Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

En voyage d’étude dans le pays le plus méconnu des Balkans, la délégation des élus de Puisaye-Forterre a eu l’opportunité durant son séjour de pouvoir s’entretenir avec l’ambassadrice de France, Florence ROBINE. Convaincue de la nécessité de raffermir les liens entre les deux pays grâce à ce type d’initiative judicieuse, la représentante de l’Etat français n’a pas caché son enthousiasme imputable à cette visite et l’a fait savoir lors d’un bref échange avec ses hôtes…

SOFIA (Bulgarie) : Son Excellence, l’ambassadrice de France en Bulgarie, Florence ROBINE, a été conquise par les principes vertueux qui sont véhiculés autour des Entretiens de CHAMPIGNELLES.

Elle n’a d’ailleurs pas hésité à bousculer quelque peu son emploi du temps très serré de haut serviteur de l’Etat pour rendre une vitesse plus que de courtoisie à la délégation des élus Icaunais, en déplacement pédagogique dans ce pays de la chaîne balkanique, membre de l’OTAN (2004) et de l’Union européenne, depuis 2007.

La rencontre a eu lieu dans l’un des salons du complexe hôtelier qui accueillait dans la capitale bulgare la forte représentation des édiles de Puisaye-Forterre, accompagnés de leurs conjoints, soit plus de quatre-vingt-dix personnes.

Durant cet échange de bienvenue, Florence ROBINE a réaffirmé à maintes reprises l’impérieuse nécessité de jeter des ponts solides entre les pays et leurs peuples, bien au-delà de leurs frontières.

« Aujourd’hui, dans ce monde nourri de complexités relationnelles et de tensions, nous avons besoin de multiplier les contacts, notamment ceux émanant d’élus de la République. Cette démarche exploratrice pour mieux appréhender le mode de fonctionnement des états à l’intérieur de l’institution européenne ne peut être que salvatrice afin de pouvoir mieux travailler ensemble… ».

 

 

La densité exceptionnelle de la délégation icaunaise…

 

Du pain bénit pour les instigateurs de cette heureuse initiative qui perdure depuis maintenant trois décades. Le responsable de l’outil associatif qui propose ces cycles de formation aux élus de ce territoire icaunais et à leurs proches collaborateurs, Jacques GILET, prit le soin de fournir des explications complémentaires à l’ambassadrice de France à Sofia.

Le maire de CHAMPIGNELLES devait rappeler à son invitée les principes intellectuels et pragmatiques de ce concept qui a vu sa pérennité croître au fil des années.

Une vingtaine de pays de l’espace européen ont ainsi été visitées depuis le lancement du concept, devenu depuis un référent en la matière. Et la seule et unique structure qui propose des voyages d’étude et des cycles de conférences thématisées aux élus de l’Yonne.

Florence ROBINE fut très agréablement surprise par la densité de la délégation. « Je n’avais jamais accueilli jusque-là autant d’élus territoriaux, plaisanta-t-elle, si seulement toutes les régions de France pouvaient décliner une telle initiative ! ».

Parmi les grands thèmes évoqués lors de cet échange nourri et constructif figuraient une réflexion sur la coopération entre les territoires européens, le développement de services auprès des citoyens, la place de la solidarité dans l’Europe de demain, l’opportunité de nouer des liens ténus avec les peuples du Vieux continent par le prisme des jumelages, la volonté des uns et des autres à faire perdurer ces liens indispensables à notre sauvegarde sociétale et économique…

Une somme de réflexions intéressantes qui fit mouche pour deux des élus de la délégation de l’Yonne. La sénatrice Dominique VERIEN ne manqua pas de saluer le rôle déterminant joué par la Bulgarie de par sa position stratégique au sujet du contrôle et de la gestion de l’immigration à la frontière avec la Turquie.

 

 

Une vision concrète de ce que doivent être les échanges européens…

 

Quant au président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre, et conseiller régional de Bourgogne Franche-Comté, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, il rappela la nécessité de développer l’Europe des territoires en faveur de l’amélioration de la qualité de la vie de ses habitants.

Au terme d’une quarantaine de minutes de cet exercice oral de bonne tenue, l’ambassadrice de France en Bulgarie prit congé de ses hôtes en leur souhaitant une pleine réussite pour la suite de leur voyage, fait de prospective et de contacts avec leurs homologues bulgares.

La représentante de l’Etat tricolore conservera une vision concrète de ce que doit être au quotidien la construction européenne qui se doit de faire tomber les barrières entre les peuples, y compris ceux de la langue, en vue d’un rapprochement offrant des alternatives partenariales à initier…

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La trentième édition de ces séances de travail uniques dans l’Yonne permettant aux édiles de Puisaye-Forterre de se former aux items pédagogiques propres aux élus s’immerge du 03 au 07 novembre dans l’une des contrées européennes les moins connues des Français : la Bulgarie. Un séjour placé sous le sceau de l’amitié européenne et de la connaissance des pratiques administratives et politiques locales…  

CHAMPIGNELLES : Cap à l’est pour les édiles et certains conseillers municipaux des communes de Puisaye-Forterre en ce début du mois de novembre.

Trois jours durant, les représentants de ces collectivités icaunaises s’immergeront lors d’un voyage d’étude des plus instructifs au plus près de l’appareil administratif et politique de ce pays des Balkans, l’un des moins connus des Français.

Après la Roumanie l’année dernière, l’instigateur de ces rencontres institutionnelles et éducatives entre les peuples d’Europe, Jacques GILET, a décidé de jeter son dévolu géographique sur une nation de l’ancien bloc de l’Est dont les Français ignorent encore beaucoup de choses : la Bulgarie. Il va s’en dire que ce pays ne se résume pas au seul cliché digne de l’imagerie pratiquée à Epinal avec ses célèbres yaourts !

Le programme de ce séjour didactique se décomposera en deux temps forts : une concentration d’intérêt sur la capitale du pays, Sofia, et une plongée vers des localités, nettement plus rurales, plus à même de ressembler à celles de la Puisaye-Forterre.

Accueillie dans les locaux de l’Institut Français de Sofia par l’ambassadrice de France Florence ROBINE, la délégation de l’Yonne devrait y recevoir moult explications sur la gestion de la vie politique locale ainsi que ses diverses ramifications pratiques en matière d’organisation administrative et territoriale. A noter que ces échanges nourris et enrichissants bénéficieront de la présence de Sylvia GVEORGUIEVA, directrice de l’Association des municipalités bulgares.

 

 

 

Un volet sur la ruralité très renforcé dans cette étude…

 

L’un des thèmes essentiels de ces travaux qui portent toujours sur la place des communes au cœur des territoires, fera la part à la ruralité. La découverte, deux jours durant, de plusieurs localités bulgares (Tchavdar, Gorna Malina…) permettra d’aborder les projets européens vécus par ces localités champêtres ainsi que la gestion des déchets dans le souci d’optimiser une approche intelligente de la sauvegarde environnementale.

Au-delà de ces visites, il sera naturellement question des budgets (l’une des problématiques essentielles pour un élu local) avec le financement des projets, indispensables au développement et à l’essor économique.

Précisons que cette session de ces trentièmes entretiens se ponctuera le vendredi 15 novembre en journée à l’occasion de la dernière journée de travail consacrée au nouveau statut de maire, un exposé présenté par la sénatrice Dominique VERIEN et le nouveau contrat de cohésion 2021/2027.

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Entrepreneur en France, Alan Carey a opté très jeune pour les États-Unis. Attiré par le positivisme des USA, il décide de s'y installer pour y fonder une famille et y bâtir sa carrière. Après une expérience au sein de grands groupes industriels et la création d'une entreprise à Chicago, il aide désormais les sociétés françaises à s'implanter ou à se développer Outre-Atlantique. Dernier projet en date : le développement en Arizona d'un incubateur « sport et tourisme ». Direction les États-Unis pour ce nouvel entretien avec le dirigeant de www.deciderjuste.com, notre contributeur Philippe CARPENTIER qui accompagne les entrepreneurs lors des moments clés de leur existence. Extraite de son blog « 16h44 », son interview nous procure des éléments de réponse pour mieux comprendre les rêves de cet entrepreneur…

TRIBUNE : Alan, tu nous dis que quand un français a une idée des États-Unis, elle est souvent fausse...

Effectivement, les États-Unis ne peuvent être réduits à une vision unique. Vivre à Paris ou Oslo ne permet pas de connaître l'Europe dans sa diversité, c'est la même chose pour les USA qui renferment des territoires très variés. Chaque état est particulier, avec ses lois et sa culture propre. Certains sont faits pour vous et votre entreprise, d'autres non.

Si vous êtes dans les arts graphiques, par exemple, 80 % de votre marché se situe dans un rayon de sept cents kilomètres autour de Chicago. Si vous travaillez dans les cosmétiques, en revanche, c'est plutôt Los Angeles ou New York qu'il faut viser. Et si votre domaine est l'aménagement de maison, l'automobile, l'aéronautique aérospatiale, l’industrie bio ou encore les objets connectés, choisissez l'Arizona.

Quelles spécificités américaines as-tu pu observer au fil du temps ? 

Déjà, j'ai pu constater que certains mots sont tabous, bien plus qu'en France. Il vaut mieux ne jamais parler de sexe, de politique ou de religion dans le business. Les plaisanteries ou les jeux de mots directement traduits du français ne marchent jamais... Il faut essayer de s'adapter sans transposer le modèle français. D'ailleurs, l'américain moyen ne s'intéresse pas vraiment à la France, qui est pour lui un pays parmi tant d'autres.

Ensuite, j'ai observé que certains réseaux originaux propres aux USA offrent une voie de distribution intéressante. Les lieux de culte, notamment, constituent un réseau très puissant, souvent ignoré des étrangers. Le pays est si vaste qu'un Américain peut vite se retrouver isolé s'il change de territoire. Le lieu de culte demeure alors un lieu de sociabilité, d'ancrage et de confiance. Des relations essentielles s'y nouent. Des grandes églises possèdent des terrains de basket, organisent des dîners de partage, etc. En arrivant dans une ville, il peut être intéressant de faire du « church shopping », pour rencontrer des entrepreneurs. Cela fonctionne aussi avec les écoles, ou les clubs en tous genres. En leur donnant 30 % des bénéfices, vous vendez et faîtes connaître votre produit, tout en aidant le club. C'est une pratique très développée aux États-Unis.

Enfin, ce qui me semble être caractéristique des USA, c'est ce qui m'a attiré ici avec ma famille et que j'appelle le positivisme. Dès l'école notamment, la norme est d'atteindre l'objectif et d'obtenir des A ou des B. Le F est une exception et cela génère moins d'anxiété pour les élèves. Au contraire, ça favorise la motivation et l'envie de réussite. Tout est mis en place pour que l'élève comprenne et qu'il ait envie de s'investir. D'ailleurs, il est courant que les étudiants fassent une activité sportive, du théâtre, participent à une fanfare, le matin avant les cours. En France, l'échec d'un élève sera facilement affiché, alors qu'ici au contraire, on n'hésitera pas à convoquer un élève pour le complimenter à propos d'un bon résultat.

 

 

Pour implanter mon entreprise aux États-Unis, ou exporter, quels sont les fondamentaux ?

Même si chaque cas est particulier, il y a quelques points à retenir : d’abord, il est vraiment plus efficace de s'implanter en profondeur dans un état que de façon diffuse sur l'ensemble du territoire. Pêcher à la ligne plutôt qu'au filet. Il faut prendre en compte les spécificités de chaque état, et ne pas sous-estimer les distances, qui augmentent les frais de prospection. Et puis votre client de la côte Est n'attendra probablement pas quatre jours un colis envoyé depuis la côte Ouest, s'il peut obtenir un produit concurrent semblable plus rapidement.

Ensuite, il faut savoir qu'un salarié est souvent plus adapté qu'un réseau de distribution pour diffuser votre produit. Le distributeur a, par définition, d'autres produits à vendre et peut être moins impliqué qu'un employé qui connaît plus précisément le produit. Le code du travail est moins contraignant qu'en France et le formalisme minimal : une lettre d'embauche suffit et l'employeur définit le niveau de couverture sociale qu'il attribue. Pour créer une société, il suffit de quarante-cinq minutes et de cent dollars.

Il faut également s'engager de façon durable. Les premières commandes ne sont que le début du processus et la prise d'un marché demande du temps. Mais, le marché américain a un fort potentiel et vaut les efforts investis. C'est comparable à une partie de baseball : en France, quand la première base est gagnée (qualité du produit), vous avez quasiment remporté le match. Ici, la première base est facile d'accès, mais il faut ensuite gagner les suivantes (disponibilité du produit ou du service, livraison, satisfaction du client) pour remporter la partie. En fait, il faut se concentrer davantage sur la demande du client que sur la qualité du produit. Votre produit peut-être d'une grande qualité, s'il ne correspond pas aux attentes du client, il ne se vendra pas.

Le relationnel sera également déterminant dans la réussite de votre implantation. C'est important partout mais vraiment essentiel ici. C'est sur le terrain de golf que se créent les relations. L'intégration des spécificités culturelles est, en ce sens, fondamentale. Que votre produit soit Made in France peut être un avantage, mais il faut faire attention à une certaine forme de réticence vis-à-vis des produits étrangers. Pour faire tomber certaines barrières (liées à la crainte du retard dans les transports, complications à la douane, monnaie différente...) pensez à offrir des garanties du type « 100 % satisfait ou remboursé ». Il faut toujours être honnête et transparent.

Enfin, soyez direct et proactif. Inutile d'être présent à un salon si vous restez derrière votre stand. À l'instar de l'américain, entreprenant, il vous faudra capter l'attention d'un potentiel client en quelques secondes.

En quelques mots, comment réussir son implantation aux États-Unis ?

L'ouverture aux changements culturels profonds est la clé. Motivation, envie d'apprendre, ouverture d'esprit et adaptabilité sont les attitudes de la réussite sur notre territoire. C'est l'expérience que j'ai vécue quand j'ai découvert les États-Unis, et je suis prêt à la partager pour votre réussite.

L'Application  

Téléchargez " whats app ". Considérez que la qualité de votre produit est un paramètre important parmi d'autres, pas le seul critère de réussite. 

Ouvrez-vous aux différences de culture sans vous arrêter à la partie visible de l'iceberg. 

Contactez Alan CAREY pour tester confidentiellement les chances de succès de votre projet, et recevoir sa newsletter mensuelle. 

 

Philippe CARPENTIER

www.deciderjuste.com

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Existerait-il un dénominateur commun entre la biodiversité vécue dans l’univers industriel et le développement du travail en faveur des personnes en situation de handicap ? A bien des égards, oui, si l’on consulte le calendrier qui est posé en cette période automnale. Du 18 au 24 novembre se déroulera en effet sur notre continent, la Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées. C’est cette thématique précise qui a retenu l’intérêt de la Communauté d’agglomération du Grand-Sénonais dans le cadre de ses rencontres proposées aux entreprises de son bassin géographique. En invitant ces dernières à découvrir le monde du handicap, l’organisme institutionnel souhaite pointer le curseur là où les choses doivent évoluer en France…

SENS : Entre sensibilisation et pédagogie, le Grand-Sénonais avance à fleuret moucheté dans sa relation privilégiée qu’il entretient avec le milieu de l’entrepreneuriat. S’octroyant le droit, au passage, d’apporter un fin éclairage sur la réalité professionnelle, vécue au quotidien, par des personnes victimes de handicap physique et mental.

Aussi, dans le cadre de son cycle régulier de rendez-vous distillés auprès des chefs d’entreprise du secteur, l’institution n’a pas hésité à faire un focus tout particulier sur cette thématique, souvent omise des préoccupations essentielles du grand public, pour s’y engouffrer bille en tête.

Le 21 novembre, en étroite osmose avec les services de LADAPT Bourgogne Franche-Comté, la Communauté d’agglomération du Grand-Sénonais apportera des éclaircissements concrets sur les attentes de ces personnes qui évoluent parmi la sphère industrielle de surcroît.

L’édile de Sens, et présidente de la vénérable collectivité intercommunale, Marie-Louise FORT convie les acteurs économiques à se rendre dans les locaux de la société ROSLER, implantée à Saint-Clément.

Les participants de cette rencontre y seront accueillis par le directeur général de la structure, Jean-Jacques ANDREU, en présence du maire de la commune, Gilles PIRMAN.

Le fournisseur mondial sur le segment du traitement de surface (grenaillage en combinaison avec des installations de lavage industriel) expliquera sa politique en matière de ressources humaines ; et la place accordée aux collaborateurs issus du handicap. Rappelons, pour mémoire, que 80 % des handicaps ne sont pas visibles…

 

 

Sensibiliser aussi à la protection de la biodiversité en milieu industriel…

 

Quelques jours auparavant, soit le jeudi 14 novembre, un premier petit déjeuner en entreprise aura été organisé chez un autre fleuron de l’industrie germanique sur le sol de l’Yonne, BASF CHEMETALL.

Le directeur du site sénonais, Patrick GRUBERT, recevra les entrepreneurs qui le désirent autour d’un thème nourri par la richesse de l’actualité : la biodiversité dans le monde industriel.

Un item qui parle à ce spécialiste du traitement de surfaces. Le site de Sens est très attentif à son environnement naturel. Une démarche en vue de protéger la biodiversité a même été statuée avec le concours précieux de l’association LPO (Ligue de protection des oiseaux). Employant une centaine de collaborateurs, BASF CHEMETALL Sens produit environ 90 000 tonnes de produits chaque année. Ils sont utilisés dans de nombreux secteurs industriels.

Ces deux dates, ainsi programmées sur le mois de novembre, demeurent libres d’accès, mais sur réservation, auprès de la direction du développement économique, commercial et de l’emploi du Grand-Sénonais.

Contacts utiles pour y prendre part : le 03.86.65.86.42., référence téléphonique de Paula LACOSTE.

 

Un article réalisé en partenariat avec la Communauté du Grand-Sénonais et la Ville de Sens.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Plus de 400 techniciens spécialisés dans l’art et l’exercice de la mécanique de haute précision sont activement recherchés par la marque allemande pour grossir ses effectifs au niveau national. Pour y parvenir, le constructeur de Munich a développé depuis dix-huit mois un astucieux concept, baptisé « Sourcing Techniciens ». En y intégrant divers leviers d’actions. En tout premier lieu, via son réseau de concessionnaires, la prédominance d’un ancrage utile qui s’est renforcée auprès des lycées professionnels et des CFA.

PARIS : Créé il y a un an et demi, le dispositif « Sourcing Techniciens » commence enfin à porter ses fruits au sein du groupe BMW/MINI France. Afin d’enrayer le phénomène de récurrence observé depuis plusieurs années en matière de recrutement, le constructeur d’Outre-Rhin n’a pas hésité à faire preuve de pragmatisme pour résoudre une problématique gênante qui pénalisait son réseau de distributeurs.

De nombreuses actions font florès à travers l’Hexagone pour accroître les relations pérennes avec des lycées professionnels et des centres de formation liés au développement de l’apprentissage.

Une étude diligentée par la société automobile a permis d’aboutir à un constat plutôt surprenant, qui explique la frilosité des jeunes générations à tenter l’aventure professionnelle dans le groupe. 

Une grande majorité des apprenants français bénéficient de formation technique sur des véhicules de marques nationales. Or, beaucoup d’entre eux hésitent à découvrir ce qui se cache sous le capot d’un X 3 ou d’une Série 7, faute de connaissances.

De là à dire que les produits conçus par BMW et MINI effraient nos jeunes gens, on en serait pas loin si l’on écoute les représentants du pôle BMW France Formation, de passage la semaine dernière à Auxerre à l’occasion de la remise de deux véhicules par le groupe PANEL aux deux établissements pédagogiques de l’Yonne retenus pour profiter de ce double don !

 

 

 

L’Yonne, un département bien pourvu en dotation…

 

Mais, au-delà de ce curieux constat, il s’avère que cette crainte de l’inconnu s’observe également sur d’autres marques, issues du même terreau international.

Pour remédier à cela, et permettre aux futurs techniciens et mécaniciens diplômés de l’Hexagone de se sentir davantage à l’aise avec des modèles présentant des technologies avancées à leur bord, BMW France va offrir vingt-cinq véhicules de leur choix, à l’état neuf, dans le cadre de ce programme novateur.

Si l’initiative semble judicieuse, un seul bémol est à constater : il n’y aura que vingt-cinq automobiles offertes à autant d’établissements en France. Il en faudrait naturellement beaucoup plus. Mais, les dirigeants de BMW France réfléchissent déjà à poursuivre la démarche.

Néanmoins, cocorico, l’Yonne est plutôt bien pourvue avec le lycée Louis Davier de Joigny et le CIFA à Auxerre, deux récipiendaires de cet acte altruiste et généreux. Leurs responsables ont reçu la semaine dernière leur précieuse dotation et en feront bon usage dans leurs ateliers respectifs.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil