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Se déplacer ce vendredi soir chez l’avant-dernier du championnat ne ressemblera pas nécessairement à une partie de plaisir pour les Bourguignons. Pas facile, en effet, d’évoluer face à un adversaire qui doit se réhabiliter coûte que coûte aux yeux de son public. Toutefois, le coach auxerrois, avec sa nature faconde et sa décontraction, accorde sa totale confiance à son groupe qu’il sait capable d’un rebond après la contre-performance enregistrée la semaine dernière à domicile face à Grenoble. Ce sera l’un des enjeux de cette treizième journée, vue sous le prisme de l’AJ Auxerre…

AUXERRE : Ce qui est toujours plaisant avec l’entraîneur du club de l’Yonne, c’est sa manière d’aborder l’exercice pourtant impitoyable de la conférence de presse avec sérénité. Calme, détendu, ne pratiquant pas la langue de bois, y saupoudrant parfois quelques zestes d’un humour qui lui est propre, Jean-Marc FURLAN manie le sens du verbe et de la parole avec un réel brio.

Du pain béni pour celles et ceux des suiveurs médiatiques qui souhaitent l’interroger sur le dessous de toutes les ficelles stratégiques d’un avant-match.

Jean-Marc FURLAN ne se contente pas de répondre aux questions sous un format minimaliste ou de manière lapidaire. Que nenni ! L’emblématique personnage de ce sport qu’il a en haute estime, et c’est normal, explique avec minutie ses choix tactiques, ses options de jeu, ses plans de travail. Bref : ses ambitions.

Après vingt semaines à la tête du club icaunais, notre homme excelle toujours autant dans cet exercice oratoire qui requiert de la vivacité d’esprit et un sens profond de la communication.

Avant le déplacement qui le conduira ce vendredi soir à accompagner son équipe face à l’adversaire du jour, La Berrichonne de Châteauroux, Jean-Marc FURLAN distille les préconisations idéales qui seraient à appliquer une fois le coup d’envoi donné.

Le mot d’ordre du jour se nomme le rebond. Fi de celui du basket-ball, mais bien celui se rapportant à cette action de rebondir avec enthousiasme après une incompréhensible défaite contre le FC Grenoble, 1-0 le week-end dernier.

« Nous sommes toujours pétris d’intentions favorables, constate-t-il après les revers enregistrés face à Troyes et au club de l’Isère, mais à la sortie, nous perdons le match. C’est l’imprévisibilité du football à laquelle nous ne pouvons pas grand-chose, malheureusement… ».

 

La construction du vestiaire : les fondamentaux d’une équipe pro…

 

Fataliste, l’ex-coach du Stade Brestois qui fait des étincelles en ligue supérieure cette saison ? Non ! Ce n’est pas le style de la maison.

Lui, il ne rêve que d’une chose : passer à l’abordage à chaque rencontre afin de prendre le meilleur sur l’équipe adverse.

Son projet de jeu ne se résume à pas à se procurer des occasions, il est indispensable de les concrétiser. Constatant avec un brin d’amertume que sa formation se crée des opportunités devant le but mais ne sait pas les transformer.

« Nous avons une marge de progression très importante à avoir dans le secteur offensif, souligne-t-il, j’entrevois de réels espoirs avec des joueurs qui ne sont présents au club que depuis le mois d’août… ».

Serait-il un chantre du fameux adage où il est nécessaire de laisser du temps au temps ?

« Je ne reproche rien à mes joueurs, concède-t-il, ni leur volonté ni sur leur engagement à chaque partie. Il faut simplement leur laisser un peu de temps… ».

Possédant le sabir d’un vrai manager, Jean-Marc FURLAN vit sa nouvelle expérience auxerroise tel un entrepreneur en soif de conquêtes et de résultats.

« Il existe un vrai projet de construction du vestiaire, ajoute-t-il, c’est fondamental de procéder de la sorte lorsque l’on évolue chez les professionnels. D’ailleurs, ce que j’apprécie chez ces jeunes footballeurs, c’est leur correction, leur aptitude à prendre en compte les paramètres d’exigence du coach. Ils sont très intelligents ; beaucoup plus que nous aurions pu l’être à notre époque dans les années 1980… ».

 

 

Un esprit de coupe contre les mal-classés…

 

Alors, ce match face à la dix-neuvième équipe de Ligue 2 est-il de nature piégeuse ou plus facile à appréhender pour lui ?

« Affronter des formations qui sont déjà dans le dur après une douzaine de journées suppose une énorme pression. On en oublie même le championnat pour vivre ces rencontres comme des matches de coupe… ».

Une manière intéressante de tester les membres du team et de connaître leurs appétences à pouvoir réagir ou non aux exigences de la rencontre.

Le match face à Châteauroux donnera également l’opportunité au coach auxerrois de revenir s’asseoir sur le banc de touche aux côtés de ses joueurs. Parfois colérique, Jean-Marc FURLAN avait écopé d’une sévère suspension équivalente à quatre journées après une intervention auprès du quatrième arbitre.

« Je suis très satisfait de faire mon retour sur le banc, plaisante-t-il, toutefois, il faut savoir que dans la gestion du management, en ayant soin de privilégier davantage de lucidité, il est plus facile de gérer une rencontre vue d’en haut ! ».

Qu’à cela ne tienne, c’est lui qu’il l’affirme, mais l’entraîneur de l’AJ Auxerre et son caractère bouillonnant peuvent engendrer des suspensions de banc environ tous les dix-huit mois !

Visiblement, le corps arbitral l’a à l’œil et connaît sa faille personnelle dans ce rendez-vous cyclique !

 

 

 


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L’infrastructure médicale, prolongement logique des activités de la Caisse Primaire d’Assurance maladie de l’Yonne, détient un joli record, démontrant l’excellence de son efficacité. Avec près de 8 500 bilans réalisés par an, le CES dépasse de deux mille consultations ce qui se pratique d’ordinaire dans d’autres établissements de l’Hexagone. Un chiffre significatif de la dynamique dans laquelle s’inscrit l’action de ce centre qui requiert un budget de fonctionnement annuel de l’ordre de 2,5 millions d’euros…

AUXERRE : Cinq décades après ses débuts, on ne peut que constater l’évidence : l’efficience de cette structure médicale tournée pour l’essentiel vers les personnes en situation de précarité. Le Centre d’examens de santé (CES) incarne à lui seul le symbole abouti de politiques nationales en matière de prévention et de soins qui répondent aux réels besoins de la société.

A commencer par celles et ceux qui n’y avaient pas droit ou s’en étaient trop éloignés du fait de leur situation personnelle au fil des années. Bénéficiant d’une gestion saine et rigoureuse, au cordeau comme le stipuleraient certains économistes aguerris, l’établissement piloté par la CPAM de l’Yonne réalise un important travail préventif ; bien en amont de la découverte des pathologies. Une anticipation salutaire pour l’humain qui y est pris en charge, une anticipation salvatrice pour l’institution sanitaire qui peut ainsi concevoir une économie de plusieurs millions d’euros chaque année dont profite la collectivité.

 

 

Un établissement qui bénéficie des ultimes technologies préventives…

 

Bref : on l’aura compris l’outil est bénéfique à moult égards dans notre paysage social actuel. Chaque bilan de santé ne revient qu’à un coût modique de 226 euros par personne/assuré/consultant selon les ultimes évaluations datant de 2018.

Chaque campagne de sensibilisation assure, au-delà des soins que l’établissement peut prodiguer, un suivi de la bonne santé sur un territoire dont le quotient économique n’est pas orienté résolument vers l’optimisme du fait de ses lacunes structurelles. Mais, qu’importe, le Centre d’examens de santé de l’Yonne agit en tout état de cause pour le bien de son prochain, avec altruisme, pugnacité et enthousiasme.

Il suffit de s’intéresser de près aux résultats des récurrentes campagnes de sensibilisation, propres au « rattrapage vaccinal », pour s’en convaincre. Un succès auprès des assurés ? Non, plutôt un plébiscite tant l’opération a été couronnée de réussite auprès des personnes qui en avaient le plus besoin.

Illustration sociétale de sa légitimité, le CES de la CPAM avance au quotidien en s’adaptant aux attentes de la société, proposant une adaptabilité technologique toujours plus grande, gérant un système d’information numérique de plus en plus spécifique et pointu dans ses exigences.

Son rôle n’est pas de se substituer à la médecine générale en pleine phase évolutive, elle-aussi. Complémentaire au travail des praticiens, le Centre d’examens de santé de l’Yonne représente un sas, une véritable porte d’entrée utile et facilitatrice dans l’orientation du patient vers un généraliste ou un spécialiste si le besoin médical s’en fait ressentir.

 

 

Plus de 700 000 bilans de santé en cinq décennies !

L’une de ses spécificités n’est-elle pas, par ailleurs, de disposer d’un laboratoire intégré. Un gain de temps appréciable pour la patientèle qui en apprécie la réactivité, l’efficacité et surtout l’ensemble des normes de qualité qui en découlent.

Dans cet édifice où la place de l’humain demeure primordiale et la relation à l’autre ne se départit jamais d’un sourire, la confiance règne. La CPAM qui en détermine l’évolution stratégique, lui a intégré de nouveaux publics, en particulier les étudiants cette année, avant que prochainement ne viennent s’ajouter les travailleurs indépendants à horizon 2020.

On est d’ailleurs passé progressivement de l’axiome suivant : du bilan de santé, le CES de l’Yonne opte désormais dans sa ligne déontologique de conduite vers « l’examen de prévention de santé ». Une approche bien différente et qui augure de cette volonté implicative d’intervenir bien en amont de la déclaration d’une pathologie.

En cinquante ans de bons et loyaux services envers la population icaunaise qui le lui rend bien par sa fréquentation exponentielle , le personnel, hautement qualifié de la structure, aura réalisé la bagatelle de 700 000 bilans médicaux !

Ne se coupant pas de sa proximité avec le territoire, le centre sanitaire a développé un système d’équipe mobile qui rayonne à Avallon, Sens et Tonnerre.

La création d’ateliers spécifiques (ceux consacrés à certaines pathologies comme le diabète sous la responsabilité du docteur Corinne MAURICE) représente un point d’ancrage fondamental auprès de la population affectée par cette maladie. D’autres items sont apparus depuis dans cet état d’esprit similaire dans sa phase d’appréhension : les maladies cardio-vasculaires et l’éducation en santé.

Rappelons, enfin, que le Centre d’examens de santé auxerrois est largement impliqué dans la mise en place du DMP, le fameux « Dossier médical partagé », l’une des articulations pédagogiques primordiales qui est déclinée par la Caisse Primaire d’Assurance maladie envers nos concitoyens.

 

 


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L’association ANICOM a innové pour la trentième édition de ce salon de très belle facture. Composé d’une foire du livre et de la bande dessinée, l’évènement y accueillait des lecteurs qui pouvaient y trouver aussi leur bonheur aux côtés d’un certain nombre d’auteurs. Les deux gymnases réquisitionnés pour la circonstance se répartissaient les étals de livres anciens, de bouquins d’occasion, ceux destinés aux enfants, mais aussi des vinyles à réserver aux mélomanes collectionneurs, des dessins et autres cartes postales…

MONETEAU : Une cinquantaine d’auteurs étaient présents pour dédicacer et présenter leurs ouvrages le week-end dernier lors de cet événementiel de belle qualité. Au détour des tables, nous avons pu discuter avec plusieurs d’entre eux. Notamment, Isabelle ALONSO, invitée d’honneur de cette trentième édition.

Militante féministe, romancière et chroniqueuse de radio et de télévision (elle a souvent travaillé avec la bande à Laurent RUQUIER), l’écrivaine a déjà réalisé treize ouvrages.

Mais, cette fois-ci, il n’y avait pas de nouveauté à nous présenter : son futur opus étant prévu pour le printemps 2020. Cette Auxerroise de naissance se fait toujours un plaisir de revenir dans l’Yonne. C’est un moment de retrouvailles ou de nouvelles rencontres avec les Icaunais ou les autres écrivains.

Elle était d’ailleurs installée à côté de Nadine SZCZEPOCKI, auteure du roman « Quatre, cinq, six…cueillir des cerises », très intimidée et ravie de rencontrer Isabelle. La jeune femme, originaire de Toucy, où se situe l’histoire de son dernier livre dans les années 1920, a publié son roman en autoédition et en est déjà à 800 exemplaires vendus. Elle espère atteindre les mille exemplaires pour être repérée par une maison d’édition avant la fin de l’année.

Quant à Grâce de CAPITANI, actrice, scénariste et poétesse, elle présentait ses trois recueils de poésie dont le dernier, « La grâce des mots » que l’on peut lire ou écouter puisque certains passages du livre étant « slammés » par elle.

Elle nous a affirmé qu’elle aimait être là où on ne l’attendait pas, justifiant ainsi sa présence sur ce salon de l’Auxerrois, qui est devenu une référence dans le milieu littéraire régional. On pouvait également la retrouver l’après-midi pour une lecture de ses poèmes.

 

 

Au détour des plumes nationales, de prometteurs romanciers de la littérature locale…

 

 

Mention spéciale pour la librairie « L’Arbre aux 100 000 rêves », située à Thury, qui transporta le public dans son monde imaginaire. Elle est l’organisatrice du concours « FESTILIVRES Monéteau trente ans ». Les visiteurs ont pu ainsi déposer leur bulletin dans le coffre pour un tirage au sort prévu le 30 octobre. La remise des prix destinés à récompenser trente gagnants le 08 novembre s’effectuera en présence de Céline GUILLAUME, marraine du concours, et auteure de plusieurs livres dont le dernier « Saltarello ». L’occasion fut donnée de pouvoir découvrir également le travail de l’illustratrice Séverine PINEAUX sur le stand.

Dans l’univers du fantastique, une jeune femme de 23 ans, Angie OMALIE présenta son premier roman,  « L’Eveil tome 1 » avec deux autres tomes à venir. À ses côtés une autre écrivaine, Anna CHOCOLAT dont l’œuvre « La Vie d’une femme à deux visages » est à dévorer.

Pour finir ce tour d’horizon d’une édition bien fournie, signalons la présence d’Emilie BILLON, thérapeute de couple et sexologue. Installée à Auxerre, elle présentait son dernier roman « La Vie t’appartient », en attendant le second document qui sortira au printemps.

Personne n’était oublié dans ce festival de la littérature : Cécile GUIBERT-BRUSSEL réalise des livres documentaires pour la jeunesse autour de l’histoire, la danse, l’architecture ou la gastronomie. Des livres ludiques qui plaisent aux enfants.

Signalons la présence du duo de scribes qui a  signé l’ouvrage de référence de cet automne 2019 évoquant les seniors : Dominique COJAN et Jean-Eric FRAY, un tandem très en verve, avec « Yvonne ne veut pas partir ».

Maryline GANDON

 


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Près de sept ans après son intégration au sein de l’institution icaunaise, cette spécialiste du marketing et de la communication s’offre un bain de jouvence en changeant de poste au sein de la structure. Même si les relations avec la presse resteront à son apanage, la professionnelle entend bien donner un sérieux coup de boutoir à la présence patronale (UIMM, MEDEF) sur notre territoire. Au service des entreprises industrielles. Un défi relevé avec l’absolution de son délégué général, Claude VAUCOULOUX…

AUXERRE : De toute évidence, le poste semblait être taillé à sa mesure. En l’espace de trois petites semaines, l’ex-responsable de la communication de la structure icaunaise a su déjà y trouver ses premières marques.

Motivée, pleine d’une énergie revigorante à revendre, Florence POULAIN espère y apporter sa griffe personnelle. C’est vrai : on ne s’improvise peu ou prou responsable des relations extérieures d’une entité aussi fondamentale dans la sphère économique que peut l’être la Maison de l’entreprise du jour au lendemain. Mais, posséder un vécu de près de sept années dans cet organisme confère, convenez-en, de réelles dispositions à relever le challenge.

Au-delà de la satisfaction personnelle, somme toute légitime qu’elle peut éprouver après sa désignation à ce poste clé dans l’organigramme décisionnel, Florence POULAIN endosse une nouvelle parure dans sa fructueuse carrière. Vingt ans après avoir foulé le sol de ce territoire icaunais qui lui aura permis de progresser autour de son savoir-faire. Au contact des autres, aime-t-elle à préciser.

« J’aime l’Humain dans le sens noble du terme et travailler au service des entreprises, souligne-t-elle en guise de préambule, je m’attache aux valeurs de celles et de ceux qui entreprennent dans l’objectif de faire croître le territoire. D’ailleurs, il ne faut jamais omettre que derrière toute entreprise qui réussit, il y a des femmes et des hommes qui s’investissent… ».

Un mot, investissement, qu’elle connaît par cœur cette ancienne chargée de marketing et de communication d’un groupe mutualiste (Mutualité Française) comme automobile (Peugeot NOMBLOT). Elle sait l’appliquer aussi à son quotidien.

Dans une vie antérieure, Florence POULAIN vivra aussi de trépidantes aventures scripturales, relevant un temps le défi d’être correspondante pour le compte de deux titres de la presse régionale, Le Progrès et l’Yonne Républicaine.

Une surdouée, Florence POULAIN ? Mieux que cela, à vrai dire, une passionnée qui va s’employer à utiliser tous les moyens de communication traditionnels comme numériques pour conférer une tonalité nouvelle à cette institution qui abrite l’UIMM et le MEDEF de l’Yonne, ainsi que le Pôle de formation technologique de l’industrie.

Détecteur de talents, son boss, Claude VAUCOULOUX, délégué général de la structure, ne l’a pas placée là par hasard sur cette nouvelle orbite qui n’aura rien de géostationnaire.

Pour atteindre la ligne d’horizon souhaitée en 2020, celle couronnée de succès, l’encadrante dynamique n’aura qu’un seul leitmotiv à faire valoir : promouvoir la vitalité de l’organisme !

 

 

Ne plus rien s’interdire en termes de communication et de partenariats !

 

Dès l’année prochaine, la Maison de l’Entreprise multipliera les actions en termes de visibilité et d’image. Poursuite du workshop (un atelier déjà opérationnel et bien rodé permettant aux entrepreneurs de pouvoir échanger librement autour d’une thématique avec le concours d’un intervenant), rencontres trimestrielles dont les sujets seraient des problématiques transverses qui rythment la vie des entreprises (RSE, juridique, investissements…), accroissement de la proximité avec les adhérents (en délocalisant les réunions sur des sites industriels) composeraient le copieux volume de cet opus qui favoriserait la communication dans toute sa splendeur.

« Nous allons aussi relayer plus largement autour de nous ce que nos adhérents vivent et réalisent dans leur quotidien… ».

En terme clair, Florence POULAIN veut mettre les bouchées doubles dans sa stratégie en déclinant avec les moyens existants le faire-savoir des industriels icaunais.

Même si la communication au plan organisationnel serait dorénavant placée sous la responsabilité de Claude VAUCOULOUX, cette accro de l’info conserverait toujours la main dans le domaine des relations avec la presse. On ne se refait pas quand on aime le milieu médiatique !

Preuve que la Maison de l’Entreprise est bien vivante, le désir est fort de ne pas se complaire dans un doux ronronnement de facilité, un tantinet trop confortable.

« Il nous faut être à l’affût de tout en faisant montre de réactivité, ajoute la future promue.

Le renforcement de la présence patronale sur les réseaux sociaux sera l’une des clés préférentielles choisies pour conforter ce dynamisme relationnel vers les autres.

« Aujourd’hui, la Maison de l’Entreprise tisse des partenariats construits avec des entreprises locales, précise Florence POULAIN, dès 2020, nous irons plus loin en créant des évènements spécifiques lors de la semaine de l’industrie en imaginant un salon de la mobilité électrique durant cette manifestation en mars… ».

Bref, il semblerait que tous les feux soient passés au vert à la Maison de l’Entreprise où l’on ne s’interdit plus rien et où l’on désire collaborer avec tout le monde.

La nouvelle mission pilotée par Florence POULAIN se présente donc sous de bons augures. La dirigeante ne sera pas seule à vivre cet épanouissement en pratiquant l’art et la méthode d’un co-développement judicieux aux côtés de compétences positionnées autour d’elles (des satellites), voire externalisées en cas de valeur ajoutée supplémentaire.

« Nous allons travailler en mode projet, conclut-elle, cela nous permettra d’optimiser l’ensemble de nos capacités… ».

Un excellent terrain de jeu pour s’exprimer et faire éclore de nouveaux talents : tout ce qu’encourage précisément depuis son arrivée dans le landerneau icaunais, Claude VAUCOULOUX, dans son approche managériale. Florence POULAIN devient de facto la digne héritière…

 


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Existerait-il un dénominateur commun entre la biodiversité vécue dans l’univers industriel et le développement du travail en faveur des personnes en situation de handicap ? A bien des égards, oui, si l’on consulte le calendrier qui est posé en cette période automnale. Du 18 au 24 novembre se déroulera en effet sur notre continent, la Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées. C’est cette thématique précise qui a retenu l’intérêt de la Communauté d’agglomération du Grand-Sénonais dans le cadre de ses rencontres proposées aux entreprises de son bassin géographique. En invitant ces dernières à découvrir le monde du handicap, l’organisme institutionnel souhaite pointer le curseur là où les choses doivent évoluer en France…

SENS : Entre sensibilisation et pédagogie, le Grand-Sénonais avance à fleuret moucheté dans sa relation privilégiée qu’il entretient avec le milieu de l’entrepreneuriat. S’octroyant le droit, au passage, d’apporter un fin éclairage sur la réalité professionnelle, vécue au quotidien, par des personnes victimes de handicap physique et mental.

Aussi, dans le cadre de son cycle régulier de rendez-vous distillés auprès des chefs d’entreprise du secteur, l’institution n’a pas hésité à faire un focus tout particulier sur cette thématique, souvent omise des préoccupations essentielles du grand public, pour s’y engouffrer bille en tête.

Le 21 novembre, en étroite osmose avec les services de LADAPT Bourgogne Franche-Comté, la Communauté d’agglomération du Grand-Sénonais apportera des éclaircissements concrets sur les attentes de ces personnes qui évoluent parmi la sphère industrielle de surcroît.

L’édile de Sens, et présidente de la vénérable collectivité intercommunale, Marie-Louise FORT convie les acteurs économiques à se rendre dans les locaux de la société ROSLER, implantée à Saint-Clément.

Les participants de cette rencontre y seront accueillis par le directeur général de la structure, Jean-Jacques ANDREU, en présence du maire de la commune, Gilles PIRMAN.

Le fournisseur mondial sur le segment du traitement de surface (grenaillage en combinaison avec des installations de lavage industriel) expliquera sa politique en matière de ressources humaines ; et la place accordée aux collaborateurs issus du handicap. Rappelons, pour mémoire, que 80 % des handicaps ne sont pas visibles…

 

 

Sensibiliser aussi à la protection de la biodiversité en milieu industriel…

 

Quelques jours auparavant, soit le jeudi 14 novembre, un premier petit déjeuner en entreprise aura été organisé chez un autre fleuron de l’industrie germanique sur le sol de l’Yonne, BASF CHEMETALL.

Le directeur du site sénonais, Patrick GRUBERT, recevra les entrepreneurs qui le désirent autour d’un thème nourri par la richesse de l’actualité : la biodiversité dans le monde industriel.

Un item qui parle à ce spécialiste du traitement de surfaces. Le site de Sens est très attentif à son environnement naturel. Une démarche en vue de protéger la biodiversité a même été statuée avec le concours précieux de l’association LPO (Ligue de protection des oiseaux). Employant une centaine de collaborateurs, BASF CHEMETALL Sens produit environ 90 000 tonnes de produits chaque année. Ils sont utilisés dans de nombreux secteurs industriels.

Ces deux dates, ainsi programmées sur le mois de novembre, demeurent libres d’accès, mais sur réservation, auprès de la direction du développement économique, commercial et de l’emploi du Grand-Sénonais.

Contacts utiles pour y prendre part : le 03.86.65.86.42., référence téléphonique de Paula LACOSTE.

 

Un article réalisé en partenariat avec la Communauté du Grand-Sénonais et la Ville de Sens.

 

 


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