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Il l’a fait. Sous le masque, on devine le sourire. Large et lumineux comme le regard embué d’émotion de ce jeune prodige de la tradition culinaire à la française. Non seulement, Scott (un prénom insolite dans l’Yonne qui fleure bon les racines écossaises) BENIGAUD décroche la timbale en remportant le titre régional de meilleur apprenti en charcuterie-traiteur. Mais, en outre, il obtient son ticket pour la finale nationale prévue en mars.

 

AUXERRE: Ils ont pris un malin plaisir à concocter les différentes pièces alimentaires exposées aux yeux de tous. Dans un pur esprit de recherche de l’excellence, tout en bénéficiant des meilleures conditions pour pouvoir y parvenir. Celles fournies par le CIFA de l’Yonne, temple de l’apprentissage au cœur de cette Bourgogne septentrionale.

Voire peut-être pour en tutoyer un insondable paroxysme intérieur, comme le suggérera dans ses propos le toujours très lettré et philosophique Marc LABARDE, sémillant porte-étendard de ces épreuves honorifiques conçues à la gloire de l’artisanat.

Engagement et déclinaison des savoirs auront donc été au rendez-vous du énième challenge, devant sublimer une filière professionnelle qui n’a plus à faire ses preuves auprès de la jeunesse volontariste.

Embrasser la carrière de charcutier-traiteur n’a rien d’aléatoire et ne souffre d’aucune improvisation possible. Il faut posséder cette fibre vibratoire qui offre parfois l’occasion de se surpasser pour toucher le Graal.

 

 

Un talentueux jeune homme en provenance du CFA de Marzy…

 

Ainsi ces quatre valeureux candidats, déjà vainqueurs des qualifications départementales, n’ont éprouvé guère de difficulté pour se plonger dans le copieux menu du jour à réaliser sans trop de fausses notes dans un délai imparti de quarante-huit heures au centre de formation auxerrois. Deux jours de labeur, juste au sortir de la période festive et de ses réveillons, auront tôt fait de remettre les idées en place de ces jeunes gens, ayant l’âme de la compétition dans le sang.

Pas facile de composer entrée, plat, dessert et quelques mignardises servant d’agréments décoratifs en un laps de temps si court en pensant séduire l’impitoyable jury de ce concours de meilleur apprenti de France ! Des juges qui auront pris du temps avant de se prononcer sur le verdict, délibérant longuement entre eux pour ajuster au centième près la note la plus conforme à leur degré d’exigence.

Et à ce petit jeu-là, c’est le Nivernais, issu du CFA de Marzy près de Nevers, Scott BENIGAUD qui aura su tirer les marrons du feu. Il devient lauréat régional de cette cinquante-et-unième édition et futur représentant de la Bourgogne Franche-Comté aux finales nationales de la discipline, concoctées dans le cadre prestigieux du Salon international de l’Agriculture, porte de Versailles à Paris. Cela méritait bien quelques vigoureuses accolades à l’issue de la remise des prix à laquelle participaient les responsables du CIFA, Michel TONNELLIER, son président et Marcel FONTBONNE, son directeur.

 

Thierry BRET

 


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La découverte des gestes qui sauvent ? Une nécessité absolue pour l’assureur mutualiste qui va déployer en 2022 tous les moyens pour en assurer leur vulgarisation. Déclenché au plan national, ce dispositif de large envergure s’étalera sur l’ensemble de notre département dans les mois à venir. A l’instar d’une session initiale concoctée en décembre à Pont-sur-Yonne avec le concours de l’Union départementale des sapeurs-pompiers de l’Yonne.

 

PONT-SUR-YONNE : Le slogan affiché sur le support de communication abondamment relayé par les réseaux sociaux est on ne peut plus explicite. « Cette formation n’est pas obligatoire, elle est vitale ». Tout est dit ou presque avec ces quelques mots liminaires d’une transparence limpide. Ils traduisent la totale détermination du nouvel engagement sociétal voulu par GROUPAMA. Former nos concitoyens aux gestes qui sauvent, ceux que l’on nomme communément les gestes de premiers secours. Une initiative qui s’inscrit dans l’air du temps, avec le contexte sanitaire que l’on observe depuis bientôt près de deux ans.

 

 

Une action qui s’appuie sur un partenariat officiel avec les sapeurs-pompiers…

 

Dans les faits, l’assureur mutualiste se veut chantre de la pédagogie. Comment ? En informant le plus grand nombre de ses sociétaires (et ils sont légion ne serait-ce que sur le Val-de-Loire où agit la structure, soit 359 823 personnes) en leur proposant un cycle formatif fait d’exercices pratiques. Celui-ci étant à l’apanage des sapeurs-pompiers qui prodiguent les conseils.

Au niveau de l’Hexagone, l’enjeu est de taille. La société prévoit de sensibiliser un million de nos compatriotes à ces gestes utiles à maîtriser. Territorialement, trois mille Icaunais font figure de cibles à privilégier.

D’ailleurs, les responsables du groupe assurantiel et de prévoyance se sont engagés officiellement le 07 décembre dernier en apposant leurs signatures sur un document les liants pour une durée de trois ans avec l’Union départementale des sapeurs-pompiers de l’Yonne. Un rapprochement qui a été orchestré en amont entre Pascal MAUPOIS, président de la Fédération des caisses départementales de l’Yonne, Jacques BLANCHOT, directeur d’établissement, le colonel Jérôme COSTE, directeur du SDIS (Service départemental incendie et secours) de l’Yonne et Lionel DARLOT, du SDIS, coordonnateur des opérations.

 

 

 

Une première session à Pont-sur-Yonne qui en appelle d’autres…

 

Dès le lendemain, la première déclinaison se concrétisait sur le terrain avec la bénédiction de Grégory DORTE, premier vice-président du Département et élu de Pont-sur-Yonne. Mettant à disposition l’une des salles de la mairie, le maire s’est dit convaincu par la pertinence de cette opération citoyenne.

Gratuites, ces séances destinées, certes aux sociétaires de l’assureur mutualiste, mais par effet gigogne à l’ensemble des Français s’articuleront deux à trois heures durant sur un apprentissage méthodique des gestes à effectuer en cas de malaise cardiaque, d’étouffement, ou de situations mettant en péril la vie humaine.

Des sessions qui trouvent leur prolongement via des tutoriels vidéo disponibles sur le site de l’assureur (www.groupama.fr) et sur You Tube.

 

 

Seuls 27 % des Français ont profité d’une séance de formation aux gestes qui sauvent…

 

Porte-parole de GROUPAMA, Sylvain BUREL a confirmé que l’assureur mutualiste agissait ainsi en étant parfaitement dans son rôle d’entreprise citoyenne.

« Pour la première fois, une structure privée se saisit de cette grande cause nationale : agir pour sauver des vies ! Nous souhaitons y répondre en nous engageant sur les sujets de société, notamment en termes de santé et de prévention… ».

Précisons que la France reste l’un des pays européens les plus en retard en matière de formation aux premiers secours : seuls 27 % de ses habitants en ont bénéficié alors que ce pourcentage s’élève à 95 % en Norvège. Sans commentaire !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Quelle est sympathique la tradition gourmande de cette galette dont les origines remontent au Moyen-Age ! Depuis lors, cette fête connut toutefois diverses fortunes. Elle fut notamment proscrite sous le règne du Roi-Soleil. Un peu plus tard, les Sans-culottes ne furent pas en reste. Comme on pouvait s'y attendre, la Restauration (1815-1830) tira à nouveau les rois dans la plus pure tradition !

 

CHRONIQUE : Mais en deux siècles, nonobstant le plaisir de se retrouver autour de la table, le monde a changé. Dame galette s'est industrialisée avec force et vigueur. L'usine agro-alimentaire, sise à Torcé (Ille-et-Vilaine), en fabrique des millions annuellement, appelant crème d'amande le honteux broyage du noyau d'abricot afin de réduire coût et goût, s'asseyant sans vergogne sur une séculaire tradition gustative.

Leurs mégas camions inondent les rayonnages des grandes surfaces de leurs produits approximatifs, mais aussi – hélas certaines boulangeries qui dès lors ne méritent plus la noble dénomination artisanale.

 

Marine et Christopher QUIRIE : l’art et la manière de concevoir la galette…

L'injustice est criante lorsque l'on sait que pareilles pratiques, un brin contestables, sont plus rémunératrices pour le commerçant que celles des honnêtes artisans, fiers de fabriquer l'un des gâteaux préférés des Français.
De tout ceci, Marine et Christopher QUIRIE n'en ont cure. Bien qu'installés le long de la Vanne !

Voilà dix ans qu'ils se sont implantés à Malay-le-Grand. Depuis leur  famille s'est agrandie avec comme credo, celui unique, de faire bien et bon pour le plus grand plaisir d'une clientèle fidèle et gourmande.

Christopher fut à bonne école. Il fut apprenti de Philippe DURAND, de Toucy, l'un des meilleurs pâtissiers icaunais. Ce dernier remporta par ailleurs en 2020 le concours départemental de la meilleure galette.

Alors à l'unisson de ce début d'année,  ils le clament haut et fort nos jeunes artisans : « une bonne galette, c'est un bon feuilletage (pas conçu avec de l'huile précise la souriante Marine !), mais un bon beurre ainsi que de bonnes amandes (CQFD) ».

 

Ne pas confondre entre la crème d’amande et la frangipane…


Evidemment, comme chaque année pour les fêtes, le beurre a, non point, pris de  l'embonpoint, mais juste quelques euros supplémentaires ! Notre pays est riche de terroirs à beurre (Bresse, Charente-Poitou...) et Christopher affectionne un nectar normand.

La garniture à 100 % crème d'amande (celle-ci venant souvent de l'ensoleillée Californie) ne doit pas être confondue avec la frangipane (un mélange de crème d'amande et de crème pâtissière) pouvant s'assimiler à une sorte de flan. Ce n'est pas pareil.
Modes actuelles obligent, on trouvera aussi une garniture pistache-griotte ou pommes confites en cube, mais pour nos deux artisans LA galette, c'est à la vraie crème d'amande. Hum ! Comme on les comprend.

 

Valoriser les artisans en se référant à la succulence de leurs produits…

 

Les indispensables fèves sont aussi de la partie. Elles sont fabriquées en France, du côté de Faverney (Haute-Saône). Cette année, les jouets anciens sont à l'honneur avec petits chevaux ou locomotives à vapeur. Le prix d'une fève est de l’ordre d’un euro.
Pour nos artisans malaysiens  et leurs collègues, l'année commence avec un gâteau emblématique : la galette (jusque fin janvier) pour se terminer par un autre : la bûche de Noël. 
La morale de cette histoire,  car il y en a une, est la suivante ! Par nos achats, valorisons les honnêtes artisans, celles et ceux qui se lèvent tôt et fabriquent leur galette par amour de leur métier- ici appris au CIFA de l’Yonne à Auxerre - mais aussi par respect de leur clientèle. 

Cela vaut bien un ou deux euros en sus, largement mérités, non ! Mais, il est l’heure. Vite un couteau et coupons-nous une bonne part forcément de cette délicieuse pâtisserie. Quelle belle tradition, vraiment !

Gauthier PAJONA

 


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Ce n’est in fine un secret de polichinelle pour personne. Et surtout pas pour les aficionados de l’actualité automobile qui suivent scrupuleusement le moindre petit doigt qui bouge au gré des stratégies économiques dans le microcosme. Supposée dès le début de l’automne, l’acquisition par le groupe JEANNIN Automobiles de quatre vitrines commerciales jusque-là à l’estampille de la société ROSE en Seine-et-Marne s’est donc concrétisée ce premier janvier. Un acte d’achat qui est désormais officiel…

 

AUXERRE : Les informations bruissaient avec plus ou moins de certitude depuis un moment dans le landerneau de l’activité automobile. Plus exactement depuis le mois de septembre selon une note émise par l’Autorité de la Concurrence.

Il aura donc fallu s’armer de patience et attendre que les transactions se concluent de manière définitive pour que le dirigeant du groupe JEANNIN Automobiles valide enfin l’acquisition de quatre nouvelles concessions implantées en Seine-et-Marne.

Accueillant les marques Volkswagen et Audi, ces points de vente appartenaient jusque-là au groupe éponyme piloté par Jean-Louis ROSE. Une famille toute acquise à la cause automobile.

Les droits à la retraite de ce dernier ont sans doute accélérer le processus de cession de l’activité entrepreneuriale. Localisés en périphérie de Melun et de Fontainebleau, ces points de vente offrent de réelles perspectives pour le distributeur de l’Yonne, déjà présent au sud de l’Ile-de-France depuis 2016 avec Nissan. Une présence qui se renforcera deux années plus tard avec la gestion des enseignes Seat, Skoda, Mazda et Suzuki.

 

 

La reprise d’un groupe pesant 69 millions d’euros de chiffre d’affaires…

 

L’ajout à son escarcelle du groupe ROSE est synonyme d’excellentes perspectives pour le dirigeant Yves JEANNIN. Non seulement, la structure salarie 88 collaborateurs qui auront atteint leurs objectifs en commercialisant 1 580 véhicules neufs et près de mille véhicules d’occasion l’année dernière malgré le contexte de crise économique que l’on connaît. Mais en outre, l’entreprise rachetée pèse à date 69 millions d’euros de chiffre d’affaires. Preuve de sa rentabilité.

Stratégiquement, JEANNIN apparaît plus fort que jamais sur ce territoire de conquête de parts de marché que représente la Seine-et-Marne, porte d’entrée légitime sur l’Ile-de-France. Avec sa diversité protéiforme reposant sur une offre commerciale articulée autour de plusieurs marques, l’entreprise de l’Yonne continue de progresser là où bien d’autres de ses concurrents piétinent en faisant du surplace.

Le groupe aux 26 concessions qui développe depuis peu les produits MG et Cupra conforte ainsi sa brillante 65ème position au classement des cent principaux groupes de distribution automobile en France.

Réalisant un chiffre d’affaires de 205 millions d’euros en 2020, JEANNIN Automobiles qui agit sur un terrain de jeu englobant l’Aube, la Seine-et-Marne et l’Yonne, a obtenu des résultats plus qu’honorables l’an passé avec la vente de 11 000 véhicules neufs et d’occasion, et des activités générant au passage un flux de 70 000 véhicules dans ses ateliers.

 

Thierry BRET

 

 


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Le groupe avait quitté le métier d’armateur en 1988, date de la cession de la Navale Caennaise. C’est dire si le rachat des parts du capital détenus jusqu’ici par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne revêt de la plus haute importance pour l’entité doublement centenaire. Plus que jamais, la structure familiale dirigée par Guillaume BLANCHARD renforce sa position au sein de LOGIYONNE…

 

GRON : La corbeille de la mariée n’en est que plus séduisante après cette transaction financière réalisée fin 2021. Surtout que ce couple entrepreneurial présente un joli pédigrée depuis le début de leur existence. Si l’entité icaunaise LOGIYONNE ne date que de 2010, que dire en parallèle du groupe SOGENA qui est issue d’activités de transports maritimes dont les origines remontent à…1828 !

Par ce tour de magie capitalistique n’ayant rien de providentiel qui lui a permis d’acquérir les 34 % du capital possédé jusque-là par la CCI de l’Yonne, la structure spécialisée dans la logistique portuaire accède désormais à 49 % du capital de LOGIYONNE, la plateforme qui assure le développement et l’exploitation du Port de Gron, près de Sens. Les 51 % du capital restant sont détenus par la holding de Didier MERCEY, l’homme en forme olympique du moment côté business sur notre territoire.

 

 

Une alliance prometteuse avec un groupe qui pèse 66 millions d’euros de chiffre d’affaires…

 

Il y a peu, Guillaume BLANCHARD, directeur général de SOGENA, s’est rendu dans l’Yonne afin de formaliser la transaction de ce rapprochement plutôt prometteur sur le papier. Il devait y rencontrer Alain PEREZ, à l’époque encore président de la chambre consulaire, et Didier MERCEY, pour valider cet accord.

L’opération est intervenue avant le lancement de la SAS LOGISHIP, autorisant de surcroît LOGIYONNE et son actionnaire à devenir armateurs. Dans le but d’exploiter la liaison régulière de colis lourds entre les infrastructures portuaires de Normandie (Le Havre, Rouen) et de l’Yonne. Voire à ce titre, l’article publié dans nos colonnes le 23 décembre 2021 sur le bateau « Exelmans », bientôt rebaptisé « Le Bourgogne ».

Pour SOGENA, ce n’est que du bonheur. Non seulement, le groupe dont le siège social est implanté à Caen, renoue avec le métier d’armateur qu’il avait lâché en 1988.

Mais en outre, il ajoute une corde supplémentaire à son arc au niveau de ses prestations et services. Pour mémoire, SOGENA développe un ensemble de compétences liées au passage des marchandises sur les ports à l’instar de la manutention, du stockage, du transit et des douanes, de la consignation, de l’agence de ligne ou encore de la commission de transport international.

Au terme de 2021, SOGENA pesait plus de 66 millions d’euros de chiffre d’affaires et employait 440 collaborateurs répartis sur une trentaine d’implantations.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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