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De l’avis général, c’était génial ! Sans doute était-ce imputable au charisme et à l’humilité qui se dégageaient des trois intervenants, conviés par BGE Nièvre Yonne, à venir discuter le bout de gras avec les chefs d’entreprises, confirmés ou en herbe ! Soutenue par la Région, le Grand Sénonais et la Ville de Sens, l’opération s’articulait autour d’entrepreneurs et de sportifs, assidus dans le combat permanent mené au cours de leur existence. In fine, ce fut une belle rencontre qui forge de beaux souvenirs…

 

SENS : Avant le traditionnel exercice de réseautage et d’échange de cartes de visite – le socle des rencontres du Club BGE, réunissant les entreprises de l’Yonne qui sont cornaquées par les conseillers de la structure -, il y eut, en guise de succulent hors d’œuvre, une causerie. Avec trois intervenants, autour d’une thématique souvent plébiscitée, faisant le parallèle entre le milieu du sport et celui tout aussi dynamique de l’entrepreneuriat !

Trois orateurs (dont des références dans le monde du sport départemental) étaient donc conviés à faire part de leurs vécus et expériences au détour de cet échange qui n’avait rien d’anodin en soi. L’athlète, originaire du Congo, Franck ELEMBA – un beau bébé à la musculature impressionnante ! – narra ses antécédents de lanceur de poids et de sa participation parmi les plus grands championnats d’athlétisme. Mondiaux comme continentaux.

A ses côtés, Marouane MARCHOUD ne se fit pas prier pour parler de son ascension. Une ascension professionnelle pour le jeune startupeur qui évoqua son projet entrepreneurial depuis sa concrétisation jusqu’à son attachement au territoire sénonais. Il racontera en toute transparence les étapes déterminantes qui lui ont permis de se surpasser et de réussir à lever des fonds (le nerf de la guerre de toutes entreprises !), et d’optimiser sa communication afin d’intégrer le cercle très hermétique du monde du numérique.

 

 

 

Tout est dans le mental !

 

Aujourd’hui, le nouveau CEO de la startup ResaCare est établi à Sens. Mais, il a précédemment exploré diverses régions du globe, du Luxembourg, en passant par Barcelone et les États-Unis pour réaliser son projet. Le garçon met en application sa riche expérience pour développer sa structure depuis la prestigieuse Station F.

Restait Abderrazzak EL BADAOUI – lui, on ne le présente plus après ses exploits en gagnant à pied son village natal de Bzou au Maroc ou ses innombrables marathons disputés aux quatre coins de la planète ! – qui passionna l’auditoire.

Souriant, détendu, accessible, pédagogue, le garçon explicita son parcours, faisant le lien avec la préparation d’un projet (faire un prévisionnel), les embûches rencontrées (faire face aux problèmes et rebondir) comme une blessure, être entouré des bonnes personnes (se faire accompagner pour son projet), trouver des sponsors (prospecter). Bref, un sportif qui raisonne comme un entrepreneur, avec le mental en plus !

Alors que la capitale des Sénons est labellisée « Terre de Jeux », il était légitime que BGE Nièvre Yonne s’interroge sur cette récurrente thématique faisant la part belle à la comparaison entre sportifs et chefs d’entreprises. Un vrai challenge en somme !  

 

Thierry BRET

 

 


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En bouche, le liquide à la jolie couleur ambrée possède une profondeur aromatique intense. Il évoque les fruits à chair jaune, le chocolat, le tabac, avec des notes mentholées, voire des saveurs presque animales au fond du palais. Pourtant, il n’est ni une fine, encore moins un marc. Non, si son appellation commerciale est « Altais », on le doit, côté inspiration, au ciel et à sa fameuse étoile de la constellation du Dragon. Un spiritueux de la famille des brandys à découvrir au moment des fêtes qui a été élaboré sur les alambics de la société VALOUR+LEMAIRE, à Tonnerre.

 

TONNERRE : VALOUR+LEMAIRE ! Quel patronyme pour une entreprise de spiritueux ! Ca nous rappelle les grands tandems de célébrités d’antan : LAUREL & HARDY, LENNON & McCARTNEY ! SIMON&GARFUNKEL ! Roger PIERRE et Jean-Marc THIBAULT pour l’aspect référentiel tricolore ! Mais, là, dans le cas présent, la musique et la comédie se muent en une créativité bien différente au niveau des accords. Ce sont plutôt ceux du palais et du goût via de succulents nectars à déguster avec modération qui sont travaillés que les notes d’une partition musicale à jouer de concert…

 

Deux nouveautés pour enrichir un catalogue déjà bien fourni…

 

Depuis bientôt quatre ans, Arnaud VALOUR et son comparse, Benjamin LEMAIRE, régalent les papilles gustatives des fins limiers de la chose spiritueuse de la Bourgogne septentrionale. Mais pas que ! La proximité de l’Aube, quasi voisine à l’est, de la Seine-et-Marne au nord ou de la Côte d’Or en variante méridionale fait les affaires de la structure, accueillie dans l’une des zones industrielles de la ville du Chevalier d’Eon.

Ici, on revendique le savoir-faire de la production à la française. Un sérieux plus pour une distillerie qui concocte, via ses alambics et des recettes créées de tout poil ici-bas, des vodkas aromatisées, des gins, de l’eau de vie de malt, du rhum imaginé à base de mélasse de Cuba. L’optimisation de la recherche aromatique est plus qu’un précepte, un art de vivre !   

Cette année, pour la période de Noël et ses fastes, le duo propose deux nouveautés qui viennent enrichir un catalogue déjà bien fourni en spiritueux Premium. Tout d’abord, il y a ce brandy de très belle mouture, nous emmenant grâce à son nom de baptême dans les étoiles. Et puis, en complément pour les puristes de rhum, celui issu de la gamme Origines bio qui possède des notes de miel d’acacia, de fleurs blanches et de cacao, avec son âme boisée qui s’étend sur une sensation de canne à sucre et d’iode en bouche. Une pure merveille.

 

 

 

Des coffrets à glisser sous le sapin !

 

« Chez nous, explique Arnaud VALOUR en présentant le flaconnage de sa dernière composition, il n’y a aucun folklore, juste du goût…à base de recettes artisanales et inédites ».

De la créativité et du travail, aussi, devrait-on rajouter ! Les recettes sont distillées sur des bases de botaniques, de grains ou de sucre sélectionnés dans un alambic ultra-moderne en inox, d’une contenance de 2 000 litres. Un précieux auxiliaire qui ouvre les portes à bien des créations de whiskys, de rhums, de spiritueux divers, parfois élaborés sur mesure à la demande des amateurs.

Soucieux de tisser des liens avec les artisans du cru – sans réel jeu de mot ! -, Arnaud et Benjamin n’hésitent pas à travailler avec professionnels tels Thomas BOURIQUET (« Les Fromages de Thomas », structure installée à Flogny-la-Chapelle), lors de soirées évènementielles et autres « after work ». Ce fut le cas le 27 octobre dernier où les amateurs eurent droit à une séance de dégustation sympathique et savoureuse, mêlant brandy et cheddar !

Quant à l’ébéniste du Tonnerrois, Alain SABIGNI, il a apporté sa contribution à la réalisation de coffrets spécifiques qui sont commercialisés au moment des fêtes. Idéal pour les cadeaux d’entreprise (ou personnel), mettant en lumière et sous le sapin, le fameux brandy Altais. Côté projets, VALOUR+LEMAIRE envisage de créer un nouveau gin en 2024.

Multipliant leur présence sur les évènementiels, les deux gérants de la société se rendront à VINEXPO Wine, du 12 au 14 février prochain, accueilli à Paris.

 

Thierry BRET

 

 


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Une nouvelle installation, c’est un grand moment dans la vie d’une entreprise. Micro bien calé devant son visage, Lionel MION déroule, sans trop sourciller, son discours qu’il propose aux nombreuses personnes présentes à cette soirée inaugurale. Celle d’un nouveau bâtiment. Ergonomique, bien conçu et évidemment fonctionnel. Le nouveau siège de ID’EES 89, filiale du groupe éponyme, et référence structurelle dans le milieu de l’insertion depuis son avènement en 1990, méritait bien une cérémonie…

 

MONETEAU : Séquence nostalgie : elle est déjà loin, la première expérience entrepreneuriale vécue dans la rue Camille Desmoulins. Quelques clichés de l’époque, en noir et blanc, exposés sur les murs de la grande pièce faisant office de hall d’entrée confirment les dires du directeur de l’antenne icaunaise de l'entreprise ID’EES 89, Lionel MION. « Vous pouvez le voir, il se faisait déjà de très belles choses à l’époque ! ».

Puis, il y eut l’installation de l’entité dans des locaux de la rue Gérot, sur le site historique des anciennes usines GUILLIET à Auxerre. Un univers de 5 000 mètres carrés, un tantinet vétuste mais qui fera office de très belle vitrine pour ce spécialiste de l’agencement et de la menuiserie, employant une majorité de collaborateurs en insertion professionnelle.

Désormais, c’est au 43 avenue de Paris, dans la localité voisine de la capitale de l’Yonne que l’entreprise trouve sa place, avec ces locaux flambants neufs, à l’impeccable esthétique.

 

La genèse de ce concept novateur, encouragé par beaucoup

 

Aux côtés de nombreuses personnalités du sérail, de la maire de la localité d’accueil, Arminda GUIBLAIN, de la secrétaire générale de la préfecture, Pauline GIRARDOT, et de Patrick CHOUX, directeur général du groupe et cheville ouvrière de son développement, Lionel MION lance ainsi la soirée protocolaire, agrémentée d’une courte vidéo de présentation – un court métrage plutôt bien ficelé et rythmé – lui permettant de poser le décor.

Si les patronymes de quelques fervents acteurs et supporters historiques de la société d’insertion résonnent dans la salle par le biais des enceintes (celui de Jean-Pierre SOISSON, notamment, qui aura toujours soutenu la belle initiative permettant aux défavorisés de l’emploi de retrouver une salvatrice porte de sortie…), Lionel MION n’en oublie pas de revenir au présent, expliquant la genèse de cet emménagement dans ces locaux admirés en ce jour inaugural par le public. Et des indéfectibles acteurs économiques de l’enseigne, en les citant, Pierre CHOUX, Patrick CHOUX, directeur général ou encore Christophe MATHEY, directeur administratif et financier.

Sans omettre un nécessaire salut à l’ensemble des collaborateurs qui ont su réaliser des prouesses homériques en assurant un déménagement pendant que l’unité de production demeurait opérationnelle.

 

 

Se servir des expériences réussies sur la Côte d’Or…

 

Employant aujourd’hui 107 salariés, 24 permanents et 83 salariés en CDD insertion, ID’EES 89 fait aussi de la place pour former des alternants, au nombre de deux à date. Deux domaines d’activités justifient sa présence dans le monde du travail : les services dont le secteur nettoyage et propreté des locaux professionnels, particuliers et collectivités ainsi que le secteur tri et valorisation des déchets depuis 2015 sur le site d’Ormoy pour le compte de la COVED PAPREC. La télérelève des compteurs d’eau fait également son apparition au bénéfice de SUEZ

« On s’appuie sur les compétences qui ont été déployées sur la Côte d’Or avec ID’EES 21 afin d’optimiser nos interventions sur le territoire de l’Yonne, ajoute Lionel MION, démontrant la parfaite symétrie entre les différentes structures que possède ce groupe d’envergure régional. Cela nous permet d’appréhender les nouveaux marchés avec beaucoup de sérénité ! ».

Puis, le responsable de l’antenne de l’Yonne évoqua l’autre axe prioritaire du groupe : le bâtiment. Celui-ci comprend cinq secteurs d’activité : un atelier de menuiserie, servant à la fabrication et la conception de mobiliers servant ensuite à l’agencement de locaux professionnels mais aussi pour les collectivités sur appel d’offres, un atelier qui pratique à bon escient les principes vertueux de l’économie circulaire avec des matériaux de récupération de chantiers. La pose de menuiserie (portes, fenêtres, huisseries…) mais aussi de cuisines, la peinture, plâtrerie et cloisons, le carrelage et la faïence constituent les autres déclinaisons de ce pôle bâtiment, décidément en verve.

Cette réorientation des champs d’application du groupe sur son territoire date de 2022. Elle sera naturellement confortée avec l’appui de ce nouveau bâtiment qui recevra en son antre d’ici quelques semaines un show-room illustratif, permettant à la société de présenter son savoir-faire en accueillant davantage de public.

« Un show-room qui sera utile afin de valoriser les compétences et le savoir-faire des salariés, y compris ceux qui sont en insertion professionnelle, explique Lionel MION,

Ce projet pédagogique et entrepreneurial au service de l’insertion est un moyen d’accéder à l’emploi durable… ».

En sus, la coordination de tous les acteurs intervenants sur les chantiers est également assurée par ID’EES 89 : une incontestable plus-value pour mieux se démarquer à l’avenir.

 

Thierry BRET

 

 


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Dans un précédent article, nous avions fait un rêve. Un seul état qui unirait Israël à la Palestine. Une utopie, en somme. Mais qu’est-ce qu’une utopie ? Du vent ? Une belle pensée irréaliste? Existe-t-il dans notre histoire des utopies qui sont devenues réalité ? N’oublions jamais que des utopies ont fait avancer l’humanité et parfois, l’ont fait reculer. Au cours des siècles, bien des érudits, des prophètes ou des illuminés (selon les observateurs) ont décrit des utopies qui parfois sont devenues réalité, pour le bonheur ou le malheur de l’humanité ! Ces utopistes se sont distingués de leurs semblables, par des projections brillantes et fulgurantes.

 

TRIBUNE : Le premier à raconter l’histoire d’une utopie fut Platon. Dans « le Timée » puis « le Critias », Platon nous décrit une Atlantide qui regroupe les caractéristiques des mondes utopiques. Mythe platoniste ? Utopie d’explorateurs ? L’Atlantide demeure aujourd’hui l’un des plus grands mystères de notre monde. Elle fascine avec la même ferveur explorateurs et historiens du monde entier depuis des siècles. Longtemps considérée comme une simple fable issue de l’imagination du penseur, ce continent imaginaire, dont les rois seraient les descendants directs de Poséidon, trouve écho chez certains géologues, scientifiques et historiens, qui croient en une civilisation exceptionnelle. Celle qui attend inlassablement au fond de l’océan que l’on perce enfin les secrets de son existence.

 

Mais, il est où le bonheur ?

 

Le bonheur est un sentiment, un état, un bien que désirent posséder tous les hommes. Mais est-ce possible d’être heureux quand nous avons l’impression de n’être pas libre de nos actions, de nos pensées, de nos relations, de notre vie ? Occuper un poste qui ne nous correspond pas forcément, se morfondre dans un mariage que nous ne désirions pas, se faire des ennemis, être obligé de faire la manche, mourir dans la rue lorsque nous n’avons pas accès aux soins médicaux, se voir déposséder de tous ses biens lors d’un vol, être assassiné à cause de sa religion, se suicider lorsque nous n’avons pas su nous adapter à notre société… Comment trouver le bonheur parmi tant d’insécurité ? Comment se satisfaire quand notre vie ne nous appartient pas ? Quand nous nous sentons réglés comme des pantins, condamnés à occuper une place qui ne nous correspond pas ?

Or, le cadre de vie dans lequel évoluent les hommes est déterminant pour parvenir à entretenir le bonheur en toute liberté. Ce cadre, c’est tout simplement le lieu d’existence d’un individu et tout ce qui l’inclut : sa famille, ses voisins, ses amis, ses supérieurs, ses gouvernants, la société qui l’entoure en somme. Au-delà du bonheur personnel de chacun, une bonne société permettrait, en satisfaisant tout le monde, de supprimer les maux et les vices qui corrompent les hommes, et engendrent toutes sortes d’atrocités.

 

 

Autres époques, autres mœurs…

 

Une société idéale qui contribuerait à rendre l’homme meilleur, en lui redonnant toutes ses qualités, et ses vertus, c’est ce qu’ont tenté d’imaginer des penseurs comme Platon, Érasme, Marivaux, Thomas More, Jules Verne, François Rabelais, Jonathan Swift, et une foule d’autres encore. Parmi les auteurs cités ci-dessus, il est question plus particulièrement, des idées de Platon, de Thomas More, et de François Rabelais. Ayant tous les trois grandi dans des univers très différents, ils ont chacun développé leur propre idéal d’organisation politique. Il devient donc intéressant de voir à quel point leurs idées peuvent être éloignées, mais aussi à combien elles se rejoignent et se complètent.

Les trois sociétés de Thomas More, Platon, et Rabelais, sont bien souvent idéalisées en contraste avec les mœurs des époques respectives des auteurs. Elles invitent par-là, le lecteur à faire le lien avec sa propre société qui l’entoure.

 

Un regard de l’autre qui ressemble à Big Brother…

 

Ces trois sociétés décrites et considérées comme utopiques à des niveaux différents posent la question de la société parfaite, idéale : a-t-elle l’ambition de s’appuyer sur la réalité ? Existe-t-il une vraisemblance entre société utopique et société réelle ? Est-elle vraiment réalisable ? Enfin, est-elle réellement souhaitable ? Le regard collectif semble jouer le rôle d’une oppression, car chacun vit sous la contrainte de l’autre.

Alors, l’utopie se rapproche de la dystopie de George ORWELL. En effet, « le regard de l’autre » ressemble étrangement à « Big Brother », car ce regard fait office de surveillance. 

L’Atlantide est présentée comme une société évoluée, quasi paradisiaque, puissante et avancée sur le plan technologique. L’évolution technologique, va de pair, avec le cheminement de la pensée et l’évolution spirituelle.

Aussi excentrique et extraordinaire (dans son sens premier : « qui fait peur »), soit-elle, l’utopie demeure en complet décalage avec le temps et en dehors de la doxa ambiante.

Plus simplement, ces utopistes, penseurs différents, échappent aux préoccupations et aux enjeux de leurs contemporains. En conséquence, l’utopie ne devrait pas avoir lieu d’être...

 

Fin de la première partie

 

Paul GUILLON

 

 


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Extérieurement, on voit bien qu’il bouillonne le président du Conseil départemental de l’Yonne ! Un rapide coup d’œil jeté dans la salle de la Pyramide – le fameux hémicycle qui accueille d’ordinaire les sessions de l’organe institutionnel – lui procure un léger rictus sur le visage. Une contraction qui en dit long sur le fond de sa pensée. Habitué, comme il le stipulera lui-même lors de ses propos introductifs, « de dire les choses comme il les ressent ! », Patrick GENDRAUD est agacé. Tout en restant modéré dans son verbatim, il ne comprend pas l’absence, nous non plus par ailleurs, des 180 praticiens, invités à la réunion du GEPS, le Groupement d’Employeurs des Professionnels de Santé. A quelques exceptions, près !

 

AUXERRE : Une poignée, à peine, de médecins icaunais représentait la filière sanitaire lors de cette réunion d’échange programmée, certes un jeudi soir à partir de 19 heures, dans l’hémicycle de la Pyramide, haut lieu des débats du Conseil départemental. La faute en incombait-elle à la froidure météorologique de plus en plus persistante, du fait de sa pluie fine et de la baisse régulière des températures ? A l’horaire peut-être un peu trop tardif ? Au choix de la journée, un jeudi ? On ose imaginer, en revanche, que cette carence de représentativité des « blouses blanches » ne provienne de la thématique proposée par le Département ! C’eut été un comble !

Tout au plus, quelques praticiens se répartissaient de manière très éparse, dans la grande pièce aux fauteuils de cuir, très confortables à l’assise. Mais, visiblement, ceux-là étaient intéressés par les informations délivrées par le Conseil départemental et le GEPS, le Groupement d’Employeurs des Professionnels de Santé. D’autant plus qu’il était question d’une des préconisations judicieuses majeures déclinées par cet organe, le développement de la formation des assistants médicaux sur notre territoire. Nous y reviendrons par ailleurs dans un article complémentaire…

 

La santé n’est pas du domaine de compétence du département

 

Quant à cette absence constatée de visu dans les rangs, elle provoqua, nous l’avons dit, un léger agacement de la part du patron du Conseil départemental.

« Je ne suis pas là pour distribuer des bons points, devait-il souligner, mais je le rappelle une fois encore la santé n’est pas dans le domaine de compétences de l’institution départementale. Comme cela ne dépend pas d’une intercommunalité ni d’une collectivité locale. Toutefois, nous les élus de proximité, nous essayons de faire le maximum avec vous et pour vous – il s’adressait aux rares médecins présents – en étroite collaboration avec l’Agence Régionale de Santé, la Caisse Primaire d’Assurance Maladie, etc. Quant à l’Ordre des Médecins et à ses membres, je les respecte, je les apprécie, mais quand on invite le représentant de cet ordre à assister à une rencontre spécifique comme celle-ci et qu’il n’y a pas de réponse ni de mot d’excuse, cela a le don de m’irriter ! ».

Sans tambour ni trompette, pour Patrick GENDRAUD qui ne s’est pas privé en guise de préambule de distiller ces remarques pertinentes et sans hypocrisie ! Non mais ! Une pensée qui fait référence aussi à la courtoisie et aux règles élémentaires du civisme et de la politesse !

 

 

Un budget de 5,5 millions d’euros pour le poste santé

 

Dommage, pour l’intérêt du débat et de cette réunion alors que le Conseil départemental souhaite franchir une nouvelle étape dans sa politique menée en faveur de la santé depuis plusieurs années déjà ; celle-ci se traduisant par  l’ouverture d’une classe préparatoire aux études de médecine avec l’IUT d’Auxerre, au soutien de l’émergence des Maisons de Santé, à l’encouragement de l’installation de nouveaux praticiens, et au déblocage d’un budget de 5,5 millions d’euros en la matière pour financer le tout.

« Ce n’est pas une obligation de le faire, insistait Patrick GENDRAUD, c’est une politique volontariste que nous menons avec le soutien de l’ARS et la CPAM. On ne le fait pas pour nous, ni pour moi ! On le fait pour nos concitoyens… ».

Une manière concrète pour le président de l’institution départementale, un peu courroucé par le contexte de remettre les points sur les i en passant ainsi ce « coup de gueule », tout en déplorant l’absence d’excuses officielles de l’Ordre médical de notre territoire.

 

Thierry BRET

 


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