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Dis donc, Père Noël, et si tu nous apportais plein de jolis cadeaux à déposer au pied du sapin en cette fin d’année 2023 ? Mais, pas nécessairement, ces jouets venant des confins de l’Asie bourrés d’électronique, des bouquins dénués d’intérêt à mettre au pilon, des CD inaudibles à l’écoute, des vêtements que l’on se débarrassera à la première occasion sur un site Internet parce que trop moches ou pas à la bonne taille, et toutes ces choses totalement inutiles, ringardes, voire obsolètes avant même de les déballer que l’on n’oserait même pas offrir à son pire ennemi !

Non, Père Noël, ce que les Françaises et les Français désirent le plus au monde en cette belle fin d’année 2023, si particulière et chaotique, c’est du rêve ! De l’espérance à en revendre, du civisme et du respect à l’état brut ! Du tangible et pas de l’a peu près !

Période de trêve et d’espoir, la célébration de la Nativité et ce, quel que soient les religions, se veut aussi porteuse de fraternité, d’amour, de paix, d’amitié, de promesses. Celle de vivre en paix dans un monde qui se délite un peu plus chaque jour. Celle de connaître des jours meilleurs quand on est dans la peine, la souffrance psychique et morale, la maladie, le handicap.

Cette croyance en ce personnage imaginaire qui aura bercé toute notre petite enfance – du moins l’espère-t-on car le mythe est magnifique à bien des égards quand on l’examine de plus près ! – représente toujours une bulle d’oxygène pour ces parents qui gâtent leur jeune progéniture en leur offrant des cadeaux. Certains, utiles ; d’autres si futiles !

 

Et les adultes dans tout ça ?

 

Et si les adultes se prenaient à y croire, à nouveau ? Que pourrions-nous demander par lettre interposée et sans l’oblitération d’un timbre postal parmi nos souhaits ? Après avoir vécu une telle année 2023, la liste pourrait être très longue, pour combler nos désirs les plus fous et les plus sincères.

L’avancement de la retraite à…60 ans et non à 64 ans tel que cela nous a été imposé de la manière la plus brutale et sans notre consentement – il y a le mythe du Père Noël, assurément, mais en France, il y a aussi le mythe du référendum dont on ne voit jamais la trace ! - ; on y ajouterait parmi les paquets cadeaux la maîtrise de l’inflation et la hausse du pouvoir d’achat !

Merci, par ailleurs, aux valeureux spéculateurs de tout poil de s’enrichir de manière éhontée, abusive et immuable sur le dos de tous les pauvres couillons que nous sommes, nous autres les consommateurs lambda devant satisfaire nos besoins consuméristes ou ceux de notre progéniture !

 

 

Des « bons cadeaux » pour obtenir la paix

 

Sur le plan international, et avec le lot de gabegies planétaires que nous vivons en mode accéléré et que nous avalons telles des couleuvres depuis 2022, on pourrait voir le Père Noël apporter dans sa hotte des « bons cadeaux » donnant enfin droit à la paix et à la sérénité pour des pays et des peuples en déshérence qui en auraient bien besoin.

Bien sûr, le premier d’entre eux serait l’Ukraine qui ne connaîtra pas de trêve des confiseurs, même le jour de la Nativité sous les bombardements meurtriers et aveugles de l’envahisseur russe.

Une simple histoire de famille et de disputes entre Slaves, pourrait souffler Vladimir POUTINE pour qualifier un conflit qui plombe l’économie mondiale – mais pas trop la sienne malgré les sanctions économiques adressées en paquets de douze – et qui menace l’Europe et les pays de l’Est, même si vu de la France, en particulier, cela ne soit guère probable dans les faits. Curieux que nos concitoyens aient la mémoire aussi transparente et si courte quand il s’agit de se remémorer les affres de l’Histoire, période du début des années 1940…au hasard, l’année 1938 !

Le second territoire à y prétendre est évidemment la Palestine. Avec une bande de Gaza, aujourd’hui totalement dévastée et laminée par une puissance militaire, Tsahal, qui ne répond qu’aux principes de la loi du Talion, chère à l’Etat hébreu.

On ne pourra jamais cautionner les actes terroristes et assassins des membres du Hamas – la couverture légitime et suppôt de l’Iran dans cette partie du Moyen-Orient en train de sombrer vers la désespérance et la guerre -, mais ces milliers d’enfants, de femmes et d’adultes palestiniens doivent-ils payer le prix fort de cette barbarie d’un autre âge qu’ils n’ont pas commis ?

Dans les deux cas, cher Père Noël, une simple question à ajouter en additif à notre lettre revendicatrice : jusqu’à quand le massacre ?

 

 

Conserver notre âme d’enfant : le « meilleur est pour demain »…

 

Bien sûr, d’autres régions brûlantes de la planète pourraient aussi bénéficier de la mansuétude et des largesses du fameux bonhomme rouge, faisant le tour du globe avec son traîneau et ses rennes. Ce ne sont pas les conflits qui manquent et qui risquent de se propager dès 2024 avec la crise de l’eau et le réchauffement climatique sur notre bonne vieille Terre ! Non ?

On dit toujours que « le meilleur est pour demain ». C’est peut-être cela, la vraie maxime de Noël, que nous devons tous conserver au fond de nous-même. Une phrase simple à se répéter mille fois, comme une litote qui a force de volonté finira bien par s’ancrer dans nos neurones fatigués et nos rivages où nous vivons au quotidien.

C’est peut-être cela la magie de Noël qui nous permet encore, nous autres les adultes, d’entretenir notre âme d’enfant. Joyeux Noël à toutes et à tous ! Happy Christmas, comme le chantait si bien en 1972, le regretté et pacifiste, John LENNON. Peut-être, certaines et certains parmi vous, ont encore envie de croire au Père Noël…

 

Thierry BRET

 


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Pas si simple de se faire entendre de cent vingt personnes, adeptes de la convivialité. Impatientes de se sustenter après un interminable apéritif, pris à l’extérieur de l’enceinte chauffée du stade, qui les accueillera pour y déguster le repas de fin d’année ! On se retrouve, on y discute, on plaisante, on se fait la bise, on en profite pour échanger quelques cartes de visite tout en s’intéressant comme il se doit à la future journée de championnat de Fédérale 2. Président du RCA, David PARIZOT a fait de ces retrouvailles partenariales annuelles un moment de liesse, tout en délivrant quelques messages forts sur le rôle des soutiens financiers…

 

AUXERRE : Le brouhaha de l’assistance persiste un long moment avant que le président du Rugby Club Auxerrois ne puisse ouvrir la bouche et prononcer les quelques mots de bienvenue usuels. Il y a foule dans l’immense pièce faisant office de salle de réception. Celle qui domine le stade où la vue sur le terrain et les panneaux des partenaires est saisissante. Les partenaires ? Justement, ces retrouvailles chaleureuses autour de ces grandes tablées à l’ambiance si animée sont synonymes de leur présence. Un rituel quasi immuable depuis que les dirigeants du club évoluant en Fédérale 2 ont démultiplié leurs tissus relationnels liens avec les réseaux des entrepreneurs locaux.

D’ailleurs, David PARIZOT, président de la structure et lui-même dirigeant d’entreprise, la société OXO 89, est formel à cette interrogation inopinée : « sans les partenaires, privés ou publics, le club ne survivrait pas ! ».

Des paroles emplies de bon sens, en vérité. Chacun le sait bien, au-delà du sportif, de l’administratif, de la logistique, un club quel que soit la discipline sportive doit pouvoir se reposer sur des soutiens financiers fiables. Ceux des sponsors, des mécènes,… des vrais partenaires en bout de course.

 

 

Monter en Fédérale 2 est une chose, y rester en est une autre !

 

D’autant que le RCA a évolué au niveau de son parcours compétitif cette année, en gravissant un échelon supplémentaire ; d’où l’impérieuse nécessité de gagner de nouveaux partenaires à ajouter à son escarcelle. Une vie financière scrutée en permanence par les autorités supérieures du rugby, puisque la FFR surveille à raison de deux à trois contrôles annuels l’état de santé des clubs qui évoluent en Fédérale 2, au même titre que ceux fréquentant l’élite.

L’accession en Fédérale 2 aura été très positive pour le RCA. Tant au niveau sportif avec l’apport de nouvelles recrues expérimentées qu’au niveau des partenaires, beaucoup plus nombreux cette saison.

« Nous avons la chance de proposer une vision stratégique à nos partenaires, souligne David PARIZOT, ils ont envie de soutenir un club qui joue la gagne et qui avance… ».

Depuis 2019, date de son arrivée à la présidence du club auxerrois, David PARIZOT n’a pas changé d’un iota son discours : « j’ai toujours dit que l’objectif de la Fédérale 2 n’est pas un objectif clairement écrit ; par contre, le vrai objectif était de réunir et de cocher toutes les cases dans l’environnement du fonctionnement du club pour augmenter les chances de l’accession en Fédérale 2. Y monter est une chose, y rester en est une autre ! Maintenant, l’objectif avoué, c’est le maintien. On est dans une deuxième étape en préparant le club à long terme dans ce maintien. Concrètement, la partie financière doit être solide, sur trois à cinq ans, il nous faut un fil conducteur qui soit différent de la monter et de la structuration du club… ».

Cette fête de fin d’année était attendue par ces cent vingt personnes, membres du Club 15. Une structure bien assise aujourd’hui qui se retrouve de deux à trois fois dans la saison afin de prendre le temps de faire connaissance entre partenaires, ce que ne permettent pas des rendez-vous sportifs vécus avec émotion au bord du terrain.

Un Club 15 qui offre un supplément d’âme généreux sous la forme de cohésion et de camaraderie. A l’instar d’une véritable équipe. Bref, c’est le prolongement naturel de la grande famille du RCA !

 

Thierry BRET

 

 


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Sacré François ! Toujours bon pied, bon œil ! Et le flot de paroles qui s’égrène avec extrême facilité, sur une agréable diction. Arpentant la rue Dampierre et la cour de récréation de l’école de Paris, l’animateur du jour en connaît un rayon sur chacun des commerçants qu’il présente de manière volubile. Ici, le chocolatier. Là, les confiseries. Une vingtaine d’exposants au total, catégorie gastronomie et artisanat, qui apportent de la féérie dans le quartier, à l’initiative de l’association Porte de Paris pour célébrer Noël…

 

AUXERRE : Il y en a un qui est heureux ! Le Père Noël qui voit passer bon nombre d’enfants au regard parfois un peu apeuré par la présence rougeoyante du fameux bonhomme. Le temps d’une séance photo, assurée par papa ou maman, et le tour est joué ! Le gosse est heureux, le Père Noël à la barbe et moustache givrée, tout autant !

C’est la magie de la fête de la Nativité qui illumine la petite cour de l’école de Paris, ce jeudi après-midi. Malgré l’air vif, le Père Noël assume son rôle de composition avec le sourire et la jovialité, à l’instar de François MILLE qui opère non loin de là, le micro à la main.

 

 

C’est un régal de l’écouter, le garçon. Un professionnel millimétré au cordeau ayant le sens du détail dans ses présentations faites de chacun des stands. Une vingtaine, environ. Ceux de ces artisans et commerçants, membres de l’association commerçante Porte de Paris, à l’initiative de cette jolie fête qui égaye les cœurs et les regards.

Les badauds découvrent les lieux. Ils flânent et prennent leur temps. On est pourtant mercredi après-midi ! Des mères accompagnées de leurs jeunes progénitures prennent la pose au stand maquillage. D’autres achètent des victuailles qui ont l’air plus que goûteuses derrière les vitrines des camionnettes de présentation. Tiens, tiens, même Isabelle JOAQUINA, accompagnée de l’une de ses filles, fait montre de gourmandise en choisissant quelques bons produits du terroir !

 

 

Le stand de crêpes et vin chaud, pôle d’attractivité des férus de traditions, ne désemplit pas. Il est tenu par les adhérents de l’association commerçante qui mettent du cœur à l’ouvrage en nappant de sirop d’érable ou de confitures de belles crêpes appétissantes…

Le temps est suspendu. Durant un moment, la vision semble presque irréelle, un brin onirique. La magie de Noël, donc. Faite, mesdames, messieurs les organisateurs, qu’elle ne s’arrête jamais…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Une histoire d’hommes. Voilà ce qu’est l’existence d’une coopérative – comme de toute entreprise qui se respecte - malgré les aléas de la vie économique et sociétale. Des hommes (mais aussi des femmes, il va de soi !) qui sont à la base de tout. Depuis la construction des silos ô combien capitaux dans l’essor d’un groupe aussi important que peut l’être YNOVAE ; mais aussi dans la création de projets, sur lesquels repose une stratégie. A l’aise derrière le pupitre, Laurent PONCET, président de la structure, a rendu ainsi hommage à celles et ceux qui ont fait et qui font cette coopérative, prête à relever les enjeux de demain…

 

SENS : Au bout du compte, 2023 aura-t-elle été une année de grands changements ou de simple transition ? La balance penche volontiers vers le premier item, à l’écoute du discours prononcé par le président de la coopérative agricole, un Laurent PONCET toujours prolixe et à l’aise derrière le micro. Des changements, certes, il y en aura eu ! Surtout sur le registre humain, le nerf de la guerre décisionnelle que doit mener un grand groupe ayant de réelles ambitions sur ces marchés.

Les hommes. Rouage inconditionnel de la réussite d’une politique. D’une stratégie devant mener à plus de résultats, de rentabilité, de succès, aussi. Chez YNOVAE, tout a commencé dans ce jeu de chaise musicale promotionnelle avec l’arrivée de Georges LEMINEUR. Un nouveau directeur commercial, possédant une solide expérience, des qualités de manager et la connaissance suffisante du territoire pour mener à bien les missions régaliennes qui sont les siennes. Aborder, avec les solutions appropriées, l’avenir.

 

Etienne HENRIOT raccroche les gants

 

Même le Conseil d’administration n’échappe pas à ce grand « nettoyage » de printemps, mais qui n’a rien de péjoratif, naturellement. La règle du temps qui passe est ainsi faite : les fonctions demeurent, celles et ceux qui les occupent bougent d’un mandat à l’autre ! Deux des administrateurs en ont pris conscience cette année en quittant d’ici quelques jours leurs fonctions.

Et du haut de sa tribune au décorum YNOVAE, Laurent PONCET de citer les patronymes de ceux qui quittent le navire sans l’abandonner.

« D’une part, il y a Marc GAILLOT, membre du bureau et administrateur depuis 2011 qui n’a malheureusement pas pu être avec nous aujourd’hui, précise l’orateur face au public. D’autre part, le second administrateur a quitté ses fonctions, n’est autre que Etienne HENRIOT – l’ancien président de la Chambre départementale d’Agriculture de l’Yonne - et si on l’avait écouté, il serait parti incognito ! ».

 

Question cruciale avec suspense : qui après Jean-Luc BILLARD ?

 

Mais, le clou du spectacle si l’on pouvait s’exprimer ainsi en considérant ces départs importants arriva ensuite par la bouche du président.

« Beaucoup d’entre nous ont du mal à se faire à cette idée, mais cette assemblée générale est la dernière de notre directeur général Jean-Luc BILLARD… ».

Silence profond parmi l’assistance qui retient son souffle. Légitime, en fait, car un changement majeur dans une coopérative agricole peut susciter  bien des inquiétudes.

On ne présente plus Jean-Luc BILLARD. Le garçon était reconnu pour ses compétences, ses qualités de manager et sa proximité avec ses collaborateurs, les administrateurs et les adhérents. Une question cruciale revenait en boucle dans tous les esprits mais qui pour lui succéder ?

Réponse de Laurent PONCET qui aura ménagé le suspense un court instant : « Avec mes vice-présidents et les membres du bureau nous avons pu nous appuyer sur les conseils et sa méthode de Jean-Luc BILLARD pour définir le profil de son successeur… ».

Ouf ! Nous voilà rassurés ! D’autant que l’ouverture du poste de directeur général d’YNOVAE a généré un très grand nombre de candidatures.

« C’est une grande satisfaction car cela tend à prouver que notre coopérative jouit d’une belle réputation et suscite de l’intérêt, commenta le président PONCET, mais cela nous a surtout permis d’avoir un réel choix parmi de belles compétences… ».

  

Yohann GIROD, promu à la direction générale dès le 08 janvier

  

Le nom du successeur fut communiqué ensuite. Yohann GIROD. Il n’était pas nécessaire de le chercher alentour dans la salle : le futur directeur général arrivera dans l’entreprise à la reprise du 08 janvier en qualité de directeur-adjoint et accèdera au poste de directeur général, à l’issue de la période de tuilage, prévu au départ en retraite de Jean-Luc BILLARD.

On sait faire les choses avec un certain code déontologique, dans une coopérative agricole ! Agé de 46 ans, Yohann GIROD vient de la coopérative VIVESCIA où il a gravi tous les échelons pendant plus de 22 ans jusqu’à occuper plusieurs postes de direction. Fort de son expérience et de ses compétences dans le domaine agricole, il apportera une vision nouvelle à l’entreprise. Sans omettre de s’inscrire dans la continuité de la stratégie déclinée par la coopérative.

Une autre nomination fut également annoncée par un Laurent PONCET volubile. A peine arrivé au sein du groupe, Georges LEMINEUR est déjà propulsé au poste de directeur général adjoint, sa fonction devenant plus transversale et formera un binôme avec le nouveau directeur général Yohann GIROD afin d’assurer et sécuriser le fonctionnement du groupe YNOVAE. Les hommes, clés de la réussite de la coopérative de l’Yonne : indéniablement !

 

Thierry BRET

 

 


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Hasard de l’emplacement ? Anticipation subreptice de l’équipe marketing de l’enseigne OPTIC 2000, chère à son gérant, Jérôme LECOMTE ? Toujours est-il que le véhicule cabossé et très évocateur de ce qu’il ne faut surtout pas faire au volant – en période de fêtes notamment -, à savoir excès d’alcool et de vitesse sur les routes de notre département nous ramène au fameux slogan, géniale trouvaille de l’ASNAV dont les origines remontent en…1962 : « Au volant, la vue, c’est la vie ! ». Une vision amochée d’une automobile accidentée que les chalands fréquentant la galerie marchande des Clairions à Auxerre pourront contempler jusqu’à jeudi inclus.

 

AUXERRE : Bon, c’est sûr, il y a mieux comme image festive pour célébrer Noël et le passage à la Nouvelle Année ! Toutefois, sur le panneau explicatif, placé sur le toit du véhicule rouge flamboyant – histoire de le repérer de très loin, c’est une évidence ! -, le message à l’estampille de la préfecture de l’Yonne et de la Sécurité Routière est sans équivoque sur l’intention scripturale des auteurs de cette campagne de sensibilisation.

On peut y lire le texte suivant : « Pour les fêtes de fin d’année, le plus beau des cadeaux, c’est de rentrer en vie ! ». Un message que contemple par ailleurs un Père Noël, juché sur des paquets cadeaux, accompagné de deux lutins à bicyclette ! L’ensemble est siglé du sceau de la préfecture de l’Yonne. Au moins, cela a le mérite d’être clair et ce n’est que logique et légitime dans l’esprit du préfet de l’Yonne, Pascal JAN et de sa directrice de cabinet, Clémence CHOUTET.

Curiosité insolite : la présence de l’automobile accidentée, assortie du stand plutôt démonstratif de la Sécurité Routière où s’étalent pêle-mêle dépliants, plaquettes, lunettes virtuelles, goodies, et même le papier d’emballage des cadeaux de Noël  au design de la fameuse structure préventive étatique, à proximité de la boutique OPTIC 2000 peut prêter à sourire ! Doit-on y voir un signe du destin ? Un simple fait du hasard (il aurait donc bien les choses si tant est qu’il existe !) ou un concours de circonstance contraint ? Mais, immédiatement, les plus anciens de nos concitoyens ne manqueront pas de faire le rapprochement entre le fameux slogan publicitaire, concocté par l’ASNAV (Association pour l’Amélioration de la Vue) datant de…1962 et la vision sensibilisatrice se tenant devant eux, dans la galerie des Clairions auxerroise : « Au volant, la vue, c’est la vie ! ». Qu’importe ! Chacun s’en accommodera, l’essentiel étant de diffuser le message, lié à la prudence.

 

 

 

Trente tués sur les routes de l’Yonne depuis le début de l’année  

 

Prudence sur les routes en cette période hivernale, cause de bon nombre de drames venant endeuillés des familles entières. Et malheureusement, nul ne peut l’ignorer, l’Yonne qui a possédé il fut un temps – pas si lointain d’ailleurs – le triste record du nombre de personnes tuées lors d’accidents de la circulation en France (41 en l’espace de douze mois) est un terreau de sinistres dont on se passerait volontiers.

Au terme de la semaine 49 (début décembre), le décompte macabre se rapportant à notre territoire se résumait ainsi : sur 155 accidents de la route, on déplorait trente tués et 186 blessés.

Même si ces chiffres qui donnent toujours froid dans le dos enregistrent une baisse par rapport à l’année dernière (- 24 % pour les accidents, - 14 % pour le nombre de tués, - 26 % pour les blessés dont on ne parle jamais assez dans les colonnes médiatiques car c’est un statut qui s’additionne le plus souvent à des polyhandicaps à vie). La vigilance doit rester la principale priorité de tous les automobilistes amenés à se déplacer en ces périodes plus généreuses sur l’alcool, les repas chargés de calories – ils ont le don d’assoupir le conducteur derrière le volant -, voire les excitants que peuvent être le café, le tabac et…les stupéfiants.

Une vigilance que nul ne doit ignorer du fait des conditions météorologiques qui peuvent être exécrables en ces mois d’hiver, avec la pluie, les gelées et le brouillard qui se rappellent à notre mémoire ; d’autant que l’accélération de l’accidentologie s’est fait sienne au cours de ces dernières semaines, au grand dam des services de la préfecture et des forces de l’ordre qui veillent, via la prévention et la verbalisation, à notre sécurité. Que cela nous plaise ou non !

 

Thierry BRET

 

 


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