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Et trois années supplémentaires à la clé ! C’est la durée de renouvellement de cette convention paraphée par l’établissement bancaire régional et la Burgundy School of Business (BSB). Un partenariat fécond à bien des égards entre ces deux entités. Il permet d’accompagner les jeunes gens dans leurs parcours pédagogiques supérieurs par le prisme de l’alternance en les immergeant dans les rouages de l’entreprise…

QUETIGNY (Côte d’Or) : De larges sourires étaient affichés par les deux signataires de cette convention lors de la prise de vue qui a immortalisé le prolongement de ce partenariat entre la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté-Pays de l’Ain et la BSB !

Des sourires qui n’avaient rien de circonstanciel tant la réussite de cet accord se révèle probante depuis ses origines. Entre les deux structures, c’est une histoire sérieuse qui vire désormais au durable.

A l’instar des nombreux partenariats qui ont déjà été initiés par la banque mutualiste auprès des écoles de son territoire pour nouer de nouvelles collaborations. On pense en particulier aux accords signés avec l’IFAG à Auxerre, l’ESEM de Besançon, voire des établissements implantés dans la Nièvre.

Dans le cas présent, ce partenariat reconduit avec la BSB Dijon évoque une longue antériorité de confiance et de réciprocité. Un vrai « mariage » dédié à la cause estudiantine ayant débuté il y a déjà une décennie. Grâce à une chaire de microfinances, un item de pointe qui avait placé sur la même orbite les deux futurs partenaires à l’époque.

De ces relations fructueuses naîtra une étroite osmose entre ces deux structures qui privilégient le marché de l’emploi et de l’alternance. Profitant de l’ouverture de la gouvernance de l’école à d’autres acteurs hors de son sérail, Bruno DUCHESNE, directeur général de la Banque Populaire BFC Pays de l’Ain a eu l’opportunité de pouvoir y siéger en qualité d’administrateur.

 

 

Renforcer sa marque employeur auprès des étudiants : le challenge de la banque

 

Autant dire que son soutien à ce partenaire majeur de l’éducation et de la vie étudiante régionale (BSB dispose également d’une antenne pédagogique à Lyon) lui est acquis.

Considéré comme un acteur historique de la BSB, l’établissement bancaire régional gagne ainsi en visibilité pour placer sous la lumière ses nombreuses offres d’alternance (une cinquantaine pour cette rentrée 2020) et d’emplois qui sont proposées au terme de cette expérience dans le milieu de la finance. Sans  omettre ses prêts étudiants, il va de soi !

Outre cette première intégration dans la vie active par le biais des études, les jeunes apprenants de niveau Bac + 3 et Bac + 5 bénéficient d’une sérieuse formation pratico-pratique qui vaut toutes les études de cas réalisées parmi les salles obscures de l’enseignement. Une réalité professionnelle « augmentée » au contact de l’ingénierie financière, des services commerciaux, des ressources humaines, de la communication, de l’audit !

Le Graal se révèle dans toute sa splendeur peu de temps après pour les étudiants. Avec la transformation de ces stages immersifs de six mois en emploi qui devienne pérenne dans la plupart des cas.

Ainsi, sur la cinquantaine d’alternants accueillis sur les pôles bancaires de Chalon-sur-Saône et de Besançon la saison écoulée, une vingtaine d’entre eux ont pu trouver chaussure à leurs pieds en venant gonfler les effectifs de l’un des plus gros employeurs du territoire avec près de deux mille collaborateurs.

Leur profil : ils sont chargés d’affaires, conseillés en patrimoine, intervenants sur les marchés.

Il n’est donc pas étonnant que 96 % des étudiants qui fréquentent les cours de la BSB trouvent un emploi dans les six mois après l’obtention de leurs diplômes !

 

 


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Le CIFA de l’Yonne a le vent en poupe avec cette rentrée où les possibilités d’apprentissage demeurent multiples dans de nombreux domaines professionnels. De quoi interpeller les jeunes pousses qui désireraient acquérir un vrai savoir-faire leur garantissant la maîtrise d’un métier…

AUXERRE : Le centre interprofessionnel de formation par l’apprentissage de l’Yonne redémarre ses activités sur les chapeaux de roue en ce mois de septembre. Une réjouissance qui fait plaisir à voir pour sa gouvernance après la longue période d’atermoiement imputable à la présence du coronavirus.

Les métiers de l’artisanat font toujours recette auprès des jeunes gens ; d’autant que les offres de formation sont pléthoriques dans de nombreuses filières. Plus de cinq cents postes sont à pourvoir comme l’a confié récemment la responsable en charge du développement et de la communication du site pédagogique, Delphine ENGELVIN.

 

 

L’établissement n’avait pas cessé ses activités durant la période de confinement en restant à l’écoute des entrepreneurs. Durant ces semaines de retrait physique, les cours ont été dispensés par le prisme du e-learning, une méthodologie technologique très appréciable et suivie par plus de 80 % des apprentis.

Toutefois, le e-learning n’a pas vocation à se substituer aux cours assurés en présentiel. L’outil offre l’opportunité à ses utilisateurs d’approfondir leurs connaissances. Il sera maintenu quoi qu’il advienne de la conjoncture sanitaire cette saison.

 


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Il n’y a pas que les élèves du collège Paul Bert qui effectuaient leur grande rentrée en ce premier jour du mois de septembre. Dès 8h30 tapantes ce mardi matin, de nombreux élus du Conseil départemental de l’Yonne accompagnaient leur président Patrick GENDRAUD dans l’établissement auxerrois pour y humer l’atmosphère ambiante et y prendre la température avec le respect des gestes barrières et les principes de distanciation physique, il va de soi !

AUXERRE : De nombreux élus du Conseil départemental de l’Yonne ont vécu à leur manière la rentrée scolaire ce mardi matin. Ils ont découvert un univers pédagogique à la configuration verdoyante du fait de son infrastructure, le collège Paul Bert, un établissement fonctionnel depuis 1969 dirigé par le principal Eric RENOUARD.

L’occasion fut donnée au président de l’exécutif départemental Patrick GENDRAUD de s’entretenir longuement avec le directeur académique des services de l’Education nationale Vincent AUBER. Un échange cordial autour des préoccupations du moment, relatives, on en aurait douté, sur les obligations sanitaires à respecter.

 

 

 

 

 

Lors de cette visite instructive, il était question également des innovations apportées à ce collège et aux SEGPA. C’est-à-dire aux sections d’enseignement général et professionnel adapté. Ces dernières ont pour vocation d’accueillir des élèves qui éprouvent des difficultés à suivre l’enseignement général traditionnel.

Le président du Conseil départemental put également apprécier les efforts fournis par l’établissement dans sa quête environnementale, notamment dans la gestion de ses déchets avec le tri et la valorisation de ceux-ci.

Un tour d’horizon très appréciable de la réalité avant que les visiteurs ne se rendent dans l’une des salles de travail afin d’y exposer une analyse de la situation lors d’une conférence de presse…

 

 

 

 

 


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Trente places supplémentaires s’ouvriront en septembre sur l’ensemble des instituts de formation en soins infirmiers de notre contrée. Un choix, pleinement assumé par la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté Marie-Guite DUFAY qui désire répondre aux besoins des territoires en cette période de crise sanitaire…

DIJON (Côte d’Or) : C’est une excellente nouvelle pour celles et ceux qui souhaitent faire carrière dans les métiers de la santé. La Région a décidé d’augmenter le nombre de places en formations d’infirmiers et aides-soignants pour la saison 2020/2021.

Déjà lors du récent « Ségur », la présidente de l’exécutif de Bourgogne Franche-Comté avait plaidé en faveur d’une refonte de la gouvernance du système de soins, redonnant ainsi aux régions toute leur légitimité pour mieux anticiper les crises et mailler l’offre de soins.

En autorisant des places supplémentaires pour accroître le nombre de professionnels de santé, l’élue régionale souhaite aller encore plus loin dans la mise en œuvre d’un dispositif efficace.

Dans le concret, cette augmentation porte à 1 380 le nombre de futurs professionnels qui commenceront leur cursus dès la rentrée. Ce n’est pas tout. 175 aides-soignants bénéficieront d’un parcours pédagogique. A terme, ces nouvelles recrues viendront renforcer les effectifs des structures de soins collectifs et à domicile.

 

 

Parallèlement, le secteur social verra le nombre de ses accompagnants éducatifs et social (AES) progresser afin de suivre de près les personnes vulnérables.

Le coût de cette initiative est estimé à plus d’1,16 million d’euros pour la Région dont 900 000 euros seront financés dans le cadre du Pacte régional d’investissement dans les compétences.

Mais, au-delà de cette augmentation du nombre d’élèves, Marie-Guite DUFAY prévient que cette hausse des apprenants ne doit pas faire oublier le besoin de disposer de structures de soins capables d’assurer leur suivi en stage…

 

 


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Ah ! Enfin la belle rentrée des classes sur fond d’automne et de ses parfums de fougères, de champignons… La joie de retrouver les copains dans l’anxiété de connaître celle ou celui qui allait passer un an à enseigner les rudiments de la grammaire et de l’arithmétique : l’institutrice ou l’instituteur. Vous le devinez : on vous parle d’un temps que les moins de soixante ans ne peuvent pas connaître… Aujourd’hui nos braves enseignants se nomment « professeur des école ». C’est un peu plus pompeux et bien moins romantique…

TRIBUNE : La rentrée à la communale commençait par la tenue. L’occasion d’inaugurer une nouvelle culotte courte. Dans la tradition, on ne portait le pantalon qu’à partir de la classe de 6ème ! Pas de montre bien sûr : elle n’était arborée qu’après la communion solennelle… Et  enfin une nouvelle blouse. Celle-ci donnait de la fierté aux impétrants de l’Education nationale.

Pour être obligatoire, la blouse permettait malgré tout de se distinguer des amis par une couleur ou un imprimé. La blouse grise avec ceinture restait le grand classique. Les enseignants portaient également une blouse, sans fioriture ni originalité particulière. Certains ont sûrement gardé dans la mémoire ces odeurs de rentrée des classes : des parfums de cahiers neufs et de livres poussiéreux qui se mêlent aux fragrances de l’encre versée dans les encriers et du matériel scolaire prêté ou donné.

On remettait également la plume « sergent-major » qui permettait de remplir un cahier de belles lettres de l’alphabet. Il ne fallait pas oublier les pleins et les déliers. Les premiers mots écrits sur le tableau noir : la date et la phrase du jour.

« Nul ne doit se faire justice lui-même » : une citation de l’éducation civique était commentée par l’instituteur. La morale républicaine imprégnait les jeunes esprits. Le bon point récompensait une bonne réponse. Dix bons points donnaient droit à une image et dix images se voyaient récompensées par un tableau d’honneur. Les tablettes n’existaient pas, les ordinateurs non plus. Pour les leçons de vocabulaire, un tableau représentant par exemple un sous-bois en automne permettait de découvrir le langage et le vocabulaire de cette belle saison. C’était mieux dans le temps ? Que nenni !

Mais à une exception près : le respect de la loi : « l’école est laïque et gratuite jusqu’à 16 ans ». Aujourd’hui qu’en est-il ?

 

Une école qui a beaucoup évolué…

 

Pour l’école laïque : des pressions d’ordre religieux ont abouti à interdire la viande de porc à la cantine. L’histoire doit prendre en compte un récit de la guerre d’Algérie afin de ne pas heurter les élèves d’origine musulmane !

Pour la gratuité : depuis Jules Ferry, l’école est gratuite et obligatoire, ainsi l’école crée un espace sans distinction sociale. Pour l’obligation de scolarisation : l’école est toujours obligatoire jusqu’à seize ans mais la scolarité do

it commencer dès l’âge de trois ans.

Dans le cadre de la prévention et de lutte contre la pauvreté, la loi de 2020 instaure l’obligation pour tous les jeunes âgés de 16 à 18 ans, de faire une formation.

En France, près de 80 000 jeunes sortent chaque année du système scolaire sans aucune qualification. Notre pays compte 60 000 jeunes mineurs ni en emploi, ni en formation, ni en études. Ces jeunes mineurs se heurtent à de grandes difficultés pour s’insérer dans le marché du travail et sont les premières victimes de la pauvreté. Avec l’obligation de formation, le gouvernement entend répondre aux besoins des personnes les plus fragiles en les accompagnants mieux et plus longuement, pour faciliter leur insertion et les faire sortir de la pauvreté.

Malgré tout, les contrôles sont peu pratiqués. De nombreux élèves de moins de seize ans ne vont plus à l’école et les parents ferment les yeux ! Quant aux jeunes plus âgés, ils refusent fréquemment les formations proposées. Ils alimentent parfois les faits divers : délinquance et réseaux de trafic de drogue !

 

La tentation du marketing a été la plus forte…

 

Dans le Morvan, au début des années 2000, l’Assistance Publique a récupéré une jeune fille de 16 ans, élevé officiellement par des habitants d’un petit village et qui ne savait ni lire ni écrire : elle n’avait jamais été à l’école, passant ainsi au travers de tous les contrôles possibles ! Elle eut la chance d’être placée chez des apiculteurs, qui en plus de l’école, lui ont appris leur beau métier.

Ecole gratuite : oui ! Jusque dans les années 60, l’école communale fournissait livres, cahiers, plumes et porte-plume, encre, double décimètre, règle. Compas et  équerre étaient prêtés lors des cours de géométrie. Le plumier et le cartable était remis par les parents. Quelle fierté d’emporter le plumier du grand-père ou du père ! Les familles devaient également recouvrir les livres : du papier épais, marron-clair pour les plus humbles. Pour certains une grosse courroie de cuire faisait office de cartable pour emporter livres et cahiers.

Nous avons fini par céder à la tentation des marques et autres artifices de la publicité : les trousses, les cartables et autres chaussures de sport qui peuvent frôler les deux cents euros !

Alors que fait-on ? Pour la communale, on peut tenter l’expérience : envoyer la gamine et le gamin avec juste un cartable et une trousse…

De toute façon « L’école, ça sert à rien ! ». Français : je le parle déjà. Technologie : je suis sur Facebook. Histoire : de toute façon, ils sont tous morts. Géographie : j’ai un GPS. Musique : j’ai You Tube.  Maths : j’ai la base : 2+2 = 4. Anglais : je regarde « Dora ». Physique chimie : je regarde « C’est pas sorcier ! ». Pour l’EPS, je regarde « Euro sport ». Ainsi va notre monde moderne !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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