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Il entame son quatrième mandat consécutif avec sérénité. Satisfait du travail accompli malgré un contexte conjoncturel particulièrement âpre et délicat. Pour autant, jamais le nombre d’apprentis n’aura été aussi élevé dans les cours théoriques et pratiques inculqués par des formateurs impliqués. Toutefois, lucide et visionnaire, le président du centre de formation par l’apprentissage ne peut occulter une autre mission qui l’attend au cours de cette nouvelle mandature : anticiper sa succession…

AUXERRE : Soutenu par deux des branches professionnelles les plus représentatives de son établissement (UMIH et CNPA), Michel TONNELLIER a été reconduit à la présidence du centre de formation auxerrois au terme de l’assemblée générale se déroulant en milieu de semaine.

Une réélection sans surprise qui lui offre l’opportunité d’accomplir trois années supplémentaires au sein de cet établissement dont il maîtrise aujourd’hui le moindre des rouages fonctionnels et administratifs. 

Composant un duo de coresponsabilités avec le directeur des lieux, le créatif Marcel FONTBONNE (défi culinaire « Iron Cook »), Michel TONNELLIER considère ce « ticket » managérial comme « étant dynamique et très harmonieux ». Un tandem qui est opérationnel dans l’intérêt de chacun.

De prime abord, les apprentis au nombre de 1 077 individus cette année qui voient ainsi leur effectif croître avec un solde positif de + 75 personnes par rapport à la saison antérieure.

Mais, aussi des formateurs et enseignants qui ont pu continuer d’assurer leurs cours même en période de confinement grâce à la magie du numérique et de ses déclinaisons pédagogiques à l’instar du e-learning. Sans omettre les artisans eux-mêmes avec lesquels les responsables du CIFA de l’Yonne entretiennent d’excellentes relations.

 

Renforcer les atomes crochus avec les filières artisanales…

 

Sur ce point, Michel TONNELLIER souhaite optimiser davantage ce sens du relationnel avec les acteurs des différentes filières dont le CIFA représente un indiscutable vivier de jeunes pousses et de compétences.

Figurent ainsi dans le viseur prioritaire du président réélu : les charcutiers, les boulangers, les pâtissiers, les bouchers…

Avec ces derniers, le porte-étendard de l’apprentissage dans l’Yonne veut renforcer les atomes crochus. Tant au niveau des échanges pratico-pratiques afin de mieux assimiler les attentes de ces professionnels qu’au plan de la communication qui s’avère désormais nécessaire.

En cela, Michel TONNELLIER veut profiter de l’arrivée d’un nouveau responsable au sein de la Fédération départementale de la boucherie, Bruno JEANDOT, pour être à l’écoute de ces chefs d’entreprise qui portent hautes les couleurs de l’artisanat de qualité sur notre territoire.

A 68 ans, Michel TONNELLIER ne désarme pas pour soutenir et encourager l’apprentissage auprès des plus jeunes. Bien au contraire, il veut tout donner sur ce qui pourrait correspondre à son ultime mandat. Lui qui est immergé dans la structure pédagogique depuis presque une décennie !

 

 

Déjà un regard attentif sur le futur de l’établissement…

 

Sa succession ? Il y pense déjà. Même s’il ne se rase pas tous les matins devant la glace de sa salle de bains en se posant la sempiternelle question de savoir qui héritera de la fonction !

Son mandat court jusqu’en 2023. Avec la complicité bienveillante de Marcel FONTBONNE, il entend poursuivre les chantiers en cours qui doivent conférer plus de modernisme et d’efficience au sein de l’établissement dont la valeur première demeure l’excellence.

 

 

Les projets pédagogiques autour de la digitalisation des cours vont continuer. Notamment en offrant la possibilité aux formateurs de mieux s’immerger dans ces nouvelles technologies. La récente création d’une équipe dédiée sur cet item avec l’embauche à la clé d’une vidéaste et d’une infographiste l’atteste : le centre de formation ne veut pas subir la révolution numérique de plein fouet mais bien en être l’un des acteurs dans son domaine de compétence, l’enseignement et la transmission de savoir-faire.

Côté infrastructure, le CIFA va se lancer dans la seconde phase de travaux offrant une nouvelle ergonomie et des moyens supplémentaires à ses ateliers mécaniques. Cent-cinquante apprentis y sont présents au quotidien et en alternance pour découvrir les arcanes de la réparation et entretien automobile, celle des poids lourds ou des engins agricoles, sans oublier l’univers des parcs et jardins.

 

Beaucoup d’offres d’emploi, peu de jeunes en face…

 

Là-aussi, avec l’aide financière du Conseil départemental de l’Yonne, ces travaux de réhabilitation conforteront le poids légitime du CIFA via ces parcours pédagogiques. Notons que l’ANFA (Association Nationale pour la Formation Automobile) contribue à la modernisation de ces bâtiments en injectant une enveloppe de 50 000 euros. Pour mémoire, le projet de rénovation global s’élève à 500 000 euros avec une livraison assurée avant la période des examens au printemps 2021.

Seule ombre au tableau pour Michel TONNELLIER : le faible positionnement des jeunes sur les offres d’emploi actuelles proposées par les entreprises artisanales alors que celles-ci sont très nombreuses.

« Les aides gouvernementales ont été profitables à l’apprentissage, explique-t-il, avec un sérieux coup de l’Etat pouvant aller jusqu’à 8 000 euros par an pour des jeunes gens âgés de plus de 18 ans suivant un bac pro pu un BTS, et malgré cela, et la forte demande des entreprises, certains pans de l’économie souffrent de cette carence de compétences. Surtout dans le domaine de l’hôtellerie… ».

Citant l’exemple d’un plombier-chauffagiste qui est prêt à employer une jeune recrue, le président du CIFA estime qu’il n’y a pas de sinistrose à l’heure actuelle dans les filières artisanales concernées par la délivrance de ces cursus pédagogiques.

 

En savoir plus :

La nouvelle composition du bureau du CIFA de l’Yonne :

Président : Michel TONNELLIER, élu de la CCI de l’Yonne

Vice-présidents : Jean-François LEMAITRE, président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne,

Arnaud DELESTRE, président de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne, et Alain PEREZ, président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne,

Trésorier : Philippe DURAND, de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat,

Trésorier-adjoint : Eric MOUTARD, président de l’UMIH Yonne,

Secrétaire : Didier BARJOT, de la CCI de l’Yonne,

Secrétaire-adjoint : Bruno JEANDOT, président de la Fédération de la boucherie.

Membres du conseil d’administration :

Michel CHAUFOURNAIS de la CCI Yonne,

Emmanuelle MIREDON, de la Ville d’Auxerre,

Laurence ETHUIN-COFFINET, de la Ville de Sens,

Eric FOUCHER, président du CNPA,

David MARTIN, de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat,

Claire BREGERE, de la Ville de Pont-sur-Yonne,

Anthony LIBAULT, du Syndicat de la boulangerie.

Personnes qualifiées :

Dominique BEDDELEM, du Rectorat de Dijon,

Christophe COURNAULT, Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté

Marc DEMONTEIX, président de la Chambre départementale des experts comptables de l’Yonne.

 

Thierry BRET

 


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Ils sont aux sapeurs-pompiers ce que peut être le « GIGN » aux forces de la gendarmerie nationale. Loin d’être des casse-cou aventureux gorgés d’adrénaline au contact du danger et des risques, les membres du Groupe de Reconnaissance et d’Intervention en Milieu Périlleux (GRIMP) effectuent des interventions hautement sécurisés là où les moyens traditionnels des soldats du feu sont inappropriés…

AUXERRE : Les cinéphiles se souviennent certainement du long métrage américain fleurant bon la période de Noël dans lequel évoluait un bien virevoltant personnage, grimé de vert et réfractaire à l’esprit des fêtes : le « Grinch ». C’est le comédien humoristique Jim CARREY et ses célèbres mimiques produites par son visage élastique qui incarnait ce drôle de luron. Un personnage à la limite de l’anti-héros qui n’hésitait pas à gravir la cime des arbres ou le sommet d’un édifice pour prouver au monde entier qu’il existait. Tout en détestant copieusement la fête de la Nativité...

Chez les sapeurs-pompiers du SDIS 89 (Service Départemental d’Incendie et de Secours), point de besoin de faire des pitreries, tout de vert vêtu, à une certaine hauteur pour se rappeler à notre bon souvenir ! Il y a mieux en effet en matière de présence physique. Grâce à un ersatz de « GIGN », comparativement à la gendarmerie nationale, qui s’est spécialisé dans les interventions peu ordinaires et comprenant une évidente prise de risque à surmonter : le « GRIMP » !

Un acronyme qui rappelle que l’on a affaire aux représentants émérites du Groupe de Reconnaissance et d’Intervention en Milieu Périlleux. Des femmes et des hommes qui possèdent du cran, une sacrée dose de courage et surtout la dextérité dans le moindre des gestes accomplis pour le démontrer lors d’un exercice un peu particulier. Celui-ci fut concocté dans les charpentes séculaires de l’Abbaye Saint-Germain à Auxerre.

 

 

Un exercice de sauvetage dans un théâtre grandeur nature…

 

Le GRIMP en action, mérite amplement le coup d’œil ! C’est ce que devait proposer l’état-major des sapeurs-pompiers de l’Yonne à la presse de notre territoire lors de cette séance de formation de maintien et de perfectionnement des acquis.

Sur le papier, un titre, somme toute très protocolaire et un peu ronflant. Mais sur le théâtre des opérations, ce fut une séance de travail digne de ces « funambules adorateurs de l’altitude » qui exercent leur métier à l’aide de baudriers et de cordages. Haut dans les airs : vertige s’abstenir !

Bref, bienvenue dans une toute autre dimension que l’image que l’on pouvait se faire des traditionnels sapeurs-pompiers en exercice aux côtés du camion-citerne rouge.

 

 

 

Dans le cas présent, il était question d’évacuer par l’extérieur et auparavant depuis la soupente de l’édifice un ouvrier pris d’un malaise sur son lieu de travail. Un véritable rôle de composition pour le soldat du feu vêtu en civil qui endossa la vêture de la victime. Allongé et sanglé dans une civière suspendue dans le vide à dix mètres du sol, le courageux garçon demeura stoïque en espérant que ses collègues maîtrisent bien les gestes de secours devant le ramener sur la terre ferme.

La difficulté de l’épreuve résidait au déplacement de la civière de manière horizontale d’un étage à l’autre. Avant qu’elle ne bascule avec la maîtrise du savoir-faire des forces en présence (une demi-douzaine de sauveteurs) dans le grand vide le long de la façade de ce monument patrimonial.

 

 

Une douzaine d’interventions chaque année sur le département…

 

Tout cela se déroula sous les regards très intéressés de Tristan RIQUELME, directeur de cabinet du préfet de l’Yonne, du vice-président du Conseil départemental et de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois, Christophe BONNEFOND, pour mémoire président du SDIS 89 et du Colonel Pierre BEPOIX, directeur départemental adjoint du SDIS 89.

Sous la houlette du Lieutenant Gilles PREUX, l’exercice – une simple formalité de routine pour la jeune femme et ses collègues masculins constituant l’équipe de choc investie sur le lieu de l’opération -, se déclina tranquillement. Comme à la parade, pourrait-on dire dans d’autres domaines !

Il est vrai que le GRIMP répète inlassablement les mêmes gestes techniques qui peuvent rappeler ceux effectués par les alpinistes du fait des cordages et de baudriers, à raison de deux entraînements par mois. En faisant tourner ses équipes puisque la cellule se compose de vingt-cinq personnels d’intervention en milieu périlleux. Ils sont répartis dans les centres mixtes, au centre de formation départemental et à la direction départementale.

 

 

Annuellement, le GRIMP procède à une douzaine d’interventions en situation réelle sur notre territoire. Quant aux lieux lui permettant d’acquérir davantage de maîtrise dans les gestes, ils se nomment la basilique Marie-Madeleine de Vézelay, la cathédrale Saint-Etienne d’Auxerre, celle de Sens ou l’abbaye Saint-Germain.

Sont considérés comme des milieux périlleux des espaces artificiels ou naturels où, en raison de la hauteur ou de la profondeur, et des risques divers liés au cheminement ne peuvent être traités par les moyens des sapeurs-pompiers traditionnels.

 

 


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L’année dernière, l’établissement financier de Champagne-Bourgogne avait accru le nombre de ses collaborateurs en intégrant 127 nouvelles embauches en CDI. Une politique de ressources humaines dynamique lui permettant de figurer parmi le peloton de tête des premiers recruteurs privés de la région. Employant 1 725 salariés, le Crédit Agricole poursuit sur sa lancée…

QUETIGNY (Côte d’Or) : Mine de rien, les métiers de la banque font toujours recette auprès des jeunes diplômés de notre territoire. En 2019, le Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne a reçu la bagatelle de 4 500 candidatures traitées par les équipes des ressources humaines !

In fine, ce sont 127 prétendants au Graal suprême qui ont touché le firmament en intégrant l’un de ces postes proposés en contrat à durée indéterminée.

Preuve que malgré les nouveaux usages inhérents à la digitalisation, on pouvait encore postuler et faire carrière dans l’une des références historiques du milieu bancaire national.

Cette année encore, et ce malgré les aléas de la crise sanitaire et économique sans précédent que nous traversons, l’établissement emploiera cent-vingt nouvelles personnes supplémentaires. Histoire de soutenir un peu plus l’emploi sur sa zone de prédilection.

Pour autant, le Crédit Agricole n’hésite pas à moderniser sa stratégie de conquête pour capter l’intérêt de ces nouveaux talents. Les campagnes de recrutement s’affichent au grand jour dans la rue, sur les réseaux sociaux et par voie de presse.

Ce n’est pas tout ! Escape game, job dating et autres entretiens par vidéo complètent cette panoplie fort utile de moyens branchés ouverts à la communication tous azimuts.

Dans la capitale de Bourgogne, la rotonde caractéristique de la gare SNCF de Dijon, visible de loin, a été le réceptacle d’un énorme panneau promotionnel invitant les personnes intéressées à déposer au plus vite leur dossier de candidature. Celui qui, une fois placé dans le processus normal de circulation aura été analysé par le service des ressources humaines, dirigé par Florence HALLARD.

 

Des métiers en pleine mutation offrant une évolution de carrière…

 

Des postes de commerciaux aux fonctions managériales, tout est envisageable au sein de l’établissement régional. Celui-ci dispose d’une variété pléthorique de métiers plus méconnus mais tout aussi utiles à l’instar de ceux proposés parmi les services de l’audit, du juridique, des ressources humaines, du marketing ou de la communication.

Chacune de ces fonctions a démontré son utilité durant la crise sanitaire. Avec un leitmotiv commun : accompagner entreprises, professionnels et particuliers fragilisés par le confinement.

Le volet de la formation n’est pas oublié dans cette politique de recrutement et d’ouverture pédagogique envers les jeunes générations.

Ainsi, le Crédit Agricole a accueilli pour la première fois en 2019 onze stagiaires de classes de troisième issus de collèges des réseaux d’éducation prioritaire dans ses murs.

Au cours de ce même exercice, cinquante-cinq alternants ont pu apprendre les rudiments de leur métier grâce à ce mode éducatif de plus en plus usité dans l’Hexagone tandis que 73 stagiaires devaient se former aux métiers de la branche financière.

Un chiffre, un seul, démontre l’intérêt accordé par l’entreprise à la formation. Sur l’année 2019, 11 900 jours de formation ont été dispensés, soit près de sept jours par salarié. Comme le précise Florence HALLARD, « la formation est un levier clé de la politique des ressources humaines au sein du groupe… ».

Qu’il soit nouvel embauché ou plus expérimenté, le collaborateur à l’estampille de la Banque Verte bénéficiera d’un solide plan de formation via les solutions proposées par l’IFCAM, l’université d’entreprise du réseau bancaire.

 

 


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Dans le cadre du Plan de relance de l'économie, de nouvelles aides sont entrées en vigueur pour favoriser l’embauche des jeunes en CDI, CDD ou en contrat d’alternance. Plusieurs questions nous viennent à l’esprit pour en savoir davantage : comment en bénéficier ? Pour quels montants ? Grille de lecture explicative avec la Chambre départementale des experts comptables de l’Yonne…

TRIBUNE : Parmi ces mesures, il existe l’aide exceptionnelle pour l’embauche d’un jeune de moins de 26 ans. Elle a pour objectif de faciliter l’embauche des jeunes tout en stimulant l'activité des entreprises. Elle vise à réduire le coût du travail en termes de compensation forfaitaire de cotisations sociales.

Le montant de l'aide est de 4 000 euros maximum sur un an pour un jeune salarié à temps plein. Ce montant est proratisé en fonction de la quotité de temps de travail du salarié et de la durée effective du contrat de travail.

Toutes les entreprises, quelles que soient leur secteur d’activité et leur taille, peuvent y prétendre.

Pour en bénéficier, il faut remplir les conditions cumulatives suivantes :

  • recruter un jeune de moins de 26 ans entre le 01er août 2020 et le 31 janvier 2021 (les renouvellements de contrat débutés pendant cette période ne sont pas éligibles),
  • conclure un contrat en CDI, en CDI intérimaire ou en CDD pour une période d’au moins 3 mois,
  • la rémunération du salarié doit être inférieure ou égale à deux fois le montant du SMIC.

Pour en bénéficier, un délai de 4 mois à compter de l'embauche de votre salarié est à respecter. Il faut adresser une demande à l’Agence de Services et de Paiement (ASP). Une plateforme de télé-service sera ouverte à compter du 1er octobre 2020 pour faciliter les démarches. L’aide sera versée par l’ASP, sur un rythme trimestriel, pendant une durée maximale d’un an.

 

 

Cette aide n’est pas cumulable avec une autre aide de l’Etat, liée à l’insertion, l’accès ou le retour à l’emploi (parcours emploi compétences, contrat initiative emploi, aide au poste, aide à l’alternance, emploi franc, etc.) au titre du salarié concerné.

Si le salarié est placé en activité partielle ou en activité partielle de longue durée, on ne pourra pas non plus toucher l'aide pour les périodes concernées.

 

L’aide exceptionnelle pour l’embauche en contrat d'apprentissage

 

Il s'agit d'une aide pour accompagner financièrement les employeurs qui recrutent en contrats d'apprentissage. L'objectif est de soutenir ce dispositif pendant la période de crise économique (maintien et développement des contrats). Cette aide est versée pour la première année d'exécution du contrat et n’est pas cumulable avec l’aide à l’embauche d’un jeune.

Le montant de l'aide varie en fonction de l'âge de l'apprenti : 5 000 euros pour un apprenti de moins de 18 ans. Elle est de 8 000 euros pour un apprenti majeur par contrat d’apprentissage préparant à un diplôme jusqu’au master (bac + 5 – niveau 7 du Répertoire national des certifications professionnelles- RNCP).

Toutes les entreprises de moins de 250 salariés du secteur privé ou public industriel ou commercial (dont les contrats relèvent du droit privé) sont concernées.

Pour les entreprises de 250 salariés et plus, le bénéfice de l'aide est soumis au respect des conditions suivantes : atteindre 5 % de contrats favorisant l’insertion professionnelle en 2021 via un contrat d’apprentissage et de professionnalisation, un VIE, une CIFRE ou avoir au moins 3 % d’alternants avec un contrat d’apprentissage et de professionnalisation, dans leur effectif en 2021 et avoir connu une progression de 10 % par rapport à 2020.

 

 

L'aide s'applique aux contrats d'apprentissage conclus entre le 01er juillet 2020 et le 28 février 2021 pour la préparation d’un diplôme ou d’un titre à finalité professionnelle.

L'aide est versée mensuellement, dès le premier mois et dès la réception de la déclaration sociale nominative (DSN) et contrôle de celle-ci par l'Agence de Services et de Paiement (ASP).

La nouvelle aide aux employeurs d'apprentis se substitue à l'aide unique pour la première année d'exécution du contrat. À l'issue la première année d’exécution du contrat, les entreprises éligibles pourront à nouveau bénéficier de l'aide unique jusqu’à la fin du contrat.

 

L’aide exceptionnelle pour l’embauche en contrat de professionnalisation

 

Cette aide accompagne les entreprises qui embauchent un salarié en contrat de professionnalisation entre le 01er juillet 2020 et le 28 février 2021 pour la préparation par un jeune de moins de 30 ans d’un diplôme ou d’un titre à finalité professionnelle jusqu’au niveau 7 du cadre national des certifications professionnelles (soit jusqu’au master).

Elle est versée pour les douze premiers mois d’exécution du contrat. Le montant de cette aide et ses modalités de versement sont les mêmes que ceux de l'aide exceptionnelle pour l'embauche en contrat d'apprentissage.

Source : Bercy Infos, le 09/09/2020 - Aides publiques et financements

Un article réalisé en partenariat avec la Chambre départementale des experts comptables de l’Yonne.

 


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C’est la troisième rentrée scolaire pour l’Ecole de Production de Chalon-sur-Saône depuis qu’elle a été portée sur les fonts baptismaux. L’établissement affiche un taux de réussite de 100 % au CAP depuis ses origines. Un cap vers l’excellence pédagogique vient d’être franchi. Grâce à la digitalisation. L’initiative a reçu le soutien de la Fondation EDF qui a injecté 10 500 euros dans le projet…

CHALON-SUR-SAONE  (Saône-et-Loire) : Apparue en 2017 sous l’impulsion de l’UIMM 71 et du groupe EDF, l’Ecole de Production de Chalon (EDPC) accueille un jeune public âgé de 15 à 18 ans en situation de décrochage scolaire. L’établissement les prépare au diplôme de CAP professionnel dans les métiers de l’usinage. Un vivier de recrutement dont ont besoin la plupart des industriels de Saône-et-Loire.

Fonctionnant comme une véritable entreprise, l’EDPC réalise de vraies commandes au prix du marché au profit de ses clients. Une vingtaine d’élèves effectueront d’ici quelques jours leur grand retour sur le site. Ils y découvriront un équipement numérique flambant neuf mis à leur disposition dans le cadre de leur apprentissage des métiers de l’usinage.

L’école vient de se doter d’un logiciel d’assistance de production par ordinateur, couplé aux machines adéquates. Une mue nécessaire pour gagner en performance technologique.

 

 

 

Cette numérisation des ateliers concerne également la mise à niveau du réseau informatique qui offre des temps d’apprentissage supplémentaires en autonomie sur ordinateur. L’idéal pour la progression intellectuelle des jeunes apprenants.

Grâce à ces précieux auxiliaires technologiques, l’augmentation du volume de pièces fabriquées en réponse aux commandes passées par les entreprises industrielles du tissu local est désormais possible.

 

 

Une numérisation de l’école encouragée par la Fondation EDF…

 

Instigateur de ce projet pédagogique aux côtés de l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie de Saône-et-Loire, le groupe EDF n’a pas hésité à débloquer une enveloppe de 10 500 euros pour financer ce programme de digitalisation.

Fin 2018, l’entité via une opération de mécénat impliquant sa Fondation s’était déjà distinguée en remettant un chèque de 95 000 euros, complété par un don de 25 000 euros du FAPE EDF (Fonds Agir Pour l’Emploi) en faveur de l’insertion par le travail à cet établissement.

La somme fut alors convertie pour l’achat d’une machine à commande numérique destinée à l’usinage de pièces métalliques complexes. Grâce à elle, l’école a pu capter l’intérêt de nouveaux clients industriels et a su développer ses marchés depuis sa mise en service.

Avec ce nouveau geste financier de 10 500 euros accordé ce mercredi lors d’une cérémonie protocolaire, Yves CHEVILLON, délégué régional d’EDF et représentant de la Fondation du groupe EDF en Bourgogne Franche-Comté, a renforcé ce soutien indéfectible fait à l’Ecole de Production du sud de la Bourgogne dirigée par Nicolas PROST.

Un don généreux fort en symboles qui vise à construire l’avenir professionnel de ces jeunes gens.

 

 

 


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