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Une indicible peur se lit au fond des yeux de la personne malade. Alité, le matériel de ventilation placé sur le nez et la bouche pour lui procurer le maximum d’oxygène, le patient scrute avec intérêt en direction du petit groupe qui s’immisce dans l’intimité de cette unité un peu spéciale du centre hospitalier d’Auxerre. Un sursaut salvateur pour mieux se raccrocher à l’existence ? Etrange sensation que de visiter cette unité qui accueille les personnes atteintes de l’infection virale du moment : le tristement célèbre coronavirus, COVID-19…

AUXERRE : L’effervescence se conjugue à l’humilité. La crainte, aussi qui s’affiche dans les regards des profanes de ce service hospitalier qui nous ouvrira grandement ses portes dans un court laps de temps.

Les professionnels de santé, réunis dans le hall d’accueil, discutent, échangent, patientent, plaisantent avant la venue de la délégation officielle. Un temps de latence qui leur permet de faire un break. Une respiration appréciable où quelques-unes de ces blouses blanches en profitent pour se griller une cigarette salvatrice afin de mieux maîtriser leur tension nerveuse. Compréhensible avec la recrudescence accrue de la pandémie à laquelle ils doivent faire face…

Devant nous se dresse la double porte battante barrée d’une énorme signalétique interdisant tout accès aux visiteurs. Un accès qui donne d’ordinaire sur le service de cardiologie. C’est ici, en cet endroit stratégique du centre hospitalier d’Auxerre que l’unité COVID-19 a été installée. Son prolongement se situe à l’étage supérieur : le service de réanimation où une dizaine de patients reçoivent des soins plus lourds.

Quelques lits sont encore disponibles à cet instant « t ». Ce ne sera que de courte durée. Les praticiens attendent l’arrivée imminente de quatre malades en provenance de Mâcon. La préfecture de Saône-et-Loire est saturée de patients. Plutôt graves. Ses services sanitaires ne savent plus comment juguler la propagation de l’épidémie. Alors, on déleste vers les autres centres hospitaliers de la région. Là où il reste encore quelques possibilités d’accueil, à l’instar de l’établissement auxerrois.

 

 

 

Les services de la Ville à l’écoute des soignants…

 

Il faut relever le défi. Accueillir des malades afin de pouvoir leur prodiguer les premiers soins. Un challenge qui requiert pugnacité et abnégation. Un défi constant. Qui ne manquera pas de sensibiliser les officiels qui viennent de pénétrer dans l’enceinte névralgique de cet hôpital à l’atmosphère si étrange où se relaient aux côtés de patients en proie à des difficultés respiratoires les spécialistes de plusieurs disciplines : cardiologie, réanimation, chirurgie, neurologie, etc.

Le préfet de l’Yonne Henri PREVOST rappellera les responsabilités de chaque citoyen dans cette « guerre » menée contre ce virus qui aura profondément chamboulé notre existence.

Le respect des gestes barrières ? « Les pratiquer au quotidien, c’est aussi respecter le personnel soignant… » soulignera avec justesse le représentant de l’Etat lors d’une brève intervention.

L’accompagnent le maire d’Auxerre et président de la Communauté de l’agglomération Crescent MARAULT, et l’un des vice-présidents du Département Christophe BONNEFOND. L’édile d’Auxerre en profitera pour adresser un message à la direction du centre hospitalier représenté par Pascal GOUIN et aux médecins :

« Les services de la Ville sont à l’écoute des besoins du corps médical et du personnel soignant pour les aspects de logistique … ».

Il faut aussi penser nécessairement à la gestion et à l’accueil des enfants des couples de praticiens ou d’infirmiers qui tentent l’impossible pour sauver des vies. En crèche ou à l’école.  

 

 

 

Le service de réanimation, cœur névralgique de la lutte…

 

Pénétrer dans l’espace qui accueille le service de réanimation où se distinguent derrière les vitres opaques de ces chambres très surveillées des silhouettes allongées dans leur lit fait froid dans le dos.

Chacune et chacun tente de ne pas trop y penser en visitant subrepticement une pièce encore vacante de tout malade. On nous explique alors le principe de la ventilation respiratoire, l’absence de soins par intubation pour le moment (peut-être un signe mais ce n’est qu’une hypothèse que la seconde vague de ce maudit virus soit moins virulente que celle qui nous a frappées au printemps).

Une chose est sûre : à les écouter attentivement, les praticiens avancent avec une grande prudence sur ce territoire inconnu bordé par la COVID-19.

Dans une petite salle, aire de détente pour de courageuses infirmières et soignantes, quatre d’entre elles s’offrent une légère pose autour d’un thé agrémenté d’une mandarine. Une image de retour à la vie plaisante pour ce petit groupe qui ne baisse pas les bras dans sa lutte au jour le jour contre cet inéluctable virus au centre de toutes les préoccupations actuelles.

Ouf ! Qu’il fait bon de respirer dehors à l’air pur, même sous son masque chirurgical, dès que l’on s’éloigne de cet endroit où des fidèles au serment d’Hippocrate font usage de leur savoir et de leur volonté pour bouter loin de nous cet ennemi invisible…

Thierry BRET

 

 

 


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Le paysage sociétal, économique et émotionnel qui environne notre quotidien depuis plusieurs mois est de nature à bien nous armer psychologiquement pour éviter tout type de projectiles démoralisateurs. D’un lest de peur à une grenaille de caractère poussant vers l'angoisse. « Nous sommes en guerre » le formulait dernièrement notre Président de la République Emmanuel MACRON. Et si, la fleur au fusil, on se prémunissait de munitions d'espoir...

TRIBUNE : La promesse d'une vie à l'inspiration plus généreuse et apaisante est-elle un mythe, une mouvance ou une réalité à envisager et à concrétiser ? Une énigme à l’allégorie bénigne qui s'affranchit de tout risque : l'espoir. Ce sentiment n'est pas une option. Mais, bel et bien une solution pour poser enfin les armes et les larmes de la dualité en l'invitant pour une paix intérieure, source de bonheur.

Cet état d'être à croire au « tout est possible » est la plus belle des valeurs à porter comme un drapeau de la liberté posé avec fierté à la force de confiance et d'audace.

 

Tout est possible...

 

Oui, toutes nos victoires personnelles ont un dénominateur commun comme l'exprime Christopher REEVE : « Une fois que tu choisis l'espoir, tout est possible… ».

L'espoir est un état d'être qui exempte toute vision défaitiste car il temporise les doutes. Il se conditionne donc au superlatif d'un positivisme au détriment d'un négatif trop intrusif et abusif.

L'espoir est un acte de bravoure envers son âme et sa conscience face à tous les duels de la vie. Il combat avec foi de magnifiques projets personnels et professionnels où le seul adage est la volonté et la pugnacité car l'espoir se revendique dans une perspective et une dynamique de gagnant.

 

Un allié de taille...

 

L'espoir est l'allié parfait de la confiance et de la tempérance. Il est le guerrier sur qui l'on peut compter pour gagner toutes les batailles. Il se galvanise d'optimisme et de certitude à la réussite car il est le conquérant de toutes ses aspirations et inspirations. Il est le meilleur bouclier face à des détracteurs qui pourraient essayer de l'entraver.

 

Dans une ambiance culturelle...

 

S'il arrive que le vague à l'âme survienne pour « masquer » une vérité, l'espoir se note également à la clé d'une partition musicale à écouter. A l’instar de la ballade du groupe AEROSMITH sur « Dream on » ou d'un film d'animation humoristique aux multiples paraboles : « Kung Fu Panda » qui anoblit toutes les peurs par la puissance du croire.

Dans une approche littéraire, Norman COUSINS, biographe d'Albert SCHWEITZER, prix Nobel de la paix en 1952, est l'auteur d'un livre à succès, « Une passion de vie ». Il y partage sa vision de la maladie. Atteint d'une pathologie grave où le pronostic le prédisposait, à court terme, à rester dans une chaise roulante, sa force intérieure va changer la donne.

Avec l'appui de son médecin et la compréhension de l'impact émotionnel de l'esprit sur le corps, il a recourt à une influence très subjective : le rire. Alors, il se nourrit émotionnellement de livres et de films comiques. Sa guérison a suscité de multiples questions. Comme quoi...

Bien sûr, son rétablissement est le vecteur de plusieurs facteurs mais l'espoir en est le meilleur remède.

Norman COUSINS le sublime par ces mots : « L'espoir est la chose la plus importante de la vie. Elle procure aux êtres humains le sentiment d'avoir un but et leur donne l'énergie d'aller de l'avant… ».

L'espoir est donc un réconfort pour le corps, l'âme et l'esprit. Il les nourrit d'un baume de bienveillance et de douceur pour la promesse d'un meilleur. A méditer…

Lyvia ROBERT

 


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Ils sont prêts, les professionnels des travaux publics. Prêts à poursuivre leurs activités malgré la période de confinement afin d’assurer la relance économique de notre pays. Prêts, également à préserver et à créer des emplois. Mais, pour cela, ils ont besoin du soutien inconditionnel des élus. Et surtout de la reprise urgente de la commande publique !

DIJON (Côte d’Or) : Les semaines se suivent et se ressemblent pour les dirigeants des entreprises de travaux publics de notre territoire. Ils ne cessent d’envoyer des messages forts à destination des collectivités locales pour que celles-ci fassent enfin bouger les lignes au niveau de la commande publique.

L’équation est simple. Pas de projets en perspective, donc pas de chantiers à assurer, avec les conséquences que l’on peut aisément imaginer au niveau de l’emploi.

Depuis le discours du président de la République Emmanuel MACRON en date du 28 octobre où ce dernier reconnaissait comme « essentielle à la nation la filière des travaux publics », la FRTP (Fédération régionale des travaux publics de Bourgogne Franche-Comté) adresse une kyrielle de signes auprès des élus locaux. Celles et ceux qui identifient clairement les besoins de développement et d’entretien des infrastructures sur les territoires.

 

 

« Nous sommes là pour les accompagner, explique sans équivoque le président de l’organisme régional, l’entrepreneur Vincent MARTIN, qui a pris à bras le corps la défense des intérêts de sa corporation.

Ce dernier n’hésite pas à préciser qu’il serait dommageable pour les élus locaux de ne pas profiter des effets du plan de relance économique distillé par l’Etat (France Relance) qui favorise l’obtention de financements exceptionnels afin de juguler la crise économique.

En conclusion, la position de la FRTP est très limpide : il faut investir très vite pour garantir la pérennité d’une filière professionnelle qui ne demande qu’à poursuivre sereinement ses activités. Mesdames et messieurs les élus, la balle est désormais dans votre camp !

 


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Dans l’instant « t », Bercy reste campé sur son inflexibilité. Les concessions automobiles doivent rester portes closes durant la nouvelle période de confinement. Se privant ainsi de la manne physique de la clientèle. Même si l’option du « click and collect » est autorisée, on voit mal comment les consommateurs seraient tentés par l’achat de leur nouveau véhicule au budget conséquent sans l’avoir vu et essayé au préalable ! Les ventes, quant à elles, s’effondrent. Sombres perspectives…

PARIS : Pour l’heure, il n’est pas prévu que les concessionnaires automobiles puissent exercer leur activité dans les règles de l’art. Leurs établissements ont dû fermer leurs portes dès l’application de la seconde période de confinement imputable à la recrudescence de la pandémie en France.

Un dilemme kafkaïen pour les professionnels de la filière qui avaient déjà dû supporter les conséquences néfastes de la première vague au printemps. Les premières tendances chiffrées ne plaident pas en faveur d’un optimisme béat. Surtout celles qui émanent du CNPA (Conseil National des Professionnels de l’Automobile) qui annoncent une diminution de 70 % des ventes de véhicules neufs depuis une semaine. Une statistique alarmiste qui inquiète fortement les professionnels du secteur.

 

 

La réouverture des concessions conditionnée à l’évolution de la crise…

 

D’autant que la réouverture des concessions n’est pas programmée pour demain. Une rencontre des acteurs de la filière à Bercy, ce vendredi 06 novembre, est restée lettre morte dans ses résultats. Tout dépendra de l’évolution de la crise sanitaire. Force est de constater que la hausse exponentielle du nombre de cas de personnes contaminées dans l’Hexagone, plus de 60 000 cas avérés à date, ne conditionne pas à une quelconque embellie.

Président de la PFA (Plateforme Automobile), l’ancien ministre Luc CHATEL exige la réouverture des vitrines commerciales. « Ne pas les rouvrir serait synonyme d’un nouvel effondrement du marché qui n’a pas besoin de cela », précise-t-il dans un communiqué de presse. Dans le même temps, les constructeurs et les équipementiers maintiennent leurs activités industrielles.

Du côté des voitures de seconde main, la chute des ventes est encore plus drastique avec des pertes s’élevant à 90 % en un laps de temps record. Les interventions en entretien/réparation reculent de 30 %. Il en va de même pour la carrosserie qui avoisine avec 50 % de baisse.

Bref, le désastre n’est pas loin pour le secteur qui emploie 400 000 personnes dont 60 000 pourraient être menacés à brève échéance si la situation devait perdurer. Au terme de l’année 2020, la baisse des ventes de véhicules neufs en France pourrait correspondre à 30 % ! Le nombre de nouvelles immatriculations serait le plus faible enregistré depuis près de cinquante ans. A peine 1,5 million d’unités, ce qui est fort peu…

 


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Le contexte de cette dixième rencontre du championnat de Ligue 2 n’est pas ordinaire en soi. Opposée ce samedi à la formation picarde d’Amiens, ex-pensionnaire de Ligue 1 la saison dernière, l’AJ Auxerre n’aura pas la tâche facile. Evoluant à huis clos. Un environnement très spécial et perturbant pour les joueurs qui attriste déjà le coach Jean-Marc FURLAN…

AUXERRE : L’entraîneur de l’AJA fait grise mine. Le regard, un peu perdu dans le vague, interrogateur. Lui qui affiche le plus souvent un large sourire lorsqu’il débute ses rendez-vous réguliers avec la presse ne semble pas être dans son assiette. Une pensée l’obsède. C’est ce premier match à huis clos qu’il va vivre aux côtés de ses protégés lors de la réception de l’équipe amiénoise.

Une circonstance imposée par la crise épidémiologique qui repart de plus belle dans l’Hexagone et contraint le milieu footballistique à s’adapter tant bien que mal. Difficile d’envisager, il est vrai, une telle rencontre sans la présence du public. Et pourtant…

Sa perception de ce stade de l’Abbé Deschamps vidée de sa substantifique moelle (ses supporters) l’attriste au plus haut point. Surtout que la vision de ces gradins silencieux aura nécessairement un impact sur le moral de l’équipe.

« Les sportifs de haut niveau ne sont pas habitués à cela, explique-t-il, c’est très important pour eux d’évoluer devant leur public… ».

D’autant que la progression actuelle du club confère à l’optimisme. Après son large succès face à la modeste formation de Chambly (4-0) et ce nul arraché avec les tripes sur la pelouse de Rodez (2-2), Auxerre a l’opportunité de poursuivre sur sa lancée, en espérant un troisième match sans défaite. La victoire, et les Bourguignons qui occupent la 9ème place du classement pourraient être très vite propulsés aux avant-postes de ce championnat âpre et complexe, au pied du podium. Retrouvant ainsi dans son proche voisinage de réels prétendants au titre et à l’accession : Le Havre, Clermont Foot, Toulouse ou le FC Sochaux. Tous des suiveurs légitimes des deux équipes qui caracolent largement en tête, le Paris FC et l’ESTAC Troyes.

 

Attention danger face à Amiens et sa défense imperméable…

 

En l’absence du « douzième homme », ce public qui peut parfois transcender, voire sublimer les joueurs en état de grâce, Jean-Marc FURLAN sait qu’il aura fort à faire en face de lui. L’adversaire possède plusieurs atouts dans sa besace. A commencer par son expérience récente de la division supérieure, ce qui reste toujours un plus au niveau de la dynamique en vue de la remontée.

Les Picards offrent le particularisme de posséder la meilleure défense de la compétition. Avec peu de buts encaissés au terme des dix premières rencontres. L’équipe de Romain POYET est très athlétique, imperméable défensivement. Peu de chance de l’avis du coach de l’AJA qu’il y ait une avalanche de buts au terme de la partie. Surtout que parmi ses lettres de noblesse, Amiens peut également s’enorgueillir de posséder le jeu de tête le plus abouti de Ligue 2 !

Bref : un vrai casse-tête chinois sur le plan technico-tactique qui permettra à Jean-Marc FURLAN de jauger les forces et les compétences de ces ouailles durant cette rencontre à l’enjeu évident.

Le coach attend de ses garçons de l’envie, de l’audace, de l’ambition. Tout en demeurant dans la continuité du jeu proposé jusqu’alors.

« Il est difficile de trouver d’autres alternatives tant au plan défensif qu’offensif en l’état, affirme le stratège auxerrois, même s’il peut y avoir des choix… ». Une tactique qui trouve son fondement dans le besoin de repères accordés aux joueurs.

D’ailleurs, Jean-Marc FURLAN qualifie sa formation d’impliquée et de consciencieuse, autour de ses leaders naturels (quatre ou cinq cadres) qui renvoient une bonne mentalité au reste du groupe.

 

L’utilité du mercato d’hiver, créateur de business…

 

Reste le mercato d’hiver. Si près et encore trop loin pour certains clubs qui croient y trouver un joker providentiel. Ce qui n’est pas le cas de l’ancien défenseur bordelais.

Son avis sur le sujet comporte une part de vérité vraie !

« Le mercato d’hiver a été institué pour créer des emplois et faire vivre tout un aéropage de personnes autour. Chaque joueur peut induire dans son sillage de vingt à trente emplois ! ».

Bref, c’est un procédé qui alimente allègrement le côté business du football. Un processus économique aux antipodes des préoccupations majeures de nombreux entraîneurs qui essaient d’intégrer dans leur base un ou deux nouveaux éléments pour étoffer leur équipe.

« D’ailleurs, ajoute Jean-Marc FURLAN à l’attention des journalistes présents à la conférence de presse, citez-moi combien de fois le mercato d’hiver a été réellement profitable pour un club ? Cela a dû dépanner un club sur dix ou quinze au grand maximum ! ». Dont acte !

Thierry BRET

 

 

 


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