Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

A la croisée des mémoires individuelles et collectives, l’artiste franco-suisse décline un énigmatique travail visuel conçu autour du culte du souvenir. Invitant le public de l’Espace culturel de l’hôpital de Tonnerre vers un étrange voyage, entre la vie et la mort. La jeune femme propose un mix insolite de vidéo, photogrammes, peinture, collages et feuille d’or qui nous incitent à côtoyer de singuliers personnages de la vie ordinaire. Un rameur qui s’exerce à la pratique de l’aviron sur un plan d’eau. Un homme et une femme qui flânent à pas lent sur une plage. Cet espace d’éternité est à admirer jusqu’au 31 janvier 2019. S’il sublime l’existence par le rendu qualitatif de ces témoignages sur clichés, il pousse aussi à l’introspection au plus profond de soi et vers la transcendance…

TONNERRE : L’au-delà inspirerait-il l’approche artistique de la brillante Emmanuelle MICHAUX ? Petite déjà, la future professionnelle du monde des arts puisait dans un imaginaire exacerbé pour en tirer la quintessence subliminale offerte par l’image. A l’âge de 12 ans, la  jeune fille, digne héritière de son père qui épousait les causes passionnelles du cinéma amateur, se projette dans sa première réalisation cinématographique. Traitant, au passage, un sujet complexe et abscons mais ô combien symbolique.

Qu’on en juge : son personnage central, une femme venue de l’au-delà, entraîne un jeune adolescent avec elle. Le mot « fin » apparaît dans les mains du garçon. Ce plan définitif clôt ce premier opus de manière abrupte.

Préserver la vie et la mémoire des êtres s’inscrit donc comme une priorité absolue dans ce travail intense, concocté par une artiste multicanale. Vidéo, photogramme, œuvres picturales, mais aussi travaux de collages et de feuille d’or représentent autant de vecteurs d’expression qui offrent la liberté et une magnificence à l’artiste, originaire de la région parisienne.

milieu articles

Faire ressurgir la mémoire des êtres…

Ce travail mémoriel, Emmanuelle, le dévoile aux aficionados de l’Espace culturel du séculaire hôpital de Tonnerre. Après l’exposition « Prendre Soin » (2017), celle exotique mais empruntée d’une force mystique et religieuse consacrée à l’Ethiopie de Paola VIESI, et plus récemment, « Résonance de la Couleur », à l’estampille de Caroline COPPEY (2018), voici le temps de « Réparer le Monde », une exposition troublante arborant la signature d’Emmanuelle MICHAUX.

Conçue à partir de la collection personnelle de son père, dont le regret dû à l’absence pèse de tout son poids autour de chaque pièce de l’exposition, l’œuvre d’Emmanuelle MICHAUX se distille comme des morceaux de films en super 8 par petites touches. Ce sont ces fragments de vie qui ressurgissent ainsi de façon inopinée dans ce curieux espace visuel. Sur les murs de l’ancienne pharmacie hospitalière. Mais aussi, à même le sol. Voire dans les écrans cathodiques, placés çà et là, qui diffusent en boucle vidéo et photographies.

Développant un méticuleux travail de sauvegarde, la cinéaste/scénariste insuffle de la vie à ses multiples personnages, anonymes et dont elle ne connaît pas elle-même les cheminements de l’existence, les rendant plus accessibles et plus proches encore.

Un subtil espace de résilience pour les visiteurs…

Cet assemblage de tranches de vie, mis bout à bout, créé un fascinant puzzle. Chaque brique s’intègre à la perfection parmi ce maelström de visages furtifs, joyeux, tristes, distants et secrets.

Le travail de la jeune femme n’est pas sans rappeler la méthode japonaise du « Kintsugi ». Il s’agit dans ce cas précis de réparer les porcelaines ou les céramiques brisées au moyen de laque saupoudrée d’or. Ici, les aspérités de la pellicule ne sont pas gommées. Bien au contraire, Emmanuelle MICHAUX en souligne les blessures et la fragilité. Préservant ainsi le fondement authentique de sa création.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

C’est une véritable invitation au voyage vers la ville d’Auxerre que propose le professionnel de l’image avec la réalisation de ce court-métrage. Et surtout, pour celles et ceux qui l’ont déjà visionné, l’occasion de pouvoir découvrir deux des complexes hôteliers du chef-lieu du département bourguignon : l’IBIS Centre et le tout récent, IBIS Budget, qui est fonctionnel depuis le mois de juin. Le professionnel auxerrois a pu ainsi honorer avec sa touche et sa sensibilité personnelles cette commande de film, à la suite d'une sollicitation par le propriétaire des établissements hôteliers, Alain GEHIN.

AUXERRE : Derrière cette réalisation cinématographique originale, il y a surtout le signe fort d’un encouragement à la création audiovisuelle sur la région de l’Auxerrois. Un soutien qui n’est malheureusement pas à l’apanage de la réalité quotidienne.

Travaillant en parfaite symbiose avec le réalisateur de ce court-métrage, bel outil de communication sur les atouts touristiques de la ville et les potentialités offertes par la présence hôtelière du groupe IBIS, Alain GEHIN, propriétaire des deux hôtels IBIS de la rive droite d’Auxerre, était parti sur ce projet avec des idées bien précises. Instigateur du concept, il s’est rapproché du vidéaste Pascal DELAGNEAU, un spécialiste du court-métrage d’entreprise mais aussi de productions audiovisuelles relatant les évènements de la sphère culturelle et artistique.

L’objectif de ce challenge visuel, faisant la part belle à la créativité et à l’esthétisme de l’image, s’inscrivait dans une pure démarche de valorisation de la ville d’Auxerre, vue sous le prisme d’une qualité optimale de l’accueil offerte par ces deux établissements hôteliers.

Le synopsis a mis l’accent sur les opportunités offertes par les hôtels, judicieusement positionnés aux abords de l’Yonne. Mais, à travers ce documentaire, le cinéaste accentuera le trait sur la joliesse du cadre de vie présenté par la ville, sa renommée imputable à la valeur sportive et le poids d’une AJ Auxerre toujours aussi prégnante (l’un des fers de lance des préférences dans les passions qui animent Alain GEHIN depuis longtemps) et le volet festif et convivial de la ville, à travers ses animations régulières.

Une collaboration complice et fructueuse…

« Le chef d’entreprise m’a ensuite entièrement fait confiance pour la mise en scène, confie Pascal DELAGNEAU, ce fut une collaboration sympathique, vécue avec réellement de plaisir aux côtés de ses équipes, des acteurs et des figurants… ».

Techniquement, le réalisateur n’a pas hésité pour la conception de certaines prises de vue à recourir à l’emploi d’un drone. « L’idée conceptuelle sera de suivre tout naturellement le fil de l’eau, la proximité de l’Yonne, comme arcane principal et fil conducteur de ce film, précise le créateur audiovisuel.

Le résultat est proprement réussi. Les images aériennes qui permettent une vision globale insolite de l’infrastructure et de cette partie de la ville émanent de la dextérité vigilante de Pierre-Alexandre DARDOISE, gérant de la société DRONE PAD. Ce passage du court-métrage devait se faire dans les règles de l’art sécuritaire (avec l’aval de la Ville), la présence d’un ensoleillement légitime pour optimiser le rendu de l’image et sa qualité de perception, mais également sans vent qui aurait pu déstabiliser le petit appareil.

« Toutes les courtes scènes du film reflètent de ces petits moments de vie empruntés au quotidien, explique Pascal DELAGNEAU, en fait, je voulais une construction simple mais aussi très efficace… ».

S’inspirant souvent de cette impression de voyage et de balades impromptues, le réalisateur a laissé libre cours à son imaginaire pour produire le meilleur de lui-même. On le constate de facto dans la première partie de cet opus, avec la touriste qui rejoint l’hôtel à pied depuis la gare sur une note musicale de bonne tenue « On the road for holidays » de Vincent TELLIER.  Autre séquence significative : le jeune couple qui emprunte la fameuse passerelle surplombant la rivière et gagne sa chambre…

milieu articles

La présence de figurants de poids dont l’inusable Guy ROUX…

La diffusion de l’« Ode à la joie », hymne musical devenu le symbole de l’Europe, la vision furtive de Guy ROUX, en figurant populaire ou l’évocation de Chablis assurent une part d’intérêt croissante à ce travail de longue haleine. Pascal DELAGNEAU a pris soin de le fignoler avec minutie. Caméra au poing, il a aussi sublimé le jeune mannequin qui avait œuvré pour l’association Cœur de Ville de Sens, dans une approche candide, et pleine de fraîcheur.

L’illustration de l’IBIS Budget s’est forgée sur la présence d’un jeune couple d’amoureux, originaire de Toulouse, en goguette le temps d’un week-end dans la capitale de l’Yonne. « Nous avons souhaité que ces jeunes gens expriment une joie de vivre, aussi bien dans leur chambre que dans notre ville d'Auxerre, argumente le réalisateur, monté avec des séquences festives, dont le festival CATALPA ou « Fleurs de vigne », Nelly et Thibaut ont joué le jeu dans une parfaite allégresse, et ça se voit ! ».

Recherchant en permanence le maximum de sincérité de ses acteurs et figurants dont Guy ROUX qui n’est plus à un film près (le charismatique ancien entraîneur de l’AJA a prêté sa silhouette à plus d’une vingtaine de réalisations), Pascal DELAGNEAU a voulu rendre crédible chaque scène de son film. Ce fut une expérience inouïe où il y aurait à raconter sur chaque moment et personne immortalisée par l’objectif de la caméra. « C’est l’humain qui a été mis en valeur, et pas les murs ou le mobilier, plaisante-t-il.

Le choix de la musique de Vincent TELLIER est prédominant. « C’est notre quatrième collaboration : elle a été très inspirante lors du montage ».

Celui-ci a été effectué à la maison ! Comme aime le préciser le cinéaste alors que la tendance actuelle, et même parfois pour de grandes marques, est de se servir sur le net pour récupérer des images libres de droits ! Un film à découvrir sur les réseaux sociaux et dans l’univers audiovisuel des établissements hôteliers, référence suivante : https://www.youtube.com/watch?v=sibJJZOxy3A   


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Jusqu’au 23 novembre, une kyrielle d’artistes peintres, sculpteurs et photographes du Continent noir se succèdent dans le cadre du Festival AFRIK’AU CŒUR à Auxerre et à Monéteau. C’est précisément dans l’antre du SKENET’EAU, l’infrastructure culturelle de la commune périphérique du chef-lieu de canton, que le plasticien Bruce CLARKE a procédé au vernissage de son exposition ce mercredi. Pour la plus grande joie des amateurs d’art…

MONETEAU : Militant anti-apartheid convaincu, Bruce CLARKE éprouve une passion viscérale pour l’Afrique. Auteur d’une sculpture mémorielle sur le génocide rwandais, « Le Jardin de la Mémoire », un projet soutenu par l’UNESCO, l’artiste, blanc, voue un amour sans borne à l’Afrique du Sud, pays dont il n’est pas originaire puisqu’il est natif de Grande-Bretagne. Cosmopolite dans l’âme, il s’est même installé en France après des études aux Beaux-Arts à Leeds. Aujourd’hui, il vit en Afrique du Sud.

Sa visite dans le cadre du Festival AFRIK’AU CŒUR intègre donc l’exceptionnel. Lui qui a fait de son travail de plasticien un engagement politique constant pour dénoncer les douleurs morales de cette planète.

L’œuvre de Bruce CLARKE qui a été dévoilée lors de ce vernissage concocté de main de maître par André HULNET, président du festival, et de son comité d’organisation, vise à stimuler la réflexion sur le monde contemporain. Un devoir de mémoire artistique mais utile pour ne rien omettre des vérités qui doivent se connaître autour de nous.

Privilégier l’informatif plutôt que le décoratif…

Au SKENET’EAU, le public a pu apprécier son travail consacré aux migrants. Dans un ensemble de toiles, baptisé sobrement les « Fantômes de la mer ». Déjà par le passé, l’artiste avait eu à traiter dans ses œuvres des thèmes forts se rapportant à l’esclavagisme, au colonialisme, à la mondialisation.

Photographe, collaborateur périodique de revues africaines, Bruce CLARKE a publié des reportages sur l’Afrique du Sud, la reconstruction lente et délicate du Rwanda et le retour des réfugiés du Libéria.

Se plaçant en dehors de l’art complaisant et décoratif, l’artiste britannique veut s’efforcer de peser sur le cours de l’histoire. Il nous propose sa vision personnelle mais ô combien réaliste de la vie au quotidien. En l’occurrence celle de ces milliers de migrants qui tentent vainement de gagner les côtes européennes sur de frêles esquifs, exposés à tous les dangers. Juste pour nous faire réfléchir sur le sens de leur existence. A méditer…

 

  

   

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Très représentée en Bourgogne Franche-Comté, et plus spécifiquement sur la partie septentrionale de la région, la filière emballage recense près de 70 entreprises sur le seul territoire de l’Yonne. Du 26 au 29 novembre, quatre entreprises icaunaises participeront au collectif organisé par les Chambres de Commerce et d’Industrie à Paris Villepinte lors de ce salon international, consacré à l’écosystème de l’emballage pour tous les marchés.

SENS : Huitième secteur industriel en France, l’emballage/conditionnement demeure l’une des potentialités économiques prégnantes dans l’Hexagone. Troisième exportateur mondial, la France accueille sur son sol 1 500  entreprises et plus de 115 000 salariés, qui exercent leur savoir-faire sur ce segment de l’activité.

Le département de l’Yonne est plutôt bien pourvu en matière de représentativité. En effet, notre territoire compte plus de 2 500 salariés qui travaillent dans près de soixante-dix sociétés qui recouvrent l’ensemble des compétences et savoir-faire de la filière.

Quatre d’entre elles constitueront l’ossature majoritaire de la délégation régionale (un total de cinq entreprises) qui présenteront leur spécificité sur ce salon international. Il s’agit des entreprises ECOLOGISTIQUE Bourgogne, BEFORE, IDS SOLUTIONS CONDITIONNEMENT et SCOT THERMOFORMAGE. Le fabriquant d’étiquettes de Saône-et-Loire, EUROPE ROULEAUX, sera également du voyage.

Présent lors du brunch des Positives entreprises de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, le président-directeur-général de SCOT THERMOFORMAGE, Dominique HAUDIQUET, a confirmé cette présence sur cet évènementiel de belle facture.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Près de 160 000 visiteurs ont arpenté les travées de cet évènement qui faisait la part belle à l’Italie pour son édition 2018. Comme à l’accoutumée, et à la totale satisfaction de ses organisateurs, la Foire internationale et gastronomique de Dijon a tenu ses promesses et rempli ses objectifs, malgré un jour d’ouverture en moins par rapport à 2017…

DIJON (Côte d’Or) : Que ce soit dans le secteur de la restauration et de l’alimentation, ou dans celui de l’équipement de la maison et de la personne, la traditionnelle foire de la capitale régionale a connu le succès.

Analysant les informations statistiques inhérentes à l’évènement, la direction de Dijon CONGREXPO a confirmé par la voix de François CONTET la bonne tenue de ce 88ème rendez-vous.

En effet, la foire internationale et gastronomique a maintenu son nombre de visiteurs. Soit une jauge de 160 000 personnes à l’instar de ces dernières saisons. A l’énoncé de ce résultat positif, le directeur de la structure organisatrice n’occultait pas sa satisfaction.

Un pavillon d’honneur assailli par le public…

Un satisfecit partagé par l’ensemble des exposants qui avaient pris soin de dévoiler leurs nouveaux produits et prestations sur les stands.

Le pays hôte, l’Italie, a su lui aussi capter l’intérêt de ses aficionados. Celles et ceux qui désiraient retrouver les senteurs et saveurs d’une cuisine méridionale, élaborée toute en finesse et avec de la subtilité jusqu’au fond de l’assiette.

Littéralement pris d’assaut par le public, le pavillon d’honneur n’aura jamais désempli. A la grande joie des exposants qui se sont dits ravis de leur présence en ces lieux.

milieu articles

« Le succès a été tel, précise François CONTET, qu’il est envisagé pour les prochaines éditions de créer un espace dédié à leur pays en dehors du pavillon de l’invité d’honneur ! ».

Preuve que la réussite était totale sur ce site particulièrement apprécié des gourmands et gourmets.

L’Italie a su remporter tous les suffrages de popularité !

D’ailleurs, en parallèle, le salon VINIDIVIO, consacré aux vins du Piémont, a connu une hausse spectaculaire de sa fréquentation, dépassant de 14 % la précédente édition, avec plus de 2 300 visiteurs en quatre jours.

Quant aux animations qui se sont déroulées dans le cadre des Rencontres Gourmandes, mises en exergue par l’Amicale des cuisiniers de la Côte d’Or, elles ont comme de coutume enthousiasmé les férus de bonne table. Certains épicuriens n’ont pas hésité à prendre quelques cours de cuisine auprès des chefs.

Côté concours, toujours plus nombreux d’une année à l’autre, ils ont permis à de nouveaux talents de pouvoir s’exprimer avec maîtrise et dextérité. Permettant aussi à cet évènement d’atteindre un autre de ses objectifs.

Enfin, pour les puristes qui en ont apprécié la quintessence culinaire, précisons que la Table de Lucullus a su retrouver ses attraits d’antan que beaucoup regrettaient avec une once de nostalgie.

Désormais, la direction de Dijon CONGREXPO regarde déjà l’avenir et l’horizon 2019 avec la future foire qui se déroulera du 31 octobre au 11 novembre.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil