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L’Oblast de Vinnytsia – il comprend plus d’1,5 million d’habitants – est situé à l’ouest de Kiev. Cette région au fort potentiel agricole souhaite formaliser des partenariats dans plusieurs domaines stratégiques, à l’instar de la viticulture, la santé, la recherche ou encore les transitions, sous toutes ses formes (énergétique, climatique et numérique). Vice-président en charge de l’Europe et de l’International (entre autres), le conseiller régional Patrick MOLINOZ y effectue un déplacement de deux jours…

 

DIJON (Côte d’Or): Le choix de se rapprocher de cette contrée ukrainienne n’est pas le fait du hasard pour la Bourgogne Franche-Comté. Des liens importants se sont noués bien avant la crise de la COVID et de la guerre opposant la Russie à l’Ukraine avec cet Oblast, situé dans la zone occidentale du pays. Des relations que l’on doit notamment au pôle de compétitivité VITAGORA, la structure professionnelle qui a pour vocation de travailler en étroite osmose avec la filière agro-alimentaire de notre territoire en favorisant la performance industrielle, le développement et l’innovation.

Des domaines qui parlent aux oreilles de Patrick MOLINOZ. Ce dernier – il occupe la vice-présidence de l’organe institutionnel régional en étant chargé des volets européens et internationaux ainsi que le numérique, l’export et l’innovation, effectue mercredi et jeudi une visite plus que de courtoisie dans l’état qui frappe à la porte de l’Union européenne.

 

 

Des aides financières de la Région renouvelées en 2023…

 

Sur place, l’élu rencontrera les autorités locales et régionales afin de discuter des modalités pratico-pratiques de la mise en place d’un partenariat à long terme. Il complétera ce déplacement par une immersion au sein d’une entreprise agro-alimentaire avant de se rendre dans un centre de formation.

Un voyage qui a valeur de symbole au moment où l’Union européenne évoque la reconstruction du pays, meurtri par la guerre. Une nation ayant vocation à intégrer l’Union dès que cela sera possible, dans les meilleurs délais.

Rappelons que la Région Bourgogne Franche-Comté a renouvelé une aide financière à l’Ukraine en 2023, tout en continuant à soutenir les initiatives publiques et privées. L’Ukraine et les modalités de soutien seront au centre des discussions du vingtième anniversaire du partenariat réunissant la Bourgogne Franche-Comté, la Rhénanie-Palatinat, la Bohême Centrale et Opole en octobre prochain à Dijon.

 

Thierry BRET

 

 


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Pas de répit estival ou presque pour les responsables de la Confédération des petites et moyennes entreprises de notre territoire. Ceux-ci se projettent déjà sur septembre, annonciateur de bon nombre de rendez-vous et chantiers que les présidents de chaque commission vont mettre en exergue. Sous la houlette du « capitaine » du vaisseau amiral, Baptiste CLERIN qui veut maintenir le cap de la représentativité parmi les mandats et de l’initiative à développer au niveau des actions…

 

VILLEFARGEAU : Ce n’était pas l’abondante fumée produite par les saucisses grillées mettant en exergue le « cuistot » Didier BARJOT qui y aura changé quelque chose ! La CPME de l’Yonne a eu beau se retrouver, en nombre et en mode détente, dans le ravissant cadre champêtre du château de Villefargeau à l’occasion de son traditionnel barbecue de fin de saison, il était toujours question de projets et perspectives dans la tête de quelques-uns de ses représentants.

Notamment, de celles et ceux qui occupent les postes de responsables des commissions. Avant de profiter de l’endroit – un parc immense qui permet d’accueillir ce type de manifestations conviviales -, et de se régaler des charcuteries et des viandes savoureuses cuites par un vice-président de la cellule artisanat au four et au moulin, le traiteur Didier BARJOT, les adhérents du premier syndicat patronal de l’Yonne ont donc pris connaissance des « réjouissances » intellectuelles qui les attendaient pour le mois de septembre.

 

Un convive de marque avec la présence de Louis DEROIN…

 

Un copieux menu, de circonstance avec les belles côtelettes qui se consumaient gentiment sur le charbon de bois d’à côté, énoncé par un Baptiste CLERIN au meilleur de sa forme.

Le successeur d’Olivier TRICON à la présidence de la CPME 89 a profité de plus de sept minutes de prise de parole pour donner la feuille de route de ce que sera la future saison syndicale chez ces entrepreneurs et dirigeants de l’Yonne. Entre structuration, renforcement des mandats et gros projet évènementiel restait-il encore un peu de place pour avaler une merguez ?! Que oui, visiblement !

Des projets et perspectives qui ont dû cajoler les oreilles de Louis DEROIN, l’ancien président de la CPME Bourgogne Franche-Comté qui avait effectué le déplacement afin de vivre pleinement ces retrouvailles amicales. Le président de la CPME du Territoire de Belfort a sans doute apprécié le dynamisme ambiant qui règne du côté de l’Yonne.

L’éminent invité a écouté attentivement l’intervention de Baptiste CLERIN qui, micro en main d’un côté et plaquette institutionnelle dédiée à la CPME de l’Yonne dans l’autre, ne s’est pas contenté d’esquisser un sommaire bilan de la saison écoulée. Il n’en aura pas soufflé un mot ou presque. Non, ce qui interpellait l’orateur, c’était surtout l’avenir !

 

 

Des commissions et des pôles pour aider à la prise de décisions…

 

Avec la présence, tour à tour, à ses côtés d’Emmanuelle MIREDIN, secrétaire générale de la section départementale, d’Emmanuelle REMY, première vice-présidente de la CPME 89 et de l’ensemble de ses vice-présidents en charge des commissions (financements, femmes, emploi et formation, animations, etc.), le patron de la Confédération a mis en exergue cette envie inéluctable de structurer (professionnaliser davantage ?) l’organisme qui accueille parmi ses rangs près de 250 entrepreneurs.

Cette structuration, les membres du syndicat patronal l’a devront en réalité à ces différentes commissions qui permettront d’apporter des réponses concrètes et adéquates à toutes les problématiques rencontrées dans le quotidien des entrepreneurs. Et Dieu sait qu’elles sont pléthoriques ! Des solutions qui pèseront lourdement dans les prises de décision qu’il s’agisse d’acquisition, de reprise, de cession d’entreprise…

« On n’arrête pas d’être sollicités tous les jours par une tonne d’organismes, lâchera Baptiste CLERIN au micro, nous allons apporter par nous-mêmes ces informations à nos adhérents au travers de nouvelles offres de service… ».

 

 

 

« De pro à pro » : un nouvel évènementiel pour développer les échanges…  

 

Dès septembre, deux animatrices, au lieu d’une seule à date, dynamiseront le pôle des entrepreneurs au féminin, de plus en plus important au fil de l’eau. La RSE sera également mise à l’honneur car nécessaire à la valorisation des outils industriels, artisanaux ou commerçants. Quant à la facturation électronique – attention, la bascule du changement sera effective au 01er janvier 2024 ! -, elle induira une soirée d’information spécifique à la rentrée.

« Cela ne sert à rien de s’y intéresser actuellement, ironise le président, les décrets définitifs ne seront connus qu’au beau milieu de l’été ! ».  

Il faudra patienter encore quelques instants, presqu’au terme de ce discours mené tambour battant, avant que ne tombe l’information capitale de la soirée : l’organisation d’un évènementiel, digne de cette appellation, en 2024 réunissant tous les chefs d’entreprise de la CPME, « De pro à pro ».

Sur le papier, ce sera un ersatz des « RIDY » - la CCI de l’Yonne a acté il y a peu la décision de les arrêter définitivement et de les remplacer par une soirée des trophées organisé avec le concours d’un média régional – mais avec de significatives différences dans sa conception. Cette manifestation, élaborée à un coût modique, faciliterait ainsi les échanges et rencontres entre les adhérents dans un souci de communication participative, mêlé de business.

Une bordée d’informations qui n’aura nullement coupé l’appétit des convives. Trop heureux de se retrouver là, à pareille fête et de savourer le temps salvateur des vacances…même si certains pensent déjà tout haut à la suite !

 

Thierry BRET

 

 


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Il ne cache pas son inquiétude, Vincent MARTIN. Une préoccupation qui ne cessera de l’habiter durant ce déjeuner avec la presse, histoire de ponctuer une saison particulièrement dense pour la filière des travaux publics de Bourgogne Franche-Comté. Il y a de quoi ! D’ordinaire, la manne financière, générée par la commande publique, représente 70 % du chiffre d’affaires des entreprises du secteur. Or, à l’instant où se rédigent ces lignes, le compte n’y est pas vraiment. A peine, 50 % de dossiers sortis, au grand dam du responsable de la FRTP qui pointe l’attentisme flagrant des élus…

 

DIJON (Côte d’Or) : Jovial dans son approche relationnelle avant que les choses sérieuses ne débutent, le président de la FRTP de Bourgogne Franche-Comté présentait néanmoins la mine des mauvais jours, dès l’entame de ce déjeuner de presse de fin saison qui réunissait dans l’un des salons d’un grand complexe hôtelier de la capitale des ducs de Bourgogne une demi-douzaine de journalistes, tout ouïe et avides d’informations pertinentes, permettant de faire le point sur ce pan de l’activité économique régionale ô combien stratégique

Les travaux publics, l’une des filières majeures dans le paysage entrepreneurial de cette contrée, occupaient donc le devant de la scène. Encore et toujours, souligneront certains des observateurs de la chose médiatique, trois jours seulement après la visite du ministre du Travail Olivier DUSSOPT au GRETA de Besançon dans le Doubs où le représentant du gouvernement eut à échanger longuement avec Frédéric BONNEFOY, vice-président de ladite fédération, sur le retour à l’emploi et l’insertion à mettre en place dare-dare dans les entreprises des travaux publics.

 

Où sont passés les projets infrastructurels de mi-mandat ?

 

Mais, cette fois-ci, c’est sur un tout autre registre que Vincent MARTIN a voulu aiguiller les échanges journalistiques du jour. Le vrai sujet se nommait donc la commande publique. Et ses multiples aléas ! Visiblement, la chose n’est guère aisée en cette année 2023 avec son lot de difficultés multiples à vouloir réellement la concrétiser auprès des élus territoriaux, qu’ils soient représentants d’intercommunalités ou de communes.

Pourtant, le dossier n’est pas à mégoter pour la filière professionnelle qui s’en nourrit à hauteur de 70 % d’habitude. Un sacré bonus pour la réalisation du chiffre d’affaires. Oui mais voilà, comme l’interprétait jadis Bob DYLAN au début de sa prolifique carrière, en 1963, « The times they are a changing ». Les temps changent !

Et, malheureusement, pas en bien si l’on en croit ce qui suit, c’est-à-dire l’énoncé du problème à multiples équations, raconté par un Vincent MARTIN, un brin désabusé par l’envers du décor mais aussi combatif qu’ordinaire.

« Je suis préoccupé par la réactivité de nos élus – en filigrane, les maires et les présidents des EPCI – pour la sortie officielle des dossiers sur les appels d’offres des chantiers, annonce-t-il en guise d’apéritif aux convives du jour, lorsque l’on arrive à mi-mandat – c’est le cas des élus municipaux -, on remet un coup de booster naturel sur les investissements en s’appuyant sur les projets des prédécesseurs, voire en injectant de nouvelles réalisations à venir. Or, aujourd’hui, on s’aperçoit qu’il y a un net décalage avec ce qui se pratique d’ordinaire ; les dossiers ont beaucoup de mal à sortir, malgré les effets d’annonce lâchés en mars/avril. Or depuis de cette période, rien de tout cela n’a été confirmé dans les faits, ni n’a vu le jour… ».

Et ce ne sont pas les semaines à suivre, avec l’imminence de la période estivale – elles sont synonymes de congestion hexagonale et de paralysie de l’économie ! – qui devraient inverser la tendance ! Vincent MARTIN doit-il d’ores et déjà croiser les doigts et brûler un cierge, si lui-même fait une escapade touristique à Lourdes cet été, espérant un regain de la commande publique, favorable aux entreprises dont il défend bec et ongles les intérêts, dès la rentrée ?

 

 

L’attentisme, le sacro-saint mal français, est devenu le maître mot des élus…

 

Toutefois, le président de la FRTP est formel : « les collectivités locales au sens large et les EPCI ont de l’argent ; elles disposent de lignes d’investissement importantes ! ».

Et d’ajouter tout de go que de leur côté, les départements ont su maintenir des niveaux d’investissement convenables sur leurs territoires, à sa grande satisfaction, « Le vrai sujet, ce sont les communes et les intercommunalités qui disposent de cet argent… ». Sans réellement le dépenser ?

Une fois posée l’équation, reste à en connaître les causes. Pour Vincent MARTIN, c’est simple, « la COVID a permis à ces localités de ne pas dépenser et de thésauriser, explique-t-il, des investissements sont prévus, des lignes budgétaires le sont tout autant et pourtant rien ne bouge quant à la réalisation des dossiers ! ».

Faut-il y voir une autre raison ? C’est à cet instant que le prolixe responsable patronal abat carte sur table un sérieux joker pouvant servir de socle à tout ce contexte kafkaïen : l’attentisme ! Le mal français, par excellence…

« Tous les élus se sont focalisés sur le bouclier énergétique, ajoute-t-il, suite à la crise de l’hiver dernier imputable aux évènements en Ukraine. Il est vrai que le budget énergie des communes a été revu à la hausse en sachant que l’Etat a fait ce qu’il fallait auprès des maires et des intercommunalités, en les soutenant financièrement… ».

 

 

Cet attentisme, a donc gagné le terrain des collectivités au fil des mois. Au désarroi du responsable de la FRTP Bourgogne Franche-Comté, un peu dépité. Les témoignages de l’ensemble des entrepreneurs confrontés à la commande publique sont on ne peut plus clairs depuis plusieurs mois : aucune opération permettant la mise en chantier d’une infrastructure ne sort des cartons sous prétexte que les élus sont en position d’attente. Attendre, certes, mais après quoi ?!

Une situation incompréhensible, pourtant, car tout semble être réuni pour mener à bien à court terme ces investissements dont les communes et EPCI ont grandement besoin.

Comme le renchérit Vincent MARTIN : « l’argent est là, les projets, aussi. Je ne suis pas encore trop inquiet de la situation à ce jour. Mais, si cela devait perdurer à l’automne, il faudrait tirer la sonnette d’alarme pour toute notre filière, mise en péril... ».

 

 

« Il y a de la politique mais pas trop de volonté… »…

 

Rénovation de voiries, construction de pistes cyclables, traitement de l’eau et de ses usages, embellissement des cœurs de ville, transition énergétique…les pistes en matière de travaux sont loin d’être taries. Certaines pouvant bénéficier du Fonds vert, voulu par l’Etat, et dont la dotation est gérée directement par le préfet de Région Franck ROBINE, qui en fait le relais vers les préfets des départements.

Moyennant quoi, il y a aujourd’hui de l’argent – 72 millions d’euros destinés au Fonds vert sur le seul territoire régional – qui ne demande qu’à être affecté aux projets infrastructurels portés par les communes et les intercommunalités.

A cela s’ajoutent les enveloppes programmatiques issues de la DSIL, de la DETR, de fonds européens, etc. Autant d’aides mobilisables, en veux-tu en voilà, pour la réalisation de projets indispensables à l’amélioration et à la qualité de vie des administrés de Bourgogne Franche-Comté !

Et Vincent MARTIN de rajouter laconique : « dans cette affaire, c’est le milieu rural qui pâtit de cet attentisme latent… ».

Idem pour les entreprises du secteur. Car, comme le souligna l’auguste président, entre le plat de résistance et le dessert, « quand une commune investit cinq millions d’euros à la réalisation de travaux bénéfiques à ses habitants, c’est vingt-cinq millions d’euros envisageables en termes de retombées économiques pour les acteurs de la filière… ».

On comprend aisément la déception du porte-étendard de la Fédération des Travaux Publics vis-à-vis de la situation actuelle qui évoque sans langue de bois le « manque de courage et l’absence de volonté » des élus locaux sur ce dossier. Certains étant trop inféodés aux présidences des intercommunalités, n’ayant plus voix au chapitre pour les prises de décision…

Parfois, les élus disent oui. Mais, ce sont les services – un véritable état dans l’état – qui bloquent les initiatives au préalable validés. « Il y a un vrai étouffement des décisions, se plaint Vincent MARTIN, et pourtant, nous ne cessons de le marteler auprès des élus lors de nos rencontres. En Bourgogne Franche-Comté, il y a de la politique, certes, mais pas trop de volonté… ».

Bing ! Une dernière salve décochée à l’encontre de cet appareil administratif trop rigoriste et formaliste existant dans les collectivités qui ne permet plus à la France d’avancer ! Ni aux entreprises, en l’occurrence celles des Travaux Publics, d’accomplir leurs devoirs et de réaliser ce qu’elles ont le mieux à faire pour assurer la modernisation et l’attractivité du pays…

 

Thierry BRET

 

 


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Un quart de siècle, déjà. Comme le temps file…Pourtant, sur le site de la « Karrière » - avec un « K » majuscule s’il vous plaît !-, l’enthousiasme reste le même. Ici, à Villars-Fontaine, sur les hauteurs qui surplombent Nuits-Saint-Georges, territoire béni des dieux pour sa production viticole appréciée de tous, il se passe des choses dans le domaine des travaux publics. Grâce à une école, pas comme les autres, qui propose une douzaine de cursus différents et accueille plus de 430 apprentis venus de toute la contrée…

 

VILLARS-FONTAINE (Côte d’Or) : C’est un peu l’antre de la FRTP régionale. Un de ces endroits atypiques où la filière des travaux publics exulte à travers ses nombreuses formations qui y sont proposées, depuis le CAP jusqu’au Bachelor. Un site qui n’a pas vraiment d’équivalence sur le reste de notre territoire.

Son nom : la « Karrière » ! Un mot faisant appel à la lettre « K », plus majestueuse, plus « Kolossale » que jamais pour en résumé sa finalité sectorielle. Un lieu que les professionnels des travaux publics de Bourgogne Franche-Comté connaissent bien. Logique, il y a quelques semaines, cet espace  unique dédié à l’apprentissage et à la compréhension des métiers de la corporation a fêté sa vingt-cinquième année d’existence. Ni plus, ni moins. Un quart de siècle de transfert de compétences et de savoir-faire, enseignés ici-bas.

 

Plus de 400 apprentis accueillis chaque année dans l’école…

 

Ils étaient plus de quatre cents invités, issus de la filière BTP mais pas que, à découvrir et à s’imprégner de ce paysage si pittoresque à ciel ouvert. Relief visible de cette école des travaux publics, bien particulière de notre paysage pédagogique qui compte tout de même huit sites répartis sur les départements de cette Bourgogne Franche-Comté qui ne mégote pas sur la formation.

Dire que cet établissement est devenu au fil de l’eau un outil majeur de la profession est une saine réalité. On y forme les talents de demain, la relève tant espérée, par le biais de l’apprentissage, une voie d’excellence encouragée et soutenue par les acteurs entrepreneuriaux de cette filière.

A date, 435 jeunes la fréquentent. Avec l’espérance de toucher un jour le Graal, à l’aide d’un sésame précieux – le diplôme – sanctionnant ainsi des années d’étude et d’abnégation. Une école où l’ambition se réaffirme d’année en année, où le développement et son essor se poursuivent inexorablement.

 

 

Derrière l’eau qui coule et l’accès à Internet, il y a des femmes et des hommes !

 

Présidée par Xavier LUGAND, l’Ecole des Travaux Publics régionale possède de solides atouts dans son jeu. D’une part, parce que les entreprises de la filière sont très engagées et impliquées en matière de formation et d’apprentissage. D’autre part, elles ont su prendre leur destin en main, se chargeant elles-mêmes de la formation de leurs futurs collaborateurs. Une manière de garantir la pérennité de l’activité, un vecteur fondamental pour mieux aborder l’avenir.

D’ailleurs, Vincent MARTIN, président de la Fédération régionale des Travaux Publics BFC le dit volontiers avec réalisme : « derrière l’eau qui coule du robinet, derrière les prises électriques, derrière l’accès à Internet, derrière les facilités de déplacement sur les routes, il y a des équipes de travaux publics. C’est-à-dire, avant toute chose, des femmes et des hommes qui constituent l’entreprise… ».

 

 

Attirer les talents de demain…

 

Très impliquée, la filière TP n’a pas hésité il y a 25 ans de cela à se doter de ce formidable outil promotionnel qui valorise des métiers ayant de plus en plus la cote auprès des jeunes générations. Pour y parvenir, il y a la prédominance de l’apprentissage, considéré par beaucoup comme la voie royale de l’excellence. Au plan organisationnel, la FRTP s’appuie sur le concours de deux commissions : celle s’occupant de la formation – elle adapte le contenu pédagogique et réfléchit à l’ouverture de nouveaux cursus -, mais également celle de la promotion des métiers. Son rôle consiste à promouvoir ceux offerts par les travaux publics – ils sont nombreux – auprès des jeunes, des personnes en reconversion ou en quête d’un nouvel emploi.

« Notre intérêt est commune, précise Vincent MARTIN, l’Ecole et la fédération travaillent ensemble, côte à côte, au quotidien pour attirer les talents de demain… ».

A l’instar de celui des parents qui, lorsqu’ils comprennent combien l’apprentissage est valorisant pour celui qui le pratique, jouent un rôle majeur dans cette promotion de ce parcours scolaire.

 

 

Un taux d’employabilité frisant avec l’insolence avec 95 % d’intégration !

 

Côté résultats, l’Ecole des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté est en tout point remarquable avec des pourcentages d’obtention de diplômes très élevés et un taux d’employabilité immédiat qui frise l’insolence, proche de 95 % ! Le fruit du travail des enseignants, formateurs et équipes pédagogiques…

Mais, une chose est évidente aux yeux du président de la fédération patronale de la filière : au-delà du savoir-faire, il y a le savoir-être ! Tout aussi important.

« Intégrer nos entreprises, c’est avoir des valeurs, souligne Vincent MARTIN, le respect, l’entraide, l’esprit d’équipe. C’est aussi avoir envie de travailler pour soi, pour le collectif, pour la société. Bref, se sentir utile… ».

Etre utile en endossant le rôle privilégié de relève naturelle, c’est un titre inestimable pour ces apprentis qui une fois sortis de cette école ne peineront guère pour se faire embaucher auprès d’une entreprise…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Nom de baptême de l’association : INITIATIVE Bourgogne Franche-Comté. Objectif de l’entité : être au service de l’entrepreneuriat et des créateurs d’emplois. Comment ? En accompagnant et en finançant les porteurs de projets du territoire ! Expert-comptable indépendant (VISEEON), l’Icaunais Eric CHEVALLIER hérite de la présidence de cette structure régionale. Elu à l’unanimité des voix du Conseil d’administration !

CHALON-SUR-SAONE (Saône-et-Loire) : L’ancrage se veut d’extrême proximité. En privilégiant l’écoute et les échanges. Le but recherché étant de rasséréner celles et ceux qui se lancent dans l’aventure de l’entrepreneuriat, ce qui n’est pas une mince affaire comme chacun le sait. INITIATIVE Bourgogne Franche-Comté fait figure aujourd’hui d’honorable institution dans le paysage économique de notre contrée. Une structure, associative, qui est présente dans les huit départements de notre région. Dans l’Yonne, on l’a connaît sous le vocable « d’INITIACTIVE 89 »…

Et c’est précisément l’Yonne qui a fourni le nouveau responsable de l’entité. Succédant à Danièle DULMET, l’Auxerrois Eric CHEVALLIER vient d’hériter du fauteuil présidentiel au terme de l’assemblée générale qui s’est déroulée dans la sous-préfecture de Saône-et-Loire, Chalon-sur-Saône, le 15 juin.

Très investi, l’expert-comptable icaunais occupait ainsi des fonctions de trésorier depuis 2020. En parallèle, il a été élu administrateur au sein du Conseil d’administration d’INITIATIVE France en 2022. On le retrouve aussi membre de la commission Finances. 

 

 

 

Les mots justes du nouveau président envers son prédécesseur…

 

Lors de sa prise de parole à l’issue de son élection, Eric CHEVALLIER a tenu au nom du Conseil, à remercier Danièle DULMET pour tout le travail effectué depuis son arrivée à la présidence de la coordination régionale en 2019. Puis, unanimement, Vincent SCHMITT, vice-président d’INITIATIVE France, les membres du conseil et les invités ont témoigné leur reconnaissance pour avoir porté la structuration et le développement de l’association régionale.

« La générosité de votre action et votre force de conviction ont permis de donner corps au réseau régional, avec pour socle les valeurs « INITIATIVE France » partagées par tous, à savoir la combinaison de l’esprit d’entreprise et du service de l’intérêt général, devait préciser le nouveau président à son prédécesseur.

Un juste retour aux sources pour l’expert-comptable d’Auxerre qui a été accompagné par l’association « INITIACTIVE 89 » lors de la création de sa société. Il est, en effet, un ancien bénéficiaire d’un prêt d’honneur « Initiative ». C’était en 2019…

 

Thierry BRET

 

 


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