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Le rendez-vous était donné ce jeudi 24 octobre en fin d’après-midi dans la galerie marchande d’un centre commercial auxerrois. Le secrétaire d’Etat chargé de la protection de l’enfance auprès de la ministre des Solidarités et de la Santé a pu y rencontrer des acteurs associatifs du milieu de l’enfance. Objectif : présenter les déclinaisons du programme « 1 000 Premiers jours de la vie de l’enfant » où le volet de l’alimentation des bambins est primordial. Le ministre s’est aussi entretenu des vertus de la parentalité…

AUXERRE : Les associations de soutien à la parentalité « Régalons », « A Petit’s pas, c’est moi que voilà » et le Pôle enfance et famille de l’Yonne étaient conviés pour échanger sur ce thème.  

Durant une demi-heure ont été abordés avec le ministre en visite sur notre territoire divers aspects liés à la nutrition, l’allaitement et l’importance de bien s’alimenter. D’autres items se rapportant à la petite enfance furent également évoqués dans ce laps imparti à cette rencontre : les modes de garde, la généralisation des écrans (une vraie préoccupation pour le secrétaire d’Etat), la bienveillance et l’éducation dans son ensemble. Immanquablement, la pauvreté et l’inégalité sociale s’invitèrent dans le débat. Comme devait le souligner en préambule de son intervention Adrien TAQUET : « En France, on soigne très bien, mais on prévient mal… ».

 

 

Une opération bénéficiant du savoir des experts de la petite enfance…

 

Autour des discussions est justement venu le temps de la prévention des familles et des parents. Jusqu’alors, les PMI étaient avant tout un service de prévention pour les familles. Des réflexions sont en cours pour voir comment aller au plus près des familles pour diffuser plus largement et avec efficience ces différents messages. 

L’initiative de cette rencontre avec les structures ad hoc fait suite à l’installation, depuis le jeudi 19 septembre, d’un comité d’experts chargé de travailler avec l’ensemble des acteurs. Il s’agit de rassembler leurs connaissances et de formuler des préconisations ayant un impact sur les politiques publiques pouvant être menées.

L’opération baptisée « 1 000 Premiers jours  de la vie de l’enfant » est présidée par Boris CYRULNIK, le fameux neuropsychiatre français. Celui-ci s’est entouré d’une quinzaine de spécialistes, issus des milieux professionnels de l’enfance (pédiatres, gynécologues, psychologues….).

La commission a pour vocation de définir un consensus scientifique pour aider les familles, en leur faisant prendre conscience que tout se joue dès les mille premiers jours d’existence de leurs nouveau-nés.

Lors de cette période se créent en effet des liens d’attachement. Ceux-ci sont déterminants dans la construction physique, psychique, affective, sociale et cognitive de l’enfant avec un impact inéluctable sur la future vie d’adulte qui les attend.

 

Pour en savoir plus sur le programme « 1 000 premiers jours de la vie d’un enfant » : https://solidaritessante.gouv.fr/IMG/pdf/1000_jours_4_pages_2019_vweb.pdf

 

Maryline GANDON

 

 


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Inattendu dans sa forme, le concept prend depuis son ouverture, survenue le 03 août, ses marques progressives dans l’univers des loisirs proposés sur le Sénonais. Ciblant en première intention la jeunesse. Mais, la stratégie des deux associés, les frères LEGRAS, repose sur l’atteinte d’autres objectifs bien plus affirmés en soi. En premier lieu, il s’agit de toucher le monde de l’entreprise en privatisant l’espace ludique de 580 m2. La seconde priorité s’articule autour de la personnalisation de l’offre. Celle-ci s’oriente sur des évènements familiaux et festifs de type anniversaire ou défis sportifs…

SENS : Quelques curieux tentent vainement d’apercevoir derrière la vitrine ce que recèle le vaste espace ludique ayant ouvert ses portes au beau milieu de la période estivale.

Même si l’une des devantures rappelle de par son décor insolite la proximité de la fête anglo-saxonne d’Halloween dans le calendrier, personne ne peut s’imaginer réellement ce que propose L’EMERAUDE LOUNGE sans avoir pénétré à l’intérieur du magasin !

Ici, dans ce nouveau point d’ancrage commercial consacré à l’art de vivre et à la détente, les surprises autour du jeu sont de taille. Le résultat de cet agencement est vécu comme un aboutissement pour les deux membres de la fratrie : Ludwig et Grégory.

En effet, il aura fallu trois longues années de patience et d’abnégation pour y parvenir ; le temps nécessaire de trouver le local adéquat dans la sous-préfecture de l’Yonne qui réponde aux exigences du cahier des charges initial.

Autrefois, on vendait des chaussures au linéaire dans ce vaste édifice situé sur l’un des points névralgiques, à l’entrée sud de la ville. Aujourd’hui, et après moins d’un semestre de travaux de réhabilitation, c’est le rire et l’amusement que l’on vante à satiété à sa clientèle.

Coût de l’investissement pour remettre le bâti en état de fonctionnalité : 90 000 euros hors taxes. Un budget lourd à réunir pour ces deux jeunes garçons de moins de trente ans qui auront su convaincre avec persévérance l’un des conseillers stratégiques de l’agence de développement INITIACTIVE 89, Julien LACOMBE. Ce dernier n’a pas tergiversé devant le côté insolite du dossier : un prêt d’honneur a pu être souscrit très vite avec l’aval bancaire à l’issue.

Dès lors, les deux frangins durent se creuser un tantinet les méninges pour baptiser de la raison sociale qui leur semblait la plus judicieuse ce nouveau pôle d’intérêt dans le monde du loisir.

Les adeptes d’énigmes et de mystères seront déçus d’apprendre que derrière le nom de cette enseigne, « L’EMERAUDE LOUNGE », il n’existe pas de secret ! Sauf celui qui aura provoqué un déclic auprès des deux dirigeants de l’entreprise : la résonance dans l’association de ces deux mots.

 

 

Développer  le concept sous la forme d’une franchise à moyenne échéance…

 

En quoi cet univers est-il si particulier et si différent ? Très simple, il accueille une somme de disciplines ludiques que nulle part ailleurs on ne peut pratiquer dans l’Yonne. Certes, la présence de baby-foot, de billards ou de jeux de fléchettes n’a rien de sensationnel, de prime abord.

Là où les choses diffèrent, c’est de voir in situ des pistes de curling (sans la glace) au nombre de deux et celles de cet étrange billard aux dimensions inconcevables qui se pratique avec les pieds : le snookball.

La découverte de ces deux disciplines permet aux amateurs de cocktails de se détendre au-delà d’un verre et de profiter en toute quiétude de ces instants de farniente entre amis. Voire entre collègues. Bref : l’unicité du cadre et son modèle d’attractivité pourraient devenir très vite un lieu à fréquenter à l’avenir dans le sérail sénonais.

 

 

L’orientation stratégique donnée au projet est de le faire évoluer très vite sur le territoire. De manière régionale mais aussi nationale via le principe de la franchise. Ludwig LEGRAS et son cadet, Grégory, voient loin. Un développement potentiel vers la Seine-et-Marne, le Loiret, l’Aube. Mais aussi, adapté à l’ensemble de l’Hexagone…

Ils sont suivis de près par les spécialistes de la question entrepreneuriale (banque, experts-comptables…). Les projections présentent déjà quelques garanties de réussite avec un prévisionnel de 300 000 euros de chiffre d’affaires au terme de la troisième année d’exploitation.

Les responsables de la SAS ont par ailleurs procédé à leur première embauche, en la personne d’une serveuse sous contrat à plein temps. Demain, il sera aussi question de façonner une scène qui recevra des groupes musicaux, pour l’essentiel d’inspiration locale.

Les deux frères vivent leur projet comme un rêve éveillé. Loin de leurs cursus initiaux concrétisés par des diplômes dans la maçonnerie et l’aménagement paysager. A 25 et 21 ans, ils ne le regrettent nullement car ils ont osé passer de l’autre côté du miroir : celui de l’entrepreneuriat !

Un article réalisé en partenariat avec la Ville de Sens et la Communauté du Grand-Sénonais.

 

 


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La société industrielle de l’Avallonnais s’est illustrée de bien belle manière lors de la commémoration de son soixantième anniversaire. Notamment sur un double aspect, celui de l’éco-citoyenneté et du pur altruisme. Accueillant la représentante de l’Etat, la sous-préfète Cécile RACKETTE en ses murs, son directeur, Frédéric BOUILLY, a tenu à célébrer cette visite en validant un acte d’engagement fort en faveur du renforcement de la sécurité routière au sein de l’entreprise tout en encourageant ses collaborateurs à répondre aux besoins du SDIS, en quête de sapeurs-pompiers volontaires…

AVALLON : La visite officielle de la représentante de l’Etat, la sous-préfète Cécile RACKETTE, sur le site de l’industriel suédois en fin de semaine dernière se sera soldée par un geste empli de symboles pour la direction du groupe SKF Slewing Bearings.

Le directeur de l’entité icaunaise, Frédéric BOUILLY, a pris position au nom de l’enseigne qu’il représente localement en faveur du plan « Sept engagements pour une route sûre ». Un concept, porté par les services de la Sécurité routière, qui émanent de la préfecture de l’Yonne.

La signature protocolaire de ce document traduit ainsi la volonté de l’entrepreneur de veiller à la pratique d’une bienveillance déontologique en cas de mobilité de ses collaborateurs lors de leurs déplacements sur les routes.

Comme devait le préciser Cécile RACKETTE cosignataire de cette charte éthique au nom de l’Etat, « les entreprises ont un rôle extrêmement important à jouer en matière de sécurité routière car la majorité des accidents mortels du travail correspondent à des drames survenus sur la route, notamment entre le domicile d’un collaborateur et son lieu de travail… ».

Rappelant les principes élémentaires de sécurité que chacun se doit de respecter au quotidien, la sous-préfète de l’Avallonnais et du Tonnerrois insista sur le rôle de l’employeur qui fait figure d’inéluctable prescripteur dans les comportements civiques de tous les jours.

En outre, l’utilité de cette convention ne se résume pas à une simple annonce médiatique, qui marquerait les esprits. En interne, la direction de SKF alimentera de conseils et d’informatiques pratiques les différents services en vue de les éduquer sur une optimisation des bonnes manières vécues derrière le volant.

 

 

Encourager le développement du volontariat des sapeurs-pompiers…

 

Un autre bonheur ne venant jamais seul, SKF a profité de cet instant cérémonial auquel participaient le député de la circonscription André VILLIERS, la représentante de la Région, Muriel VERGES-CAULLET, la conseillère départementale Sonia PATOURET et le maire d’Avallon, Jean-Yves CAULLET, pour formaliser la mise à disposition de sapeurs-pompiers volontaires auprès du SDIS de l’Yonne, le Service départemental d’incendie et de secours.

Pour l’heure, la convention signée avec les autorités de secours ne concernent qu’un seul et unique collaborateur travaillant chez l’industriel scandinave. Mais, il est certain qu’un effet gigogne va survenir à la suite de cette annonce et susciter des vocations supplémentaires.

Précisons que les directions de Pneu LAURENT et de la Carrière d’Asnières-sous-Bois ont accepté il y a peu de prendre les mêmes dispositions à l’égard de leurs collaborateurs pour accroître les effectifs du SDIS dans la partie méridionale de notre territoire.

 


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Un chèque de 50 000 euros dans la besace. Et surtout une campagne de communication à la clé, prise en charge à 100 % par le groupe EDF afin de vanter les mérites de la start-up auxerroise dans son cœur de cible : le domaine du bien-être connecté, du travail 4.0 et des territoires durables. Voilà l’excellente nouvelle qui est tombée au soir du 16 octobre à Paris pour Isabelle GALLET-COTY, lorsque cette dernière, présidente de l’entité, s’est vue offrir l’une des distinctions de la 6ème édition des Prix EDF PULSE 2019 devant le numéro un de l’énergéticien mondial. Elle n’est pas belle la vie ?

PARIS : On le savait déjà depuis quelques semaines, l’entreprise de l’Yonne avait obtenu un premier sésame : le droit de participer à la sélection officielle de ce challenge national annuel. Rejoignant ainsi la douzaine de finalistes qui pouvaient prétendre remporter l’édition 2019 dans la catégorie « Territoires durables » d’un défi porté par EDF.

Plus de 330 candidatures avaient été enregistrées de par l’Hexagone pour concourir dans l’une des trois épreuves existantes. Objectif avoué de l’initiative soutenue par l’acteur majeur de la transition énergétique : la mise en lumière des start-up françaises, voire européennes, qui favorisent à grand renfort d’innovations le développement de nouveaux usages électriques.

Il aura fallu quelques semaines d’évaluation pour que des comités d’expert de l’innovation internes et externes au groupe EDF examinent un par un et avec beaucoup de minutie les dossiers des douze start-up retenues pour disputer la phase finale.

Informée de sa sélection, l’équipe de SAUREA croisa les doigts pour recevoir le maximum de suffrages de la part du grand public, sollicité par les réseaux sociaux, et devant se prononcer sur la pertinence de ce projet.

En cas de vote positif, le jeu en valait vraiment la chandelle puisque chacun des lauréats se voyait gratifier d’une campagne de communication réalisée dans les règles de l’art par des professionnels. Une dotation financière alléchante apportait du beurre dans les épinards. En l’occurrence 50 000 euros pour le coup de cœur (comparable à un sérieux coup de pouce) impulsé par le public !

 

 

 

Une cérémonie présidée par le numéro un du groupe EDF…

 

Le 16 octobre, entourée des siens et de son époux, Gilles, qui est aussi l’une des têtes pensantes de la structure entrepreneuriale en sa qualité de directeur technique, Isabelle GALLET-COTY, PDG de la structure icaunaise, gravissait les marches menant à l’immense scène pour y recevoir son prix. Sous les applaudissements nourris de l’état-major du groupe EDF et de son président-directeur général, Jean-Bernard LEVY.

Particulièrement adapté aux sites isolés et aux climats sévères, le moteur imaginé par le père de Gilles, Alain, et multi-breveté depuis présente des caractéristiques ultra résistantes à son utilisation.

L’appareil a eu aussi son moment de gloire lors des récentes Rencontres industrielles régionales de Bourgogne Franche-Comté (RIDY) lors de la visite à Auxerre de la présidente de la Région, Marie-Guite DUFAY. Suscitant un vif intérêt de l’élue régionale dont on connaît l’appétence pour tout ce qui touche de près ou de loin à la transition énergétique.

Quant au défi relevé par SAUREA, il est de fiabiliser les installations solaires motorisées dans les zones à fort ensoleillement grâce à ce moteur auto-commuté qui convertit directement l’énergie solaire en énergie mécanique.

Dans l’absolu, l’énergie développée est équivalente à celle d’une femme qui actionne une pompe manuelle. Le moteur assure une pérennité d’usage dans les pays défavorisés, en site isolé car sans maintenance pendant une durée de vingt ans. Fiable et durable, ce processus peu coûteux (environ 3 000 euros) présente, on l’aura compris, un impact environnemental faible.

Depuis le mois de juin, SAUREA commercialise ce produit, qualifié de révolutionnaire auprès d’ONG et de fondations qui développement des zones de captage des eaux au cœur de l’Afrique. Toutefois, d’autres emplois sont d’ores et déjà envisagés à partir de ce concept technologique très poussé : les systèmes de ventilation, d’arrosage, d’humidification,…

 

 

Bénéficiant des largesses financières d’investisseurs (une coquette enveloppe de 300 000 euros obtenue en 2018), SAUREA devrait procéder à une nouvelle levée de capitaux dès la saison prochaine. Toujours pour accroître ses perspectives de développement.

L’apport de ces cinquante mille euros supplémentaires est loin d’être négligeable. A l’instar de la campagne promotionnelle qui découle de ce Prix 2019. Quant à l’appui du groupe EDF, très intéressé par la démarche technologique dans laquelle s’est précipitée la start-up auxerroise, il est bien réel.

Surfant sur la vague du succès depuis trois ans, date de sa création, on devrait entendre parler de SAUREA à brève échéance…

 

 

 

 


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Sans se réclamer ni d’un parti – il a rompu les amarres avec le bateau socialiste en juin – ni d’un quelconque mouvement politique, l’édile de la capitale de l’Yonne, en poste depuis 2001, s’est donc officiellement déclaré candidat à sa propre succession ce vendredi 18 octobre. Juste à la veille des vacances de la Toussaint, enterrant ainsi les vaines illusions de celles et ceux de ses contradicteurs qui ne croyaient pas en la pugnacité et le volontarisme de l’actuel président de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois. C’est donc sans étiquette, mais avec 60 % de colistiers, néophytes dans la gestion d’une collectivité, que Guy FEREZ entend décrocher un nouvel accessit le 22 mars prochain. Tirant un trait définitif sur un secret de Polichinelle qui n’en était finalement pas un !

AUXERRE : « Je suis candidat à ma succession ». Le propos liminaire aura permis d’ôter d’entrée de jeu le moindre doute qui pouvait encore subsister sur les réelles intentions du maire d’Auxerre. Et sur son désir de repartir en campagne en vue d’une quatrième victoire.

Se mettant en scène, aux côtés de quelques-uns de ses colistiers, une garde rapprochée quasi prétorienne, où figuraient, parité oblige, les élues Isabelle POIFOL-FERREIRA et Elodie ROY (Radical), ainsi que deux jeunes pousses du sérail politique en devenir, Mathieu DEBAIN (LREM, représentant Renaissance - AGIR La Droite constructive et le MoDem) et Mani CAMBEFORT (PS), Guy FEREZ n’aura pas tergiversé très longtemps avant de clarifier la situation au cours de la conférence de presse accordée dans l’antre du Silex.

Celle-ci a le mérite d’être d’une rare limpidité. L’actuel édile de la ville phare de l’Yonne se lance à la conquête d’un nouveau sésame. Un bâton de maréchal électoral qui le prolongerait de six années supplémentaires dans le fauteuil de maire. Une déclaration emplie de solennité aux antipodes d’une réelle surprise, en vérité. N’en déplaise aux férus de suspense et autres adorateurs d’Alfred HITCHCOK !

Même s’il s’était tu sur le sujet depuis le début de l’année, balayant d’un revers de la main toute allusion directe à ce scrutin ô combien capital pour notre ville, Guy FEREZ mûrissait patiemment son projet en prenant soin de vérifier, tel un contrôleur de gestion, la pertinence de son envie. Et de ses capacités à rassembler.

Alors que bon nombre de ses adversaires s’extrayaient avec plus ou moins de bonheur des starting-blocks de cette compétition digne d’une course d’endurance dès le premier trimestre, lui, en renard des surfaces à qui on ne la fait plus, minimisait les choses, se contentant de regarder gesticuler à cor et à cri les prétendants à sa succession.

 

 

La liste et le projet seront dévoilés le 18 janvier prochain…

 

Désormais, avec l’officialisation de sa candidature, Guy FEREZ remet les pendules à l’heure. Avec la précision rigoriste d’un horloger helvétique ! Coupant court à toutes les supputations qui ont pu secouer le microcosme politique local au fil de ces derniers mois.

Le message adressé à la concurrence est, on ne peut plus clair en somme : l’élu de l’Yonne a décidé de siffler la fin de la récréation et de signifier sa présence haut et fort à l’ensemble des prétendants qui devront composer avec.

Se qualifiant d’homme d’ouverture – il a favorisé l’accès à son équipe municipale dès 2008 à des obédiences politiques qui n’étaient pas forcément les siennes -, Guy FEREZ prône plus que jamais le rassemblement et la polyvalence des horizons idéologiques.

Sachant que les négociations sont closes dans l’arbitrage des répartitions des premiers rôles. Bref, le chef d’orchestre tient fermement la baguette. Il entend faire jouer une partition identique à toutes celles et ceux qui vont le rejoindre dans la constitution de ce « philharmonique » municipal, à l’écoute et au service des Auxerrois.

Toutefois, la liste n’aura pas été dévoilée lors de ce rendez-vous avec les médias. Elle ne sera connue qu’en date symbolique du 18 janvier, début de la campagne officielle.

 

 

L’incarnation d’une stratégie profitable à la ville…

 

On sait, que plusieurs personnalités devraient s’exprimer dans les prochains jours pour annoncer leur soutien au candidat-maire. Quant au rajeunissement et l’intégration de nouveaux visages, ils constituent l’originalité de cette équipe qui ira se soumettre aux votes des Auxerrois, au mois de mars 2020. Avec 60 % de nouvelles têtes !

« Ce sera une véritable liste de rassemblement, souligne Guy FEREZ, avec l’expérience qui est la mienne pour la conduire au succès. Aujourd’hui, personne ne conteste ma capacité à défendre bec et ongles mes dossiers et à les travailler. Cette liste portera une réelle vision de ce que seront les projets à appliquer pour améliorer la qualité de vie de nos concitoyens auxerrois… ».

Soucieux de partager avec ses expériences d’élu, Guy FEREZ l’est aussi dans ce besoin de transmettre à de nouvelles générations ces notions viscérales qui l’habitent dans la manière de pratiquer la politique.

« Certes, je représente l’incarnation en ma qualité de maire d’un concept à décliner pour l’essor de la ville, mais je le fais en dépassant le cadre de ma personne. Aujourd’hui, je raisonne bien au-delà de ces considérations en devenant un transmetteur de responsabilité auprès des plus jeunes, en y mêlant l’autorité et l’expérience. Toutes les conditions requises pour présenter ce projet à travers cette liste étaient donc réunies… ».

S’inscrire dans la continuité en y injectant de nouvelles pierres à l’édifice n’est-il pas le propre de ces bâtisseurs qui veulent laisser leurs empreintes immuables une fois que leur temps sera révolu ?

C’est peut-être que ce désire le chef de l’exécutif auxerrois depuis 2001. Un homme qui prend le temps de lire trois ouvrages à la fois en passionné de lecture qu’il est et qui n’a absolument pas envie de passer la main au niveau de sa passion première : la politique…

 

 

 

 


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