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Les supports d’aide à la vente mis à la disposition des prospects par la jeune SARL de Sens engendrent beaucoup de flux dans sa nouvelle boutique ouverte depuis le 04 septembre. Cerise sur le gâteau : ce procédé unique en France offre la possibilité à ses utilisateurs de pouvoir y déposer le visuel de leur habitation et d’y incruster le portail de leurs rêves tout en réactualisant le devis de la future transaction…

 

SENS : Curieux, les visiteurs de la nouvelle boutique, inaugurée dans la galerie marchande de Leclerc à Sens, se prêtent au jeu avec beaucoup d’intérêt. Face à eux, et en vis-à-vis, deux tables électroniques tactiles suscitent admiration et surprises. Parcourant avec l’aide de l’index la colonne de droite de cet écran de belle taille, ils intègrent divers paramètres qui facilitent l’ébauche de leurs projets : posséder le portail ou la porte de garage adéquat à leur demeure. Tout en respectant scrupuleusement la ligne budgétaire que ces futurs acquéreurs s’étaient au préalable fixés…

Concept insolite et encore unique en France peut se découvrir dans l’Yonne. Il offre une entière autonomie au public désireux d’en savoir davantage sur l’achat d’un portail ou d’une porte de garage en y intégrant des critères personnels. Une plus-value incontestable à la vente selon Guillaume PIOU, gérant de L’ATELIER du PORTAIL.

« La fonctionnalité de ces outils tactiles est simple, précise-t-il, le prospect suit à la lettre le déroulé explicatif sur l’écran en choisissant d’incorporer à son étude les données qu’ils souhaitent. Le but est de personnaliser de manière optimale ce qui va ensuite apparaître à l’écran parmi une palette initiale de 200 produits de base. La valeur ajoutée de ce mode opératoire se caractérise par la réactualisation constante du devis selon les ajouts ou retraits successifs faits à l’offre… ».

« Jeune gérant de société, Guillaume Piou croit en la pérennité de son outil qui devrait croître d’ici deux ans avec une hausse de son chiffre d’affaires et de ses emplois… ».

Différentes options pour envisager tous les offres possibles…

Sur l’écran, et dès l’étape initiale, le prospect procède au choix de son futur portail qu’il soit classique, design ou réalisé à partir de fer forgé. Commence alors l’exercice de la personnalisation, après chaque touche, avec l’indication des mesures précises, des auxiliaires optionnels (lames brises-vues, motifs dessinés sur les panneaux, le coloris unicolore ou multicolore à partir d’un nuancier de 260 références, la motorisation, les kits batterie, le digicode, le déverrouillage extérieur, le visiophone, etc.). Même la partie domotique avec les commandes réalisables depuis son smartphone figure dans ce vaste panel de possibilités !

On aurait presque oublié d’y ajouter l’apport de la boîte aux lettres intégrée ou le degré d’ouverture du portail !  

Au terme de l’exercice, un état des lieux récapitule l’ensemble des options en indiquant le coût définitif. Accessible dans la boutique de Sens, ce système d’auto-évaluation électronique l’est aussi par Internet. Sans qu’elle n’en déflore les tarifs.

« Cet instrument s’avère très précieux dans l’aide à la décision, ajoute Guillaume PIOU, il nous permet d’accompagner le client dans ses choix et de réajuster à tout instant son budget selon ses envies… ».

La seconde boutique d’ici deux ans avant un essor plus ample ?

Une enveloppe budgétaire de 10 000 euros a été consentie par le jeune gérant de la SARL pour s’équiper de ses petits bijoux technologiques. Auquel il aura ajouté 6 000 euros afin d’acquérir le logiciel idoine. Un investissement qu’il ne regrette pas aujourd’hui.

« Depuis l’ouverture de notre commerce, plus de quatre-vingts contacts ont été pris avec des prospects, soit une demande de soixante devis à la clé ! ».

Partenaire des sociétés « GP PORTAIL/GP PRODUCTION » qui conçoit la fabrication des portails depuis son site de production à Sens et de NOVO FERM pour les portes de garage, L’ATELIER du PORTAIL prévoit un chiffre d’affaires de 750 000 euros avec l’apport de cette première vitrine départementale.

Plaçant le curseur sur une base de 8 à 10 portails commercialisés par mois, la jeune entreprise, née le 21 juillet 2015, porte deux emplois. La prochaine étape sera l’ouverture d’une deuxième vitrine commerciale dans l’Yonne d’ici deux ans. Avant l’export du concept vers d’autres galeries marchandes de la grande distribution en Ile de France (Essonne et Seine et Marne), et l’Aube limitrophe dans le périmètre de Troyes…


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Leader du solaire photovoltaïque en France, la filiale de l’opérateur EDF présentera un nouveau concept révolutionnaire lors du dix-huitième rendez-vous des Rencontres industrielles de Bourgogne Franche-Comté le 28 septembre à Auxerre. Ce générateur au look floral, pour le moins insolite et surtout très design, baptisé la SMARTFLOWER, livrera tous ses secrets en matière de production d’énergie ce jour-là au public…

 

AUXERRE : Une décennie après avoir conçu et commercialisé les premières offres solaires photovoltaïques pour les particuliers et les professionnels en France, la filiale à 100 % d’EDF Energies Nouvelles propose un générateur new-look aux aspects très futuristes. Quelques villes l’ont déjà adopté dont la seconde métropole de l’Hexagone, Lyon qui produira environ 3 400 kWh par an.

On l’aura compris ce générateur, à l’évocation étymologique « californienne » de l’époque sixties, n’a d’autre objectif que de produire de l’électricité pour la consommer ensuite.

Destiné aux particuliers soucieux de l’environnement et attachés à l’esthétisme de leur habitation, cet appareillage à la silhouette végétale intéresse aussi les acteurs de l’économie, qu’ils soient entreprises ou collectivités locales. Bref, les producteurs d’énergie verte disposent dorénavant d’un outil de travail à forte potentialité au niveau de la communication, faisant converger de manière inexorable l’ensemble des regards se situant à proximité.

Un concept à haute technicité…

Les douze pétales de cette fleur, à l’ossature un peu particulière, offrent une surface solaire de 18 mètres carrés. Quant à la production moyenne d’électricité, elle s’élève à 3 500 kWh sur une année. Mais, ce chiffre varie d’une région à l’autre selon la présence des vents et du taux d'ensoleillement. A l’aide de son système « Plug & Play », ce générateur futuriste permet au client de consommer sa propre production d’énergie électrique de manière très simple.

Grâce à cet instrument, conçu en Autriche, la filiale d’EDF Energies Nouvelles occupe une place privilégiée à l’heure actuelle sur le marché, en rupture totale avec les produits traditionnellement commercialisés dans ce domaine.

Installé en dehors des toitures contrairement aux usages, ce procédé photovoltaïque est mobile. Ses pétales, à la manière d’un tournesol, se déploient dès le lever du soleil et l’apparition des premiers rayons de lumière. Puis, l’ensemble technologique suit la course de l’astre diurne selon un double axe horizontal et vertical. L’apport de ce mouvement optimise par ailleurs le rendement de production électrique de plus de 40 % par rapport à un système équivalent fixé sur un toit. Enfin, avec la chute du soleil derrière l’horizon, l’incroyable végétal se referme de façon automatique…

Un système qui se décline sous trois variantes…

 Intégré au portefeuille commercial de la filiale solaire d’EDF depuis 2015, la SMARTFLOWER présente différentes formes : la version Pop classique, la Pop e, posée avec une borne de charge pour véhicules et vélos électriques, et la Pop +, soit un système de batterie proposant du stockage intégré.

Branchée au tableau électrique d’un bâtiment, la SMARTFLOWER peut ensuite produire de l’électricité pour le compte de son utilisateur. Un onduleur est préinstallé dans le carénage de la fleur. De ce fait, en cas de déménagement, le consommateur débranchera lui-même l’appareil et l’emportera avec lui sur son nouveau lieu de résidence.

Mairies et écoles mais aussi les hôtels, les restaurants et les centres de loisirs constituent aujourd’hui le socle prioritaire des cibles professionnelles visées par EDF ENR Solaire. Mais, l’entreprise n’en a pas oublié pour autant les 13 000 particuliers, devenus depuis ses clients…


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Après le succès observé sur le Florentinois, le support numérique Icaunais ajoute de nouvelles zones de chalandise dans sa panoplie afin d’optimiser la découverte des commerces traditionnels auprès des particuliers. Le Sénonais et le Chablisien bénéficient désormais de leurs propres éditions dont les annonces sont elles aussi relayées via les réseaux sociaux. Le Tonnerrois constituera la prochaine étape de ce programme ingénieux avant que l’ensemble du territoire de l’Yonne ne soit couvert par cette offre commerciale de proximité…

AUXERRE : Baptisé « RATATATA », en souvenir du roulement de tambour prodigué autrefois par le garde-champêtre lors de ses tournées matinales dans les communes, cet outil de communication numérique permet d’accompagner les commerces de proximité dans leur stratégie marketing.

Plus d’un an après son lancement (juin 2016), survenu sur le secteur de Saint-Florentin, ce support possède déjà ses inconditionnels. Des artisans et commerçant, certes, mais pas seulement puisque les collectivités de la zone (22 communes pour un fort potentiel d’habitants) diffusent elles-aussi leurs annonces promotionnelles sur ce média.

Constatant les tendances prometteuses de l’outil, le spécialiste de communication numérique et consultant, Joël CHAUDY, qui porte ce projet à travers son cabinet J.CONSEIL, a élargi son socle sectoriel. Deux cantons supplémentaires de l’Yonne ont été ajoutés depuis : le Sénonais et le Chablisien.

S’appuyer sur la VDI ou la franchise à l’avenir

« Le mode opératoire de « RATATATA » reste le même : il s’apparente à un service mutualisé qui offre à ses annonceurs un accès facile pour alimenter FACEBOOK. Les réseaux sociaux ne doivent plus être ignorés des indépendants que représentent les commerces de proximité, les artisans, voire certaines associations. Un Français sur deux consulte avec régularité constante le multimédia aujourd’hui. Par le biais d’un ordinateur ou grâce à une application destinée aux smartphones » précise Joël CHAUDY.

Le bilan se veut positif. Non seulement ce service répond aux attentes des utilisateurs particuliers, mais en outre, il accroît l’attractivité des commerçants avec davantage de flux dans leurs boutiques. Cette bourse d’annonces locales requiert une souscription à la base, demandée aux futurs adhérents. Ces derniers perçoivent prospectus et vitrophanie afin de faire connaître leur appartenance à ce réseau.

Le concept génèrera sans doute de l’emploi. Son responsable étudie à l’heure actuelle la possibilité de contractualiser des postes de conseillers commerciaux dans les secteurs respectifs où l’organe est implanté. Selon les principes de la VDI, la vente directe indépendante. Le modèle pouvant se délocaliser hors de l’Yonne, l’hypothèse de son développement par la franchise n’est pas utopique.


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Quarante années vécues dans le design à l’international forgent les expériences, le savoir-faire et le caractère. C’est ce qui a poussé l’ancien professeur de l’ENSAAD et designer industriel de l’Yonne à concevoir un ouvrage sur les dix étapes essentielles de la création au lancement commercial des produits dont nous sommes friands. Créateur de plus de 2 000 appareils, Michel MILLOT a déjà écrit le second volume de cette trilogie pédagogique à destination des industriels et des étudiants…

 

AUXERRE : Bel opuscule de plus de 200 pages, le « Guide du design industriel », paru aux éditions DUNOD, offre une approche passionnante de la conception des produits qui entourent notre quotidien ménager. Grille-pain, système de douche, station de repassage, cafetière électrique, sèche-cheveux…les objets les plus disparates constituent l’univers professionnel de cette référence incontournable du design à travers le monde. Car tel se définit Michel MILLOT. Un personnage aux multiples talents en matière de créativité qui ne pratique jamais la langue de bois mais avec un cœur gros comme ça !

La désobéissance est source d’innovations

« Ce guide s’adresse tant aux étudiants qu’aux professionnels des domaines concernés par l’activité de conception en général et celles des produits en particulier. C’est surtout un travail de clarification qui a nécessité de la méthodologie avec des informations précises étayées par des recommandations pour le design… ». Dans cet opus, Michel MILLOT aborde aussi les relations parfois tendues et complexes qui existent entre les designers et leurs collègues qu’ils soient techniciens, marketeurs ou directeurs de société. Une chose est sûre : le designer bénéficie le plus souvent de liberté et d’autonomie pour faire jaillir la lumière de la création.

« Aujourd’hui, le design industriel souffre d’un manque de consensus quant à l’identification et à la définition des notions les plus élémentaires. Le verbiage qui peut en résulter constitue une sérieuse entrave au développement de la discipline, tant au niveau de sa pratique professionnelle, que de son enseignement et de l’information sur les produits… ».

Découpant son livre en dix chapitres, l’auteur nous plonge dans les étapes clés d’un processus créatif menant au développement du concept. Entre tests de prototypes et études concrètes. Entre analyses des produits concurrents et participation à la mise en production.

« Les nouveaux concepts doivent être dotés de réelles qualités d’usage, esthétiques, environnementales, techniques et commerciales. En clair, le design ne se cantonne pas à une simple affaire de belles formes ni à une meilleure mise en œuvre de matériaux ou de procédés de fabrication… ».

Une présence affirmée en Asie pendant une décade 

Ayant dispensé un enseignement du design pendant de nombreuses années à travers l’Europe, Michel MILLOT a trouvé avec la Chine, et surtout à Canton, un terrain de prédilection durant une décennie où il a démontré son sens absolu de la créativité.

« J’ai exercé mon métier au Centre Beaubourg de Paris durant quatre ans avec un pôle d’une vingtaine de collaborateurs en recherche et développement, explique-t-il, mais c’est sur le continent asiatique que j’ai donné libre cours à ma vocation… ».

Là-bas, il a conçu notamment un nouveau prototype de quad pour un industriel de Taïwan. Mais, le designer bourguignon a aussi développé des partenariats pour le compte de géants de l’électroménager et de l’automobile, à l’instar des sud-coréens Daewoo et Hyundai.

La liste de ses créations est loin d’être exhaustive : des produits d’électroménager de type sèche-cheveux, fers à repasser, des créations d’objets pour l’environnement cuisine et salle de bains, du high-tech, du matériel d’outillage, des rasoirs électriques, de la serrurerie, des jouets, du mobilier, des coffre forts, des ustensiles de puériculture, des enceintes acoustiques et des haut-parleurs, et même une collection de sex-toys !

Pour celui qui considère que « le design est devenu un concept très galvaudé aujourd’hui et peu maîtrisé par de véritables spécialistes, ceux-ci se comptant sur les doigts de la main », le temps du témoignage pédagogique fait office de nécessité. D’où la rédaction de ce premier tome. Il suscitera peut-être de nouvelles vocations professionnelles parmi des étudiants pugnaces. Mais, il encouragera sans doute les entrepreneurs à appréhender autrement cette discipline fondamentale de la créativité industrielle…


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L’agenda électronique devrait à terme supplanter le traditionnel document papier, outil de référence des dirigeants et cadres pour la prise de rendez-vous. Même s’il sert encore de produits d’appel pour la plupart des grandes marques positionnées sur le marché, sa remise en cause n’est plus qu’une question de temps. Aussi, Daniel DURAND est prêt à proposer l’alternative digitale qu’il a conçue. Il ne lui manque plus que les partenaires économiques pour concevoir son projet…

 

AUXERRE : Les premières semaines de septembre s’annoncent chargées pour le responsable de la structure de DAND CONCEPT. L’ancien chef d’établissement scolaire de Migennes, reconverti aujourd’hui dans la création d’agendas et de calendriers papier, désire mordicus adapter le schéma applicatif de ses produits à la digitalisation. Question de bon sens : selon lui, l’agenda papier va perdre de sa superbe au fil du temps.

La notion d’agenda partagé fait déjà florès chez les adeptes du multimédia qui ont bien compris les subtiles possibilités d’utilisation pouvant être faites grâce à cet outil. Oui, mais voilà, les acteurs traditionnels de ce segment d’activité se montrent encore rétifs à toute idée de changement. Ils croient en la pérennité de leurs produits, conçus et commercialisés depuis de très nombreuses années alors pourquoi faudrait-il tout remettre en cause en matière de stratégie ? Reste le poids du consommateur, de sa fidélisation à une marque, à un produit ou à un service ; cela peut faire la différence en bout de course.

Une approche linéaire du temps qui passe…

Daniel DURAND a redéfini les codes d’utilisation de l’agenda classique. Ce bon gros pavé parfois très onéreux car vendu en version luxe que l’on se procure à chaque renouvellement de saison. Il a travaillé la présentation et la mémorisation de la gestion du temps, de manière pratico-pragmatique, linéaire et étale prenant exemple sur une journée du quotidien. Il y a trois ans, DAND CONCEPT en proposait une première mouture. Sur le papier. Mais, modernisme oblige, le créateur du concept a eu conscience que ce principe devait exister en numérique.

« L’un des arguments ayant de l’intérêt pour une oreille attentive, c’est bien l’agenda partagé où par le biais d’un empilage de contenus imputable à l’emploi d’un ordinateur, il est possible de superposer les plannings professionnels, familiaux et personnels de différentes personnes en simultanée. On imagine alors le gain appréciable apporté à la manière dont nous gérons le temps qui défile » précise-t-il.

Des rendez-vous fructueux pour le devenir du projet ?

En quête d’un technicien informatique qui lui transformerait sa version papier en données numériques, Daniel DURAND recherche surtout un allié économique qui l’aiderait au développement du nouveau concept. A charge à ce partenaire de vendre l’application et d’en assurer sa notoriété.

Ses prochains rendez-vous auprès de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne ou du réseau YONNE NUMERIQUE, organe qui fédère les professionnels de ce secteur sur le territoire, apporteront peut-être des pistes tangibles propres à nourrir ses réflexions.


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