déjà dans son cabinet. Une installation, soutenue par le Conseil départemental, dans le cadre de sa politique volontariste qui encourage le salariat des médecins dans les territoires les plus carencés en matière de ressource médicale.

 

Une première initiative qui en appelle d’autres…

 

Le mode opératoire est convaincant. Il ne demande qu’à être dupliqué dans d’autres zones sectorielles de notre territoire. A la baguette de cette stratégie médicale qui fait ses preuves, le chef d’orchestre se nomme Patrick GENDRAUD. Le président n’est pas seul, naturellement. Les solistes de l’orchestre qui jouent la partition à l’unisson se nomment Gilles PIRMAN, vice-président du Département en charge de la Santé et Elisabeth FRASSETTO, présidente du Pôle des Solidarités départementales. D’ailleurs, le patron de l’exécutif icaunais annonce déjà la couleur au niveau de nouvelles installations de ces centres de santé: Migennes, Charny-Orée-de-Puisaye, entre autres, suivront à très court terme.

« Bien que la santé ne soit pas dans notre domaine de compétences, rappelle Patrick GENDRAUD, comme je le dis à chaque fois ! Nous exerçons une politique de santé que ce soit en termes d’investissement pour une construire l’extension d’un établissement mais aussi en accordant des bourses aux étudiants, des bourses d’installation professionnelle, on essaie de trouver toutes les solutions possibles, voire inimaginables pour maintenir les médecins sur notre territoire… ».

 

 

Une prise en charge financière assumée par le Département…

 

L’étape supplémentaire concerne donc le salariat des médecins – une première dans l’Yonne alors que la pratique est déjà usitée en Saône-et-Loire à titre d’exemple – en concertation étroite avec les communes. Ainsi, dans le cas de Villeneuve-sur-Yonne, un centre de santé départemental a été créé le 18 octobre dernier afin de faciliter le recrutement du nouveau praticien en charge de réaliser des consultations locales.

Le modèle est simple : la localité fournit des locaux à travers la maintenance, l’entretien et les charges, tandis que l’organe institutionnel départemental prend à sa charge le salariat de l’occupant du centre de santé, le médecin généraliste.

Mais, pas seulement, puisque dans le cas présent, le financement de l’indispensable collaboratrice du praticien intègre également cette prise en charge budgétaire.

Faire venir d’autres praticiens à Villeneuve-sur-Yonne fait partie du plan de bataille de l’édile Nadège NAZE, ravie de cette première installation, qui ne compte pas en rester là dans sa quête médicale, digne du Graal…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Certes, aucun autre patronyme ne circulait dans les alcôves pour reprendre la relève. Mais, à quoi bon se creuser les méninges à la recherche de thuriféraires venus d’on ne sait où et voués à la cause du parti, alors que la logique s’imposait d’elle-même, ne serait-ce que sous le sceau de la complémentarité et de la proximité ! Membre de la fédération départementale du Rassemblement National depuis 2016, le directeur de cabinet du député Julien ODOUL s’installe donc tout naturellement dans le fauteuil de délégué départemental de l’Yonne, succédant ainsi au très médiatique numéro cinq de la formation bleu marine…

 

SENS : C’est un choix de pure logique qui aura été pris là ! Sans excès de fioritures ni suspense à outrance, pas plus que d’arithmétique nébuleuse lié à un quelconque enjeu de stratégie. A cinquante ans tout pile – ce sagittaire bon teint est natif de la fin novembre à la limite avec le scorpion -, Ludovic MASSARD ajoute donc une corde supplémentaire à son arc référentiel lui faisant office de cursus. Dans le domaine de la politique, évidemment.

Dire que ce changement de personnalité à la tête de la fédération départementale de l’Yonne à l’estampille du Rassemblement National est une surprise en soi est un bien grand mot !

Depuis le 01er janvier, le porte-étendard de la formation souverainiste de la partie septentrionale de la Bourgogne Julien ODOUL a donc jeté l’éponge, se retirant de sa propre volonté de la direction de l’antenne icaunaise du RN.

Logique, le numéro cinq et membre à part entière de la garde prétorienne de Marine LE PEN occupe une place d’envergure au sein de l’échiquier hexagonal de la formation. Il ne pouvait plus légitimement assumer la fonction.

Fonction à laquelle il faut ajouter le mandat de parlementaire au Palais Bourbon, nécessitant des déplacements réguliers dans la capitale. Sans omettre celui de conseiller régional à vivre au sein de l’hémicycle bourguignon-franc-comtois, entre de multiples déplacements à effectuer entre Besançon et Dijon.

Sans atermoiement, le bureau national du RN a donc choisi de confier la mission de représentativité départementale à l’un des fidèles d’entre les fidèles à la cause de Julien ODOUL, son plus ancien compagnon de route qui le suit depuis le début de sa carrière politique, Ludovic MASSARD.

 

Une transition vécue en douceur entre les deux chefs de file du RN icaunais…

 

Aux termes de huit années de « bons et loyaux services » - comme il les qualifie lui-même -, Julien ODOUL quitte la capitainerie du navire Yonne. Même s’il reste au sein du bureau en qualité de membre. Mais, plus au gouvernail…

La transition avec le nouvel homme fort de l’un des partis les plus représentatifs du territoire – le RN comptabilise plus d’un millier de militants et de sympathisants officiels après les derniers épisodes électoraux de 2022 – s’est effectuée en douceur entre les deux figures de proue de la formation bleu marine.

Nulle révolution de palais n’est à attendre au plan stratégique de la part d’un Ludovic MASSARD qui emboîte le pas de son ancien mentor. Lui parle, par ailleurs, « d’un petit changement pour une grande continuité ». C’est tout dire !

 

 

Le secrétaire général du groupe RN à la Région et directeur de cabinet du représentant de la troisième circonscription de l’Yonne sous les ors parisiens de la Nation maîtrise à la perfection les us et coutumes du sérail politique depuis 2016. Cela ne l’empêche pas, bien au contraire, de tresser des lauriers à la fédération départementale, un appareil ô combien essentiel dans l’existence du parti sans lequel précise-t-il, en substance, « on ne serait pas grand-chose »…Une fédération dont il salue les bénévoles, leur présence et implication.

 

Avoir des responsabilités : un signe du destin et de sa référence zodiacale ?

 

L’ex-adjoint de la « fédé » de l’Yonne se projette déjà sur les prochaines joutes électorales qui feront vibrer le département. Bien sûr, il y aura les Européennes en 2024. Mais, Strasbourg et son parlement sont loin ! Avant celles des Municipales en 2026 où les forces en présence s’inscriront en ordre de bataille. Il est prématuré, c’est certain, de mettre un nom sur les candidatures à venir…Mais, Ludovic MASSARD lorgne-t-il déjà le mandat de maire de la ville de Sens ?

Le premier chantier du nouvel impétrant n’est autre que le renforcement de l’implantation du RN dans le landerneau. Un RN qui a obtenu des scores historiques los des dernières législatives, manquant de très peu le « Grand Chelem » sur les trois circonscriptions de l’Yonne. A la surprise générale des observateurs…

Se définissant comme un organisateur, possédant une fine connaissance du terrain et des concitoyens, le nouveau responsable de la fédération départementale place dans la corbeille de la mariée en 2023 quelques atouts sur lesquels il souhaite capitaliser. Sa disponibilité, son sens de l’écoute, son investissement dans la relation à l’autre, sa maîtrise de la communication.

Bref, le propre de tout natif du signe zodiacal dont il a hérité – même s’il ne croit pas aux vertus de l’astrologie ! – qui fait du sagittaire (ou peut-être du scorpion, car il ne le sait pas vraiment !) un homme de pouvoir et de relations publiques !

 

Thierry BRET

 

 


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Inconcevable ! En visant à imposer à chaque allocataire une activité professionnelle non rémunérée de 15 à 20 heures hebdomadaires, sous peine de voir son allocation se réduire, est une attaque de plus contre les précaires. Cibles principales de la nouvelle expérimentation du RSA qui est applicable depuis le 01er janvier sur le département de l’Yonne. Et de cela, les composantes de la NUPES (LFI, EELV, PCF et PS) n’en veulent pas !

 

AUXERRE : Marie-France GHERSI BURIER se fait le porte-voix de la NUPES de l’Yonne. A l’instar de ses camarades, fédérés au sein de la structure, à savoir les représentants de La France Insoumise, d’Europe Ecologie Les Verts, du Parti Communiste et du Parti Socialiste, c’est une condamnation ferme et sans appel qui est faite par ces entités politiques vis-à-vis de la nouvelle expérimentation déclinable sur le territoire de l’Yonne, au sujet du dispositif du Revenu de Solidarité Active (RSA). Un dispositif qui ne peut qu’encourager la misère, selon la responsable de la délégation départementale du PC Yonne.

Mais, plus inquiétant pour les membres de la Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale de l’Yonne, ce système, voué à se généraliser à terme à l’ensemble de l’Hexagone – seuls 18 départements de la métropole et un territoire des DOM/TOM seront en phase de test dans un premier temps – devrait accélérer à la vitesse grand V les plus précaires de la population. Et de cela, la NUPES ne veut pas !

« En plus d’imposer aux allocataires du RSA l’obligation de travailler 15 à 20 heures par semaine sans rémunération, ce dispositif transfère l’accompagnement indispensable de ces personnes éloignées de l’emploi à des employeurs qui ne disent pas leur nom et qui ne disposent pas des compétences d’accompagnement : c’est-à-dire les acteurs économiques et les collectivités territoriales… ».

 

 

 

 

Le gouvernement, les LR et le RN, même combat pour appauvrir les plus précaires…

 

 

Ciblant le gouvernement mais aussi les Républicains et le Rassemblement National – « ces trois-là multiplient la casse de nos acquis sociaux en visant les travailleurs les plus démunis » -, la NUPES veut faire barrage à cette réforme du RSA qui « n’aura pour seul effet que de développer la précarité sans permettre une véritable réinsertion des allocataires du RSA dans le monde du travail ».

De son côté, l’Union populaire des gauches pense au contraire pour que chacun puisse vivre décemment, il faut créer massivement des emplois et augmenter les salaires. En portant, notamment, le SMIC à 1 600 euros net par mois.

« Cela favorisera la hausse des cotisations sociales et donc de pérenniser le système d’indemnisation et d’accompagnement des salariés, explique la NUPES, et surtout de revaloriser fortement les minima sociaux, y compris le RSA… ».

 

Thierry BRET

 

 


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